Petite fleur des iles. 9
Maeva invite ses demi-soeurs Ă partager sa soif de foutre. Elles ne sont pas trop de trois pour branler ce chibre massif. Elles voudraient aller plus loin avec lui mais il les renvoit. Maeva a droit Ă son dernier tribut avant de faire ses valises.
Proposée le 16/02/2022 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: GroupesLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
9) : Trois sœurs pour une seule teub.
Depuis elles me tannent pour pouvoir elles aussi tâter le « phénomène ». Excédée de leurs suppliques incessantes, je leur avoue nos séances de bronzage naturiste derrière sa maison. Je leur enverrai un SMS la prochaine fois que nous serons ensemble.
Dans les derniers beaux-jours, l’occasion se présente, j’envoie donc un SMS. Comme d’habitude, Xavier s’étend à coté de moi en mettant sur ses yeux un masque de nuit. Je me demande même s’il ne s’est pas endormi.
Elles sont là , debout au coin de la maison et regardent dans ma direction, en minishort hyper-moulant et top minimaliste. Je leur fais signe de s’approcher avec un doigt sur les lèvres pour leur imposer le silence. Elles sont incapables de détacher leur regard du service trois pièces de Xavier qui pend mollement entre ses cuisses. Je me saisis de la verge flasque de Xavier et m’active pour obtenir son chibre dressé entre mes mains. Xavier, surpris, s’offusque, sorti de sa sieste sans prévenir, mais sans retirer son bandeau.
-Putain Maeva ! Tu exagères… J’peux même pas roupiller tranquille !Elles sont totalement obnubilées par le résultat et ne pensent plus qu’à une seule chose : Elles voudraient elles aussi s’emparer de ce formidable bélier, le peser, le tâter, le branler…
Elles ont les yeux qui sortent de leurs orbites en me regardant faire sortir cet énorme gland de son cocon puis le ré encapuchonner sous la peau du prépuce, admirant la queue de cheval que j’ai entre les mains.
Océane se lance et avance sa main droite qui prend la place de la mienne sur « la chose ». Elle peut enfin la toucher, la malaxer, la branler. La sensation doit être incroyable pour elle. Je sais qu’elle aime branler des bites, mais elle n’a jamais eu entre les mains un truc aussi énorme, aussi raide…
Elle a même le culot de se pencher en avant, approchant ses lèvres de ce barreau de chaise. Je la laisse faire. Elle passe plusieurs fois la langue sur le monumental pieu.
Je m’écarte un peu pour que la main d’Isis prenne la place que je laisse libre sur la base de la hampe de Xavier. Sa petite main s’empare de la base massive mais un espace de plus de deux centimètres sépare son pouce de son majeur.
Leur manque d’expérience et le manque de coordination de leurs mains agresse la verge dressée, réveillant brusquement Xavier qui sort de sa sieste et se redresse sur ses avant-bras. Il retire dans coup sec son bandeau et explose en découvrant le spectacle.
-Bordel de merde ! Vous faites quoi les gamines ? C’est encore toi qui a organisé ça Maeva ? Oust les filles, je ne suis pas un jouet que vous vous repassez entre vous ! Maeva, dis-leur de partir et de me lâcher la queue ! Votre père va me tuer.
-Si tu fais ça, me menace Océane, je raconte tout à papa !Je ne m’attendais pas à une telle réaction de sa part mais je suis coincée, et lui aussi…et il le sait.
-Bon, au point où j’en suis. Mais il ne sera pas dit que je suis à votre merci. Je vous veux chacune à poil de chaque coté de moi !
À peine a-t-il fini sa phrase que mes salopes de sœurs sont déjà en tenue d’Eve. Quand je pense qu’en additionnant nos âges, on arrive à peu près au sien…
-Merci monsieur Xavier, vous ne le regretterez pas, lâche Isis.
Elles se sont mises à genoux de chaque coté de son transat et s’activent à tour de rôle ou en même temps sur sa poutre, croyant arriver à le faire juter aussi vite que leurs petits copains, mais que nenni…
Xavier en profite pour laisser trainer ses mains sur les corps longilignes de mes demi-sœurs, caressant les seins fièrement érigés, glissant la main sur les pubis épilés et introduisant un doigt fureteur dans leur chatte déjà trempée. Ses mains brillent sous le soleil de la cyprine qui s’y répand mais lui reste stoïque, comme insensible à leurs caresses. Xavier les repousse soudain et se relève, son étendard fièrement dressé et nous apostrophe :
-Bon, je ne veux pas y passer mon après-midi, moi. Entre sœurs, vous devez avoir l’habitude de vous entraider, non ? De toute façon, vous n’aurez que cette occasion pour faire comme Maeva, et d’ailleurs, elle va vous donner un coup de main, hein Maeva ? Ensuite vous serez à égalité et vous me ficherez enfin la paix.Nous sommes trois à genoux devant lui comme des petites filles innocentes attendant la communion, la bouche ouverte et les mains jointes sur la « sainte queue ». Il commence alors des allers-retours dans chacune de nos bouches, Isis a d’énormes difficultés devant ce chibre trop massif pour sa petite bouche et ne peut en gober que le gland énorme. Il alterne les mouvements rapides et lents pour notre plus grand plaisir. Nous nous doigtons en même temps pour trouver le plaisir et arriver à jouir. J’ai la mâchoire ouverte à fond quand il est prêt à exploser.
Il retire son bélier de ma bouche, le prend dans sa main droite pour quelques va et vient rapides et éjacule sur mes lèvres mais la puissance de son éjaculation est telle que j’en ai pleins les cheveux et dans l’œil droit. Il change de cible, arrosant de son sperme abondant les visages d’Océane et d’Isis qui n’en reviennent pas qu’un homme puisse éjaculer si longtemps et avec une telle puissance. Ça doit les changer des pipis de chat de leurs petits copains. On se regarde une fois la douche terminée et la lance tarie. Des trainées blanchâtres et gluantes dégoulinent sur nos visages.
-Maeva, me conseille Xavier, va avec elles pour qu’elles prennent une douche avant de traverser la rue. Je ne veux pas plus d’ennuis pour aujourd’hui.Je lui obéis et précède mes demi-sœurs jusqu’à la salle de bains, écoutant leurs commentaires élogieux :
-Putain le mec ! Il foutrait la honte à Rocco Siffredi. Qu’est ce que ça devait être dans sa jeunesse ? L’étalon avec un E majuscules ! S’extasie Océane.
-Ça tu peux le dire, réplique Isis. Dommage qu’il ne veuille pas aller plus loin avec nous. Mais je ne sais pas si je pourrais supporter un tel chibre dans ma petite chatte. C’est du convoi exceptionnel qu’il se trimbale le vieux.
-Pas si vieux que ça, je m’offusque sachant de quoi il est capable. Tu me feras signe le jour où tu trouveras un tel phénomène, mais je doute que tu en trouves un.Une fois mes demi-sœurs rhabillées et reparties, je retourne vers Xavier mais cet interlude l’a mis dans un état pas croyable et il veut faire retomber la pression, et la « valve » est le seul endroit pour ça. Vous voyez où ? Il m’attire à lui, je me rapproche, bien obéissante. Après tout, c’est tout ce que je demande.
Ma main presse sa queue qui réagit aussitôt à mes caresses.
-C’est mon cadeau d’adieu, m’informe-t-il, avant ton retour au nid.
Xavier m’observe, me pétrissant les seins. Je fais une tête de moins que lui et sa verge coincée entre nos deux corps arrive pratiquement dans le sillon entre mes seins. Il prend la direction des opérations, plie les jambes et dirige son mandrin qu’il frotte sur ma vulve avant de pousser son gland dans mon ventre sous mes gémissements de petite fille. Sa verge semble ne plus arrêter sa pénétration tellement elle est grande.
Il commence un lent et puissant mouvement de va et vient, je me cambre sur lui mais j’en veux plus. Je passe mes bras derrière son cou et me suspends à lui, les jambes cerclant ses reins. Xavier joue du bassin, de plus en plus vite de plus en plus fort. Je pars…mon vagin sert ce piston infatigable.
Comme il fatigue, lui, Xavier s’assoie dans le transat et lâche deux mots : « ton cul ».
Je sais ce qu’il désire et je ne suis pas contre, bien au contraire, j’ai dérouillé la première fois mais j’ai aimé ça. Je lui tends mon petit cul. Xavier sort de ma chatte et remonte plus haut vers mon anus, frotte son gros gland contre mon petit trou. Je suis à califourchon sur lui, les pieds dans l’herbe et guide le gland violacé au bord de mon anneau serré. Je me laisse descendre, centimètre après centimètre sur cette superbe queue blanche et pousse doucement après avoir humidifié ma rondelle. Mon anus accueille et absorbe le mandrin pendant que je pousse de petits soupirs de plaisir. ¬
– C’est bon, très bon … Elle est bonne, ta grosse queue, toujours aussi dure et chaude…Ça y est, c’est fini… Je dois regagner ma chambre libĂ©rĂ©e par mon père, les travaux sont finis.
C’est pas possible… Comment vais-je pouvoir vivre en sachant qu’à moins de cent mètres de chez moi vit un homme, un mâle, un Ă©talon qui n’attend qu’une jument, ou plutĂ´t une jeune pouliche vigoureuse comme moi Et surtout oĂą vais-je retrouver une telle bite ? Comment… comment ?…Et d’après ce que me disent OcĂ©ane et Isis, je ne suis pas la seule Ă rĂŞver de notre voisin…Un an après…………………………………….(Peut-ĂŞtre pour une suite???)J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprĂ©cie les commentaires de certain(e)s et vos notes pour m’encourager Ă encore plus me lâcher dans mes textes.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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