Résumé de l’épisode précédent : Nous avons réalisé notre fantasme d’une nuit torride à trois avec le voisin du dessous.Initiation lesbiennerécit de RoxanneNotre expérience avec Christophe nous a laissé un souvenir impérissable et pendant toute la semaine suivante, l’évocation de ces instants nous excitait à un tel point que nous nous retrouvions immédiatement Sylvain et moi, nus sur le lit à nous masturber mutuellement.Pourtant j’étais certaine que l’absence de Nadine à notre invitation, au dernier moment, avait contrarié mon petit mari, et que malgré tout le plaisir qu’il a éprouvé en voyant sa femme jouir sous les coups de boutoir d’un autre homme, il aurait aimé faire de même avec notre jolie voisine.Fréquentant la même salle de sport, je me dis que lors de notre prochaine rencontre au cours d’aquagym, je lui reproposerai une soirée à la maison, en espérant que son mari, lui ayant raconté nos folies de samedi dernier, lui aura donné envie d’y participer.Nous avions un cours commun ce jeudi en début d’après-midi et j’étais bien décidée à lui en parler.Je l’ai vue arriver devant la salle de sport et je me dis que Sylvain avait vraiment bon goût. Depuis que nos voisins avaient emménagé je n’avais pas spécialement détaillé Nadine, n’étant de plus pas attirée outre mesure par le même sexe que le mien, malgré, comme beaucoup d’entre nous, mesdames, un apprentissage masturbatoire avec une petite cousine à l’adolescence, mais il me fallut reconnaître que cette belle brune vêtue d’un legging hyper moulant bleu ciel et d’un tee-shirt blanc tendu par une poitrine arrogante emprisonnée dans une brassière pastel, ne laissait personne indifférent.— Bonjour, me dit-elle en m’embrassant sur la joue, c’est chouette de faire la même séance.En lui rendant son baiser, je pris plaisir à respirer son parfum, elle me prit par la main pour entrer dans la salle de sport et le contact de sa peau me fit frissonner…Roxanne, ma fille, reprends-toi, me dis-je. D’accord, elle est belle, mais ce n’est pas une raison pour être autant troublée.Nous nous dirigeâmes vers notre vestiaire tout en parlant doucement :— Christophe m’a dit que la soirée de samedi dernier s’est super bien passée, me dit-elle !Est-ce possible que son mari ne lui ait rien raconté ? Ou bien fait-elle semblant pour m’entendre lui en parler ?Je lui répondis en fixant ses beaux yeux bleus : — Oui, c’était très très chouette, quel dommage que tu n’as pas pu être présente !— Chérie, nous nous rattraperons, me dit-elle en baissant son legging.Je suis toute rouge devant la beauté et le naturel de cette fille. Je commence également à me déshabiller, enlevant mon sweat shirt ; je suis face à elle quand elle se lève pour faire passer par-dessus tête son tee-shirt, je peux admirer ses longues jambes bronzées, une fine culotte en dentelle laisse apercevoir le renflement de ses lèvres intimes, je sens mon sexe se liquéfier, elle va automatiquement voir ma culotte humide lorsque ce sera mon tour de baisser mon jean !Elle est maintenant en sous-vêtements devant moi et elle peut voir mon émotion :— Eh bien, chérie, qu’attends-tu pour enlever tout le reste, me dit-elle en souriant, nous allons être en retard.— Je te trouve très belle, Nadine.— Merci, me dit-elle, en enlevant sa brassière. Je peux alors admirer deux beaux seins bien lourds, avec le téton dressé ; son corps est entièrement bronzé, ce qui dénote une exposition totale au soleil.À mon tour, je baisse mon pantalon et ma coquine de voisine remarque la tache humide sur ma culotte blanche.— C’est moi qui te fais cet effet ? me dit-elle en souriant. Elle enlève lentement sa fine culotte et me laisse admirer un sexe complètement épilé, avec, émergeant des lèvres, son bouton bombé comme un petit pistil au beau milieu de sa corolle.— Oui, c’est bien possible, lui dis-je en enlevant également ma culotte et mon soutien-gorge.Nous voici maintenant toutes les deux au milieu du vestiaire, nues, face à face, admirant nos corps avec des yeux remplis d’envie.— Viens, me dit-elle en me poussant dans la cabine de douche, allons mettre nos maillots de bain sinon le cours va commencer sans nous.Dans la cabine, elle me propose en rigolant : — Je te mets ton maillot, tu me mets le mien…Et sans attendre ma réponse elle me tourne et commence à me remonter le maillot une-pièce par le bas, au passage elle me caresse doucement les fesses, puis le dos avant de positionner en douceur mes deux seins dans leur balconnet ; une fois le maillot enfilé elle conclut par un doux bisou sur ma nuque.— Garce, tu fais exprès de m’exciter, lui dis-je en riant ; attends un peu que je m’occupe de toi !À mon tour, je lui fais subir le même sort, en appuyant un peu plus mes caresses sur les fesses, sur les seins et lui donne un bisou dans le cou en léchant sa peau avec le bout de ma langue. Puis je sors à toute vitesse de la cabine, la laissant pantelante, en attente de plus.— Allez, viens, le cours a commencé. Et nous courrons comme deux gamines vers le bassin, nous jeter dans l’eau…Heureusement, l’eau fraîche calme mon trouble ; que m’arrive-t-il ? Je désire une autre femme, la vision de ses deux seins lourds et leur téton dressé m’a donné l’envie de les caresser et de les mordiller ; la vision de son sexe imberbe, de ses lèvres intimes et de son bouton émergeant m’a donné l’envie de les lécher jusqu’à la jouissance totale ; j’ai envie de connaître le goût de son jus lorsqu’elle criera grâce…Calme-toi, Roxane, ce n’est peut-être qu’un jeu que Nadine te fait subir pour se venger du fait que son mari t’ait baisée maintes fois la semaine dernière ! Si elle le sait ! Pendant une bonne partie du cours, j’essaye de me raisonner de la sorte, mais devant moi le corps de Nadine sautant hors de l’eau, toutes fesses dehors, ses seins ballottant au rythme de la musique et surtout le coup d’œil complice qu’elle me jette en se retournant, ne font qu’accroître mes désirs pour cette femme.Ouf, le cours est fini et tout le monde rejoint le vestiaire, la présence de cinq autres femmes dans cet endroit fait que nous ne pourrons pas avec Nadine bénéficier de l’intimité nécessaire pour continuer notre séduction mutuelle. Malgré tout, je prends du plaisir à voir son corps nu pour aller aux douches communes, je m’aperçois d’ailleurs que je ne suis pas la seule, car une autre femme la regarde continuellement. Peut-être une ex ? Ou une admiratrice de soixante ans. Nadine me conduit par la main sous la douche et semble s’amuser de voir l’autre femme subjuguée. Quelle garce ! me dis-je, lorsque prétextant ramasser son gel de douche, elle se baisse devant son admiratrice, lui laissant la vision de sa figue ouverte et de son petit trou béant.C’en est trop pour notre voyeuse qui se tourne vivement en se caressant plus que nécessaire une poitrine chargée par le poids des ans. J’en suis sûre maintenant, Nadine est une allumeuse et au fond de moi-même je n’ai qu’une envie : qu’elle éteigne le feu qui brûle mon corps !Dès la sortie de la salle de sport, Nadine me propose de me raccompagner en voiture jusqu’à notre domicile.— Pas de problème pour moi, j’ai mon après-midi off et Sylvain ne rentre de son boulot qu’à 18 h.Je la regarde nous conduire pour un après-midi de plaisir et cette pensée me donne déjà des chaleurs difficilement contrôlables, j’ai une envie furieuse de caresser ses seins qui pointent sous son tee-shirt, j’ai envie de lécher ses lèvres pulpeuses et de sentir sa langue sur la mienne et ce n’est pas les œillades coquines qu’elle me lance qui vont calmer mes ardeurs.Nous voici arrivées dans notre parking et, n’y tenant plus, je me jette sur elle pour un baiser sensuel, j’emmêle ma langue avec la sienne, nos lèvres se cherchent, je les lape tendrement, mes mains caressent ses seins lourds que je devine tendus de désir…— Viens, chérie, montons vite chez moi, je te veux tout entière, me dit-elle dans un râle rauque.À peine la porte de chez elle refermée, nos deux corps se pressent l’un contre l’autre ; nos mains partent à la recherche de nos trésors, j’ai hâte de redécouvrir ses seins majestueux et je lui arrache plus que je lui retire son tee-shirt, ce sont deux obus qui me sautent au visage, j’en prends un dans ma bouche et malaxe le deuxième comme une folle. Nadine n’est pas en reste, mon jean est à mes chevilles et sa main déjà dans ma culotte ; elle caresse de bas en haut le sillon de mon sexe humide et chaque passage sur mon clito dressé me tire un gémissement de plaisir. Que c’est bon !C’est vrai qu’une caresse de fille est différente d’une caresse d’homme : plus douce et à la fois plus insistante aux endroits stratégiques.— Viens, allons dans la chambre ! me dit-elle. Je veux t’aimer complètement.Dans sa chambre Nadine me pousse sur le lit et une fois ma culotte enlevée, écarte mes jambes et sa bouche gourmande se pose sur ma chatte ; humm… sa langue effectue le même parcours que ses doigts dans le couloir, je fonds ; elle me titille le bouton et s’enfonce entre mes lèvres, puis revient m’aspirer le bouton. Mon sexe devient de plus en plus humide, que dis-je humide : ce sont des jets de cyprine ininterrompus qui s’échappent de mon vagin.La bouche de Nadine en est toute barbouillée, mais elle continue, accompagnée par mes feulements de plus en plus expressifs : — Ouiii, vas-y, ma chérie, encore, que c’est bon, ahhh, encore… AHHH, je viens, je viens, je VIENSSSS !La jouissance me fait cambrer le corps au moment même où Nadine enfonce trois doigts au fond de mon vagin. Je n’en peux plus, que c’est bon ! Nadine me regarde tendrement, elle se lève et me dit en se déshabillant complètement : — À ton tour, mais moi je veux quelque chose de plus spécial.— ???? Devant mon air étonné, elle ouvre sa commode et en tire un gode-ceinture de plus de 20 cm !— Il va falloir que tu me baises avec LUI !Et elle me harnache avec l’engin ! Drôle d’impression que de se retrouver avec un sexe droit comme un i devant moi, je le caresse, humm, bon fantasme pour moi dont on dit que je suis un garçon manqué.Nadine, déjà bien chaude, se positionne à genoux sur le lit et me tend sa croupe si accueillante, je vois sa figue ruisselante et au-dessus, son petit trou qui s’entrouvre de plaisir. Je caresse son minou qui à chaque mouvement de Nadine ouvre ses portes, attendant fébrilement la pénétration. — OUI, ma chérie, va, enfonce-toi… ! Nadine n’en peut plus, alors doucement j’approche le bout du gode au bord de son sexe et je commence à l’introduire. Elle gémit, alors je débute un va-et-vient de plus en plus profond, de plus en plus rapide.Les cris de Nadine vont aussi crescendo, je sens qu’elle aime ça et que ce n’est certes pas la première fois (la mamie de l’aquagym ?). Elle se tire sur les seins en hurlant :— Plus fort, plus fort !Je sens que sa jouissance arrive, je suis moi-même de plus en plus excitée alors je sors d’un coup le gode et l’enfonce brutalement dans son cul jusqu’à la garde…— AHHH, oui, oui, ma chérie, j’aime, j’aime, j’aime ! hurle-t-elle, confirmant que ce n’est pas son coup d’essai, et elle s’écroule sur le lit.Je suis moi-même si excitée que, décalant le sex-toy, je me masturbe comme une folle devant elle et qu’un jet puissant de mon jus vient conclure cette première fois avec une femme.Après avoir récupéré et avant d’autres jeux entre femmes, je lui parle d’une autre invitation à dîner à la maison puisque la première fois elle n’a pas pu être disponible. Elle accepte en me laissant entendre que son mari a beaucoup apprécié nos petits jeux de la dernière fois !Et elle me dit d’un ton très malicieux : — Et si ces messieurs apprécient si fort de voir leurs épouses se donner du bon temps, ils doivent comprendre que l’inverse est vrai et que ces dames apprécieront également de voir leurs époux se donner aussi des bons moments…Mais ceci est une autre histoire pour un prochain récit, si vous le voulez bien.