Quiproquo 6

Quiproquo 6
La suite de ma vie de catin, avec mon premier gang bang …..
Proposée le 28/01/2017 par titine Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: InclassableType: Histoire vraie

Le dimanche arrive, enfin.
Le manque de relation sexuelle depuis vendredi, m’a mise dans un état d’extrême nervosité.
Le port de la ceinture a été une torture permanente.
Gène pour dormir, hygiène douteuse, ce n’est pas l’enfer, mais ça y ressemble.
J’embaume la pièce de mes odeurs.
Jérémy m’ôte enfin l’engin.
Il hume mon entrecuisse.
«Tu sens le phoque, j’adore.»
Il plonge sa tête dedans, je trouve ça repoussant, mais lui a l’air de se régaler.
Il me suce et me lèche, si bien le minou et le clitoris, qu’il me fait jouir rapidement.
L’attente a été longue, mais que c’est bon.
On prend un café.
On sonne et quatre gaillards noirs font leurs apparitions.
«Ils viennent se faire sucer, alors au boulot.»
Je suis nue, a genou devant quatre queues et je me mets au travail.
L’un des quatre se plaint, que je le suce mal.
Jérémy m’administre aussitôt deux coups de cravache sur les fesses.
«Applique toi.»
Je m’efforce de pratiquer, au maximum de mes capacités.
Je reprends trois coups avant qu’ils n’éjaculent tous dans ma bouche.
J’aime avaler le sperme.
Quand je pompe goulûment les hommes, j’aime garder leurs purées onctueuses, bien crémeuses et chaudes dans ma bouche.
Jérémy constate que je suis trempé et que j’ai giclé ma mouille sur mes cuisses.
«Tu es vraiment une grosse truie, fini la récréation, tu te laves car tu empestes, on mange et tu te prépares pour ta séance de cet après-midi. »
J’ai une certaine appréhension pour mon premier gang bang.Il me prépare en m’enfilant un écarte vulve et un spéculum dans mon postérieur.
Puis, il m’emmène dans un pavillon à Choisy au bac,
Avant de sortir de la voiture, il m’enlève les écarteurs, joue avec le capuchon de mon clitoris.
Je jouis sur le siège de sa voiture, laissant une belle marque vaginal.
«Maintenant, tu peux aller travaillé, tu es là pour ça, non. »
Il me mets un bandeau sur les yeux, un rosebud et on rentre dans le pavillon.
Je suis maintenant nue et Jérémy m’enlève le bandeau.
Un fauteuil de gynécologie est installé au milieu d’une grande pièce.
Deux spots éclairent celui-ci, une caméra sur pied est prête a filmer et il y a aussi un cameraman avec une petite caméra portable. .
Deux téléviseurs accrochés au mur passent des films pornographiques.
Il y a huit participants, tous noirs dans la salle et je suis sous les feux croisés des regards des mecs, qui me lorgnent d’un œil salace et libidineux, tout en étant un peu timorés.
Jérémy me place sur le fauteuil et dispose mes jambes sur les étriers.
Ma lubrification vaginale fonctionne à fond.
J’ai huit queues à traire, seize glands a vider, huit tiges a branler, a lécher et un bon jus de couille a récolter.
Le groupe s’avance et des mains vagabondent, sont partout sur mon corps.
Ma cramouille coule, tandis que des doigts me fouillent.
Un premier mec, se penche et me suce mes sucs abondants.
Je me rends compte, que deux mecs, ont des capotes.
Très vide, un premier pénis plonge dans ma cheminée et commence a se branler dedans.
Je suce les queues les unes derrières les autres.
Le premier envoi sa purée et laisse sa place au suivant, qui ne tard pas a en faire autant.
Je pense, au suivant, au suivant.,
J’engloutis les queues, je suis trempé de leur trop plein de sperme difficile a retenir.
J’ai la bouche engluée de liquide séminal laissé par deux participants.
Je suis un garage à bittes et la chose me plaît, même si j’ai compris, que le vœu de Jérémy se réalise, je ne peux jouir dans ces conditions.
Tous les participants me sont passer dessus et la deuxième tournée commence.
Je suis farci de sperme comme une dinde de farce, sauf un qui préfère ce vider en bouche.
Certains encore vaillants, remettre le couvert une troisième fois.
Une heure trente que je suis au turbin, enfin, Jérémy met fin à la séance.
Tout le monde part sauf le cameraman.
Jérémy soulage mes entrailles de la présence du rosebud.
Le cameraman baisse son pantalon et le remplace aussitôt.
«Putain, elle est aussi bonne du cul que de la chatte.»
«Je sais, c’est une sacrée gagneuse.»
Il ne peux se retenir plus longtemps et mon rectum reçoit sa dose en cadeau.
«Merci et reviens mercredi soir à dix huit heures, j’aurais besoin de tes services.»
Le propriétaire des lieux rentre alors, fait tomber son pantalon et m’enfile le cul en récompense.
Il fait durée son plaisir, un bon quart d’heure avant enfin d’envoyer son abondante liqueur, onctueuse et chaude, qui me remplit mon oignon bien défoncé..
Jérémy me lève du fauteuil, salut le propriétaire et on rentre.
«Tu as été parfaite, trois décharges dans ta bouche et dix-sept dans ta chatte, je suis fière de toi, voilà tes neuf cents euros de salaire pour ta prestation.»
«Oui, j’ai apprécié, mais je pensais qu’ils seraient plus nombreux.»
«Pas trop vite en besogne, tu verras que mercredi tu ne diras plus la même chose.»
«Et pourquoi, tu épargnes mon anus?»
«Tu te serviras de tous tes outils, quand ton cul et ta bouche seront obligé de soulager ta chatte qui aura trop servi.»
On rentre directement au studio, pour que j’y passe la nuit. Mon gang bang bukkake du mercredi.
Ma première orgie dans un manoir sur la région de Lille.
Mes trois jours passés avec un homme d’affaire sénégalais sur la région parisienne.
Mon rendez vous dans un hôtel de luxe sur Lille avec quatre coquins.
Tous cela ne sera jamais raconté, car je suis obligé de mettre fin à cette rubrique, faute de combattants, les lecteurs. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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