Le grand jour est arrivé pour Caroline. Si ses premiers jours à Paris ont été fertiles en aventures, c’est aujourd’hui qu’elle va enfin découvrir Versailles. Elle s’est réveillée tôt, et est déjà à sa toilette quand Élodie frappe à sa porte. La jeune soubrette contemple sa maîtresse assise à sa table en déshabillé. Elle lui propose de la coiffer, ce que Caroline accepte sans hésiter : elle adore se laisser coiffer. Sa servante s’acquitte de cette tâche avec plus d’application que nécessaire. Envahie de frissons, Caroline ferme les yeux de contentement. Elle continue à se laisser faire, les yeux clos, lorsque Élodie lui dénude les épaules et commence à les lui masser. Le déshabillé glisse, dévoilant son torse. Elle attend déjà de sentir les mains de sa soubrette lui empaumer les seins, lorsqu’on frappe à la porte. À regret, Caroline se rhabille, pendant qu’Élodie va ouvrir.C’est la mère de Caroline. Elle est déjà coiffée et maquillée, et vient chercher Élodie pour l’aider à passer sa robe. Derrière elle se tient une très jeune fille, que Caroline n’a pas encore rencontrée. Sa mère lui présente Blanche, qui se tiendra à sa disposition pour l’aider à se préparer. Caroline est bien un peu dépitée qu’Élodie doive accompagner sa mère, mais moins qu’Élodie elle-même, qui semble furieuse de se voir empêchée de rester près de sa jeune maîtresse, et surtout de voir une autre domestique s’occuper d’elle.La jeune Blanche est très timide et un peu gauche. Caroline s’amuse de la voir rougir lorsqu’elle se lève et que le déshabillé entrouvert laisse apparaître son corps nu. La jeune fille semble subjuguée par son opulente poitrine. Caroline se dévêt totalement, et l’embarras de la jeune fille s’accroît encore. Son regard se fixe sur la touffe blonde. Elle semble fascinée.— Allons, ma petite, ne reste pas là pétrifiée. Tu n’as jamais vu une autre femme nue ?— Euh. Non Madame… Mademoiselle… je veux dire… Vous êtes si belle !— Allons, n’aie pas peur, approche. Depuis quand sers-tu dans cette maison ?— Je viens de rentrer au service de Madame votre mère au début de la semaine.— Ah bon, c’est tout frais alors. Je comprends… Bon, tu vas m’aider à enfiler ma nouvelle robe.La jeune Blanche s’approche, gênée par la nudité de sa maîtresse, qui ne fait rien pour la mettre à l’aise. Au contraire, Caroline prend plaisir à retarder le moment d’enfiler sa robe. Elle lui demande d’abord de lui apporter et de l’aider à enfiler ses bas, ses escarpins, ses bijoux. Obligée de la toucher, la jeune fille semble prête à défaillir. Mais elle ne peut détacher son regard du corps nu qui s’offre à elle : ces seins opulents, ces cuisses galbées, ces membres fins, ce pubis bombé, cette fente un peu entrouverte.Caroline se promet de prendre un peu de bon temps avec Blanche une prochaine fois. Mais elle ne veut pas se mettre en retard, et finit par lui demander de lui passer et de lui nouer sa robe. À peine a-t-elle terminé ses préparatifs que sa mère revient la chercher pour partir. En quittant la pièce, elle se retourne et sourit à la jeune fille encore tout émue. Elle croise aussi le regard enflammé d’Élodie, qu’un sentiment intense de jalousie semble avoir envahie.Mère et fille rejoignent l’écurie et montent dans le carrosse d’apparat, suivies par la fidèle Élodie. Quitter Paris n’est pas facile, tant les rues sont encombrées. Sa mère met à profit ce temps pour donner à Élodie maints conseils pour sa première apparition à Versailles. Il s’agit aujourd’hui d’une simple visite. Pas d’une cérémonie officielle. Mais elles rencontreront certainement beaucoup de courtisans, et, qui sait, le Roi ou la Reine au détour d’un couloir. Il faut donc qu’elle sache comment saluer, comment sourire, comment se tenir, ce qu’il faut dire et ce qu’il faut taire…Sitôt quittée l’enceinte de la ville, le cocher peut laisser la bride sur le cou de ses chevaux. Les jeunes femmes s’en trouvent fort secouées, tant la route est mauvaise. Au bout d’un moment qui leur paraît fort long, le cocher ralentit l’attelage. Ils passent la grille d’entrée dans le parc de Versailles. Caroline écarte le rideau pour mieux voir. Le Parc n’est pas encore complètement achevé, on voit encore des ouvriers construire des fontaines, terrasser, ratisser, planter… Mais ce qu’elle découvre suffit à l’émerveiller. Le carrosse s’immobilise bientôt sur le gravier.Les jeunes femmes descendent. Caroline suit sa mère, qui incline gracieusement la tête à gauche, à droite, pour saluer des connaissances qui discutent devant l’entrée. Caroline tente de l’imiter en tout point, ce qui n’est pas aisé au départ. Heureusement, sa mère lui glisse ses conseils à l’oreille, et bientôt elle prend plus d’assurance. Élodie, qui n’est que soubrette, reste près du carrosse pour laisser ses maîtresses prendre distance.Elles pénètrent dans le bâtiment. Caroline est éblouie par la richesse de l’architecture, par l’éclat des habits, par l’élégance des manières. Elles entrent dans une immense galerie richement décorée. Un des murs est percé de grandes baies vitrées, et l’autre de grandes glaces. Une assemblée éparse flâne dans cette galerie, de petits groupes devisent ça et là. Caroline suit toujours sa mère. Elles s’arrêtent près de l’un ou de l’autre pour échanger quelques mots courtois. Caroline essaie de faire bonne figure, et de ne pas commettre d’impairs. Les courtisans sont tous élégants, raffinés. Leur langage est précieux : les mots et les expressions qu’ils utilisent, leur manière de parler sont très différents de ce que Caroline connaît. Les femmes sont souvent superbes : elles portent des robes splendides, parfois richement brodées, des bijoux étincelants, certaines portent des perruques impressionnantes décorées de perles, ou de soieries. Le décor lui-même est clinquant. Tout cela croule sous les ors et les soies.Que cela est empesé, que cela est emprunté, se dit-elle. Une heure a passé, au cours de laquelle elle a écouté sa mère parler de choses sans grand intérêt avec un tas d’autres courtisans. Elle commence à s’ennuyer de ces banalités. Est-ce là l’esprit de la cour ? Heureusement, la vision de toutes ces tenues, de toutes ces coiffures, de tous ces bijoux l’occupe un long moment. Elle ne peut s’empêcher de se comparer à quelques autres jeunes femmes qui sont là. Elle n’a peut-être pas la robe la plus riche, la plus précieuse, mais elle se dit que sa robe rouge met bien en valeur sa silhouette, et qu’elle est sans doute la plus séduisante des jeunes filles qui sont là, hormis peut-être une jeune femme aux cheveux rouges spectaculaires. Elle se demande un instant qui peut être cette rousse : une noble, une courtisane, une favorite du roi, ou de la reine ? À voir son port altier, son regard fier, sa moue un peu dédaigneuse, elle fait sans doute partie des femmes qui comptent. Si elle pense à une courtisane ou une favorite, c’est que sa robe de tissu précieux est bien trop sensuelle pour une épouse de bonne famille : le décolleté généreux découvre ses seins laiteux et ses épaules souples, la fente de ses jupes laisse apercevoir une jambe fine ornée de bas précieux, et la courbure de ses mollets nerveux est accentuée par la hauteur de ses escarpins.Soudain, sa mère la ramène vers la sortie. Elle lui demande de l’attendre un moment sur le perron. Elle doit voir quelqu’un en tête-à-tête, et viendra la chercher dès que son entretien sera terminé. Sitôt seule, Caroline voit Élodie s’approcher d’elle. Elle est bien heureuse de la retrouver pour lui confier ses impressions. Lorsqu’elle lui avoue s’être ennuyée, Élodie la prend par le bras et, chuchotant à son oreille, lui propose de la suivre.Caroline suit sa soubrette. Elles contournent le bâtiment. Élodie ouvre une petite porte. Elles pénètrent dans un petit couloir sombre. Élodie lui explique qu’il s’agit d’un couloir qui sert aux domestiques à se déplacer à travers le palais sans importuner les nobles. Elles marchent vite, montent plusieurs escaliers. Caroline ne sait plus où elle est, quand Élodie s’arrête devant une petite porte. Elle fait signe à sa maîtresse d’approcher, et lui fait coller l’oreille contre la porte. Caroline entend des voix d’hommes, puis soudain un petit cri de femme, suivi de gémissements. Elle essaie de comprendre le dialogue, et ne parvient qu’à en saisir quelques bribes : « À votre tour… Elle est bien accueillante… comme dans du beurre… À fond… suce… » Aucun doute quant à la nature du dialogue : un groupe d’au moins trois personnes est en train de prendre son plaisir dans cette pièce. Et la voix de la femme lui rappelle quelqu’un, sans qu’elle puisse identifier exactement de qui il s’agit. Élodie lui fait signe de garder le silence, et l’attire sur le côté. Un couloir obscur s’ouvre là. Au fond, un pinceau de lumière traverse un œilleton qui permet d’observer ce qui se passe dans la pièce sans être vu…Caroline est avide de découvrir la scène, mais Élodie l’a devancée, et a déjà l’œil rivé à l’œilleton. À voir l’expression de son visage, la scène doit être bien particulière. Caroline se presse contre sa soubrette, qui n’a d’autre choix que de s’écarter pour la laisser regarder.Elle voit d’abord une femme complètement nue, à quatre pattes sur un divan. Elle porte un loup pour dissimuler ses traits. Elle a juste gardé ses bas. Elle a un corps superbe, une taille fine, une jolie croupe, de gros seins lourds qui pendent entre ses bras. Un homme est assis dans le divan. Vêtu richement, il a seulement sorti son braquemart de ses chausses. La femme s’en est emparé, et le caresse pour le faire bander. Debout derrière elle, un cardinal revêtu de sa robe et de son calot, lui caresse la croupe et lui enfonce deux doigts dans le sexe. La femme semble frétiller de la croupe. Le cardinal ressort ses doigts, les lèche, puis les fait lécher à la femme.Élodie chuchote à sa maîtresse :— Je ne suis pas sûre de savoir qui est la femme masquée, mais le cardinal derrière elle, c’est le cardinal de Retz, dont vous avez déjà entendu parler. Et l’autre, eh bien c’est rien moins que le Roi lui-même. Nous sommes arrivées au bon moment. Vous n’allez pas vous ennuyer, croyez-moi !— Le cardinal de Retz, n’est-ce pas celui dont Mdame de Marans disait qu’il avait un sexe énorme ?— Si fait, c’est lui. D’ailleurs, je parie qu’il ne tardera pas à l’exhiber.— On m’avait dit que le Roi aimait les femmes et ne se privait pas pour utiliser celles des autres, quitte à la récompenser de quelque menu avantage. Mais je ne le savais pas adepte de ce genre de triplette.— Si vous saviez ! L’envers de la Cour n’est que stupre et décadence. Même la Reine, que l’on dit prude, et qui est la seule femme que le Roi ne met pas dans son lit, multiplie les aventures secrètes. On la dit même portée sur les femmes…Sur le divan, la courtisane roule des hanches pour aguicher ses deux compagnons. Elle se penche vers le sexe du Roi. Elle en titille le gland du bout de sa langue.— Elle mouille d’abondance, la coquine ! Si vous voyiez comme elle dégouline ! Une vraie fontaine ! dit le Cardinal.— Sans doute appréhende-t-elle le moment où elle sentira votre vit dans ses tréfonds !— Ou bien salive-t-elle déjà de goûter votre royale semence ?Sur ces mots, le Cardinal relève sa robe. Il est nu sur sa soutane. Son sexe, d’une taille impressionnante, est dressé. Il coince sa soutane sous son menton, et prend son sexe dans sa main. Il commence à en caresser le bout sur la croupe qui ondule sous ses yeux. Agacée, la femme darde son cul, comme si elle voulait l’inviter à la pénétrer. Il pose son gros gland à l’entrée de son vagin. La femme abandonne sa fellation. Elle donne un grand coup de reins en arrière pour s’empaler sur le pénis épais. Puis elle reprend le sexe du Roi. Elle l’enfonce entre ses lèvres pour commencer à le sucer. Le Cardinal pousse son sexe, mais ne peut s’enfoncer jusqu’au bout, tant il l’a long. Soudain, les deux jeunes filles entendent une voix féminine. Elle provient d’un coin invisible de la pièce.— Allez-y, défoncez-la, elle adore se faire baiser en levrette par votre grosse bite !— Et vous, ma chère, vous adorez la voir se faire prendre, n’est-ce pas ? À vous voir vous doigter aussi vigoureusement, on dirait en tout cas que le spectacle vous excite !— Qui résisterait à l’envie de partager votre plaisir ? Est-ce qu’elle est bien ouverte ?— Comme dans du beurre, vous ai-je dit. Je rentre comme dans du beurre, tant elle est excitée. Et admirez son ardeur à sucer notre Roi !Effectivement, la femme a commencé à sucer avidement le pénis qu’elle a en bouche. Elle l’enfonce loin dans sa gorge, tout en caressant les testicules. Le Cardinal commence à la labourer, doucement au départ, puis avec davantage d’énergie, mais en gardant un rythme constant. Sous ses coups de boutoir, les seins opulents commencent à balancer en cadence, de plus en plus fort. Le spectacle de ces nichons tressautant excite tellement Caroline, qu’elle commence inconsciemment à serrer de plus en plus fermement le bras de sa compagne. Elle est fascinée aussi par le pénis épais et luisant qui entre et qui sort, dilatant le sexe de l’inconnue.La femme commence à avoir de la peine à garder en bouche le sexe du roi. Il la tire par les cheveux pour lui relever la tête.— Mon cher Cardinal, vous la limez avec tant d’ardeur qu’elle ne peut plus me sucer correctement. Pensez-vous vous calmer, ou bien dois-je demander à notre comparse de prendre le relais ?— Notre nouvelle compagne semble prendre tant de plaisir à se faire défoncer par le vit de notre cher cardinal, qu’il serait dommage d’interrompre ce spectacle. Je suppose que le Cardinal ne me contredira pas.— Certes non, elle a une moule de Dieu, bien grasse et bien serrée, qui ne demande qu’à se faire écarteler. Je prends trop de plaisir à lui baiser sa chatte.— Si Votre Altesse le permet, je prendrais donc volontiers sa place. À moins que Votre Altesse n’apprécie plus mes coups de langue.— Si fait ma chère approchez, et venez donc me sucer. Et vous Cardinal, continuez à sauter votre nouvelle conquête, j’adore la vision de ses gros seins secoués par vos coups de boutoir.Quelle n’est pas la surprise de Caroline de découvrir que la seconde femme qui se trouvait dans la pièce est une nonne. Elle n’a gardé que son étole et son voile, et un chapelet qui lui ceint la taille. Caroline ne peut voir que son dos large, sa taille très fine, ses fesses rebondies et ses longues jambes. Elle s’accroupit aux pieds du Roi. Sa croupe est très excitante. D’où elle regarde, Caroline peut apercevoir entre ses fesses son sexe gonflé aux lèvres protubérantes, qu’elle trifouille d’une main agile. De l’autre, elle branle le pénis royal. Chaque fois qu’elle penche la tête, Caroline devine qu’elle l’embouche et le suce. Toujours agitée par les pénétrations du Cardinal, l’autre femme tend la main pour la toucher et lui caresser la cuisse, la hanche, l’épaule. Puis on devine qu’elle lui empaume un sein, et commence à le caresser.Caroline, très excitée, est un peu énervée de ne pouvoir apercevoir qu’un côté de la scène à travers l’orifice. Elle voudrait découvrir le visage de la nonne. Elle voudrait voir sa bouche s’enfoncer sur le sexe dressé. Élodie est encore plus frustrée. Sa maîtresse monopolise l’œilleton ; elle se doute, à voir et à sentir son excitation grandissante, que la scène doit être particulièrement chaude. Heureusement, voir Caroline commencer à respirer plus bruyamment, la voir commencer à onduler doucement de la croupe, sentir sa main qui serre son bras, qui caresse sa main, cherche ses doigts et s’y mêle lui laisse entrevoir une suite délicieuse. Elle s’accroupit derrière sa maîtresse, et relève ses jupons sur sa taille. Aussitôt, Caroline maintient ses jupons d’une main, écarte les jambes et cambre les reins. Élodie retrouve avec bonheur le parfum et le goût de son sexe, la fermeté souple de ses fesses sous ses mains, la moiteur de l’entrejambe.Caroline n’a pas cessé un instant d’observer la scène à travers l’œilleton. Lorsque le Cardinal arrête ses pénétrations, retire son membre et invite la femme masquée à se coucher sur le dos, Caroline est subjuguée. Elle a le pubis épilé, les lèvres gonflées, la fente déjà dilatée par le coït. Ce sexe ne lui est pas inconnu ! Le Cardinal la saisit sous les genoux, et lui enfonce à nouveau son sexe. Ses mouvements de pénétrations sont lents, puissants, énergiques : les gros seins de la femme recommencent à osciller. Elle gémit à présent, et agite la tête. Le masque glisse, confirmant les soupçons de Caroline : il s’agit bien de Madame de Marans ! La nonne, abandonnant un instant sa fellation, lui ôte tout à fait le masque, et se penche pour lui baiser les lèvres. Les deux femmes se font des langues, de manière extrêmement vicieuse. En se penchant sur le côté, la nonne offre à Caroline la vision d’un sein : lourd, un peu pendant, son gros bout gonflé semble appeler les suçons. Madame de Marans s’en saisit, le masse, l’attire vers ses lèvres, le titille de sa langue avant de commencer à le téter. Oubliant le roi, la nonne plaque ses mains sur les globes frémissants de sa partenaire, et commence à en pincer les bouts. Le Roi se lève, place la nonne en position de levrette, et la pénètre sans ménagement. Les deux femmes gémissent de concert.Élodie a commencé à lécher la fente de sa maîtresse, dardant sa langue depuis le bouton jusqu’à la rosette, se délectant du goût salé de sa mouille. Caroline se penche vers elle :— Oui, c’est bon, suce-moi comme ça ! Et mets-moi deux doigts ; j’ai envie de me faire pénétrer.Élodie lui obéit, et lui enfonce d’abord un doigt, qui entre sans peine. Le deuxième, le troisième le suivent presque naturellement. Le quatrième trouve sa place en insistant un peu, mais le vagin se distend largement pour l’accueillir. Élodie commence à remuer ses doigts, et observe avec fascination sa main entrer et sortir du sexe béant de sa maîtresse.Dans l’alcôve, le Cardinal propose un changement de position :— Madame, vous êtes sublime. J’apprécie beaucoup de voir vos gros seins s’agiter au rythme de mes coups de boutoir. Ne trouvez-vous pas le spectacle fascinant, Sire ?— Tout à fait excitant en effet. Et Sœur Amélie semble aussi être bien excitée par cette vision.— Je ne sais ce qui m’excite le plus, Sire : votre bite qui me pénètre, ses seins qui s’agitent, ou sa bouche qui me tète.— En tout cas, elle a le sexe bien accueillant, quoique serré. Voudrez-vous en tâter, Sire ? Vous pourriez prendre ma place, pendant que je m’occuperais de sœur Amélie.— J’ai une autre idée, Monsieur. Je suis sûr que sœur Amélie a déjà goûté à votre membre ce matin après la messe. Non ? Bien sûr, j’ai raison. Elle est trop perverse pour y résister lorsque vous la rejoignez dans la sacristie.— Que proposez-vous donc, alors ?Sans répondre, le roi se retire du sexe de la nonne, passe derrière le Cardinal et s’accroupit. Il tend la main entre ses jambes. Madame de Marans pousse un petit cri, suivi d’un grognement de satisfaction.— J’en étais sûr. Elle a tant mouillé qu’elle est trempée entre les fesses, et son petit trou humide ne demande qu’à être pénétré. J’y enfonce sans peine mon pouce, mais il veut bien plus. Allongez-vous sur le divan, Cardinal… Et vous Madame, enjambez-le. Empalez-vous. Oui bien sûr, vous avez compris. Il suffit de vous voir onduler du cul et écarter vos fesses. Regardez, Sœur Amélie, comme notre nouvelle amie attend cela.Madame de Marans, enfoncée sur le pieu du Cardinal, les deux mains plaquées sur sa croupe, écarte elle-même ses fesses pour révéler son anus fripé. Le roi s’approche, pose son gland sur la raie, la laisse un instant se tortiller. Il pose le gland sur l’œilleton, l’enfonce petit à petit. Il n’a aucune peine à lui enfoncer son sexe entièrement.— Voilà, j’y suis. À fond.— Oh je vous sens bien, un devant, l’autre derrière. Oui, c’est bon. Défoncez-moi, prenez-moi, je vous en supplie, c’est trop bon. Je me sens pute, faites de moi votre pouliche, montez-moi avec fougue— Et moi, qui me fera jouir ? supplie la nonne.— Eh bien, continuez à vous faire sucer le bout des seins. Nous savons bien que vous les avez si sensibles que vous jouirez rapidement de vous les faire téter.Le roi commence à agiter son bassin, imité aussitôt par le Cardinal. Comblée des deux côtés par ces queues qui la pénètrent, Madame de Marans gémit de plus en plus fort son plaisir. Cela ne fait qu’exciter davantage les deux hommes, qui ahanent en la pénétrant de plus belle. La nonne, tout en se doigtant frénétiquement, agite ses seins au-dessus du visage de Madame de Marans, et lui fait téter les bouts l’un après l’autre. Caroline a sorti son sein gauche de son corsage, et le masse vigoureusement. La vue de cette femme au corps sublime qui se tord de plaisir sous les coups de boutoir conjugués de ses deux amants l’excite au plus haut point. Elle regarde avec fascination ces deux sexes arrogants qui la prennent en étau et la pénètrent avec fougue. Sous elle, Élodie continue à lui enfoncer quatre doigts dans le vagin, et lui taquine la rosette du bout de sa langue frétillante et agile.Dans la pièce, le quatuor de gémissements prend encore de l’ampleur. Madame de Marans halète, elle psalmodie des mots obscènes. Les deux hommes grognent. La nonne pousse de petits cris de plaisir chaque fois que sa partenaire lui suce ou lui mordille les tétons. Caroline sent elle-même son plaisir monter. Elle peine à garder son œil en face de l’orifice. Alors qu’elle ne peut plus retenir son plaisir, elle voit les deux hommes retirer leur sexe. Ils se placent de chaque côté de Madame de Marans. La religieuse se saisit de leurs queues dressées et palpitantes : celle du Cardinal énorme, constellée de grosses veines, et celle du roi, longue et dure. Elle les branle frénétiquement. Le cardinal jouit le premier. Son sperme épais jaillit violemment, constellant les nichons de Madame de Marans de gouttes blanches poisseuses. Le roi jouit à son tour, répandant de larges flaques de semence. Sœur Amélie les branle jusqu’à la dernière goutte. Puis les suce l’un après l’autre, tandis que Madame de Marans étend avec délectation le sperme sur ses nichons.À la vue du sperme répandu, Caroline ne se retient plus et jouit sous les doigts de sa servante. Élodie reste un moment sans bouger, jusqu’à ce que les palpitations de plaisir s’estompent. Elle rabat les jupons de sa maîtresse, se relève, et lui tend les lèvres pour qu’elle vienne y trouver le goût de son plaisir. Puis elle l’entraîne sur le chemin du retour.Les deux jeunes filles retrouvent la mère de Caroline dans le vestibule. Elle s’inquiète de savoir où elles étaient passées. Élodie a une réponse anodine, pour ne pas éveiller de soupçons. Les trois femmes rejoignent leur calèche, et quittent l’enceinte du château.