Romantique mais chaud
Après plusieurs mois de rupture, je retrouve Marion que je dĂ©sire sauvagement. Elle est une personne qui peut vraiment paraĂ®tre très soumise au lit et moi j’apprends Ă devenir de plus en plus maĂ®tre de mes pulsions pour la voir jouir car la voir jouir est une thĂ©rapie profonde de l’âme 🙂
Proposée le 5/11/2021 par Dramakween Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Ce que je dĂ©sirais tant est enfin arrivĂ©. Moi, Marion. Moi vs Marion. Moi vs son corps que j’admire. Elle et moi ensemble dans une chambre -elle me tourne le dos et moi je suis lĂ debout derrière elle, je la regarde debout, noble et fière malgrĂ© sa nuditĂ© partielle car elle a dĂ©jĂ otĂ© son jean’s et son pull moulant, mon regard se fixe au niveau de sa nuque, descend sur ses Ă©paules puis jusqu’à ses fesses. Je suis Ă un mètre d’elle. Pour que je puisse la toucher il va falloir que je me rapproche mais pour l’instant je me contente de laisser mon regard se promener le long de sa silhouette. Je vais me rapprocher doucement quand mĂŞme, le premier organe de ma personne qui sera en contact avec elle, avec son corps, ce sera mon nez, Ă 1 cm de sa nuque afin de sentir ses effluves corporelle et l’odeur de ses cheveux, je devrai contrĂ´ler mes mains pour pas qu’elles ne se dĂ©tendent trop vite Ă vouloir l’attraper par les hanches en la serrant contre moi. Non, avant de l’enlacer, d’abord j’apposerai doucement les doigts de ma main lĂ oĂą se creuse un arrondi entre ses fesses et sa cage thoracique, oui lĂ je commence Ă appuyer doucement, mais elle, sous l’influence de mes doigts sur sa cĂ´te droite frĂ©mit de tout son corps. Elle me tourne toujours le dos et tremble lĂ©gèrement et puis tout doucement je rapproche mon corps du sien jusqu’à ce qu’elle sente mon dĂ©sir qui peine Ă ĂŞtre contenu. Ă€ partir de lĂ , je rentre dans son espace intime. Elle y consent et son corps ne rĂ©pond plus Ă sa raison apparemment. Je la serre contre moi. Avec tendresse et fermetĂ©. Je cherche son dĂ©sir en fermant les yeux. Je l’attends. Pour mieux attendre je respire profondĂ©ment. J’attends que son dĂ©sir se manifeste. Patiemment. J’ai une nuit devant moi et elle aussi. Nous sommes seuls dans cette chambre. Elle entend juste mon cĹ“ur et j’entends le sien. Il oscille entre rĂ©bellion et soumission, entre cruautĂ© et douceur absolue. Moi je suis lĂ avec mon dĂ©sir. J’attends doucement. Je ne peux cacher mon dĂ©sir car il est un arc qui se tend. Et j’attends comme ça. Juste tout contre elle. Je respire son odeur. Un peu fou, un peu maigre mais musclĂ© un peu turbulent, un peu Ă l’écoute. Mon dĂ©sir se tourne vers elle et sa poitrine que je sais alourdie par deux belles mamelles blafardes. Dans l’attente, le temps s’écoule lentement, je me place comme ceci ou comme cela par derrière, je cherche le bon angle d’attaque prenant sur moi de ne rien brusquer-pour l’instant s’entend! Rien ne presse. J’attends avant d’oser descendre mes mains plus loin. J’attends le signe de son corps pour me donner la direction car si je m’écoutais, lĂ tout de suite , j’irai frĂ´ler de mon index le dĂ©but de l’arrondi de ses fesses. J’attends de savoir ce qui les recouvre encore ou si elles sont nues car j’ai les yeux fermĂ©s et juste son odeur en moi et j’ai senti qu’elle se dĂ©barrassait d’un bout de tissu. Mon souffle dans le creux de sa nuque je la laisse dĂ©cider, en imaginant dĂ©jĂ la durĂ©e qui s’écoulera entre le moment ou ma bouche prendra la place de mon index et le moment prĂ©sent. C’est elle qui installera le tempo.En fait juste une minute passa ainsi mĂŞme si elle me parut durer une heure avant que je ne commence Ă m’agenouiller derrière le cul de Marion qui avait dĂ©jĂ perdu son emballage de dentelle. Je presse dĂ©sormais ma bouche contre ses fesses parfaites, arrondies et fermes elles sont douces et sentent bon. Mon nez s’aventure vers sa fente, je suis en extase, ma queue commence Ă devenir douloureuse tant elle est tendue, je suis mĂŞme obligĂ© de me dĂ©barrasser de mon slip qui ne sert plus Ă rien sauf Ă entraver mon membre brandi.Â
Mes lèvres parcourent de son cul Ă ses cuisses puis je meurs d’envie qu’elles aillent se promener de l’autre cĂ´tĂ©, je fais tourner son corps en appuyant de part et d’autre de ses cuisses et Marion maintenant me fait face , enfin sa chatte me fait face…. L’ardeur de mes pulsions me rendent un peu plus grossier, un peu moins romantique parceque je la sens mouiller de plus en plus, parceque je la sens frĂ©mir et que je sens l’appel entre ses cuisses chaudes et cela nous fait entrer dans un cercle vicieux dans tout les sens du terme. Ce qu’elle me montre c’est un corps que j’ai envie de possĂ©der de plus en plus bestialement et elle ne fait rien pour le cacher ce corps que je dĂ©sire. Au contraire, elle si prude normalement Ă©carte ses cuisses de manière obscène. Je ne peux plus rien voir d’autre, j’approche la bouche de son Ă©picentre et un peu de sperme coule de ma queue en tension extrĂŞme. Je me dĂ©lecte de son odeur, de son goĂ»t… pendant plusieurs secondes interminables je nage dans un truc indescriptible, un marĂ©cage de voluptĂ© oĂą plus rien n’existe…Puis je tire ma langue plus en avant, j’essaye d’aller le plus loin possible dans sa fente….Et je ressors pour simplement la lĂ©cher du haut en bas de sa vulve comme une glace au pralinĂ©. Je tourne lentement au niveau de son clitoris puis je descend jusqu’au bas de son vagin, je me dĂ©lecte de son goĂ»t Ă©picĂ© et je lutte pour mettre ma queue en stand-by.Marion sans un mot depuis tout Ă l’heure me regarde et voit ma queue toute tendue prĂŞte Ă exploser, elle me caresse les cheveux comme un petit chat affamĂ©. Elle essaye Ă prĂ©sent de me relever , agrippe mes cheveux pour ramener mon visage au niveau du sien en tirant vers elle mes joues, mon menton, tout ce que ses mains peuvent attraper; alors ma langue sort de son antre et se retrouve sur sa bouche. Elle me chuchote Ă l’oreille :« j’aimerais te sentir en moi »« MĂŞme si je voudrais lĂ©cher ta queue. LĂ tout de suite je n’en peux plus, j’ai envie que tu me prennes! » « envie de te sentir tout au fond ».
Je ne me fais pas prier et commence Ă enfoncer mon gland entre les lèvres de son sexe. Elle ruisselle…
-veux-tu que je touche ton cul en mĂŞme temps ? lui dis-je
-Oui s’il te plaît mets moi un doigt. Oui comme ceci c’est trop bon.
Maintenant mon doigt de la main gauche s’enfonce par derrière elle et ma queue qui est bien longue et large la remplit complètement. Elle gémit comme une assoiffée dans le désert et cherche avec sa bouche quelque partie de mon corps ou mon visage à lécher ou à téter. Elle est à ma merci. Je l’amène vers le lit au beau milieu de cette chambre à présent remplie de nos odeurs corporelles.
Nous devenons animaux. Je la serre en la fourrageant pendant un temps interminable en me mettant au dessus de son dos et ses fesses.
-je vais bientôt jouir chéri
Je continue Ă la maintenir contre moi, sous mon emprise, moi aussi je vais bientĂ´t exploser, j’attends son tour d’abord. Ma tĂŞte est au dessus de la sienne et sa bouche Ă elle contre le drap. Elle pousse des gĂ©missements de plus en plus saccadĂ©s puis en un long râle vient s’éteindre contre moi tout en gardant un peu encore ma queue dans sa chatte. Elle ferme les yeux de bĂ©atitude. 30 secondes passent puis elle les rĂ©ouvre, voit ma queue bandĂ©e Ă 20 cm d’elle attendant sa dĂ©livrance, elle me prend en bouche , fais quelque va et vient avec sa langue -il n’en faut pas plus pour me mettre le coup de grâce- puis me fait dĂ©charger avec ses mains d’un seul coup car j’étais vraiment au bord de l’implosion. Je n’ai presque jamais joui aussi fort. Ma semence fuse tout le long du lit et ma chienne esquisse un petit sourire de bĂ©atitude. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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