Qu’est ce qu’il se passe ?
Jeune de 18 ans, fumeur de joint, rêvant de faire de nouvelles expériences découvre petit à petit son coté homosexuel. Dans ces chapitres nous suivront Marvin dans sa vie de jeune adulte libertin et bon vivant.
Proposée le 26/02/2022 par bliwbliw Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Je m’appelle Marvin. Je suis assez jeune, j’ai Ă peine 18ans, je me trouve plutĂ´t beau gosse, sans non plus me prĂŞter Ă un jeu de narcissisme et d’excès de confiance, je sais rester humble, en ayant une certaine confiance en moi. Mon âge et mon entrĂ©e dans cette pĂ©riode dite « ingrate », mes hormones me travaillent donc Ă©normĂ©ment, j’ai plusieurs doutes sur ma sexualitĂ©, normal Ă mon âge, vous allez me dire. J’ai souvent l’habitude de me procurer du plaisir, que ce soit sur les hommes et sur les femmes, mĂŞme si j’Ă©prouve une certaine gĂŞne avec le genre masculin. Mais petit Ă petit, cette gĂŞne se transforme vite en curiositĂ© de tester une expĂ©rience masculine. Les relations qui Ă©taient uniquement fĂ©minines commencent Ă me lasser et j’ai une envie de virilitĂ©, de queue. J’ai un passĂ© Ă l’Ă©poque avec mon meilleur ami actuel oĂą l’on se masturbait mutuellement, et on n’avait aucune gĂŞne, on se masturbait Ă cĂ´tĂ©, une fois son jet m’a Ă©claboussĂ©, mais au fil du temps, nous avons oubliĂ© toutes ces aventures, et chacun de nous se dĂ©clare maintenant comme « hĂ©tĂ©ro ». Moi je me suis toujours considĂ©rĂ© tel quel, mais un beau jour, tout cela se met Ă basculer pour une raison que je ne sais pas. Je crĂ©e donc un compte twitter oĂą je poste des photos de moi dĂ©nudĂ©. Ce jeu d’exhibition me plaĂ®t Ă©normĂ©ment, et m’excite beaucoup. Sur ce compte, je laisse parler ma libido, ce qui ne manque pas d’attirer de nombreux profils de tout âge dans mes messages privĂ©s et notifications. Je prends du plaisir Ă Ă©changer des photos et Ă exciter ces personnes-lĂ , je dĂ©couvre une nouvelle sensation, un nouveau monde.Mais une fois semence crachĂ©e, j’ai honte de mon comportement et supprime le compte de mon tĂ©lĂ©phone.Ma vie continue normalement, je me lève le matin et j’ai cette envie d’y retourner sur ce compte, mais je me rends compte que je dois voir un pote, Gabriel.
Je m’habille, allume une clope, sors de chez moi et je vais le rejoindre. Gabriel et moi, c’est une complicitĂ© hors norme, on est meilleur pote et quasiment des frères, je le trouve mignon et il possède un très joli corps d’athlète mesurant 1m80 qui ne manque pas de faire mouche auprès de la gent fĂ©minine. A mon arrivĂ©e au loin, je le regarde et pense Ă ce qu’il peut se cacher en dessous de ses tissus et de son boxer. Je sens ma queue gonflĂ©e petit Ă petit et je suis surpris de cette rĂ©action de ma part, car Gaby est un de mes gars sur et dont jamais une once d’attirance n’a fait surface entre nous depuis que l’on se connaĂ®t. On se capte tranquille chez lui, on roule un joint et je ne sais pas pourquoi ses mains, ses doigts fins, le coup de langue qu’il met sur la feuille m’excitent Ă©normĂ©ment. Victime de mon incomprĂ©hension, et de mon excitation, je sens ma queue gonfler dans mon pantalon, cela me plaĂ®t Ă ma plus grande surprise de savoir que je bande devant lui, mais qu’il ne se rende pas compte. Je mets une main dans ma poche et me caresse Ă travers mon pantalon pendant quelques instants, il finit de rouler le joint, son regard se tourne vers moi, je me sens intimidĂ© par cet homme, que je ne considère plus trop comme un ami, mais comme un bel homme viril qui m’excite. Je suis troublĂ© par tout ça, je reprends mes esprits, m’assois Ă cĂ´tĂ© de lui, prends l’enceinte et mets de la musique pour accompagner ce moment agrĂ©able accompagnĂ© de mon pote, un joint, et ma nouvelle attirance pour les hommes, et en particulier pour celui que je connais depuis le collège. L’excitation redescend et je me calme et en oublie ma libido, et me concentre sur l’aprèm que je dois passer avec mon pote en tant qu’hĂ©tĂ©ro. On parle de tout, de sexe, de meufs, de musique, de sons, le temps est bon, l’après-midi est cool, et les discussions sur le sexe que j’ai avec lui me font m’imaginer comme il est au lit, et cela me fait perdre la tĂŞte, je l’imagine en train de se faire sucer par sa copine actuelle et petit Ă petit, je ne m’imagine plus sa copine, mais bien moi en train de le sucer. Très vite, je suis ramenĂ© Ă la rĂ©alitĂ© par ce que je me suis endormi sur le joint, et qu’il le veut, je le regarde, lui passe le joint, le briquet est posĂ© sur mes cuises et au niveau de mon entrejambe.— S’cuse-moi chef, je te prends ça, hop, dit-il en mettant sa main au niveau de mon entrejambe.Ce geste qui pour lui n’a aucune ambiguĂŻtĂ© (ou pas, je ne le sais pas pour l’instant) pour moi cela renforce toutes les pensĂ©es coquines que j’avais, et renforce ma queue au passage.
On parle de plein de trucs et on chill toute l’après-midi le soir venu, je me prĂ©pare pour partir, et alors que je suis sur le palier, il me dit que c’est vraiment tendu avec sa copine actuelle et que ça lui a fait du bien de me voir, je lui rĂ©torque que c’est normal et qui s’il a besoin, je suis lĂ . Très triste d’apprendre que mon frère de cĹ“ur est en froid avec sa meuf, j’ai une part de moi, qui s’en rĂ©jouit. Petit Ă petit j’oublie ce « passif (sans mauvais jeu de mots) homosexuel » pour me concentrer sur mes Ă©tudes et surtout sur les cours. Une fois la semaine passĂ©e, je suis en Week-end et le vendredi, je me roule un joint, m’installe tranquillement dans mon lit et me relaxe complètement, après plusieurs bouffĂ©es inhalĂ©es, mon cerveau commence Ă ressasser ce qu’il s’est passĂ© dans ma tĂŞte lorsque j’ai passĂ© l’aprèm avec Gaby, et je commence donc Ă me faire des scĂ©narios. Je commence Ă me masturber en fumant un joint en pensant Ă la colonne de chair de ce bel homme qui est mon pote pour qui j’Ă©prouve une certaine attirance qui s’est dĂ©veloppĂ©e Ă mon insu.
Je m’imagine donc Ă genoux auprès de lui et appliquer une fellation digne de ce nom. Moi qui ai toujours Ă©tĂ© plus « dominant » avec mes relations fĂ©minines, je me retrouve donc Ă m’imaginer en train de le sucer langoureusement, ma bite se dresse sous l’effet de ses pensĂ©es. Actuellement, je n’ai qu’une envie en tĂŞte, de sentir une bite dans ma bouche, sur mon corps, dans mes mains, en moi…Cette envie est dĂ©cuplĂ©e avec l’effet du joint, et me voilĂ donc Ă quatre pattes sur mon lit en train de cambrer bien comme il faut pour me prendre en photo, et alimenter ce compte Twitter que j’avais dĂ©laissĂ©.La situation m’excite beaucoup, j’aperçois des bas rĂ©silles que mon ex avait laissĂ©s chez moi. Sous l’effet de mon excitation, je les prends, les enfile et ressens une sorte de plaisir inconnu au contact du tissu contre ma queue, je bande dĂ©jĂ bien dur et petit Ă petit en tirant des taffes sur mon joint, je sens le jus monter.Je me calme direct, car j’ai envie de plus, de beaucoup plus.
Je ne sais pas si cela est dĂ» Ă la dĂ©fonce, ou Ă mon excitation, mais ce cocktail me fait basculer pleinement dans le monde du dĂ©sir masculin, du dĂ©sir homosexuel. Je prends mon tĂ©lĂ©phone dans la main gauche, pendant que ma main s’active sur ma bite de dix-huit centimètres dure gonflĂ©e d’excitation, et que mes poumons respirent pleinement cette fumĂ©e enivrante qui me pousse Ă m’abandonner pleinement Ă mon instinct et mon dĂ©sir que j’Ă©prouve envers les hommes. J’installe donc Grindr, en ayant qu’une seule envie, dĂ©couvrir le plaisir masculin. Le fait d’ĂŞtre sur l’application me rend de plus en plus dur, ma bite qui est dans mes collants bas rĂ©sille commence Ă vouloir s’Ă©chapper et Ă me faire mal, je l’enlève donc et je suis nu, Ă 4h00 du matin dans ma chambre, complètement dĂ©foncĂ©, ma bite Ă la main, l’odeur de la beuh et de sexe rĂ©sident dans ma chambre. Je pars donc Ă la recherche d’un homme, un bel homme, peu importe s’il a vingt ans de plus que moi, je veux m’abandonner Ă un homme, le sentir en moi, ou me sentir en lui. Après de brèves recherches, je trouve un profil qui me plaĂ®t, j’envoie un message accompagnĂ© d’une photo de ma tĂŞte et de mon corps…Le profil que je choisis est un jeune de dix-neuf ans, cheveux longs noirs, corps fin, des abdos dessinĂ©s et une bouille d’ange ou de dĂ©mon. Il me rĂ©pond Ă ma plus grande surprise et me complimente sur mon corps, et flashe sur mon fessier et ma queue, il me dit qu’il vit dans un appart Ă quelques centaines de mètres de chez moi et que si je veux, je peux venir chez lui. Il m’assure qu’il a des capotes et du lubrifiant, je lui dis que je suis encore puceau et qu’il sera très doux avec moi et que je n’ai pas Ă m’en faire. Il me demande si je fume, je lui rĂ©ponds que oui et il me dit : »parfait je prĂ©roule des joints pour ta douce arrivĂ©e 🙂 ». Surpris par le charme qu’il dĂ©gage en message, ma bite se raidit encore plus. J’enfile un jogging gris sans rien en dessous, j’hĂ©site en regardant les collants Ă les prendre, mais je me dis qu’il est trop tĂ´t. JE pars donc en douce de chez moi, sur le chemin, j’ai le cĹ“ur qui bat fort, mĂ©lange d’adrĂ©naline, de stress, d’excitation. JE me rends donc Ă son domicile, je tire une dernière grosse taffe, jette le joint par terre, l’Ă©crase, sonne Ă l’interphone, je grimpe quelques Ă©tages, toque Ă sa porte, le cĹ“ur battant et me demandant que fait un hĂ©tĂ©ro en pleine semaine Ă 4h00 du matin, complètement pĂ©tĂ© devant la porte d’un gars pour probablement un moment torride et riche en sensations. Durant ces vagues de pensĂ©es, la porte a le temps de s’ouvrir et laisse apparaĂ®tre ce bel homme aux cheveux noirs qui est en peignoir et son corps se dĂ©voile sous ce tissu blanc.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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