Résumé de l’épisode précédent : Mage enquêteur, j’ai démarré une enquête sur des meurtres particuliers. Embauché et séduit par Anka, je découvre que nous sommes liés. Ensemble, nous cherchons la meurtrière parmi ses cousines.Anka a un petit sourire, car notre nouvelle situation avec l’harmonie magique qui nous lie en tant que couple change la donne puis lâche :— Exactement !— Ceci dit, ma chérie (j’adore provoquer son regard) ta cousine X doit avoir une raison entre vengeance, recherche de pouvoir, folie meurtrière, jalousie amoureuse ou familiale… Le choix est vaste. Ce serait bien de gratter là-dessus non ?— Je vais m’y mettre, mais revenons au sujet, parce que là aussi, entre comment faire, le faire, survivre et la suite, il y a du boulot.— Ce n’est pas cela le plus dur, tu le sais bien.Elle me regarde, marmonne quelque chose avant de se redresser pour quitter le lit et finalement comme, je la regarde intensément, lâche dans un souffle avant de se coller à moi.— Te partager avec une autre, c’est ça le plus dur. C’est bon, tu l’as entendu, là. Allez, je t’explique : j’ai donc quatre cousines et…Une heure plus tard, j’ai saisi l’essentiel des infos sur les quatre. Je les ai classées dans ma tête avec leurs petits surnoms comme moyen mnémotechnique : Carla, la nympho jalouse ; Zara, la tête pensante ; Zika ,la touche-à-tout et Katia, la romantique.— La première cible, c’est Carla, je l’aimais bien, mais maintenant elle est toujours à se vanter de ceci ou cela, elle parle tout le temps de sexe et adore me piquer mes petits copains et, évidemment, après ils sont toujours conquis et en parlent comme d’une supernana.— Bref, tu ne l’apprécies pas et ce serait bien si c’était elle.Un grommellement est la seule réponse qu’elle daigne me faire, mais après quelques secondes de câlins, elle consent à reparler et nous mettons au point notre stratégie.Oh, elle est simple : me faire voir comme le petit ami d’Anka, me laisser draguer, coucher avec Anka pas loin en sécurité et découvrir si c’est Carla la méchante. Basique, on vous dit. Basique, mais néanmoins très difficile en raison de notre nouvelle relation.Il faut croire que cette Carla a un radar, car à peine deux jours plus tard et alors même que nous n’avons encore rien préparé, elle nous croise non loin du parc. À peine Anka – qui m’a présenté comme un humain lambda – s’est-elle éloignée pour un (faux) appel que j’ai droit à des minauderies et des œillades, elle fait vraiment pouffe chaudasse et, comme prévu, je fais le gars rapidement séduit et elle me glisse son numéro.— Alors ? me fait Anka, une fois tous les deux seuls à nouveau.— Alors, entre son numéro de fausse blonde chaudasse et des sorts d’attraction (ceux d’amour n’existent PAS), elle m’énerve déjà. Ses seins sont tout aussi dopés au glamour, bon, cela doit plaire à certains vu ce que tu me dis, mais moi je ne vois que toi.— Et sinon, tu as son portable, j’imagine ?— Oui. Bon, voilà comment je vois la chose…Le lendemain, après un appel, je me rends à l’hôtel de luxe dans la chambre réservée. Heureusement, nous avons pu l’équiper à temps et Anka se trouve dans la suite contiguë. Carla m’y attend en petit déshabillé noir plutôt transparent et j’ai droit dès le début à un sort d’attraction supplémentaire, sans parler des nombreuses bagues qu’elle arbore et qui sont autant de diffuseurs de glamour visant à la rendre plus jolie. Ce que je ne comprends pas trop, car elle est tout à fait normale sans ces artifices, et puis je repense à Anka et je comprends qu’elle veut la dépasser par tous les moyens. Nous sommes nus en quelques minutes et nous nous embrassons de façon plutôt sympathique, ses seins sont ronds et pleins et plutôt érectiles sous mes caresses. Elle est totalement épilée suivant la mode mise en valeur par les magazines féminins. Quand je suis nu devant elle, un soupçon de panique passe dans ses yeux, ce que, évidemment, ne remarquerait pas un homme normal. Elle prend mon sexe en main, passe et repasse délicatement ses doigts le long de mon sexe comme si elle n’avait pas encore vu un si bel engin, elle me caresse, ma foi, fort bien et j’ai comme l’impression qu’elle a envie que je jouisse, car quand je veux la basculer sur le large sofa, elle se raidit un peu et me murmure des paroles envoûtantes qui, n’était-ce moi, me feraient jouir rapidement. C’est presque comme si elle voulait éviter de faire quelque chose. Je fais semblant de bâiller plusieurs fois et en même temps joue le gars résistant qui en a après elle. Je finis par réussir à la caresser tout en délicatesse et elle s’abandonne très lentement, puis plus facilement (j’avoue avoir lancé un sort de décontraction tant elle apparaissait crispée) et enfin, elle s’enhardit à me demander de la prendre. Je suis étonné de son attitude qui contraste avec sa façon de se présenter ou de se la raconter auprès des autres femmes selon tous nos renseignements. Je cesse de penser à cela et reviens à son corps chaud. Dans la classique position du missionnaire, la seule qui semble lui convenir, je m’introduis doucement en elle. Bien que très excitée, elle est plutôt étroite et je fais vraiment lentement. Quand enfin je suis entièrement en elle, elle respire fort, la bouche grande ouverte, et lentement, je puis aller et venir plus fort. Vu notre position, je picore ses seins de baisers et elle se décoince lentement. C’est quand ce mot résonne dans ma tête que je comprends soudain. Tout dans son attitude tient du matamore et je suis sûr que ses « admirateurs » précédents ont subi quelques modifications de mémoire.Aussitôt, je décide de changer de stratégie et lui lance un sec :— Bon sang, t’es vraiment pépère. Allez, bouge-toi !Elle me regarde, effarée, l’air de vouloir lancer une répartie, mais je la devance et rajoute :— Allez, à quatre pattes qu’on puisse enfin vraiment baiser, je croyais que t’étais une chaudasse, toi !Derrière son écran et avec le son du micro, Anka doit se demander ce qui me prend. Mais, vu son intelligence et sa finesse, m’est avis qu’elle va vite comprendre. Carla s’est finalement mise en position, me présentant son joli postérieur, je me penche, collant ma queue tendue contre le chaud sillon, la mords un peu dans le cou. Ah, son frisson qui m’indique que j’ai bien jugé et enfin, je lui murmure à l’oreille :— Maintenant, je vais te donner ce que tu mérites !Un léger soupir me répond et m’encourage à lui empoigner les seins par-dessous, à me positionner comme il faut et m’enfoncer à nouveau dans sa petite chatte. Son abricot me semble plus chaud, plus humide et je sens son corps qui bouge, s’accordant lentement à mon rythme. J’imagine qu’Anka a désormais compris que toute l’image que s’était fabriquée Carla n’était qu’une illusion et qu’en fait elle avait une nature bien différente de celle qu’elle projetait à tout le monde. Je serre ses tétons avec une certaine force et la mordille plus fort dans le cou la faisant gémir de plaisir en accord. Je me lâche un peu plus, la serre aux hanches et me redresse après lui avoir enjoint de se toucher les seins. Aucune discussion, elle s’exécute simplement et gémit encore plus fort.— Branle-toi bien, et savoure !— Hmmm, ouiiiii !Elle commence vraiment à se lâcher, à être celle que je sentais grâce à mes pouvoirs, à concilier ses envies et ses rêves, bref, elle-même, tout simplement. Je sens sa cyprine couler sur ma queue et j’entre et sors facilement, plongeant à chaque fois mon sexe en entier dans son vagin étroit. Elle n’est plus que gémissements de plaisir entre deux phrases sur ses sensations :— Oh c’est bon ! jamais j’ai eu ! oh le pied ! oh vas-y, oh ouiiii !Je claque ses fesses avec ma main droite, la faisant sursauter et donner des coups de reins en arrière, cherchant mon sexe gonflé et clamant qu’elle va jouir. J’observe le bas de son dos, mais ne vois rien apparaître, aussi je la prends plus fort et plus rapidement. Soudain, elle se tétanise, frémit et ouvre la bouche sur un cri muet avant de s’effondrer d’un coup. J’en profite et fais un petit geste vers l’œil de la caméra pour signaler qu’elle n’a pas de signe démoniaque. Je me dis que c’est bon, mais c’est oublier un certain désir de vengeance d’Anka qui d’un coup entre dans la suite avec une certaine grandiloquence, il faut le dire. Les effets de tonnerre autour d’elle, son aura sombre, cela réveille rapidement Carla qui d’entrée de jeu se prend un aller-retour de mon aimée.— Putain, t’essayes encore de me piquer mon mec, et en plus tu joues avec la magie pour ça.— Je, mais non, enfin, il ent…— On s’en fout qu’il entende ! De toute façon, tu avais prévu de lui transformer la mémoire… Ne nie pas, espèce de traînée, tu sais qui je suis et tu bidouilles avec la magie, tu pouvais pas agir normalement, non ? Regarde-toi, il t’a fallu ce mec pour te révéler à toi-même et avoir enfin ton premiervéritable orgasme !— Je ne le ferais plus, promis !— Prête le serment de Circé, alors !Pendant que Carla s’exécute et prête le serment sacré de la plus grande magicienne de la mythologie, je note qu’elle a comme un air soulagé. Anka l’a remarqué aussi et lui demande si elle ne se sent pas mieux maintenant, ce à quoi sa cousine acquiesce. D’un geste, elle efface elle-même le glamour qui l’embellissait et nous la voyons un peu moins mince, des seins un peu moins gros, une peau un peu moins lisse, des cheveux un… enfin vous saisissez quoi.— Mais tu es toute jolie au naturel, fais-je.— L’humain a raison, tu n’avais pas besoin de tout cela.— Mais plus personne ne voudra de moi.— Espèce de nouille, regarde-le, il bande toujours !Bon, je ne peux pas dire que c’est surtout l’arrivée d’une Anka ultra-excitante en mode guerrière qui me fait cet effet-là, mais je sens toute l’affection que malgré tout elle a gardée pour sa cousine et ne rectifie donc rien.— Encore qu’il a l’air un peu désemparé, suce-le un peu, allez !— J’ai jamais trop…— Oh, bon sang, alors regarde et apprends.Sur ces mots, Anka s’assied sur le lit à côté de sa cousine et me prend en bouche pour me gratifier d’une superbe fellation que sa cousine regarde avec fascination, surtout quand Anka me gratifie d’une gorge profonde. Quand elle se retire, les lèvres gonflées, quelques gouttes brillantes sur le menton, elle rajoute :— Bon, ça, il faut de l’entraînement, mais commence, au moins. Allez, voilà, prends-le, lèche, oui, voilà !Je crois alors halluciner en voyant (et sentant) Carla me sucer en suivant les conseils de ma compagne. C’est malhabile, mais elle s’améliore rapidement et quelques instants plus tard, mon sexe est totalement érigé. Anka la fait alors se remettre à quatre pattes, empoigne mon sexe humide et le fait entrer dans l’abricot mûr à point de Carla. Je fais rapidement de grands allers-retours, le sexe bien lubrifié de ses sécrétions, car je la sens désormais enfin à ce a ce qu’elle fait, ce qu’elle ressent.Anka flatte de la main la croupe de sa cousine, me fait un petit clin d’œil et après avoir humidifié son majeur vient titiller le petit trou de sa cousine qui gémit instantanément et frissonne comme si elle avait été victime d’un électrochoc. Je regarde mon aimée faire pénétrer plus fort son doigt, puis un autre au fur et à mesure que les soupirs d’aise de Carla se font plus fort. Puis Anka se penche, mord (fort) le cou de sa cousine et lui dit d’une voix suave :— Ceci dit, chère cousine, si j’ai décidé de t’initier aux plaisirs, il ne faudrait pas non plus oublier que tu t’es plutôt mal comportée et que tout se paye.Et, comme je me recule, elle me stoppe, prend mon sexe en main, crache sur le petit trou un peu ouvert de ses doigtages, me positionne juste devant l’entrée secrète et rajoute avec la même petite voix suave :— Maintenant, il va te faire découvrir d’autres jouissances.Et en disant cela, elle écarte les fesses de sa cousine et, sur un regard de connivence, j’entre lentement mais sûrement dans le petit cul de celle-ci. Un long soupir s’échappe de la bouche de Carla, mais elle ne se soustrait pas à l’intromission de mon engin qui écarte son intimité secrète. Je suis serré comme jamais en elle, mais ne m’arrête que quand je suis entièrement enfoncé en elle. Même si nous parlons un peu rudement, j’avance lentement et délicatement, lui laissant le temps de s’adapter.— Allez, branle-toi, petite voleuse ! Et toi, mon chéri, fais-la jouir et surtout défonce-la bien fort.Ce n’est qu’une heure plus tard, après avoir vérifié plusieurs fois que Carla n’était pas une sorcière démoniaque et qu’elle est ivre d’orgasmes que nous la laissons quitter la chambre…