Je suis Sylvain : quarante-six ans ; blond aux yeux bleus ; sportif avec un corps sans embonpoint de 1,80 m.Je suis Roxane : quarante-quatre ans ; également blonde, avec une belle poitrine (95C) que j’aime mettre en valeur par des décolletés audacieux et des formes très suggestives toujours ajustées à des tailleurs sexy.Nous allons dans ce récit vous raconter comment nous avons basculé, il y a une dizaine d’années, dans le monde très excitant du libertinage.Cette histoire vous sera contée par moi-même, mais également par ma femme.Sylvain : J’ai toujours aimé faire l’amour à Roxane.Quand je suis au lit et qu’elle sort de la salle de bains, uniquement vêtue de sa nuisette transparente qui me laisse voir le ballottement de ses seins lourds et majestueux, quand je devine, sous le tissu léger sa blonde toison que j’irai caresser dans un instant, je ne peux pas empêcher mon sexe de se tendre, et si dans ce moment elle se tourne et fait tomber la nuisette, me dévoilant ses deux globes fessiers majestueux, alors là, je sors et branle ma queue, tendue au maximum.Roxane : J’aime exciter mon homme. Quand j’entre dans la chambre et qu’il me regarde avec cette lueurd’envie au fond des yeux, je prends un malin plaisir à faire monter la tension (et pas que…). J’aime faire quelques pas et sentir mes seins ballotter et se tendre sous la nuisette. Je sais alors que sa verge gonfle. J’aime lui tourner le dos, faire tomber ma nuisette et me baisser pour la ramasser, je sais qu’alors, devant mes fesses offertes, il a sorti sa queue et se masturbe violemment.Ensuite, c’est le classique jeu physique de l’amour entre deux personnes qui apprécient. Tout y passe : caresses sur sexes en feu, 69 endiablé avec queue prête à exploser et minette fontaine, prise en levrette avec un concert de feulements, puis changement de trou pendant que deux de mes doigts maltraitent mon bouton, et enfin, éjaculation au plus profond de mes entrailles dans un cri libératoire du style : « Ahh ! Je viens, je viens, prends ça dans ton cul, ma salope, ouiiiiiii ! »Du classique, vous dis-je, mais que c’est bon quand c’est régulièrement bien fait !Sylvain : Depuis quelque temps, même si faire l’amour à ma femme me satisfait toujours, je me surprends à fantasmer d’autres personnages pendant l’acte, comme par exemple ce nouveau couple de voisins, dont la femme, une jolie brune de trente ans qui me regarde avec de plus en plus d’insistance.La semaine dernière, l’ascenseur de notre immeuble était en panne, et donc, il m’a fallu utiliser l’escalier. Ma voisine, qui habite au troisième étage, me précédait, et moi, derrière elle, j’étais fascinépar son joli cul, moulé dans une jupe de tailleur ultracourte, qui se dandinait devant mes yeux. Je voyais bien le haut de ses bas et je sentais mon sexe durcir.Quand, arrivée à son étage, elle se retourna en me murmurant « bonne soirée », je n’avais qu’une hâte : celle de me précipiter chez moi, sortir ma queue et me branler sur le canapé en imaginant la belle, l’étage en dessous, jupe retroussée, jambes écartées, deux doigts allants et venants de plus en plus vite dans sa chatte brune trempée. À cette vision, ma jouissance fut immédiate.Roxane :Depuis quelque temps, je sens Sylvain perdu vers d’autres pensées quand nous faisons l’amour. Il se retient, ferme les yeux, et je sens son plaisir devenir de plus en plus fort au gré de ses pensées. Il explose en moi, sans se soucier de savoir si je suis au maximum et, souvent, il me faut l’aide de mes doigts pour y parvenir…Il faut dire aussi que l’image de notre beau voisin du dessous m’aide dans ces moments-là. Surtoutdepuis le jour où nous nous sommes retrouvés coincés dans l’ascenseur en panne pendant près d’une heure…Il faisait chaud ce jour-là quand l’ascenseur s’est arrêté entre deux étages. Nous n’étions que deux personnes : mon nouveau voisin du troisième et moi. Le gardien de l’immeuble contacté nous déclara que le dépannage se ferait dans l’heure suivante !Une heure avec un beau brun aux yeux bleus. La cabine était étroite et la chaleur devint vite étouffante. Mon voisin me demanda la permission de tomber la veste. Permission accordée. Il portait dessous une chemise dont il ouvrit les trois premiers boutons. Hummm, je vis son torse musclé. Je sentis son odeur de mâle.Il me dit également de me mettre à l’aise en attendant le dépanneur. J’étais gênée, car sous ma vestede tailleur je ne portais qu’un T-shirt sans soutien-gorge, mais il faisait si chaud.J’étais alors devant lui dans cette tenue. Les pointes de mes seins tendaient le tissu et montraient un désir naissant. Son regard s’évada vers mes deux obus tendus et je vis que cela ne le laissait pas indifférent. Plus un mot dans la cabine. La minute qui suivrait allait me conduire vers mon premier adultère. Son visage se rapprocha du mien, ses mains frôlèrent mes tétons, ma culotte était trempée, ethop, ce fut à ce moment que l’ascenseur reprit sa marche vers le haut !La porte s’ouvrit à son étage. Il sortit en me disant « bonne soirée ». Je remarquai la bosse énorme sur le devant de son pantalon, je n’avais alors plus qu’une envie : celle de rentrer au plus vite chez moi et decalmer la chaleur de mon bas-ventre en me masturbant fort, très fort avec mon sex-toy favori.Sylvain : Un dimanche matin, après avoir fait l’amour à Roxane, et ayant remarqué son comportement moins enthousiaste que d’ordinaire, je me décide à aborder le sujet d’amener plus de piquant dans nos ébats sexuels en évoquant nos fantasmes respectifs pendant ceux-ci.Je m’attends à un refus catégorique de sa part, mais quelle n’est pas ma surprise quand elle me ditsur un ton gouailleur :— OK, mais tu commences le premier !Pris à mon propre piège, je commence à délirer sur notre voisine du dessous pendant que Roxane commence à me branler doucement. Je lui raconte la scène de l’escalier, mais au lieu de mon retour à notre appartement, mon récit prend un autre chemin :La vue de ses cuisses gainées de bas noirs avait tendu mon sexe au maximum, je l’ai suivie dans son appartement en saisissant ses deux seins à pleines mains, la coquine ondulait des fesses pour les coller à mon membre, je n’en pouvais plus !Roxane non plus, d’ailleurs, qui a pris ledit membre bien dur dans sa bouche et qui murmuredans un souffle :— Continue, mon chéri… C’est trop bon !Je continue donc dans mon délire : Ses seins étaient lourds et j’en pinçais les tétons, elle se jeta sur canapé en ouvrant le compas de ses jambes, je pouvais voir sa fine culotte blanche toute mouillée de son désir, c’en était trop…C’en est trop également pour mon fantasme, car mon sexe gorgé de plaisir vient d’exploser au fond de la gorge de Roxane qui suffoque sous mes jets de foutre.Après quelques instants de récupération, je dis à Roxane : — À ton tour maintenant…RoxaneQuel pied j’ai pris en écoutant le fantasme de Sylvain ! Et que dire de cette fellation, sublime ! Je sentais sa queue gonfler et vibrer au fur et à mesure de son récit, jusqu’à l’éjaculation finale. Que vais-je bien pouvoir lui raconter pour l’émoustiller à nouveau ? Puisqu’il est parti sur la voisine, pourquoi ne pas lui raconter mon aventure dans l’ascenseur avec levoisin ?Chacun de nous est maintenant allongé sur le lit, Sylvain caresse son sexe pour lui redonnerde la vigueur, et moi je caresse doucement mon minou sachant qu’il lui faudrait peu de temps pour miauler. Je reprends mon fantasme au moment où le voisin approche ses lèvres des miennes :Nos bouches se soudèrent et nos langues se caressèrent, ses mains emprisonnèrent mes seins nus sous le T-shirt, je sentais son sexe tendu contre mon ventre, j’avais envie d’avoir cette queue dans ma bouche et je dégrafai rapidement son pantalon. Un bel engin de 20 cm, Hummmm, je m’accroupis et léchai de haut en bas cette virilité. À ce stade, je constate que celui de Sylvain a repris de la vigueur et que sa masturbation devient plus rythmée, quant à moi, j’ai deux doigts dans ma grotte inondée de cyprine, il faut que je termine vite mon fantasme, car nos jouissances sont proches.J’ai ouvert la bouche et la bite du voisin s’enfonça lentement entre mes lèvres serrées, son sexecommença des allers et retours qui amplifiaient ses râles, quelle était bonne cette queue ! je n’avaisqu’une envie : qu’elle explose en moi. Les mouvements de son bassin s’accéléraient, sa queue m’étouffait de plus en plus, car son diamètre augmentait, je sentais son jus arrivé et dans un grand cri de jouissance des jets puissants de sperme remplirent toute ma gorge.Nos cris simultanés à Sylvain et à moi arrivent à ce moment du récit ; nous venons de jouir ensemble sur un fantasme commun.À ce stade, il nous paraît évident que nous devons inclure d’autres personnes à nos jeux sexuels,et pourquoi pas, puisqu’ils étaient au centre de nos fantasmes, le couple des voisins du dessous.Sylvain :Roxane me dit qu’elle croise souvent notre voisine à son club de sport et qu’elle pourrait sans problème se rapprocher d’elle pour faire plus ample connaissance, et pourquoi pas, provoquer une rencontre à quatre. Ce qu’elle fait rapidement puisqu’une semaine plus tard, elle m’avoue avoir bien sympathisé avec Nadine (prénom de notre voisine) et même lancé une invitation, samedi soir chez nous, pour un pot de bienvenue pour elle et son mari Christophe !Je suis dans un état d’excitation intense, Roxane dans le même état que moi et, d’un commun accord, nous décidons de faire l’abstinence de tout attouchement coquin jusqu’à cette rencontre, mais patatras, coup du sort, la veille de la date d’invitation, Nadine informe Roxane qu’elle doit impérativement se déplacer à Bruxelles pour son boulot et nous propose de reporter ce pot de bienvenue. Ma femme toujours très inspirée dans ce genre de situation lui rétorque qu’il n’y a aucun problème pour fixer une autre date, mais propose que Christophe puisse venir seul à ce premier rendez-vous, soi-disant pour faire mieux connaissance.Et voilà comment, ce samedi à 18 h, nous sommes dans l’attente de la venue d’un beau jeune homme.Bien sûr, l’absence de Nadine m’a causé une vive déception, mais à la réflexion, je me dis que c’est peut-être mieux de commencer par le fantasme de Roxane seulement. Je pourrais mieux savourer et apprécier les trésors d’ingéniosité que ma petite femme va devoir employer pour convaincre Christophe de lui sauter dessus, surtout en ma présence !Pour ma part, cette idée et les images qu’elle représente commencent à faire raidir mon sexe et je dois faire de gros efforts pour ne pas me masturber avant l’heure.RoxaneComment vais-je m’habiller pour être à la fois sexy et ne pas faire « pute » ? Le même tailleur que je portais lors de la panne d’ascenseur fera l’affaire, mais ce soir, pas de T-shirt en dessous, ni même de soutien-gorge, d’ailleurs. Je constate qu’en me penchant on peut voir mes gros seins jusqu’aux tétons… Humm, cette vision me les fait durcir.Sous la mini-jupe du tailleur, j’opte pour des bas autofixants qui laissent voir la peau de mes cuisses sur 20 cm, et enfin, une mini culotte blanche en dentelle si fine que mon sillon vaginal est bien visible au milieu de mes lèvres bombées.À cette époque, les sexes féminins n’étaient pas entièrement épilés et subsistait une touffe de poils que l’on comparait à un ticket de métro. Cette pilosité sombre se devinait également quand j’ouvrais le compas de mes jambes.Maquillée, coiffée et ainsi habillée, je fais irruption au salon devant Sylvain qui ne peut laisser échapper un petit sifflement admiratif. Je me campe devant lui et lui lâche : — Elle te fait bander, ta femme ?— Oui, ma chérie, même si je sais que c’est d’abord pour exciter une autre queue que tu te mets ainsi en valeur ! me répond-il.Sylvain : Un coup de sonnette à la porte d’entrée met fin à notre conversation avant qu’elle ne dérive. Je me lève et vais ouvrir. Christophe se tient devant l’entrée avec un gros bouquet de fleurs à la main.— Bonjour, je suis Sylvain, le mari de Roxane. — Entrez donc ! Quel dommage que votre épouse n’ait pu se joindre à nous, ce sera partie remise, j’espère !— Oui, elle était vraiment navrée de rater ce pot d’accueil, mais elle ne pouvait pas manquer ce rendez-vous professionnel. Elle espère que la prochaine fois, quand vous viendrez à la maison, elle sera bien présente.— Entrez, ou plutôt entre – pas de chichi entre nous –, que je te présente Roxane, ma femme, mais je crois que vous vous êtes déjà croisés dans l’ascenseur.À ces mots, je remarque une légère gêne de Christophe qui démontre que le fantasme de Roxane a dû également être partagé. Elle apparaît à ce moment-là et Christophe lui tend la main.— Allons, allons, pas de manières, ma chérie, fais un bisou à notre invité !Cette situation me plaît réellement, je suis le maître du jeu et je guide mes deux partenaires qui me semblent aussi excités qu’embarrassés.— Chérie, guide notre invité au salon pendant que j’emmène ces fleurs à la cuisine.— OK, mon amour, ramène également le champagne et les coupes pendant que j’installe Crhistophe.Par le reflet d’un miroir, je peux apercevoir mon épouse marcher devant notre invité dans le couloir, il a les yeux braqués sur son fessier et je peux deviner sans peine ses pensées. À mon retour avec eux, je constate que Christophe est assis dans le canapé et que Roxane a pris place dans le fauteuil en face.Je m’assieds à côté de Christophe et me prépare à servir le champagne. Roxane se penche pour me tendre sa coupe et, dans son mouvement, la veste de son tailleur bâille légèrement… je peux admirer la quasi-totalité de son sein gauche, hummm ! Christophe, à côté de moi, a le même panorama sensuel, ce petit jeu me plaît de plus en plus.De retour à sa place, tout en devisant, Roxane écarte légèrement les jambes, nous découvrant ses cuisses au-delà de ses bas. Jamais je n’aurais pensé que de voir mon épouse dévoiler ses si beaux atouts, sans en avoir l’air, face à un homme qui nous est pratiquement inconnu, m’aurait à ce point excité.Roxane : Qu’est-ce qu’il me plaît, ce Christophe ! À le sentir derrière moi pour aller au salon, mon excitation s’amplifie ; je pense qu’il me voit accentuer mon déhanché et que ça lui donne des idées. Tiens je vais l’asseoir sur le canapé et me mettre dans le fauteuil en face, comme cela je pourrai l’exciter en lui dévoilant ma culotte.Sylvain revient de la cuisine avec le champagne, j’espère que lui aussi monte en température. En lui tendant ma coupe pour qu’il me serve, je sais que ma veste de tailleur s’ouvre et que ma poitrine, plus que visible, dénote l’absence de soutien-gorge. Je fixe Christophe dans les yeux et vois son trouble. Ses joues rougissent un peu. Bref regard à mon mari qui me lance un coup d’œil, je pense que tout ceci l’amuse.Sylvain : Je commence à bien me sentir émoustillé et, après avoir resservi nos coupes de champagne, je propose de mettre de la musique. Je prends Roxane par le bras et l’entraîne dans un slow langoureux. Mes mains parcourent son dos et viennent se poser sur ses fesses que je caressedoucement. Mon sexe se redresse et vient se nicher contre sa cuisse qui s’y frotte tendrement. Je suis sûr que cette image ne peut qu’exciter notre invité. Je tourne le dos de ma femme vers Christophe et, l’air de rien, fais remonter légèrement sa jupe…Roxane : Hummm, j’aime la façon dont Sylvain me montre, sans exagération, tout en sensualité. Je frotte ma cuisse contre son sexe et, comme je tourne le dos à notre invité, je m’imagine la vue qu’il doit avoir sur mes fesses caressées. Bande-t-il ?En tout cas, mon Sylvain bande comme un fou, je sens son sexe dressé contre ma cuisse et ma culotte commence à être bien humide. Il me prend la tête et sa bouche s’empare de mes lèvres. Je ferme les yeux et nos langues s’entremêlent. Que c’est bon, les mains de mon chéri pétrissent mes fesses.Impossible que Christophe reste de marbre.Sylvain : Je n’en peux plus, mon sexe est à deux doigts d’exploser. Je me dégage de Roxane et, prétextant d’aller en cuisine chercher une autre bouteille, je lance à Christophe :— Continue de faire danser ma femme, je vais chercher de quoi nous rafraîchir.De la cuisine, je peux observer la suite des évènements. Christophe est serré contre Roxanne, ses mains, doucement, caressent le haut de ses fesses, leurs deux visages sont de plus en plus proches puis leurs bouches se collent en un langoureux baiser. Je n’en peux plus, je sors mon sexe que je branle lentement.Roxanne : Le baiser que j’échange avec Christophe est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je caresse son sexe par-dessus son pantalon, « quelle belle tige ! » Lui remonte ma robe et me pelote les fesses de plus en plus fort ; ma chatte ruisselle maintenant. Il me faut sa queue !Tout en l’embrassant je dégrafe son pantalon et me saisis de son sexe « ouah, elle est grosse, mes doigts en font à peine le tour ! », je le branle de plus en plus vite et sentant la jouissance venir, je change de tactique. Je le pousse dans le canapé et, devant lui, je relève ma jupe, enlève ma culotteet lui présente ma chatte affamée que je masturbe bruyamment.Christophe se branle devant ce spectacle, je me penche et enfourne son sexe dans ma bouche, c’est alors que je sens mon mari, revenu de la cuisine, me pénétrer violemment en hurlant : — Ah, salope ! Tu en veux de la queue, tu vas en avoir deux belles toute la nuit…***C’est ainsi que tout a commencé. Si vous avez aimé ce petit récit, la suite de nos aventures libertines à trois, à quatre et même plus, vous sera racontée un peu plus tard.À bientôt !