Quiproquo 2
La suite de mon aventure avec JĂ©rĂ´me prend une tournure inattendu…..
Proposée le 27/11/2016 par titine Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Mon aventure avec JĂ©rĂ´me a booster ma libido, a tel point qu’un appĂ©tit gargantuesque de sexe ne me quitte plus depuis ce jour.
Je suis une femme qui aime le sexe et j’assume, mi-nymphomane, mi-garce.
Le pauvre Michel fait le maximum pour me satisfaire, mais ma demande est-elle qu’il ne peux assumer, la tache titanesque Ă lui seul.
Résultat, trois courtes aventures pendant le mois d’août.
DĂ©but septembre, le temps ma paru interminable, mais, enfin hier au soir j’ai reçu ce SMS :Toujours partante ?
OUI, si conditions n’ont pas changĂ©
OK, je t’attends demain 17h30 au mĂŞme endroit
OK
Tenue : string, robe ou jupe courte et haut transparent, imper ou cirĂ© par dessus, j’aurais une surprise et un cadeau pour toi
Je suis impatiente, a demain Le matin, je me lève toute enflammée.
Afin, d’ĂŞtre parĂ© pour ma soirĂ©e, je me mets un petit plug dans l’anus, que je change au dĂ©but de l’après midi, par un autre beaucoup plus gros.Ma petite minette est dĂ©jĂ toute mouillĂ©e et je ne peux me retenir plus longtemps.
Je m’allonge sur le lit, sort un vibromasseur.
Je me caresse le clitoris, puis je l’engloutis dans mon puits d’amour, tout en continuant a jouer avec mon bouton de l’autre main.
Il ne me faut pas longtemps pour décoller.
La journĂ©e s’annonce royale.Je suis dans un Ă©tat Ă©pouvantable, Ă©tant ouverte Ă ce type de rencontre, j’ai besoin d’ĂŞtre caressĂ©, sucĂ©, de me faire conquĂ©rir par tous les trous et d’ĂŞtre baiser un peu comme une chienne.
J’ai toujours aimĂ© jouer les petites putes et que l’on me traite ainsi.17h30, je frappe Ă la porte et rentre.JĂ©rĂ´me m’attend assis sur le rebord du lit.
Il se lève, s’approche, m’embrasse d’un baiser langoureux, me caresse.
« Tu es sexy et désirable. »
Je n’ai qu’un envie commencer les hostilitĂ©s tout de suite.
« Si, on commençait par ta surprise? »
« Oui, si tu veux ? »
« Je voudrais que tu fasses quelque chose pour moi.»
« C’est quoi ? »
« Va, cogner Ă la chambre 34, ton paquet cadeau t’attend »
« Tu n’es pas sĂ©rieux ? »
« Si, pourquoi tu n’es pas partante, pour un petit extra ? »
« Oui, mais tu t’occupes de moi d’abord .»
« Ne fait pas ta mijaurĂ©e, prends des capotes, je m’occuperais de toi après. »Je suis furieuse contre lui, mais il a raison, je suis lĂ pour jouer la catin et mon bas ventre est brĂ»lant de dĂ©sir.
Je rentre dans la chambre 34.
Un mec la cinquantaine est debout devant moi, pas très beau, pas très attirant.
«C’est toi, Monique, regarde sur la table, c’est pour toi et commence par un strip-tease »
Il y a deux billets de 50€, que je mets dans ma poche.
Je n’ai pas grand chose a enlever, alors je commence par le haut, libĂ©rant mes deux gros seins.
Il les suce et les pelote, avec effet immédiat sur la turgescence de mes mamelons .
Il s’Ă©carte pour me laisser continuer, mon dĂ©shabillage.
Je fais tomber ma jupe et je me retrouve en string.
Il fait le tour, de la marchandise comme il dit, me touche les fesses et me descend lentement mon dernier rempart.
«Jérôme a toujours bon goût pour nous dégoter des femmes mures.»
Ah, le salop, je ne suis donc pas la première, a faire un petit extra pour lui.
A t-il un pourcentage ?Il me pousse sur le lit, enlève ses vêtements et me donne son pénis a sucer.
En même temps, il enfile ses doigts entre mes cuisses et constate que je suis toute mouillé, mon gagne pain étant déjà grand ouvert.
Je ne rĂ©flĂ©chi plus, je ne pense qu’a une chose me faire monter.
Je sors une capote, lui insère le long de sa verge très ordinaire.
«Va y, prend moi »
Il me dispose sur le bord du lit, mes jambes sur ses Ă©paules et me chope d’un coup.Et me lime pendant une vingtaine de minutes, en missionnaire puis, en levrette, avant de s’occuper de mon petit trou, qui en vĂ©ritĂ© est un gouffre a bittes, après le passage des plugs.
Il me laboure encore une dizaine de minutes et envoi son sperme au fond de la capote.
Il s’Ă©tale sur le lit et me dit :
« A la prochaine, si tu le veux »Je suis dĂ©contenancĂ©, je m’attendais a ce qu’il remettre le couvercle, mais, je suis contente d’en avoir fini, car si cette petite sĂ©ance ma laissĂ© sur ma faim, ma soif de sexe a triplĂ©.Je vais revoir JĂ©rĂ´me.
« Alors cela c’est bien passĂ©Â ? »
« Bof, ton mec est nul, mais pour 100€, je ne vais pas me plaindre. Je t’en supplie fait moi l’amour, ma patience est a bout, je suis ta chose et c’est gratuit pour toi »
«Déshabilles toi »
Je me retrouve rapidement nue avec des frissons qui me parcours l’Ă©chine.
Je suis au bord de la crise, mon bas ventre me fait mal et j’ai besoin qu’on me traite comme la dernière des traĂ®nĂ©es.
JĂ©rĂ´me me dispose alors, une cagoule sur le visage, qui laisse libre uniquement ma bouche et mon nez.
Je suis dans le noir et un désir bestiale me parcours le corps, accompagné de picotements entre mes cuisses.
Ses mains me caressent tout le corps, ce qui fini de me faire fondre, je suis un volcan est Ă©ruption. «je crois qu’il est temps de t’offrir ton cadeau »Quelques instants se passent, JĂ©rĂ´me me prend la main et me la pose sur une queue dĂ©jĂ bien dure, d’une très belle dimension.
Je rĂ©alise, que ce n’est pas la sienne ;
Qu’importe, je suis dans un tel Ă©tat, que je ferais l’amour avec n’importe qui.
«Jérémy je te présente Monique. »
Précision, il était caché dans la salle de bain.
«Bonsoir, Monique, tu es potelĂ© comme je l’aime et ta salle de jeux rasĂ©e est un appel au crime sexuel, j’en ai dĂ©jĂ l’eau a la bouche »
Effectivement, je dois lui plaire, vu la verge bien raide qui est dans ma main et qui n’arrĂŞte pas de durcir.
Il est vraiment très bien monté.
Mon bas du ventre, est parcouru de spasme tellement, j’en ai envie.
Alors, je ne proteste pas, me laissant guider uniquement par mes sens.«Alors, tu es contente de ton cadeau ? Il est assez gros pour toi ? »
«Oui, c’est comme ça que je les aime »
«Tu connais ta position, à genou sur le lit, la tête dans les oreillers, le cul bien haut et les cuisses écartées, allez ouste »
Il me guide jusqu’au lit et je m’exĂ©cute.
JĂ©rĂ©my s’approche, me caresse mon petit ventre rond sans plus et mes poignĂ©es d’amour naissantes.
Puis, il me pelote mes seins lourds, mais encore relativement ferme, me titillant mes tétons tout hérissés de désir.
Enfin, il passe ses doigts sur mes grandes lèvres protubérantes, fait rouler mon clitoris entre son pouce et son index et commence un massage soutenu de celui ci.
En mĂŞme temps, JĂ©rĂ´me, m’Ă©carte mes grandes lèvres, m’incruste trois doigts dans ma chatte et me masse aussi ma rondelle d’une main experte, comme un anulingus sans la bouche.
Combien sont-ils Ă regarder la scène, deux, trois, quatre, tout en s’astiquant leur bambou.
Mon imagination me déborde, combien, font me fouiller mes entrailles.
J’oscille de plus en plus mon bassin, une houle de sensation me submerge.
«JĂ©rĂ©my possède moi, possède moi, s’il te plaĂ®t ! »
Deux mains m’ouvre ma vulve et je sens enfin la grosse bitte de Jeremy prendre possession de mon puits Ă jouissance. Mesdames, je ne sais pas pour vous, mais chez moi la grosseur du sexe qui me pilonne fait la diffĂ©rence.
Oui, j’aime les mecs TTTBM, j’aime ressentir mon vagin rempli.Je remue mon bassin pour que sa queue s’enfonce bien au plus profond de mon intimitĂ© et contracte mon pĂ©rinĂ©e pour mieux le ressentir.
Jérôme à côté me caresse.
C’est sublime, il me dĂ©fonce maintenant, avec de puissants coups de reins, j’ai mon fourreau Ă©largi et son sexe me rempli entièrement ;
Des feulements rauques sortent de ma bouche.
Me ventre se contracte en vagues successives Ă l’unisson de mon vagin et mon corps est pris de convulsions ;
J’ai une jouissance extrĂŞme.
Je m’affale sur le lit, la queue de Jeremy toujours puissamment plantĂ© dans mon vagin.
Je suis encore parcouru de spasme, l’attente a Ă©tĂ© longue, mais quel pied.
«Non seulement, tu as un trou a bittes entre les cuisses, mais en plus de te voir jouir comme ça, fait plaisir, Jérôme tu as trouvé la perle rare, tu vas voir ma chéri, on va te combler dans les semaines qui viennent. »
C’est maintenant, un gourdin qui transperce ma cheminĂ©e.
PlutĂ´t que de continuer, il sort de ma marguerite pour prĂ©senter son engin a l’entrĂ©e de ma petite grotte.
Il rentre le gland d’abord, juste le gland, ressort, puis rentre de nouveau, il me fait mouiller, quand il voit que j’inonde, il s’enfonce, d’un coup au plus profond de mes entrailles, je hurle, mais de plaisir.
Il s’acharne sur ma rondelle avec violence.
Au bout d’un moment, JĂ©rĂ´me, me demande de le chevaucher.
Je suis emmanché par deux matraques qui me martyrisent mes deux orifices.
J’ai un deuxième orgasme du cul et du clitoris en mĂŞme temps.
Je suis, au bord de l’Ă©vanouissement.MĂŞme, dans les moments les plus chauds de ma vie, je ne me rappel pas avoir joui aussi fort.
Ils me laissent récupérer, m’enlèvent la cagoule et oh surprise Jérémy est un grand noir, très costaud, la quarantaine.
Par contre petite déception, ils ne sont que tous les deux.
Moi, qui ne suis pas très fane des noirs, je vais devoir revoir ma copie car je suis déjà folle de sa queue.
Jérôme, me donne son pénis a sucer pour une fellation bien au fond de ma gorge, tout en lui pelotant les couilles.
Jérémy lui, se fini dans mon cul, dilaté.
Ils Ă©jaculent tout les deux a quelques secondes d’intervalle.
Grosse salope, grosse pute, trou a bittes, fusent de leurs bouches…..
Ils prennent aussi leur pied.On s’allonge tous les trois sur le lit.
Tout en me caressant, ils me disent :
«On a une proposition a te faire »
«Oui, quoi ? »
«Une collaboration gagnant/gagnant »
«Je vous écoute »
«VoilĂ , JĂ©rĂ©my a du travail Ă te proposer comme professionnelle du sexe, j’ai pensĂ© que tu avais toutes les qualitĂ©s pour rĂ©ussir, c’est pourquoi je lui es proposĂ© ta candidature, ta rencontre avec Paul tout Ă l’heure Ă©tait un petit test. »
«Je recherche des hĂ´tesses, si tu veux travailler pour moi, mon nombre de clients devrait avoir une croissance exponentiel, tu seras très bien payĂ©, en Ă©change, tu pourras ĂŞtre soumise a notre bon vouloir »«Vous voulez que je joue la pute pour vous et vous serez mes souteneurs, c’est ça »«Si tu veux, ce n’est pas comme ça qu’on le voit, mais ça y ressemble, tu en penses quoi ? »
«Je ne sais pas,c’est une drĂ´le de proposition que vous me faites, il faut que je rĂ©flĂ©chisse »
«Tu as tous les atouts sexuelles, avec un bel avenir devant toi, si j’en juge sur ta dĂ©monstration et si tu n’y trouve pas ton compte, tu pourras arrĂŞter quand tu veux »
«JĂ©rĂ´me te contactera par SMS pour ses collègues et moi pour le reste te ta clientèle, plutĂ´t des hommes BCBG et friquĂ© dans l’ensemble, on te communiquera aussi si c’est crĂ©ampie ou capote et tu pourras Ĺ“uvrer dans ma garçonnière sur Compiègne, ça te va ? »
«Je ne m’attendais pas, a devenir un jour, une vrai fille de joie, mais, mĂŞme si l’aventure m’excite, il faut que j’en discute avec mon mari »
«En attendant, je fais un book car je suis sur que tu vas faire un malheur et beaucoup d’heureux »
Jérôme, sort son appareil photo et me mitraille dans une trentaine de poses.Jérémy rebande et me fait remarquer que je lui fais un sacré effet, conclus par un :
«Monique, tu as toutes les qualitĂ©s pour gagner de l’or. »
«JĂ©rĂ©my a raison avec ton tempĂ©rament lascive et voluptueux …… »
«En plus des passes classiques, as- tu déjà pratiqué une séance bukkake , un gang bang, une partouze ou passer une soirée comme hôtesse? »
«Non, jamais, pourquoi ? »
«Ce sont des séances qui peuvent te rapporter entre 500€ et 1000€ »
«Laisse moi le temps de digĂ©rer ce flot d’information, je prendrais une dĂ©cision rapidement, mĂŞme si Ă chaud, je serais partante pour un petit essai. »
« Je n’insiste pas, rĂ©flĂ©chis Ă tĂŞte reposĂ©. »Ils sont de nouveau en pleine forme.
«Montre nous ton talent. »
Mon entre-cuisse est dévoré de nouveau par une voracité de sexe.
Ils se placent de chaque cĂ´tĂ©, m’ouvrent les cuisses, tripotent mon bouton rose et mes grandes lèvres bien rouges, ma rĂ©action est instantanĂ©e, ma cyprine commence a couler.
Je chevauche de nouveau Jérémy, Jérôme lui se place dans mon dos, frotte son sexe contre ma raie des fesses et me plante sa queue dans le trou béant de ma boite à ouvrage déjà occupé.
Je suis possédé par deux grosses queues.
Je pousse des petits cris de jeune vierge effarouchée.
C’est trop tard, ils sont engoncĂ© jusqu’Ă la garde, pour une double vaginal d’enfer.Ils commencent un va et vient qui me fait perdre la tĂŞte, je hurle maintenant de plaisir.
Mon ventre n’est qu’un spasme long et dĂ©vastateur.
JĂ©rĂ´me me chuchote a l’oreille que je suis trop salope pour refuser de faire la pute, que les hommes vont se succĂ©der dans ma fleur aux grandes pĂ©tales, que je vais ĂŞtre soumisse Ă leur volontĂ© et que je serais leur esclave sexuelle Ă tous les deux.
Ses paroles agissent comme un dĂ©tonateur dans mon cerveau, mes phantasmes resurgissent, je ne peux me retenir plus longtemps, l’orgasme est lĂ , violent et incontrĂ´lable.Ils continuent leur travail, Ă©vasent ma chatte Ă©cartelĂ©e par les deux dards et s’amusent Ă me dilater au maximum.
Au bout, d’une dizaine de minutes et Ă©jaculent leurs semences au fond de ma grotte.
Ils se retirent et me font constater que le gouffre de Padira ressemble a mon entre-jambes ;
«Tu vois ma chérie, là tu serais prête pour un gang-bang. »
Leurs spermes sort de ma fente et coulent le long de mes fesses.
«Bande de salops, j’aime ça, faites de moi votre esclave sexuelle, faites que ma vrai nature, prenne le pas sur ma conscience. »
«Oui, ma chĂ©rie, on va faire de toi notre chose et te faire gagner de l’or « en barre ». » Afin, de recouvrer nos forces, ils dĂ©cident d’aller fĂŞter notre future accord au restaurant et de passer aux choses sĂ©rieuses après le souper, prĂ©cisant la nuit va ĂŞtre chaude et pleines de folies.Mais, ceci est un autre chapitre de mon rĂ©cit. Pour rĂ©compenser mes lecteurs, une petite photo de ma fleur avec ses pĂ©tales Ă©cartĂ©, pure de toute dĂ©floraison.Et la suite si vous le dĂ©sirez.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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