Retour à la nature (episode 1)
En 2751 un jeune homme avec le gène »ours » décide de retourner sur la terre, inhabitée par les humains, pour devenir un ours mais il va devoir faire face à des épreuves…
Proposée le 9/12/2016 par Un homme pressé Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
Je suis né il y a exactement 18 ans, avec un gène spécial, et aujourd’hui en l’année 2751 je m’apprête à l’exploiter et faire partie intégrante de ma famille.
Je suis actuellement dans ma chambre dans le gigantesque vaisseau spatial RT2393T. Les hauts dirigeants ont décidé de laisser la planète terre à la nature, après l’avoir nettoyé de plusieurs millénaires de déchèterie. Le dernier vaisseau va partir récupérer les derniers humains, je vais essayer de rentrer dedans et d’aller sur terre. Puisse la chance être de mon côté.Ça y est je suis sur terre, j’ai vu partir la dernière capsule la larme à l’oeil. Et maintenant je suis seul, seul humain fasse au monde. Aussi, je suis nu. Mes vêtements sont restés là haut. Je garde à liens très étroit avec la nature. C’est grâce à ce fameux gêne.
Il me permets un aller simple vers le monde animal. Je vais me métamorphoser en un ours mais le voyage va être long et dure.Ma première tâche est de trouver une ourse. Je vais aller voir dans les grottes.
Ça fait deux trois heures que je marche et me voilà face à une caverne accueillante. J’entre à intérieur et vois une bête entrain de dormir, je sens son odeur. C’est bien une ourse. La bête se réveille, grogne, se retourne, grogne, me vois et fonce dans mes bras pour m’enlacer. Aucun moyen d’esquiver. Après quelques secondes interminables, elle dit en ours.-Cela fait des années que je t’attends, tu es comme je l’imaginais… Un humain bien bâti avec de la prestance.
-Je ne sais pas quoi répondre… les mots me manquent pour décrire la façon dont nous nous parlons.
-Aucune idée, tu veux manger ? J’ai assez pour deux.
-Volontiers, le voyage a été difficile.Tout ce dont nous parlons est simple, court et chaste.
Mais je mange comme un sauvageon et ça n’a pas l’air de déranger mon hôte. On attend quelques choses peut-être ? Tout ce que je sais, c’est que je devais venir ici. En face de moi, l’ourse veut montrer qu’elle est sûr d’elle mais l’odeur de la timidité est dans l’air. Nous nous regardons, elle se lève, s’approche de moi, je me lève à mon tour et nous nous embrassons. La difficulté de description dépasse largement l’entendement.
Moi qui n’y croyais pas viens de vivre un énorme coup de foudre.
Je lui embrasse le cou et entre caresses et soupirs de bonheur, elle s’assoit sur le lit de branchages et m’attire vers elle. Mon pénis dur comme jamais se rapproche dangereusement de son corps. J’arrive à distinguer un léger sourire sur sa gueule. Nos gestes sont maladroit, de peur de vexer l’autre. Je prends ses pattes et pendant quelques secondes nous nous relâchons nos muscles tendu.
Ma compagne se retourne et je commence à la pénétrer en levrette. Suis je entrain de coucher avec un animal ? Une ourse qui plus est ? Le super prédateur ? En tout cas malgré être un animal sauvage, elle reste extrêmement propre. -Tu as la bite d’un véritable ours
-C’est toi qui me fait banderNos mots sont primitifs tout comme nous, mais crieurs de vérité. Son doux pelage m’excite beaucoup, nous sommes tous deux au bord de l’orgasme et réunissant mes forces, je pousse deux fois plus mon pénis dans cette boule de poils. Nous jouissons et lâchons un râle en cœur. Je sens ma semence se lâcher en elle. Je me retire de ma partenaire et m’allonge à côté d’elle.
Peaux contre poils, nous restons le reste de la nuit slalomant entre les caresses. Elle me raconte ça vie, moi la mienne et nous nous endormons heureux et amoureux.Le lendemain matin je me réveille seul, debout très rapidement je cours autour de l’antre chercher ma nouvelle compagne. La première en vérité, et la dernière. Je n’ai besoin de personne d’autre. Je la trouve près d’un cours d’eau, elle me regarde, je lui sourit et saute dans ses pattes. Elle m’enlace, trop mais pas assez. Nous nous lâchons et elle me propose une pauvre bestiole qu’elle vient de chasser -Merci beaucoup… Mon cœur…Les deux dernières syllabes furent difficiles à sortir malgré tout -Moi aussi je t’aime, et il faut que je t’emmène voir mon père. Il saura te donner ta véritable forme. Nous prenons la route vers l’ouest, moi sur son dos à lui faire des papouilles.
Après deux heure de voyage. Nous arrivons devant un attroupement d’ours. Il y en avait un plus grand que les autres.-Le plus grand, c’est mon père. C’est le chef de clans. C’est lui qui va te mettre en transe pour que tu passes des épreuves. Si tu y arrives, tu te reveilleras en ours et nous vivrons heureux loin de ces monstres.Le père de ma « femme » nous regarde et rugit-Tiens voilà ma fille ?!! Avec un humain ? Bien !!! Approche petit être.Je descends. Tous les ours mâles se mettent autours de moi et de leur maître. -Tu sais que tu vas t’endormir et que ce que tu seras quand tu te reveilleras ? D’habitude, le test est un examen de force mais la, je l’ai changé. Il est plus… torrideIl se met à me soufflet un gaz soporifique qui commence à me paralyser-Quand j’aurais fini, tu vas t’endormir.Tant dis que mes paupières tombent, « l’Alpha » me retourne et me sodomise. J’entends ma partenaire hurlait de tristesse à ma place retenu par plusieurs autres ourses. Je sens le mastodonte me ramonner l’anus à sec et vois des dizaines d’ours qui se masturbent face à moi. Je sens plusieurs pénis dans ma bouche a tours de rôle, certes moins gros que le pénis de la taille d’un avant bras qui me détruit l’anus mais qui me giclent tout dans la bouche.
Je suis secoué comme un pantin et j’ai du mal à dire si cela me plaît.
Le mâle dominant me lâche son liquide au fond de mon trou et je tombe en transe.Les ennuis ne font que commencer.J’espère que cela vous a plu, si c’est trop bizarre ou trop tordu dîtes le moi ^^ © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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