Une soirée chez des amis 2
Après une première passe d’armes, la soirée se poursuit, toujours aussi intime.
Proposée le 1/01/2015 par biden Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: 2CPLLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Assis sur les fauteuils, Gilles et moi admirons le splendide 69 féminin que nos épouses respectives offrent à nos yeux.
– Joli coup monté, dis-je à Gilles.- Tu te trompes, rien n’était prévu. En tout cas pas de ma part. Quand Agnès a commencé à parler, j’ai tout simplement laissé filer, pour voir comment tout cela allait tourner. Si elle a prémédité quelque chose, elle s’est bien gardée de m’en parler.
– Je n’ai rien prémédité du tout.Pour parler, Agnès avait levé les fesses de Juliette, et son visage apparaît à peine sous la jupe que ma femme porte encore. Elles se redressent toutes les deux et s’assoient sur le sofa.
– Sur le coup, j’étais emportée par ce que je racontais, et quand j’ai pris conscience de ce que je disais, je me suis laissée aller. Avec vous, de toutes façons, cela ne pouvait pas prêter à conséquence.
– Je crois que si, intervient Juliette, la preuve.Et de porter sa main vers les seins d’Agnès, de les caresser, d’amuser les tétons.
– Tu as raison, lui dit-elle. Débarrasse-toi de tout ça.Et Agnès entreprend de finir de déshabiller Juliette, qui porte encore jupe, chemisier et soutien-gorge. Elle lui rend alors ses caresses et vient lui lécher les seins. Leurs mains se font à nouveau baladeuses et se promènent sur leurs corps, tandis qu’elles s’admirent mutuellement. Bientôt elles s’embrassent à pleine bouche et leur poitrines se pressent l’une contre l’autre.
– Eh bien, visiblement vous n’êtes pas rassasiées, commente Gilles.
– C’est sûr, dis Juliette, nous, quand on est parties à jouir, il nous faut plus de temps pour nous calmer. Et comme vous nous avez abandonnées…
– Tu vois bien qu’on est temporairement hors-jeu.
– Vous avez une bouche et des mains, je crois. Une fois que vous avez joui, rien ne vous interdit de vous en servir. L’orgasme d’une femme, ça se prolonge, ça vient par vagues successives de plus en plus fortes.
– Cela dit, Juliette, intervient Agnès, j’ai adoré te lécher le minou et y récolter la semence que mon homme y avait semé. C’était on ne peut plus excitant.
– C’était la première fois que je léchais un con, ajoute Juliette.
– Moi aussi, j’espère que ce n’est pas la dernière fois.Agnès dirige alors sa main vers le sexe de Juliette, y introduit un doigt puis deux et les fait aller et venir. Juliette se tend et profite pleinement de la caresse, visiblement jouit encore, sa main a saisi la nuque d’Agnès et plaque son visage sur ses seins que l’autre suce tout en continuant à la fourailler.
Puis Juliette repousse Agnès sur le sofa, lui écarte les jambes et la caresse en retour. Agnès a saisi la main de Juliette et l’appuie plus fortement sur son sexe, trois doigts s’enfoncent profondément dans son vagin tandis que le pouce titille le clitoris, et la tête d’Agnès part en arrière pendant qu’elle jouit manifestement.
Son regard se fixe alors sur Gilles, qui comme moi, contemple en silence le spectacle.
– Je crois qu’on va pouvoir en profiter à nouveau, déclare Agnès en désignant le chibre de Gilles qui recommence à gonfler.Mon pénis lui aussi donne des signes d’une nouvelle vaillance. Agnès a repoussé gentiment Juliette, s’est levée et se dirige vers son mari, vient se mettre à genoux devant lui, et s’empare de son braquemart qu’elle se met à caresser vigoureusement, puis elle se penche et lui aspire la bite entre les lèvres.
Juliette aussi s’est approchée, contemple un moment le tableau, puis imite notre amie et me rendant ma vigueur de la même façon.
– Nom de dieu, lance Gilles. Se faire sucer, c’est déjà très excitant, mais devant un couple d’amis, ça l’est doublement.
– Faut croire que tu es un d’exhibitionniste qui s’ignore, lui dis-je.
– Tu peux parler, me répond-il. Visiblement te faire pomper devant moi cela ne t’empêche pas de bander.
– Tu voudrais peut-être qu’on s’isole ?
– Non, le spectacle est bien trop bon.
– Et voyeur avec ça, ajouté-je en rigolant.
– Je ne suis pas le seul de la bande.Et nos deux femmes de lever un bras sans relâcher leur succion pour nous signifier qu’elles se comptaient dans le lot.
Je regarde alternativement Juliette me sucer et Agnès sucer Gilles, m’excitant encore plus à l’idée de faire cela devant d’autres personnes et de les voir faire de même.
Agnès sort alors la bite de Gilles de sa bouche.
– Bon c’est là qu’ils sont les meilleurs. Après la première éjaculation ils restent durs plus longtemps.
Elle plaque Gilles au fond du fauteuil et vient le chevaucher. D’où je suis je devine plus que je vois la verge s’introduire dans le vagin. Elle soupire d’aise instantanément, pendant qu’elle entame des allers-retours de haut en bas pour profiter au mieux du piston. Je suis tellement concentré sur eux que je ne me suis pas aperçu que Juliette me chevauche aussi et que mon dard et au fond de son fourreau. Il faut dire que la caverne est parfaitement huilée et que le tout coulisse divinement.Pour la combler de plaisir, je caresse Juliette sur ses seins et partout où je peux atteindre son corps. Je voudrais bien lui titiller l’anus, mais ma position m’en empêche. Le va-et-vient de Juliette prend de plus en plus d’amplitude, elle se tourne vers Agnès et la regarde prendre du plaisir, tend sa main vers elle. Agnès lui prend et les deux se caressent les doigts en allant et venant de concert maintenant. Je sens tout à coup l’étreinte du vagin se resserrer autour de mon pénis, signe que l’orgasme de Juliette la submerge. Agnès lui serre maintenant les doigts, son plaisir doit lui aussi être à son comble. Lentement l’étau se resserre et ma femme descend doucement pour ne plus bouger, laissant ma queue entièrement engloutie par son gouffre. Agnès la regarde avec tendresse et délectation.Soudain, après un furtif hochement de tête d’Agnès, répondant probablement à une question du regard de Juliette que je n’ai pas capté, elles se lèvent toutes les deux subitement et échangent rapidement leurs positions en se caressant mutuellement au passage.En un éclair ma verge retrouve un gîte confortable. Agnès me chevauche et a repris ce petit mouvement qui lui fait monter le plaisir. Gilles est, de son côté, à nouveau calé au fond du vagin de Juliette, qui elle aussi est repartie dans les montagnes russes. Elles se sont à nouveau joint les mains comme pour communier dans leur jouissance qui ne tarde pas à éclater.
– Tu baises ma femme, je te signale, me dit Gilles.
– Un, ce n’est pas la première fois, je l’ai déjà fait il y a une demi-heure, deux tu fais bien la même chose avec la mienne et je ne te fais aucun reproche, trois je n’ai probablement jamais eu autant de plaisir.
– Moi non plus, me répond-il.
– Nous non plus, disent les deux femmes en chœur.
Puis Juliette se tourne vers Agnès.
– Tu baises mon mari, tu t’en rends compte ?
– Toi aussi. C’est crétin comme remarque, non ?
– Du moment que ça ne les fait pas débander…
– Visiblement c’est plutôt le contraire.Agnès a lâché la main de Juliette et a basculé le corps vers l’avant, ses seins viennent caresser ma poitrine, et elle me dépose un baiser chaste sur les lèvres.
– C’était très bon, dit-elle.Juliette s’est relevée, caresse la bite de Gilles, fais glisser sa main en remontant le long de son corps jusqu’à lui caresser la joue tandis qu’elle s’est placée derrière lui. Elle lui presse la tête en arrière, entre ses deux seins, puis vient l’embrasser sur la bouche à son tour.
– Pour moi aussi.
– Embrasse-le langoureusement comme tout à l’heure sur le sofa, lui demande Agnès.Juliette s’exécute. Elle saisit le menton de Gilles d’une main, entrouvre les lèvres et sort sa langue qu’elle introduit dans sa bouche. Puis leurs lèvres se touchent, et ils s’embrassent furieusement. Les langues passent d’une bouche à l’autre.
Agnès s’est relevée pour les regarder. Sa main vient saisir la pine de Gilles et lui astique.
– Tu veux la même chose, me demande-t-elle.
– Non. Ce n’est pas que je n’en ai pas envie, mais pour l’instant je vais rester dans le rôle du voyeur.De fait je me suis mis à me masturber en les regardant.
– Alors nous sommes aux ordres, ajoute Agnès.
Les deux autres ont figé leur baiser et me regardent du coin de l’oeil.
– En fait je crois que j’adorerai voir ton pénis disparaître dans le vagin d’Agnès. J’ai essayé de regarder tout à l’heure mais les accoudoirs du fauteuil m’ont caché la vue.
– Bien maître, me dit Gilles. Comment dois-je la prendre ?
– En levrette. Je crois que c’est comme ça que je verrai le mieux.Agnès se met alors à genoux devant le sofa, et écarta bien les jambes pour nous montrer son derrière et sa vulve accueillante. Déjà Gilles se mets en place derrière elle.
– Attends, dis-je. Lèche-la, d’abord. Tout : Le con et l’anus.
Gilles s’exécute, se met à genoux et entreprend de lécher le derrière d’Agnès, sa langue s’introduit dans le vagin, en ressort, glisse le long du périnée et vient lécher l’anus.
– Trais-le, dis-je à Juliette.
– Le traire ?
– Oui, caresse-le en lui passant la main entre les jambes.
Juliette officie, et je regarde le tableau.
– C’est bon, maintenant vas-y.Gilles se redressent, approche sa bite raidie du con de sa femme, et après avoir ecarté les grandes lèvres lui enfonce le dard dans le vagin jusqu’aux testicules. J’ai adoré voir l’engin disparaître.
– Va et vient, maintenant.Il se met en branle. Je vois la queue entrer et sortir tour à tour, tandis qu’Agnès entame une série de gémissements. Sa main placée sur son clitoris touche par moment la verge ou les couilles, qu’elle saisit même à un moment donné. Je trouve le spectacle jouissif.
– Au tour de Juliette maintenant. Juliette, même position qu’Agnès.
Juliette obéit et se place à quatre pattes à côté d’Agnès.
– Change de caverne, maintenant, ordonnais-je à Gilles.
Gilles sort d’Agnès, se déplace à gauche vers Juliette et présente son dard à l’entrée.
– Tu vois bien ? me demande Gilles.Il entre. Il sort, il entre à nouveau, sort encore et pistonne. Agnès s’est mise à genoux pour regarder, du coup son con est à portée de main de Juliette qui y enfonce un doigt.
– Interdit, lui dis-je. Je n’ai rien demandé.
Elle retire son doigt.
– Allez, on se retire. Gilles, allonge-toi sur le sofa.
– Attends, me dit Agnès.D’un geste elle abaisse le dossier du sofa et en retire la housse. Un confortable matelas couvert d’un drap nous attend alors.
Gilles s’allonge au milieu du sofa transformé en lit, sa bite toujours raide dressée vers le plafond.
– Agnès, viens t’empaler sur lui.
Agnès se lève, passe une jambe par dessus Gilles, puis se baisse pour s’empaler sur le dard dressé. Comme dans le fauteuil, elle entreprend d’aller et venir dans un mouvement de bas en haut.
– Juliette, vient te faire lécher.
Comme elle s’approche de moi, je lui rétorque :
– Non, va sur Gilles.Et elle passe elle aussi une jambe par dessus Gilles et fait atterrir son minou sur les lèvres de Gilles, comme elle l’avait fait plus tôt avec Agnès.
Gilles se met à lécher avidement, enfonce sa langue dans le vagin, puis son nez remplace sa langue pendant qu’il lèche le clitoris. Il ne néglige pas la rondelle. Les deux femmes se sont légèrement penchées en avant et s’embrassent à pleine bouche, à pleine langue et se caressent mutuellement les bras, le corps et les seins. Face à deux, debout, je continue de me branler la pine tout en m’excitant du spectacle. À nouveau les deux femmes resserrent le bassin pour jouir. Un râle de Gilles étouffé par le pubis de mon épouse m’indique qu’il n’est pas loin de jouir à nouveau.D’être voyeur ne me suffit plus. Il faut que je participe. Tout en continuant ma masturbation, je me place debout sur le matelas, je m’avance encore vers Juliette et Agnès, toujours liées par la bouche. Je voudrais qu’elles me sucent, l’une ou l’autre, ou les deux, mais elles ne décollent pas leurs lèvres. Alors je lâche ma verge, vient poser une main sur les cheveux de Juliette, l’autre sur ceux d’Agnès, et m’appuyant sur mes bras j’approche petit à petit ma bite du visage des deux femmes. J’en viens à les toucher, mon gland humide effleure leurs joues, ce qui provoque encore un surcroît d’excitation. Mais elles font toujours mine d’ignorer le jouet que je leur présente. Alors doucement je pousse ma verge et vient forcer le passage entre leur lèvres, qui s’écartent enfin très légèrement pour me laisser un passage étroit, qui fait comme un orifice dans lequel je me mets à aller et venir tandis que je sens leurs lèvres et leurs langues laper ma hampe et mon gland à leur passage. Quand je pousse, ma bite dépasse de l’autre côté de leur lèvres, mes testicules viennent alors au contact des commissures de mon côté. Quand je me retire, l’une puis l’autre alternativement se tourne légèrement vers moi pour prendre le bout du gland dans sa bouche.
– H’est-ce he hu hais ?Je crois que Gilles me demande ce que je suis en train de faire. Je lui décris par le menu ce petit manège, ce qui finit de l’exciter.
– J’ai inséré ma bite entre leurs deux bouches et elle me l’enserrent de leurs lèvres et de leurs langues. Ça va et vient, je crois que je vais jouir bientôt.
– H’ÉHACULE !!!Gilles est en train d’éjaculer dans le vagin d’Agnès, les gémissements qu’elle et Juliette émettent m’indiquent que notre excitation les comblent de plaisir, leurs caresses buccales se font alors tellement pressantes que je ne peux réfréner ma propre jouissance. J’éjacule, mon sperme jaillit, un peu dans la bouche d’Agnès qui me titillait le gland, un peu sur les joues de Juliette, le reste atteignant les mains que les deux femmes avaient placées dans le prolongement, jointes, pour intercepter le jet. Agnès vient sucer le sperme présent sur sa main et sur la joue de Juliette tandis qu’elle-même lèche les doigts de Juliette. Ma femme me prend alors en bouche entièrement et entreprend de me nettoyer à fond. Agnès s’est dégagé du vit de son mari, et opère de la même façon. Gilles relève alors le bassin de Juliette, qui se colle alors à moi, prend ma main et la plonge frénétiquement dans son sexe détrempé. Agnès effectue un demi-tour, la bouche toujours pleine de la pine de Gilles, et vient s’asseoir sur sa bouche de façon que son mari puisse récolter sa propre semence à grands coups de langue dans son vagin.J’ai souvenir qu’après, nous avons libéré Gilles de son étreinte exquise. Sans un mot, les deux femmes se sont allongées l’une contre l’autre, ont continué à se prodiguer des caresses toujours plus douces et câlines, chacune son époux lové dans le dos, une main sur un sein, le membre désormais au repos logé au creux des fesses, et nous nous sommes endormis.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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