Relations interdites de Bernadette
La découverte des plaisirs entre filles avec Annie
Proposée le 26/10/2015 par nadettedu69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FFLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Je m’appelle Bernadette, Bibi pour les intimes, j’habite une grande ville du rhone, l’histoire que je vais vous raconter s’est passĂ©e il y a un peu plus de vingt cinq ans. Ă€ 30 ans, je n’avais encore jamais eu d’expĂ©rience homosexuelle et je n’en avais mĂŞme jamais eu le fantasme. Non pas que de voir des femmes ensemble m’eĂ»t dĂ©rangĂ©e, chacun mène sa vie comme il l’entend, mais en mon âme et conscience ce n’était pas mon truc. Aujourd’hui encore je ne pense pas ĂŞtre lesbienne, mĂŞme si souvent les apparences sont contre moi. En tout Ă©tat de cause, je ne me ressens pas comme telle. D’ailleurs, Annie mise Ă part, je n’éprouve vraiment aucun dĂ©sir de ce cĂ´tĂ©.La Annie en question est une petite brune mignonnette qui Ă©tait venue s’installer avec son mari près de chez nous. Aussi brune que je peux ĂŞtre blonde, mais Ă peu près le mĂŞme gabarit : 1 m 65, 50 kilos, petits seins pointus, fesses rebondies et petite foufounette très peu poilue, mais bien sĂ»r ça ne se voit pas quand les gens nous croisent dans la rue. J’ai tout de suite sympathisĂ© avec elle, dès les premiers jours en fait. Nous allions faire nos courses ensemble et je l’ai très vite affranchie sur tout ce qui peut ĂŞtre intĂ©ressant dans notre grande ville… En deux ou trois mois c’etait devenu une de mes meilleures copines. Je dois dire que c’était loin d’être le cas de nos maris respectifs. Je ne sais pourquoi mais ils n’ont jamais pu se blairer malgrĂ© nos efforts respectifs pour essayer de les rapprocher. C’est vrai qu’au dĂ©part ils n’ont pas beaucoup d’atomes crochus. Le sien est cĂ©rĂ©bral, spirituel, cultivĂ© et intellectuel alors que le mien est plutĂ´t du genre sportif Ă fond la caisse aussi bien dans les salles de sport que devant sa tĂ©lĂ©. Mais malgrĂ© tout ils auraient quand mĂŞme pu faire un effort d’autant plus que Jean est charmant et que Damien, malgrĂ© sa timiditĂ©, est très abordable. Mais non, il doit y avoir quelque chose de particulier dans leurs caractères respectifs, quelque chose de rĂ©pulsif qui fait qu’ils ne pouvaient pas se supporter. Et après avoir imposĂ© deux ou trois soirĂ©es, pendant lesquelles ils se sont regardĂ©s en chien de faĂŻence, nous avons dĂ©cidĂ© d’arrĂŞter. Et nous nous voyons sans eux, dans la journĂ©e, pour ne pas les dĂ©ranger.Nos rapports faits d’amitiĂ© et de complicitĂ© auraient pu rester ainsi toute la vie si un jour en rentrant chez Annie Ă l’improviste, je ne l’avais trouvĂ©e Ă moitiĂ© nue sur son canapĂ© et en train de se caresser. Elle Ă©tait allongĂ©e sur le dos, la tĂŞte posĂ©e sur l’accoudoir, la jupe complètement relevĂ©e et les cuisses largement Ă©cartĂ©es. Elle se branlait comme une folle en fermant les yeux et en se mordant les lèvres et avait l’air de vraiment prendre son pied. Pour moi c’était nouveau, c’était la première fois que je voyais une fille se caresser en rĂ©el devant moi-mĂŞme si bien sĂ»r je l’avais dĂ©jĂ vu dans des films Ă©rotiques. Aussi, je restai lĂ quelques instants par simple curiositĂ©. Simple curiositĂ© oui, aucun voyeurisme et aucun dĂ©sir trouble. Je pensais mĂŞme que j’allais m’éclipser pour la laisser tranquille et que je reviendrai plus tard. Partir Ă petits pas de loup comme j’étais venue, sans rien dire pour qu’elle ne se sente surtout pas violĂ©e dans son intimitĂ©, et j’allais le faire… Mais tandis que je reculais, j’entends une voix qui me dit :— Excuse-moi Bibi, je suis dĂ©solĂ©e, j’aurais dĂ» pousser le verrou pour faire ça.Et je la vois qui se redresse lentement.— Euh ! Non, c’est moi, j’aurais dĂ» frapper avant d’entrer.Et comme je continue Ă reculer :— Non, reste, tu ne me dĂ©ranges pas. D’ailleurs j’ai fini et je peux recommencer plus tard si j’en ai envie.
— Je suis navrée, je t’ai tout coupé ma pauvre.Elle éclate de rire.— Oh ! Arrête, ce n’est vraiment pas grave. Je ne t’ai pas choquée au moins ?
— Non pas du tout, moi aussi ça m’arrive. (Ce qui était vrai, bien qu’assez rare j’en conviens !)
— Et si on le faisait ensemble ? Tu penses à quoi quand tu le fais ?Je suis très gênée car je n’ai pas trop l’habitude de ce genre de confidence, même à ma meilleure amie.— Euh !
— J’aimerais te demander quelque chose Bibi mais je n’ose pas trop.
— On est copines ou pas ?
— Comme tu voudras ! Maintenant que tu m’as vue faire, est-ce que ça te gênerait beaucoup de me montrer comment tu fais toi, comme ça nous serions à égalité.Je suis sous le choc, je n’ai pas imaginé ça, inutile de dire que je n’ai pas du tout envie.— Euh…
— Si tu n’as pas envie dis-le-moi franchement, je ne t’en voudrai pas.Malgré moi, presque à contrecœur, je me vois relever ma jupe et commencer à me caresser maladroitement par-dessus la culotte. Je suis hyper gênée, d’autant plus qu’elle me mate les yeux grands ouverts. J’essaie de m’appliquer. Sans grande conviction, j’écarte ma culotte et glisse mes doigts entre mes lèvres fines. Elle n’en perd pas une miette. De son côté, elle a relevé de nouveau sa robe et a recommencé à se caresser. Elle ne porte pas de culotte et sa petite chatoune est presque entièrement rasée avec simplement une petite touffe en haut. Elle est plus douée que moi en tout cas. En plus je suis stressée, coincée, je fais cela entièrement pour lui faire plaisir, mais pour ma part je n’ai aucun plaisir. Elle s’en aperçoit bien entendu.— Allez viens Bibi, c’est juste pour rigoler, viens t’asseoir près de moi, si tu veux on arrête.Je viens près d’elle tout en continuant à la regarder. En passant à ses côtés, je sens son odeur qui me monte au nez, qui me monte à la tête. L’instant d’avant impersonnelle, maintenant je suis troublée. Alors assise à côté, je recommence à me caresser mais cette fois pour de vrai, je me sens mouiller, j’ai envie de plaisir et surtout je ne peux pas me détacher de l’odeur qui émane de son fruit. Alors je fais quelque chose qui me semble insensé, je me penche sur sa chatoune et pose mon nez sur sa touffe. Je suis bientôt saoule de son odeur, saoule et complètement excitée, ma langue glisse entre ses lèvres, ma bouche l’aspire, j’embrasse ce fruit défendu dans cette union qu’on dit contre nature. Et au lieu de me dire que je suis folle et de me repousser, la voici qui tombe en arrière pour m’offrir toute son intimité. Et moi de la lécher au plus profond de son ventre et de chercher son bouton d’amour avec ma langue…
Elle a ensuite caressé la moindre parcelle de ma peau, elle est descendu, puis remonté à coups de baisers frais qui me faisaient frissonner. Je ne savais jamais prédire où elle allait. Je sentais ses cheveux balayer ma peau. Puis sa langue humide et pointue s’est aventurée entre mes jambes.
J’ai perdu pied, je gĂ©missais, elle me lĂ©chait et je sentais en mĂŞme temps ses doigts m’emplir. J’ai jouis, puis elle est remontĂ©e vers moi, et on s’est blottit l’une contre l’autre, silencieuses.C’est ainsi que tout a commencĂ©. Et depuis c’était presque tous les jours malgrĂ© nos vies de couple et nos occupations professionnelles. On s’arrangeait toujours pour nous retrouver, ne serait-ce que quelques minutes, nous ne pouvions plus nous en passer. Et pourtant aucune de nous deux n’avait eu la moindre expĂ©rience fĂ©minine avant cette rencontre. Nous avions peu Ă peu appris Ă mieux nous connaĂ®tre, Ă apprĂ©cier nos rĂ©actions et Ă les domestiquer, Ă nous exciter mutuellement, en cherchant Ă nous donner le maximum de plaisir. Et vraiment c’Ă©taient des moments inoubliables.Quelques annĂ©es ensuite, elle et son mari ont quittĂ© la ville, alors on s’est Ă©crit, on s’est tĂ©lĂ©phonĂ©, puis les contacts se sont espacĂ©s, trop espacĂ©s, sa ligne ne rĂ©pond plus, sans doute a-t-elle dĂ©mĂ©nagĂ© une fois de plus…Je n’ai jamais remplacĂ© Annie, et jamais envisagĂ© de le faire… Je me masturbe en pensant Ă elle.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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