Retrouvailles
Après notre première rencontre, nous nous retrouvons avec un immense plaisir.
Proposée le 24/04/2015 par Ludwig Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Nous nous sommes quittĂ©s sur le quai de la gare comme deux amoureux dans un film. Je l’embrassais avec tendresse et je plaçais mes mains autour de sa taille me permettant quelques incursions sur ses fesses que sa jolie jupe me laissait entrevoir. Nous nous sommes dit au revoir et elle est partie, mon cĹ“ur s’est brisĂ© mais j’allais bientĂ´t la revoir.Je l’ai retrouvĂ©e chez moi deux semaines après, elle a acceptĂ© de faire le voyage pour venir me voir. Je suis allĂ© la chercher Ă la gare. J’avais tout prĂ©parĂ©, rangĂ© mon appartement, transformĂ© ma garçonnière en nid d’amour. Je l’attendais de pied ferme.
Elle est arrivĂ© sur le quai, nous nous sommes Ă©treint avec passion, nous nous sommes embrassĂ©s, nous nous sommes câlinĂ©s autant que faire se peut sur le quai de cette gare balayĂ© par des vents glaciaux. Je l’ai prise par la main, sa valise dans l’autre et je l’ai conduite Ă ma voiture. Elle Ă´tĂ© son manteau et me dĂ©voila un joli dĂ©colletĂ©. Elle avait un cache-cĹ“ur rouge duquel dĂ©passait un filet de la dentelle noire de son soutien-gorge. Ses seins laiteux ressortaient et son sillon mammaire s’offrait Ă mes yeux. Elle portait des bottes en cuir qui lui arrivaient mi mollet, des bas que sa jupe nĂ©gligemment relevĂ©e me faisaient dĂ©couvrir. Elle me regardait avec envie et je me noyais de dĂ©sir sur son corps de dĂ©esse. Je fermai ma porte non sans y laisser passer un dernier courant d’air ce qui fit pointer ses seins. Je sentis une Ă©rection pointer Ă travers mon pantalon.
Je ne pouvais parler, je ne pouvais rien faire d’autre que la regarder encore et encore. Tout en elle m’incitait Ă la dĂ©sirer. Je n’avais envie que d’elle.Je dĂ©marrais et elle posa sa main sur ma main droite qui passait les vitesses. Elle me caressait dĂ©licatement les doigts de sa peau de soie et glissa vers ma jambe. Ce qui n’Ă©tait qu’un petit dĂ©sir devenait une grosse Ă©rection. Je me sentais raide et elle le sentait. J’avais du mal Ă me concentrer sur la route et j’obliquai vers une nationale droite pour allonger le chemin. Elle me caressait dĂ©licatement, sans rien dire, juste Ă travers mon pantalon, elle se jouait de ma bosse et elle savait vraiment ce qu’elle faisait. J’accĂ©lĂ©rais et je pris la direction de chez moi après ce dĂ©tour.Nous arrivâmes et je la conduisis vers mon appartement. J’ouvris la porte, la laissai entrer et posai sa valise non loin de la porte. Je l’Ă©treignis et elle se frotta contre moi augmentant si c’Ă©tait encore possible mon Ă©rection. Je la plaquais contre le mur, fort, sauvagement. Je l’embrassais avec passion, jouant avec sa langue. J’avais mes mains sur ses hanches. Je la retournais et je la mis face Ă la porte. Je l’embrassais dans le cou, des deux cĂ´tĂ©s. Mes mains caressaient ses fesses, ses hanches, ses flancs. Je me frottais contre elle et sa respiration augmentait.
Ses fesses se frottaient toujours contre mon sexe très dur. Je relevais sa jupe et caressais ses fesses Ă mĂŞme la peau. Elle respirait fort, passait sa main autour de ma tĂŞte alors que je lui dĂ©vorais le cou. J’ouvris ma braguette, enfilai une capote en deux secondes et je le prĂ©sentai devant sa chatte. Elle se cambra en un instant, j’Ă©cartai la ficelle de son string en dentelle et je rentrai d’un seul coup en elle. Elle gĂ©mit d’un râle de plaisir alors que je rentrais jusqu’Ă la garde dans son puits d’amour. Elle Ă©tait trempĂ©e, gonflĂ©e de plaisir. Je la prenais sans autre forme de procès. Un viol consenti.Elle se cambrait et gĂ©missais pour que je la fasse jouir. Je la pilonnais avec force, je la tenais par les hanches, ma queue profondĂ©ment en elle. Sa jupe relevĂ©e, toute habillĂ©e, je la prenais comme elle l’aimait, avec force et passion. Je donnais tout ce que j’avais, j’y allais fort, et plus je forçais, plus elle gĂ©missait. Elle Ă©tait trempĂ©e de dĂ©sir, excitĂ©e comme une folle.J’accĂ©lĂ©rais et je sentais son orgasme proche, le mien aussi. Je donnais un dernier effort et elle jouit fort en mĂŞme temps que je lâchais un jet sur ses fesses. Elle m’embrassa alors avec passion, très fort et Ă©talait mon sperme sur ses fesses avec ses doigts.
-J’ai toujours rĂŞvĂ© qu’on me prenne comme ça. Merci pour ça. Ce soir, tu auras tout ce que tu voudras.
-Merci Ă toi de m’exciter Ă ce point, lui rĂ©pondis-je.
La soirée se présentait bien, plus que bien.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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