Room service
Franck, un jeune avocat international part au BrĂ©sil pour dĂ©fendre un client. Il pose ses valises dans un palace de Rio oĂč il est accueilli par une ravissante rĂ©ceptionniste…
Proposée le 13/12/2015 par Sam Senzo Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: pratiques sexuellesPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Valises sous les yeux, bagages Ă la main, Franck arrivait au BrĂ©sil pour un voyage professionnel. Dans le taxi depuis lâaĂ©roport international jusquâau palace oĂč il avait rĂ©servĂ© une suite, le brillant avocat sâimmergeait en saudade, une sorte de nostalgie positive, propre Ă la culture brĂ©silienne, dans laquelle tout un chacun aspire Ă se rĂ©fugier. Rio de Janeiro brillait de soleil et de fĂȘte. Les plages paradisiaques mettaient en scĂšne sportifs et naĂŻades dans un dĂ©cor de rĂȘve. MĂȘme sâil nâĂ©tait pas venu pour le farniente, mais pour dĂ©fendre un jeune Français, accusĂ© de trafic de drogue, le jeune avocat se montrait enthousiaste Ă lâidĂ©e de retrouver un pays oĂč, Ă©tudiant, il avait passĂ© un semestre Ă parfaire son portugais, langue qui lâavait toujours fascinĂ©. ArrivĂ© Ă lâhĂŽtel, ses affaires prises en charge, Franck franchit les portes-carrousel. Il dĂ©couvrit un temple du luxe oĂč le marbre rose confĂ©rait Ă lâambiance gĂ©nĂ©rale une touche de glamour, un brin sophistiquĂ©e. Le Hall, immense, rĂ©vĂ©lait un design moderne oĂč des Ă©crans gĂ©ants diffusaient des clichĂ©s des plus beaux sites de la ville. Au milieu de cet espace futuriste trĂŽnait une fontaine gigantesque, entourĂ©e de plantes vertes rappelant la luxuriance de lâAmazonie : poumon Ă©cologique de la planĂšte. Soudain, une voix douce et enjouĂ©e lui pria de sâavancer vers le comptoir. Franck allait pouvoir sâacquitter des formalitĂ©s dâenregistrement ; dĂ©marche nullement fastidieuse, au vu de la beautĂ© magnĂ©tique de la jeune rĂ©ceptionniste : une grande brune incendiaire aux yeux noisette et expressifs. Ses cheveux dâĂ©bĂšne tombaient en cascade sur son bassin. Tandis quâelle lui souhaitait la bienvenue au sein de la prestigieuse institution, lâhĂŽte baissa les yeux vers son badge, fixĂ© sur une poitrine ferme et gĂ©nĂ©reuse. Non pas quâil voulut se rincer lâĆil au lit de son dĂ©colletĂ©, mais le jeune homme ne pouvait rĂ©sister Ă la tentation de connaĂźtre le prĂ©nom de ses interlocuteurs ; ces derniers affichant leur identitĂ© en Ă©tendard. La demoiselle rĂ©pondait au nom de Cintia.
« Monsieur Tournier, vous avez rĂ©servĂ© la suite Leblon pour 15 jours. Vous allez disposer dâun confort inĂ©galable ; lâoccasion pour vous de vivre une expĂ©rience inoubliable. Jacuzzi, minibar, grand bureau, Terrasse avec vue sur mer ; nul doute que vous apprĂ©cierez votre sĂ©jour. Bien entendu, tout le personnel se tient Ă votre disposition pour satisfaire la moindre de vos envies ». Lui dit-elle, les yeux plantĂ©s dans les siens. Elle lui remit la clĂ© ainsi que le dossier de rĂ©servation et le salua dâun sourire Ă dĂ©choir un ange de son nuage. Sa voix, lĂ©gĂšrement cassĂ©e, envoĂ»tait Franck et, avant mĂȘme quâil ne puisse reprendre ses esprits, un groom lui proposa de lâaccompagner.
ArrivĂ© sur le pas de la porte, il remercia lâemployĂ©, lui remit un gracieux pourboire et investit ses appartements. La chambre, somptueuse, baignait dans une atmosphĂšre immaculĂ©e bordĂ©e de plinthes grises. La lumiĂšre irradiait les lieux. Sur la terrasse, la vue, spectaculaire, offrait un vis-Ă -vis sur un paradis terrestre : la baie de Rio. Son Ă©merveillement fut interrompu par un tambourinement de porte. Il se prĂ©cipita pour aller ouvrir : derriĂšre se tenait un rĂȘve Ă©veillĂ© : Cintia, plus belle que jamais : « Je vous prie de mâexcuser, Monsieur, je me permets de vous dĂ©ranger un instant, car vous avez oubliĂ© votre portefeuille Ă la rĂ©ception ; je me devais de vous le remettre en personne. » Cette Ă©tourderie trahissait sans doute un moment dâĂ©garement, engendrĂ© par les charmes de la jeune BrĂ©silienne : « Et bien vous voilĂ prĂ©venue ! Je vis plus dans la lune que sur la terre ; câest pour cette raison que je descends toujours dans des 5 Ă©toiles, car jâai besoin, parfois, dâĂȘtre assistĂ©. Entrez ! Je vous offre un verre pour vous remercier. » Proposa Franck, reconnaissant. Cintia marqua quelques secondes de silence, esquissa une moue hĂ©sitante, regarda autour dâelle et se dĂ©cida finalement Ă franchir le seuil de la porte. GĂȘnĂ©e, lâinvitĂ©e surprise jugea opportun de se justifier : « Câest que, normalement, je nâai pas le droit dâentrer dans les chambres des clients, mais, aprĂšs tout, jâai terminĂ© mon service et puis je vous trouve touchant ». Lança-t-elle au Français. Il nâen fallut pas davantage pour farder dâĂ©rubescences les joues de ce notable respectĂ© et respectable. Il lâinvita Ă sâasseoir dans le petit salon et lui proposa une coupe de Champagne quâelle accepta volontiers. Ses yeux pĂ©tillaient de bĂ©atitude et dâintimidation devant lâincongruitĂ© de cet instant. Elle qui travaillait, depuis deux ans dĂ©jĂ , au milieu du raffinement, nâavait pourtant jamais pris le temps dâen admirer tous les atours. Elle ne savait pas sâil fallait en ĂȘtre subjuguĂ©e ou incommodĂ©e. Franck sâassit prĂšs dâelle et trinqua avec la jeune femme qui dĂ©gageait des effluves dâun parfum vanillĂ©. La fragrance Ă©veilla en lui une attirance irrĂ©pressible. Comme invoquĂ© par le regard de braise qui le brĂ»lait, le beau blond aux yeux verts posa sa coupe sur la table, devina lâindicible et rĂ©duisit lâespace abyssal entre ses lĂšvres et la nuque de la jolie brune. Il y dĂ©posa un long baiser, missive de son dĂ©sir. Cintia closit les paupiĂšres et inclina la tĂȘte comme pour mieux sâabandonner Ă la dĂ©licatesse. Elle laissa Ă©chapper un soupir furtif, mais profond ; lequel incita le magistrat Ă resserrer son Ă©treinte. Mains sur ses hanches, il chercha sa bouche et lâembrassa fougueusement. Ils sâeffeuillĂšrent mutuellement, religieusement, chacun rĂ©vĂ©lant Ă lâautre des dessous, jusque-lĂ dissimulĂ©s par les convenances. BientĂŽt Cintia lui apparaissait, divine, en sous-vĂȘtements chics de dentelle noire, offerte. Il la contempla longuement, comme un prĂ©ambule Ă toute belle histoire. Affriolante, sa silhouette fit naĂźtre une protubĂ©rance aiguĂ« dans le boxer de Franck. Il entrouvrit les cuisses de la diablesse et en inspecta les pores en doux baisers, des chevilles jusquâĂ lâaine. Il respirait lâessence exotique de sa peau, enivrĂ© par des senteurs de monoĂŻ et de mĂ©tissage. De son cĂŽtĂ©, Cintia se laissait Ă©lectriser par le courant de ses instincts, bientĂŽt devenu alternatif. Elle se toucha par-dessus le string : des petits mouvements circulaires qui, bientĂŽt, firent pousser des pĂ©tales de dĂ©sir Ă travers le tissu de sa petite culotte. Franck poursuivit son ascension vers le triangle tant espĂ©rĂ© ; il dĂ©lesta la jeune femme du textile, dĂ©jĂ humide de cyprine, et le porta aux narines pour en humer toutes les essences, avant de le jeter Ă lâautre bout de la piĂšce. Plus rien, dĂ©sormais, ne le sĂ©parait du fĂ©lin de la fĂ©line. Il voulait lâapprivoiser, le caresser. Il y posa sa paume pour en sentir la chaleur et plongea la tĂȘte au creux de cette chatte cĂąline. Il lâeffleura du bout des lĂšvres, il la sentait languir sous ses caresses fugitives. Puis, dans un geste de dĂ©livrance, il en lĂ©cha les contours pour rejoindre progressivement le centre nĂ©vralgique, berceau de la jouissance. LĂ , il fit danser sa langue autour de son bouton puis le suçota avec dĂ©lectation. Il redescendit pour visiter sa petite fente quâil pĂ©nĂ©trait, avide de goĂ»ter Ă son antre rosĂ©. AprĂšs avoir Ă©cartĂ© toutes ses tentures, il laissa tomber un rideau de salive au creux du vagin et le lĂ©cha sur toute sa longueur. Cintia mouillait beaucoup et semblait en vouloir encore : « Vas-y bĂ©bĂ© ! Doigte-moi maintenant ! Franck ne tarda pas Ă sâexĂ©cuter. Son index et majeur supplantĂšrent sa langue qui, elle, revint sâoccuper de son pain de sucre. LâĂ©phĂšbe la savourait entre le toucher et le goĂ»t, favoris de ses cinq sens. Le tempo imposĂ© instaura, entre les deux amants, une harmonie enchanteresse. Franck jouait juste, autant en clitoridien quâen vaginal. Les gĂ©missements de la belle trahissaient une voluptĂ© non dissimulĂ©e. Le plaisir, en cet instant, libĂ©rait une libertine incarcĂ©rĂ©e. Elle ne voulait plus seulement susciter le plaisir, mais aussi le provoquer. Alors, elle se redressa, attisa des flammes Ă ses yeux, fixa sa proie du regard et, dâun geste vif, lui baissa le boxer, dâoĂč sortit une queue dâĂ©talon, tendue Ă son maximum. La nature avait copieusement garni la virilitĂ© de Franck ; laquelle nâeffrayait pas le moins du monde la rĂ©ceptionniste, qui lâempoigna et la masturba dâun massage sensuel. Dans un ultime regard, la fougueuse Latine titilla, du bout de la langue, le gland dĂ©calottĂ© du bellĂątre. Elle ne sây attarda pas, prĂ©fĂ©rant repolir la poutre de la base Ă la cime pour ensuite redescendre au plus bas pour lui gober les testicules. Elle les suça, les aspira toutes entiĂšres puis dĂ©cocha un commentaire salace : âTu aimes ça hein ? Et bien moi aussi ! Je vais maintenant engloutir ta grosse biteâ. Franck nâeut pas le temps de rĂ©pondre ; Cintia enfourna le membre turgescent dans sa bouche et lâavala, par bribes, comme un boa le ferait avec une proie prise entre ses crochets. Le membre entiĂšrement avalĂ©, Franck exerça une pression sur la tĂȘte de la gourmande pour rester bien au fond de sa gorge. Au moment de reprendre sa respiration, un filet de sperme la rattachait encore Ă la proue de son partenaire ; lequel lâattrapa par les cheveux et lui baisa la bouche sans mĂ©nagement. Il aimait entendre le son flasque du tamponnement de son gland contre la glotte de la pervertie. Le mercure de la lubricitĂ© grimpait. Sans prĂ©venir, Cintia dĂ©grafa son soutien-gorge, libĂ©rant une poitrine volumineuse, remontĂ©e, propice Ă accueillir en son sein le timon des fantasmes masculins. Sans hĂ©siter, elle pressa la verge, tendue, contre ses 95 D naturels pour une branlette espagnole, digne des meilleurs films pornographiques. Elle serra fort le membre entre ses deux seins. PĂ©trie, malaxĂ©e, lâanguille pointait parfois le bout de son nez au-dessus des vallons pour se jeter Ă lâembouchure de lĂšvres accueillantes. Cintia frictionnait vigoureusement le sexe du jeune homme ; ce dernier sentit sa raison vaciller. Il aimait dĂ©finitivement ce pays.Franck nâen pouvait plus. Il fallait, sans plus tarder, chevaucher cette amazone peu farouche. Il se cala dans le fond du sofa ; Cintia, dos Ă lui, vint sâempaler sur son pieu en Ă©rection. Une fois encore, il laissa la BrĂ©silienne diriger les hostilitĂ©s. Accroupie sur lui, elle mut ses hanches dans une danse tribale autour de son totem. Elle voulait que lâustensile la fouillĂąt entiĂšrement…. profondĂ©ment⊠puis la cadence accĂ©lĂ©ra, la bestialitĂ© sâemparait de leur humanitĂ© dans un coĂŻt primitif. LâĂ©rotisme laissait place Ă la luxure. Il Ă©tait temps dâessayer dâautres acrobatiesâŠ
Franck avait envie de levrette et Cintia le lut dans son dĂ©sir. Elle se mit Ă quatre pattes sur le lit, tĂȘte sur lâoreiller, la croupe relevĂ©e, dans lâattente dâĂȘtre possĂ©dĂ©e. Lui sâapprocha en mouillant deux doigts, quâil passa ensuite comme un onguent sur la vulve. Il eut envie de cunnilingus furtif et ne se fit pas prier. Ce fut dĂ©licieux…. mais cette vision de lâanatomie fĂ©minine le poussait, irrĂ©mĂ©diablement, Ă sâenfoncer en elle.
Une main sur le cou, lâautre sur la hanche, il la pĂ©nĂ©tra, doucement, dâabord, puis plus violemment, jusquâĂ accĂ©lĂ©rer, la prenant plus sauvagement encore. Cintia criait et sâabandonnait complĂštement : âDĂ©liciaaaaa, gostosoooooooo, quĂ© bom ! Le plaisir, exprimĂ© en portugais, pimentait davantage le plaisir de Franck, toujours avide dâĂ©vasion. Il sentait que la bomba latina voulait aller encore plus loin. Il savait aussi, pour connaĂźtre les BrĂ©siliennes, quâelles avaient peu de tabous. Il stoppa net son va-et-vient pour tenter une approche discrĂšte vers son anus. Il Ă©carta les deux globes et initia une caresse buccale dans son sphincter. Ses gĂ©missements se firent plus doux, plus saccadĂ©s. Elle se caressait tant cette intrusion imprĂ©vue lâexcitait. La fleur de rose sâouvrait sur un terreau fertile. AprĂšs quelques mouvements de langues circulaires autour de lâorifice, Franck osa une pĂ©nĂ©tration linguale. Cintia apprĂ©ciait : âOui comme ça, jâaime que tu me lĂšches le culâ. Son excitation la rendait crue, elle nâĂ©tait plus cette aimable et sĂ©rieuse rĂ©ceptionniste dâun palace oĂč les bonnes maniĂšres restaient de mise : elle Ă©tait en train de se faire laper lâanus par un inconnu et elle y prenait Ă©normĂ©ment de plaisir ; elle ajouta : âMaintenant câest ta bite que mon cul rĂ©clame, sodomise-moi ! Maintenant ! Lâanulingus avait bien humectĂ© et dilatĂ© les lieux ; il suffisait dây aller prudemment.
Franck y alla sur la pointe du gland, progressivement, mais, bien prĂ©parĂ©, ce terrain ensevelit rapidement les corps les plus robustes. Sa queue disparut, dĂ©vorĂ©e. Cintia fondit de bonheur dans un soupir trĂšs sexuel. Franck fit alors coulisser son trombone de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il lâempoigna par les cheveux et la sodomisa Ă©nergiquement pendant quâelle se titillait le clitoris. Cintia transpirait, frissonnait, haletait sous les coups de reins saccadĂ©s ; elle jouit copieusement dans un cri de libĂ©ration. Franck sâextirpa ; il voulut se soulager Ă son tour. Elle le comprit et se retourna pour faire face Ă celui qui avait su lâemmener au-delĂ dâelle-mĂȘme. Elle le prit en bouche. Elle le suça rapidement, voracement, tout en le masturbant. Il Ă©jacula dans un rĂąle de petite mort. Elle avala, dâune traite, son sperme, avant de nettoyer, rigoureusement, de sa langue, chaque parcelle du membre crachant les derniĂšres gouttes dans dâultimes spasmes.Les deux amants sâembrassĂšrent et sâendormirent cĂŽte Ă cĂŽte, nus, encore embrumĂ©s par les vapeurs de lâorgasme. Les pieds revenus sur terre, la luciditĂ© illuminĂ©e de nouveau, Franck regarda sa veste, cintrĂ©e sur la chaise de bureau. Lâombre dâun doute le recouvrit soudain. Sans bruit, sans rĂ©veiller la nymphe endormie, il se leva et inspecta la poche intĂ©rieure du costume. Il y trouva son portefeuille qui, vraisemblablement, nâavait jamais Ă©tĂ© malencontreusement dĂ©laissĂ© sur un comptoir de rĂ©ception. Il se retourna vers Cintia, il sourit. Il Ă©tait heureux.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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