Quentin & Moi
Comment d’une simple relation de travail, nous tombons dans la passion et le show interactif Ă trois.
Proposée le 26/11/2017 par Camelia Xiocaled Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Je me suis toujours demandĂ© ce qui avait changĂ© ce jour-lĂ . Alors que rien ne pouvait laisser prĂ©sager qu’il pourrait y avoir quelque chose entre nous, que rien n’avait laissĂ© augurer un quelconque intĂ©rĂŞt ni de l’un ni de l’autre. Et pourtant ce jour-lĂ , tout s’est accĂ©lĂ©rĂ©. RĂ©trospectivement, c’est ce jour-lĂ que ma vie a changĂ©, et je ne m’y attendais vraiment pas!On est toutes pareilles, mĂŞme celles qui s’en dĂ©fendent : ce n’est pas parce qu’on mange bien Ă la maison qu’on ne regarde pas le menu des restaurants. Autrement dit : ce n’est pas parce qu’on a un homme dans sa vie, un de ceux qui font que l’on montre les dents si la moindre donzelle portant jupette – ou pas – s’en approche a moins de cinquante mètres ; que l’on ne regarde pas de temps en temps la « marchandise » encore sur le marchĂ©… Je vous choque ? Bah, après tout, les hommes ne s’en privent pas. J’adore mon homme, mais je rĂ©siste difficilement pour ce qui est de regarder en catimini une jolie paire de fesses moulĂ©e dans un jean. Et si en plus, le propriĂ©taire de ce joli fessier possède une vraie personnalitĂ©, de l’esprit, de l’humour, c’est encore mieux, et la tentation n’en devient que plus grande. Avec mon homme, nous sommes d’accord sur beaucoup de choses, Ă commencer par le fait qu’il est hypocrite de ne prĂ©tendre de regarder qu’une seule personne toute sa vie : si l’on s’aime sans rĂ©serve, nous ne sommes pas contre ajouter un tiers de temps a autre afin de pimenter nos Ă©bats.
Bref. Cette fois, j’avoue, si j’ai bien matĂ© un peu d’illustres inconnus que je n’ai jamais revus, c’est diffĂ©rent. Quand on Ă©volue dans un milieu d’hommes, forcĂ©ment, on en cĂ´toie beaucoup. Quand la majoritĂ© des hommes en question sont des sportifs de haut niveau, entraĂ®nĂ©s, musclĂ©s a souhait, cela devient fort allĂ©chant et donc assez difficile de rĂ©sister Ă tester pour voir si on arrive encore a user de son charme. Pourtant, jusqu’Ă aujourd’hui, si j’ai profitĂ© du spectacle de ces petits moments oĂą les pilotes moto mettent ou mieux, lorsqu’ils enlèvent leurs combinaisons, leurs muscles bandĂ©s luisants de transpiration palpitant sous l’effort qu’ils ont fourni sur la piste, les veines saillantes, l’excitation et l’adrĂ©naline brillant dans leurs yeux ; je n’ai jamais Ă©tĂ© tentĂ©e. Surtout qu’un pilote, après tout, j’en ai un Ă la maison.MĂŞme avec mes collègues, plutĂ´t beaux garçons, pilotes, moniteurs ou secouristes. Il y a pourtant de quoi avoir la tĂŞte qui tourne. Surtout que quand vous ĂŞtes la seule femme dans tout ce tintouin, que vous ne rechignez jamais – loin s’en faut – Ă profiter de la petite poussĂ©e d’adrĂ©naline qui consiste Ă faire un tour de piste tambour battant sur une moto de course de 190cv a plus de 280 kms/h. Et comme beaucoup d’hommes, ils aiment bien en mettre plein la vue et rivalisent de prouesses au volant de leur voiture et au guidon de leur moto – Ă celui qui passera le plus vite et se shootera le plus fort Ă l’adrĂ©naline! Bien sĂ»r, tout cela procure une proximitĂ© des corps assez… enivrante ! Faire corps avec la machine et son pilote, admirer sa dextĂ©ritĂ© et son talent, rĂŞver Ă la force brute de l’homme capable d’une telle maĂ®trise d’une machine pareille…
Je m’Ă©gare. Ce jour-lĂ , c’Ă©tait un lundi. Un lundi, jour des motards, puisque c’est le jour ou la piste leur est accessible Ă volontĂ©. LĂ encore, lorsque vous avez un dĂ©filĂ© incessant de jeunes hommes musclĂ©s, dĂ©bordants d’enthousiasme et un peu givrĂ©s ; et qui tous autant qu’ils sont, dĂ©bordent de charme et tentent le plan sĂ©duction histoire de voir s’ils ne peuvent pas avoir la petite session en plus, il y a de quoi avoir la tĂŞte qui tourne. Ce jour-lĂ , je suis arrivĂ©e en retard, prise dans un accident de la route. Hasard, coĂŻncidence ? L’un de nos chefs de piste, Quentin, avait donc pris le relais Ă ma place.Quentin, ancien pompier, trente-six ans, divorcĂ©. Brun, athlĂ©tique, environ un mètre quatre-vingt, les yeux pĂ©tillants d’humour et la plaisanterie toujours sur la langue. Triathlète, passionnĂ© de sport automobile, toujours de bonne humeur, toujours prĂ©sent en cas de besoin, le genre d’homme dont on imagine volontiers qu’ils sont solides dans l’adversitĂ©. S’il n’a pas la gueule de jeune premier qu’ont certains de mes collègues, il a par contre, beaucoup de charisme, et sous des dehors très macho, cache une grande sensibilitĂ© et beaucoup d’altruisme. Curieusement, jusqu’Ă ce lundi-lĂ , c’Ă©tait celui de mes collègues que je connaissais le moins bien, et aucun courant n’Ă©tait jamais passĂ© entre nous. Je crois qu’en fait, il m’intimidait un peu.Pourquoi tout a changĂ© ce jour-lĂ ? Est-ce l’inquiĂ©tude dans son regard, lorsque je suis arrivĂ©e avec 45 minutes de retard ? Les frĂ´lements de nos bras une grande partie de la journĂ©e, Ă travailler cĂ´te Ă cĂ´te dans le mĂŞme bureau ? Les plaisanteries un tantinet graveleuses, qui ont fait monter la tempĂ©rature ? Les quelques mots sibyllins qui m’ont fait prendre conscience qu’il en savait – qu’il en avait devinĂ© – sur moi bien plus que je pensais ? Sa rĂ©action, lorsqu’un client m’a ouvertement draguĂ©e ? Jamais je n’avais pensĂ© Ă lui de cette manière. Et c’est peut ĂŞtre celui de mes collègues sur lequel je fantasmais le moins. Tout du moins, jusqu’Ă aujourd’hui.Aujourd’hui, je me languis de sa prĂ©sence dans les bureaux, et rien Ă faire, pas moyen de me le sortir de la tĂŞte. Tout est excuse Ă aller dans son bureau, Ă plaisanter, Ă s’effleurer. La photocopieuse ne fonctionne plus ? Je vole Ă son secours, et dans la pĂ©nombre de ce bureau sans fenĂŞtres, Ă©clairĂ© uniquement par les autres bureaux aux portes ouvertes, nos mains se frĂ´lent au-dessus des touches, nous chahutons en douceur. Il appuie Ă droite, promptement, je valide Ă gauche, son poignet effleure mon avant-bras ; il attrape la ramette de papier, son autre bras frĂ´le mon Ă©paule dĂ©nudĂ©e Ă cause de la chaleur ; il cherche son original, ses yeux accrochent ma poitrine, son regard me brĂ»le, et c’est une autre partie de mon anatomie qui s’Ă©chauffe. Je sens sa proximitĂ©, l’air vibre d’Ă©lectricitĂ© contenue. Qui aurait cru que faire des photocopies ait pu ĂŞtre aussi Ă©rotique ?Je ne me suis jamais vue comme une dĂ©esse de la fĂ©minitĂ©. Je n’aime pas particulièrement la mode et le maquillage, je perfere les tennis plates au escarpins et les jeans. Je ne suis pas prude mĂŞme si je suis plutĂ´t pudique, je n’aime pas montrer ma peau et je ne comprends pas le succès que je remporte auprès des clients. La confiance en moi n’est pas mon fort… Curieusement, c’est depuis ce lundi-lĂ que j’ai commencĂ© Ă aller doucement vers plus de fĂ©minitĂ©. Est-ce le commentaire laconique de Quentin, lâchĂ© alors que je lui expliquais pourquoi c’Ă©tait si compliquĂ© dans ma tĂŞte : « Tu as tort de te dĂ©valoriser », ajoutĂ©, ce mĂŞme jour, a ces quelques mots que mon cher et tendre ne prononçait pas souvent « Tu es très belle, et tu le serais encore davantage si tu assumais d’ĂŞtre une femme, avec ses dfauts et ses qualitĂ©s. Tu crois que je n’ai jaais vu combien tu affoles les hommes? Il n’y a que toi qui ne t’en rend pas compte! ». Mes cheveux, très longs et brillants, font beaucoup fantasmer les hommes. HabituĂ©e depuis longtemps au milieu des sports mĂ©caniques dans lequel j’ai toujours baignĂ©, je suis tout sauf effacĂ©e et je rentre bien volontiers dans les jeux de mots et plaisanteries grivoises qui Ă©maillent les journĂ©es. Je ne suis d’ailleurs pas la dernière Ă lancer le jeu ! Mais entre jouer avec eux, plaisanter et aller au-delĂ du virtuel, il y a un très grand pas que je n’ai jamais eu l’intention de franchir. C’est d’une histoire de cheveux que le feu a pris. C’est deux jours après ce fameux lundi, nous sommes mercredi matin, voilĂ 48h que Quentin et moi nous cherchons. Lorsqu’il arrive ce matin-lĂ , je suis au tĂ©lĂ©phone. D’habitude, entre collègues, nous nous faisons la bise et chacun vaque Ă ses occupations, si quelqu’un est occupĂ©, nous nous saluons plus tard dans la journĂ©e. Pourtant ce jour-lĂ , alors que je parle dans mon casque sans fil avec un client au tĂ©lĂ©phone, il s’approche doucement, se penche, Ă©carte dĂ©licatement mes cheveux dĂ©tachĂ©s, et dĂ©pose un lent baiser sur ma joue. D’instinct, je tourne lĂ©gèrement la tĂŞte et souris. Ses yeux couleur d’automne sont Ă quelques centimètres de mon visage, je chavire, mon cĹ“ur se met Ă battre la chamade. Il battra de manière dĂ©sordonnĂ©e toute la journĂ©e… LĂ encore qui aurait pu penser qu’un chaste baiser sur la joue puisse ĂŞtre aussi chaud ? A moins que ce ne soit l’effleurement de ses doigts sur mon cou, la douceur de son geste, la suggestivitĂ©, l’attente ? Le pire : je pense qu’il l’a fait devant tĂ©moins. Et vous savez quoi ? je ne me souviens pas. Un court instant, le monde a brĂ»lĂ© autour de nous.Nous Ă©tions passĂ©s en 48h d’une relation courtoise et polie Ă l’incandescence mĂŞme. Lorsque deux heures plus tard, je me rends dans la rĂ©serve afin d’y prendre un paquet d’enveloppes, il sort de son bureau au moment oĂą je sors de la rĂ©serve. Son regard s’embrase et il me suit des yeux, je sens son regard dans mon dos et il me brĂ»le ; je m’embrase. Surtout quand quelques minutes plus tard, Ă la recherche de scotch afin de terminer une expĂ©dition, il m’aide Ă fermer le carton, nos mains s’effleurent, nous sommes seuls dans le bureau, malgrĂ© la prĂ©sence toute proche de nos collègues dans les bureaux Ă proximitĂ©. A nouveau, sens en feu. Lorsque plus tard, je vais chercher mes impressions sur notre imprimante commune, nous nous croisons dans l’embrasure de la porte, je lui donne ses feuillets, ses doigts entrent en contact avec les miens, puis son pouce s’attardent sur la peau fine qui sĂ©pare le pouce de l’index dans une douce caresse. Je croise son regard. Si la combustion spontanĂ©e existait, je crois que j’aurais brĂ»lĂ© instantanĂ©ment.
La journĂ©e s’achève, nous nous saluons, une bise puis deux, la seconde dangereusement près de mes lèvres. Un clin d’Ĺ“il plus tard, il est parti. Je suis pantelante, chaude comme la braise, a bout de souffle. Seule ce soir-lĂ chez moi, ma moitiĂ© partie en compĂ©tition, je me suis caressĂ©e jusqu’Ă en avoir la tĂŞte qui tourne, usant de mes doigts sans lĂ©siner sur la partie la plus sensible de mon anatomie, caressant mes seins tendus aux pointes durcies par la frustration, la tĂŞte remplie d’images toutes plus Ă©rotiques les unes que les autres, imaginant son corps, mon corps et plus loin encore, fantasmant sur l’Ă©ventualitĂ© de rajouter un homme dans les jeux Ă©rotiques auxquels mon homme et moi-mĂŞme nous livrions rĂ©gulièrement. C’est en imaginant mon homme me faire l’amour sauvagement, ses mains m’arrimant solidement a lui, pendant que je jouirais des agaceries des mains de Quentin sur mes seins tout en taquinant son sexe, que j’ai jouis dans un orgasme sans retenue. Loin de m’apaiser, cependant, ce petit intermède solitaire n’a fait que m’exciter davantage, faisant voler en Ă©clat mon dĂ©sir de voir ce soudain Ă©chauffement s’Ă©touffer dans l’Ĺ“uf. Je suis perdue, je sais que je ne parviendrais pas Ă rĂ©sister Ă ses charmes.Le lendemain est un jour d’Ă©preuve officielle. Il est donc comme d’habitude surbookĂ©, je le croise assez peu, mais le peu que nous nous croisons dans les bureaux, nos regards se vrillent, ses yeux brillent, je passe ma langue sur mes lèvres dans une attitude suggestive. Je fantasme sur ses muscles saillants sous notre tenue obligatoire, il peine a dĂ©tacher ses yeux de ma poitrine serrĂ©e dans le polo moulant. C’est pendant le repas que le feu a pris pour de bon : nous dĂ©jeunons entre collègues du mĂŞme service, et curieusement, Ă table, nous nous retrouvons cote Ă cote. La conversation roule de sujets en sujets, nous nous connaissons tous bien et il n’y a pas d’efforts Ă faire pour que la plaisanterie et la conversation soit naturelle. Soudain, je sursaute. Sous la table, son genou a effleurĂ© le mien. Volontaire ? Sans le regarder, je dĂ©place lĂ©gèrement ma jambe pour aller l’appuyer en douceur sur la sienne. La rĂ©ponse est immĂ©diate, et sans avoir l’air de rien, nous frottons nos cuisses l’une contre l’autre. Ce n’est pas tant ce frottement qui est Ă©rotique en soi, mais la recherche de contact, le fantasme de nos peaux l’une contre l’autre, sans ces jeans, l’imaginaire qui s’empare de la sensation pour la substituer a une autre, beaucoup plus intime celle-ci. Puis aussi certainement le fait de savoir que nous sommes seuls Ă savoir ce qui se trame, sous la nappe. Je dĂ©chausse mon pied de sa ballerine, puis entreprend un lent massage de son mollet, de la cheville au creux du genou, dans une gymnastique habile afin de ne gĂ©nĂ©rer aucun mouvement de la nappe. Au petit regard qu’il me jette en coin lorsque personne ne nous regarde, je vois que je fais mouche, et cela m’excite encore plus. Comme si c’Ă©tait nĂ©cessaire !Quelques dizaines de minutes plus tard, alors que nous avons repris nos postes respectifs, un premier message arrive sur mon portable. – Ça va ?
– Très bien ! et toi ?
– Tu n’as pas trop chaud ?
– C’est limite!Â
– Tu as aimĂ© sous la table… ?
– Ça m’a surprise mais j’ai bien aimĂ© !
– Je suis sĂ»r que tu mouilles…Que rĂ©pondre à ça ? Que je n’en pouvais plus de fantasmer sur lui ? Que je mourrais d’envie de le retrouver quelque part, de faire l’amour, qu’il plonge sa langue entre mes cuisses, qu’il me lèche a m’en faire crier, qu’il Ă©teigne le feu qu’il a allumĂ© ?Les minutes passent. Nous Ă©changeons des messages a un rythme soutenu, j’en oublie mĂŞme mon travail, je suis suspendue a ses messages, j’attends avec impatience, je m’Ă©chauffe, je n’en peux plus. Je ne sais plus me concentrer, bref…. Soudain, l’Ă©cran clignote.- Si je te dis oĂą je suis, tu viens me rejoindre ?
– Quand ?
– Tout de suite…Oh la la, qu’est ce que j’ai encore fait ? Je doute mais l’envie est la plus forte, alors je rĂ©ponds….- Ok.
– 3e Ă©tage, a droite, fond du couloir. J’y suis dĂ©jĂ ….Mon cĹ“ur se met Ă battre de manière dĂ©sordonnĂ©e alors que l’ascenseur se hisse pĂ©niblement. C’est parti, je ne veux pas reculer, j’en ai bien trop envie. L’ascenseur s’arrĂŞte, s’ouvre. Je sors, suis la direction indiquĂ©e. Sur ma droite, une porte s’entre-ouvre doucement. Il est lĂ , un sourire sĂ»r de lui sur les lèvres. Le bureau aux vitres teintĂ©es et Ă l’Ă©paisse moquette est celui d’un cadre dirigeant, il est inoccupĂ© pour quelques mois encore. La porte se referme, nous nous retrouvons dans l’obscuritĂ©. Sans perdre un instant, ses lèvres se posent sur les miennes, ses mains empaument mes seins, c’est bestial, c’est brĂ»lant, c’est excitant Ă souhait. Il ne lui faudra que quelques dixièmes se secondes pour dĂ©faire ma ceinture puis faire sauter mon jean, lequel tombe sans bruit sur le sol ; puis pour m’Ă´ter mon polo. Je ne porte pas de soutien-gorge, et sa bouche fond immĂ©diatement sur ma poitrine tendue. Le premier contact de ses lèvres brĂ»lantes m’arrache un gĂ©missement. Ses dents entrent en contact avec mon mamelon gauche, il mordille en douceur, tout en faisant rouler le droit entre ses doigts. La sensation est divine, je manque d’air. Ses lèvres descendent le long de mes cotes, sa bouche caresse mon ventre, sa main suit le mĂŞme chemin, puis la prĂ©cède, effleure ma hanche, touche ma chair en fusion avant de revenir, effleurement subtil vers l’intĂ©rieur de ma cuisse. Nous n’avons pas Ă©tĂ© plus loin que le mur immĂ©diatement a cĂ´tĂ© de la porte, et impudique, j’Ă©carte largement les cuisses afin qu’il puisse glisser ses doigts entre mes lèvres. Deux doigts s’insinuent immĂ©diatement dans mon intimitĂ©, son pouce trouve immĂ©diatement le cĹ“ur de mon plaisir et un feulement de bonheur s’Ă©chappe de mes lèvres. Sa bouche remonte, caresse ma gorge offerte par ma tĂŞte basculĂ©e vers l’arrière. Alors qu’il retrouve l’usage de ses deux mains quelques secondes le temps de libĂ©rer son jean, j’en profite pour lui Ă´ter son polo et pĂ©trir a pleine main son corps affolant : des abdominaux en acier subtilement habillĂ©s d’un embonpoint très lĂ©ger, ses pectoraux bien dĂ©veloppĂ©s, des biceps moulĂ©s, et surtout ! une paire de fasses a faire se damner une none. J’explore de mes doigts, effleure, caresse, plante mes ongles dans son dos, galvanisant les mouvements de ses doigts entre mes lèvres. Je caresse sa peau lisse, son torse presque imberbe des lèvres, suçote ses mamelons, puis lassĂ©e de mes agaceries, des deux mains, je glisse le long de son ventre et saisit son vit turgescent a pleine main. Il est respectable dans la longueur mais surtout très large, j’en salive, j’aimerais le sucer et qu’il me prenne, mais nous n’avons pas le temps alors j’accĂ©lère mon mouvement de va-et-vient sur sa hampe, pĂ©trit ses bourses, et dans un râle libĂ©rateur, il jouit dans ma main. Le contact de son sperme chaud m’Ă©lectrise, la joie que j’ai Ă le faire jouir dĂ©clenche immĂ©diatement un orgasme en moi et Ă mon tour, je jouis dans sa main. Les canapĂ©s du bureau Ă©taient bien tentants, mais nous n’avons pas Ă©tĂ© jusque-lĂ …. Nous prenons le temps de souffler en nous embrassant langoureusement, je pense avec regret que j’aurais quand mĂŞme aimĂ© le goĂ»ter. Dommage. Ce fut intense mais trop rapide, j’aurais aimĂ© quelque chose de plus bestial.Très excitĂ©e en rentrant chez moi ce soir-lĂ , c’est une vĂ©ritable furie que mon compagnon a retrouvĂ© alors qu’il venait tout juste d’arriver pour une unique nuit sur place : A peine rentrĂ©e, nous avons Ă©chouĂ© dans notre grand lit et avons fait l’amour Ă plusieurs reprise, a grand renfort de mots Ă©vocateurs et de petites fessĂ©es. Tard dans la nuit, nous avons discutĂ© de ce que nous aimerions faire pour pimenter encore notre vie sexuelle dĂ©jĂ bien remplie, et Ă©tant sans tabous, j’ai pu lui raconter ma petite aventure de l’après-midi. D’abord abasourdi, ma moitiĂ© a fini par reconnaĂ®tre que c’Ă©tait très excitant. Avais-je l’intention de recommencer ? Sans aucun doute. Admettant bien volontiers que l’on puisse avoir envie, au cours de sa vie, de nouvelles expĂ©riences sans pour autant cesser d’aimer sa moitiĂ©, voire mĂŞme, que cela puisse renforcer les liens du couple, il m’a encouragĂ© Ă tester de nouvelles choses Ă la condition que je lui raconte ensuite, ce que je ferais, sans aucun doute. D’autant que cela Ă©gaillerait de manière intĂ©ressante notre jeu favori, une version soft de « la punition ».Â
Bref, c’est dans cet Ă©tat d’Ă©prit que je retournais travailler le lendemain. J’avais donc optĂ© pour une tenue beaucoup plus aguicheuse sans ĂŞtre vulgaire : un joli dĂ©bardeur en dentelle, un pull en maille transparente avec une large encolure dĂ©couvrant l’Ă©paule, une jupe au genou lĂ©gèrement transparente, un joli ensemble de lingerie, des bas et des talons.L’effet ne s’est pas fait attendre, son seul regard Ă mon arrivĂ©e m’a transpercĂ©e, je sais que je le perturbe en me dĂ©plaçant et je fais bien plus de dĂ©placements que nĂ©cessaire, fouille dans l’armoire situĂ©e derrière son bureau. Finalement il se dĂ©cide, puis Ă la faveur d’un instant de solitude dans les bureaux, glisse sa main sur ma cuisse, s’attardant un instant sur la lisière du bas, remonte sur ma fesse, cherchant le string. Son souffle s’accĂ©lère lĂ©gèrement quand il s’aperçoit que je suis quasi ment nue sous ma jupe. Un bruit nous surprend, il laisse retomber sa main et tourne sa chaise, mais j’ai pu remarquer la bosse qui dĂ©forme son pantalon de toile. Je sens que je mouille, et ce n’est rien de le dire !Une heure plus tard, tous les clients partis, il va pour ranger la caisse dans le coffre-fort. Pousse la porte de la rĂ©serve de l’Ă©paule, puis me regarde.- Tu ne veux pas venir m’aider Ă fermer le coffre ?Toute la matinĂ©e, j’ai espĂ©rĂ© qu’il me propose quelque chose. VoilĂ , ça y est. Le temps que je rentre dans la rĂ©serve, il a posĂ© la caisse dans le coffre. La porte du local se referme automatiquement, elle peut se rouvrir sur un collègue a tout instant, mais toute prudence envolĂ©e, il m’a dĂ©jĂ plaquĂ©e contre lui, ses lèvres dĂ©vorent les miennes, nos langues s’emmĂŞlent et nos souffles se mĂŞlent. Ses deux mains se faufilent sous mon pull, puis sous le dĂ©bardeur, se glissent dans les balconnets de mon soutien-gorge puis se plaquent sans mĂ©nagement sur mes seins. Du bout des doigts, il entreprend d’agacer mes mamelons durcis, il a glissĂ© une jambe entre mes cuisse et frotte sa cuisse sur mon entrejambe dĂ©jĂ très Ă©chauffĂ©e. Je sens son vit tendu appuyĂ© sur ma hanche et cela m’excite considĂ©rablement, son sexe, a travers le pantalon de toile est long, rigide, fièrement tendu vers le haut. Je fond littĂ©ralement, j’ai toujours autant envie de le goĂ»ter, mais alors que l’une de ses main s’est glissĂ©e sous ma jupe entre sa cuisse et mes lèvres et qu’il entreprend une masturbation Ă©nergique, un regain de luciditĂ© me permet de le repousser doucement : la porte ne se verrouille pas, et au moins cinq ou six personnes peuvent pĂ©nĂ©trer Ă tout instant dans cette rĂ©serve. Il comprend immĂ©diatement, s’Ă©carte, mais ne me lâche pas. Je l’embrasse langoureusement, et fait demi-tour pour aller vers la porte… de nouveau il me saisit puis me plaque brutalement face Ă la porte. Son sexe se cale entre mes fesses, et je me prends a l’imaginer me prendre et me faire jouir, mon souffle est court, ses deux mains sont sur mes seins qu’il pĂ©trit avec art, cela m’excite encore plus (comme s’il en Ă©tait besoin !), l’une ses mains Ă nouveau se faufile sous ma jupe et cette fois ses doigts glissent dans la chaleur de mes lèvres. Il gĂ©mit, son souffle est dans mon cou, six petits mots « j’ai vraiment très envie de toi… ». Ses doigts accĂ©lèrent, envolĂ©e la peur de se faire surprendre, il ne faudra que quelques secondes de plus pour qu’il me fasse avoir un orgasme dĂ©vastateur. Nous nous embrassons langoureusement, il se lèche les doigts, j’en gĂ©mis tant j’ai envie de faire la mĂŞme chose avec son sexe que je sens très prometteur, j’ai envie de le faire jouir de mes mains et de ma bouche, qu’il Ă©jacule et que je puisse boire jusqu’Ă la lie ce nectar enivrant.Cependant, il nous faut ressortir, sĂ©parĂ©ment, de la rĂ©serve, et maĂ®triser ces pulsions qui nous submergent. PressĂ©e de m’Ă©loigner de peur que quelqu’un ait vu ou entendu, je pars immĂ©diatement dĂ©jeuner. La tĂŞte pleine d’images torrides et le corps en feu, je tente d’aller m’aĂ©rer l’esprit dans les boutiques, malheureusement, c’est au rayon lingerie que j’Ă©choue, ce qui ne fait rien pour calmer mes sens car je l’imagine m’arracher les dĂ©licates soieries hors de prix exposĂ©es dans le magasin, des doigts et des dents, avant d’embrasser et d’embraser chaque recoin de ma peau.Lorsque je reviens ensuite, je suis toujours autant assoiffĂ©e de sexe, de lui, j’ai envie qu’il me prenne et qu’il me fasse jouir, j’ai envie de jouer avec lui… et c’est a ce moment prĂ©cis que je le vois sortir de la courbe de la route d’une longue foulĂ©e, en tenue de course qui ne cache pas grand-chose de son anatomie. Ma bouche s’assèche, la vue de ses muscles et de son corps d’homme fait, de nouveau, me fait m’embraser. La barbe, Ă la fin ! C’est quoi mon problème ? Je dĂ©tourne Ă grand peine les yeux et tente de me remettre au travail. Peine perdue. Il rentre dans le bureau et m’annonce très sĂ©rieusement qu’il va prendre une douche avant d’aller Ă ses rendez-vous. Son regard est toujours aussi brĂ»lant. Et si j’osais ?Je sors a pas de loup de mon bureau et me dirige vers les douches. Un coup d’Ĺ“il Ă droite, un coup d’Ĺ“il a gauche, il n’y a personne, je me faufile dans les douches messieurs. J’entends l’eau couler, ses vĂŞtements sont Ă l’entrĂ©e. Je verrouille la porte, puis enlève mes propres vĂŞtements. Mon cĹ“ur bat la chamade, je m’approche sans bruit, il me tourne le dos. Je me glisse dans la large cabine, et pose dĂ©licatement mes doigts dans son dos. Il sursaute, se retourne, et c’en est finit de la douceur langoureuse de ce contact de nos peaux. Sa bouche fond sur la mienne, ses mains recouvrent mes seins, l’eau ruisselle sur nos corps en feu sans pour autant Ă©teindre le brasier. Nous nous embrassons avec violence, je noue mes mains autour de son cou, il me soulève du sol et me cloue au mur. Je sens son sexe vibrer contre ma peau, il est assez long, large et bien droit. Je gĂ©mis, lui mord l’oreille, le supplie de me prendre, d’Ă©teindre le feu (normal pour un pompier, non !), mais il s’amuse, assure sa prise, et fait glisser sa main droit sur moi. Ses doigts atteignent mon pubis soigneusement Ă©pilĂ©, puis les grandes lèvres, puis ses doigts glissent dans la fente, je perds pied, c’est un virtuose, en quelques secondes, l’orgasme m’emmène de nouveau. Cette fois, je ne perds pas ma luciditĂ©, il sourit, je me laisse glisser de ses bras, et a mon tour, je le pousse le long du mur et entame une affriolante exploration de son corps : j’utilise mes doigts, mes seins, ma langue, je ne laisse Ă©chapper aucune parcelle de sa peau. Je le sens trembler, ses mains se posent doucement sur mes cheveux trempĂ©s, il les relève, les entortille dans ses doigts. J’ignore pourquoi, cela me fait un effet terrible, et sans attendre, je saisis sa verge tendue dans ma bouche. Je laisse Ă©chapper un soupir de contentement. Enfin! La peau en est douce, imberbe, souple sur le membre tendu. Je le regarde de sous mes cils, il a rejetĂ© la tĂŞte en arrière, j’accĂ©lère mes mouvements de va-et-vient, maintenant que je goĂ»te enfin Ă l’objet de mon dĂ©sir, pas question de le lâcher. D’une main, je m’accroche Ă ses fesses, autre fantasme, Ă force de les voir bien moulĂ©es dans ses jeans, je mourrais d’envie de les toucher, et c’est aussi ferme que c’Ă©tait prometteur, tout comme son sexe que je m’applique Ă lĂ©cher sur sa longueur. Je suce son gland que j’ai pris soin de sortir de sa gangue de peau fine, agace le prĂ©puce du bout de ma langue, descend le long de sa hampe jusqu’aux bijoux nichĂ©s entre ses cuisses, que je caresse d’une main, l’autre folâtrant toujours sur son merveilleux fondement. J’aime les petits tressaillements qui le parcourent lorsque je dĂ©place mes doigts ou ma langue, les petits gĂ©missements qui s’Ă©chappent de sa gorge lorsque je mets d’avantage d’ardeur dans le geste, j’aime qu’il me laisse maĂ®tresse de la caresse, jouissant simplement de l’instant. Soudain un cri lui Ă©chappe, d’un mouvement rĂ©flexe sa main plaque mon visage sur son ventre, et il jouit dans ma bouche, envoyant son sperme droit au fond de ma gorge, me forçant Ă dĂ©glutir puis Ă avaler, ce que je m’empresse de faire. C’est l’un de mes moment prĂ©fĂ©rĂ©s dans ces petites gâteries, une intense satisfaction de voir que je parviens toujours aussi facilement Ă faire perdre la tĂŞte Ă ces messieurs. Il m’aide Ă me relever, et nous finissons de prendre une douche ensemble, profitant de l’eau et du gel douche pour explorer nos corps respectifs jusque dans ses moindres recoins, la mousse, dĂ©licieusement parfumĂ©e, et la douceur des caresses menant tout doucement vers une nouvelle excitation, je sens mon corps qui de nouveau brĂ»le, sa verge, le long de ma hanche reprend dĂ©jĂ de la vigueur. Mais l’heure n’est plus aux agaceries : nous devons, l’un et l’autre, reprendre nos postes.
L’après-midi passera sans que nous nous ne recroiserions, accaparĂ©s par nos travaux respectifs. Si l’excitation, de fait, est un peu retombĂ©e, je sens qu’elle est toujours lĂ , tapie, prĂŞte a revenir Ă la première sollicitation. D’ailleurs, lorsqu’Ă 17h55 je reçois un nouveau texto, la rĂ©action de mon corps est immĂ©diate et sans Ă©quivoque…« Tu fais quoi ce soir ? Je t’invite Ă dĂ®ner Ă la maison ? »LĂ fatalement, je me dis que ce ne sera plus juste du jeu… Je passe un petit coup de fil Ă mon homme, quelque part sur la route vers l’Allemagne, pour lui demander ce qu’il en pense. Sa rĂ©action reste la mĂŞme : un brin de jalousie, bien sĂ»r, car il n’aime pas s’Ă©loigner, mais aussi et surtout de l’excitation, de la curiositĂ©. Nous savons que Quentin frĂ©quente les clubs libertins, nous sommes d’ailleurs assez tentĂ©s d’en faire autant, et au final l’on se demande quelles sensations cela pourrait nous apporter de dĂ©couvrir de nouvelles choses, de nouveaux partenaires, de nouvelles expĂ©riences… Je lui promet de tout lui raconter Ă son retour, et pourquoi pas, de tenter ces expĂ©riences de triolisme dont nous parlons depuis longtemps, et tout en protestant un peu pour la forme, il me susurre a l’oreille d’en profiter et de lui suggĂ©rer de mettre un coup pour lui… je ris, je l’aime et c’est sur ces douces paroles que nous nous quittons.« Ok, dans 45 minutes chez toi ! »Heureusement que j’avais eu l’heureuse idĂ©e de me faire Ă©piler il y a peu, j’ai horreur des poils et je fais une Ă©pilation intĂ©grale maillots-jambes-bras une fois par mois. La dernière remontant a huit jours, ma peau est toujours aussi douce, j’ai la panoplie vestimentaire parfaite, par contre il me manque quelques petites choses que je dois retourner chercher chez moi.A 18h45 prĂ©cises, je sonne chez mon hĂ´te, tout est prĂŞt, il a sorti le grand jeu : vaisselle fine, table simple mais Ă©lĂ©gante, lumière tamisĂ©e, musique douce. Je remarque les boites du traiteur sur la table de la cuisine, il s’est vraiment mis en quatre pour me faire plaisir !Nous nous installons sur le canapĂ©, face Ă la cheminĂ©e, un plaid polaire posĂ© sur le cuir sombre, un gros tapis en laine, l’ambiance est feutrĂ©e, il fait chaud, sa jambe, tout contre la mienne, bouge subrepticement, je quitterais bien mes bottes et mon pull… Nous dĂ©gustons nos apĂ©ritifs, tout en parlant de sujets plus ou moins anodins, travail, sorties, loisirs, etc. Bien sĂ»r, la conversation ne reste pas anodine longtemps, nous dĂ©rivons, très vite, sur le sexe, nos expĂ©riences, nos fantasmes. Alors que je lui murmure que mon fantasme a moi reste d’avoir deux hommes rien que pour moi et d’expĂ©rimenter la double pĂ©nĂ©tration, ou bien encore, une bonne fessĂ©e suivie d’une bestiale pĂ©nĂ©tration, sa main se pose sur mon genou, remonte doucement, la caresse est lente, mais brĂ»lante, elle me coupe le souffle et mes propos meurent sur mes lèvres. Il a posĂ© son verre, j’ai toujours le mien a la main. Sa bouche se pose sur mon Ă©paule dĂ©nudĂ©e par le large dĂ©colletĂ© de mon pull, sa langue frĂ´le ma clavicule, sa main remonte le long de ma cuisse, plus haut, toujours plus haut, jusqu’Ă ne plus pouvoir aller plus loin. Sans m’en rendre compte j’ai Ă©cartĂ© les cuisses, je le sens sourire dans mon cou : j’ai Ă´tĂ© mon string avant de venir, il peut donc, d’un seul mouvement de ses doigts agiles, goĂ»ter Ă l’humiditĂ© qui m’habite…« Quelle petite cochonne… ce que tu m’excites… J’ai trop envie de toi… je fantasme sur toi depuis des semaines… tes seins, tes hanches, tes fesses…. »Je suis trop excitĂ©e pour arriver Ă rĂ©pondre, et seuls quelques borborygmes s’Ă©chappent de ma bouche. D’un geste ample, il soulève ma jupe, puis se met Ă genoux devant moi, sa langue glisse sur mes lèvres, fouille mon intimitĂ© brĂ»lante, aidĂ©e par ses doigts. J’Ă©carte les cuisses tant que je peux, tant j’en veux plus. Soudain, un liquide froid coule le long de mon sexe, je pousse un petit cri de surprise : il a entrepris de vider lentement son verre entre mes lèvres, et de boire le nectar Ă la source. PassĂ© la première surprise, c’est absolument divin, une douce torture entre froid, morsure de l’alcool, douceur de sa langue. Je tremble d’excitation, de plaisir anticipĂ©. Il m’invite Ă me relever, puis, une fois debout me guide au milieu du tapis, devant la cheminĂ©e aux braises rougeoyantes. Lentement, il entreprend de me dĂ©shabiller, mon pull passe par-dessus ma tĂŞte, mon dĂ©bardeur perd ses bretelles et chute sur mes hanches. Il dĂ©grafe mon soutien-gorge, puis descend la jupe et le dĂ©bardeur qui tombent sur le sol. Je n’ai plus que mes bas et mes bottes, il ne m’a pas encore touchĂ©e dans tout ce processus de mise Ă nu. J’ai envie de le dĂ©shabiller Ă mon tour, mais alors que j’avance vers lui, il m’invite Ă ne pas bouger, alors je reste ainsi, immobile, Ă me soumettre Ă son regard. Ce ne me dĂ©range pas, je le laisse a ce spectacle qu’il semble apprĂ©cier : tout en me regardant, il caresse son sexe Ă travers son pantalon. Il m’invite Ă fermer les yeux, ce que je fais, et je sens un bandeau de soie qui se pose sur mes yeux, je me laisse faire, j’ai confiance en lui. Doucement il m’incite Ă me pencher jusqu’Ă ce que ma poitrine touche la banquette du canapĂ©, jambes bien droites et fesses en l’air, j’Ă©carte les jambes sans qu’il n’ait Ă me le demander, puis j’attends. L’attente dure quelques minutes, la chaleur de la cheminĂ©e chauffe mes fesses, ce n’est pas inconfortable. Je l’entends se rapprocher, puis se placer derrière moi, de nouveau ses mains sur mes fesses qui caressent, sa bouche qui embrasse l’intĂ©rieur de mes cuisses, les caresses sont douces et ciblĂ©es, cela m’excite beaucoup, je me tortille un peu, il m’intime alors de rester tranquille. Je m’immobilise. Puis sans prĂ©venir, un sifflement, suivie d’une brĂ»lure sur mes fesses, suivie immĂ©diatement d’une sensation d’intense excitation, je laisse Ă©chapper un halètement de plaisir, un autre coup tombe, cette fois je crie franchement de plaisir, et j’en redemande. Je ne les compte pas, il cingle, sans brutalitĂ©, dosant parfaitement les coups de sa cravache improvisĂ©e pour exciter sans blesser, je crie de plus en plus, j’oublie toute retenue. Les coups cessent, ce n’est pas un soulagement, j’ai envie de sexe ! Ses mains reviennent, caressent mon dos, mes jambes, puis mes seins, mon cou, mes hanches, mes Ă©paules, j’ai l’impression qu’il est partout Ă la fois.Prise d’une inspiration, je lui demande de prendre mon Smartphone et de faire quelques photos qu’il peut envoyer Ă ma moitiĂ©. A moitiĂ© surpris, je lui explique que nous sommes très ouverts, et finalement, il accepte. Quelques secondes après l’envoi de la photo, un texto arrive. Quentin me suggère de le lui lire Ă haute voix et m’enlève mon bandeau…« J’espère que tu en profites bien, elle doit ĂŞtre en manque. Qu’est-ce que je veux que tu lui fasses ? C’est intĂ©ressant… je te donne des idĂ©es mais je veux des images. Ok ? »Il n’en faut pas plus Ă Quentin. Nous rentrons en plein show interactif, cela devient surrĂ©aliste. Mais diablement excitant.« Je pense que tu l’as bien chauffĂ©e, demandes-lui de te sucer, tu vas voir elle fait ça très bien… »Comme s’il ne le savait pas dĂ©jĂ Â ! Mais ça ne me dĂ©range vraiment pas de recommencer, je peux revenir Ă l’objet de mon dĂ©sir. J’en profite pour changer de position, et je me place sur le dos dans le canapĂ©, jambes en l’air, tĂŞte dans le vide. Quentin se penche sur moi, je happe sa verge, il s’appuie sur le dossier. Je mets beaucoup d’ardeur Ă cette fellation, puis j’entends le bruit de la photo. Tout en m’incitant Ă le sucer toujours plus fort, car j’arrive presque Ă l’emboucher complètement maintenant (on m’a assez dit que j’avais une grande gueule !), il envoie la photo. Un nouveau texto arrive.« Pour info, elle adore la sodomie… »Oh lĂ lĂ !!! Dans quoi est-ce que je me suis encore embarquĂ©e !Quentin se redresse puis m’aide Ă me relever, avant de me refaire basculer, cette fois sur l’accoudoir sur lequel il a pris soin de poser un coussin. De nouveau la caresse de ses mains sur mes fesses, puis ses doigts glissent entre mes lèvres. Il glisse trois doigts dans mon intimitĂ© assoiffĂ©e, puis les ressort, glissant de bas en haut de la raie, sans insister, sans rien demander, mais c’est tellement excitant qu’il n’est pas nĂ©cessaire de demander, de moi-mĂŞme, j’Ă©carte les cuisses, me cambre, m’offre Ă ses mains, ses lèvres, sa langue, son sexe. Soudain, un objet dur et tiède entre en contact avec mon clitoris, je devine aux petites vibrations qu’il s’agit d’un vibromasseur, et je vibre de concert. Très vite, cependant, il dĂ©place celui-ci vers l’entrĂ©e de mon sexe, le fait pĂ©nĂ©trer lentement, puis ressortir, rentrer Ă nouveau, c’est une exquise torture, je me sens frustrĂ©e comme jamais. Il dĂ©place l’objet de nouveau, glisse vers l’Ĺ“illet… je soupire de plaisir, d’anticipation. Il est Ă l’entrĂ©e, il l’a arrĂŞtĂ©, il glisse un doigt, puis deux, et enfin l’engin se prĂ©sente et se faufile, c’est comme dans du beurre. Mon homme n’a pas menti, j’adore ça, et lorsque Quentin remet l’objet en marche, c’est un tel dĂ©luge de sensations que je ne peux retenir mes cris de plaisir. Il me redresse le long de son torse, prend dans ses mains mes seins, son sexe glisse en douceur entre mes cuisses, appuyant de fait sur le vibromasseur qu’il a laissĂ© en place et que je tente de retenir de toutes mes forces. Il glisse un doigt dans ma bouche, je le suce rĂ©solument, puis un autre, ses doigts reviennent sur mes tĂ©tons durcis, je n’en peux plus, c’est trop bon, je ne crie plus, je hurle de plaisir, je rĂ©clame son sexe, je veux jouir, encore et encore.Un nouveau texto arrive, je ne m’Ă©tais pas aperçue qu’il avait envoyĂ© une photo !
« Allez, prends-lĂ ! Qu’elle ait un aperçu de la double qu’on lui mettra ensemble ! »Ca, c’est nouveau! Il accepte de partager avec un homme maintenant! Quentin ne se fait pas prier, et alors que je bascule de nouveau sur mon accoudoir, il glisse son sexe dans le mien, puis attaque de suite par de violent va-et-vient. Il joue avec le vibromasseur, On-Off-On, le fait tourner, il accĂ©lère puis ralentit sa pĂ©nĂ©tration, je ne sais plus très bien oĂą je suis, qui je suis, je ne suis plus qu’un corps en fusion. J’adore, c’est divin, c’est exquis, je ne suis plus que sensation de luxure. De nouveau il me reprend le long de son torse, l’angle de sa verge appuie sur le vibromasseur, il prend mes seins dans ses mains, pince les pointes, je redouble de cris, heureusement, il n’y a pas de voisins! Je laisse descendre mes mains, parvient Ă caresser ses testicules d’une main, mon clitoris de l’autre, et nous jouissons de concert dans un orgasme dĂ©vastateur, long et intense. Je vois des Ă©toiles, je suis Ă bout de souffle. Il se retire et Ă´te le vibromasseur en mĂŞme temps, m’arrachant de nouveau un cri, et j’en profite pour nettoyer sa verge encore tachĂ©e de sperme.C’est sous la douche que nous rĂ©cupĂ©rons, enchantĂ©s de ce moment, avant d’aller faire honneur au traiteur, puis de passer la nuit ensemble, promesse de nouvelles sensations. La prochaine fois, nous serons trois…. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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Quentin