Sandra, nymphette vicieuse (3)
– Viens !Â
Elle comprend ce que cela signifie, et abandonne son travail. Sagement, elle vient se mettre à mon côté, les mains dans le dos. Je suis nu devant l’ordi, la queue raide. Elle regarde ma pine en érection, le rouge aux joues..
Proposée le 23/07/2018 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Sur l’ordi j’ai téléchargé des images de Noirs aux bites gargantuesques en train de sodomiser des blondes aux nichons énormes.
Je la laisse un instant regarder, j’observe ses réactions. Je vois son regard aller de l’écran vers ma queue dressée. Elle a les yeux brillants.
– Frotte-toi !
Elle met sa main dans sa culotte et commence à se branler pendant que je fais défiler les images.Â
– Tu aimes ?
– Oh oui, monsieur…
Je glisse une main entre ses cuisses. Sa culotte est humide. Je la tâte, sa chatte est toute chaude. Elle écarte les cuisses, je joue avec sa culotte, j’enfonce l’étoffe dans sa chatte et la branle ainsi. Elle se trémousse, elle mouille de plus en plus, elle coule.
– Petite salope, ça t’excite, ces grosses queues noires… Tu en aimerais sûrement une ou même plusieurs, partout ! Tu en a déjà goûté ?
– Non monsieur…
– Je t’en offrirai… Si tu es obéissante…
– Oh, merci monsieur !
Une envie perverse me saisit. Je me couche sur la moquette.
– Viens-là …
Elle sait ce je j’attends d’elle et se met debout au-dessus de moi, les jambes écartées.Â
– Joues… Montre-moi comme tu joues…
Avec une moue de petite fille vicieuse, elle me demande :
– Avec ma petite culotte, monsieur ?
Par-dessus sa culotte, un doigt glisse sur sa fente, frôle la base du clitoris, elle sursaute. Sa main se ferme sur sa chatte entière, la triture.
Son vagin s’ouvre sous la petite culotte. Elle se tourne, ses doigts coulent vers son anus, elle frissonne. L’index presse sur la rondelle, plusieurs fois, Ã travers le tissu, l’enfonce.
Est ce qu’elle fantasme ? Imagine-t-elle un vieil homme qui la touche, dans un lieu public ?
Elle frotte ses cuisses l’une contre, provoque une caresse indirecte sur son clitoris. Le tissu s’humidifie. Sa main tire sur l’étoffe qui glisse entre les lèvres qui s’écartent. Son clito pointe. La culotte se mouille encore.
La caresse devient fébrile. Elle tremble, place son index sur l’étoffe, pousse le tissu trempé dans le con ouvert, palpitant. Le petit slip est trempé, sa fente ouverte est grosse. Les doigts s’enfoncent, frictionnent, pressent le tissu sur la chatte brûlante, sur le clito en feu.
Elle jouit, pousse de petits cris, gémit, l’orgasme la secoue. Sa mouille coule sur ses cuisses, quelques gouttes se perdent sur le sol. Elle est cramoisie, respire fort.Â
– Viens sur ma bouche…
Elle s’accroupit et s’assied. Elle plaque sa culotte trempée sur ma bouche et commence à bouger. Je l’aspire, la mords, la tète à travers le tissu trempé, la bouche pleine de son con charnu. Elle commence à se masturber contre ma bouche. Elle sent fort, elle coule, elle couine. Je sens mes couilles durcir. Je veux juter.
Je la repousse :
– Enlève ta culotte !
Elle retire sa culotte et s’agenouille entre mes cuisses. Elle sait ce que je veux. Elle drape ma pine dans la culotte et commence à me branler. Ma queue palpite, mes couilles se rétractent, mon gland suinte…
– Suce !!
Elle a à peine le temps de se jeter sur ma pine et de l’engouffrer, que je m’entends rugir sous un orgasme qui n’en finit pas. Elle garde ma queue dans sa bouche, la petite vicieuse aspire littéralement mon jus à travers sa culotte.
Je reprends peu à peu mes esprits… Je lui ordonne de se reculotter et de finir son travail. Mais j’en veux plus encore. Aujourd’hui, je veux lui faire sentir ma queue.
Il me faut moins de temps que je ne l’imaginais pour récupérer des forces. Une demi-heure plus tard, je l’appelle dans mon bureau.
– Lèche !
Elle s’accroupit, s’empare de ma bite, la prend dans sa bouche.
– J’ai dit lécher, pas sucer ! Lèche-moi. Fais moi bander en me léchant comme une petite chienne !
Elle obéit, sa langue glisse sous mon sac, titille mes couilles. J’écarte les jambes, immédiatement sa langue se faufile entre mes fesses, se pose sur le trou du cul, puis repart vers les couilles. La petite chienne est douée et s’applique. Ma pine est maintenant à nouveau bien raide :
– Arrête !
Accroupie, elle lève les yeux. Les cuisses largement ouvertes, je vois sa culotte réduite à une mince bande d‘étoffe trempée, qui s‘insinue entre ses lèvres et ses fesses.Â
– Tu as désobéi ! Je t’ai ordonné de me lécher. Tu as voulu me sucer. Je vais devoir te punir !
Elle a son regard de fausse sainte-nitouche en disant :
– Pardon monsieur… Mais… Vous pouvez me punir, si vous voulez… Tante Fernanda me punit aussi, parfois… Elle me donne la fessée…
La petite vicieuse aimerait vraiment être fessée !
Alors je lui ordonne, comme une gamine qu’on punit, de se coucher en travers de mes genoux. Dans cette position, j’ai sous les yeux son cul potelé, moulé dans sa petite culotte encore humide de sa mouille et de mon sperme.
Je lui met une main entre les cuisses, par-dessous. Elle se laisse palper le con et le cul à travers sa culotte. Mais une gamine vicieuse mérite une punition. Alors je baisse sa culotte et lui enfonce mon pouce dans le vagin.
La tenant ainsi, je la soulève en l’air pour l’obliger à bien écarter les fesses, et je me mets à la fesser. Je fais rougir tout son cul. J’adore la frapper sur l’anus et pincer son clito. Elle perd toute pudeur, elle trépigne et me supplie d’une voix rauque de frapper encore plus fort.
– Plus fort, plus fort… Faites-moi mal ! Faites-le bien rougir ! Je veux qu’il brûle… Oh, encore, monsieur, encore, punissez bien votre salope ! Oh que j’aime ça… Oh oui, sur le trou… Sur la fente, enfoncez les doigts… Oh mon dieu, je vais crier… Je vais crier, mettez votre main sur ma bouche, je vais ameuter les voisins !
Je la fesse à tour de bras. Et à chaque claque, sa mouille gicle entre mes doigts. Quand elle a le cul rouge, je la remets sur pied. Je contemple les larmes qui baignent son visage.
Elle se plaint tout bas :
– Oh ce que vous êtes méchant. Comme vous m’avez frappée fort ! Oh, pourquoi êtes-vous si méchant avec moi ?
– Parce que tu aimes ça !Â
Et c‘est vrai. Elle aime ça !
– Maintenant, que tu as le cul bien chaud, je vais t’enculer, petite salope.
Je la retourne et la penche à plat ventre sur mon bureau. Je viens me placer derrière elle. Encore secouée par les sanglots, Sandra empoigne ses fesses des deux mains et les sépare pour m’offrir son cul. Le derrière en feu, elle attend…
– Enculez-moi, monsieur. Vous pouvez me faire tout ce que vous voulez !
Je me penche, ma langue la parcourt du con au cul, boit une coulée de mouille. Un animal en rut qui lèche sa femelle avant de la couvrir, qui la prépare pour la saillie. Je suce, je mordille, je mords. Je grogne et elle vagit, je râle de désir et elle balbutie.
– Oui, oui, oui…
Je me relève. J’appuie ma bite contre l’anus, la frotte contre son petit trou. Sandra couine, bouge son fessier. Ma queue glisse plus bas, et j’en promène le gland dans la fente du con.
– Oh oui…
J’enfile mon gland dans l’entrée du vagin. Je joue avec son con de cette façon, n’y introduisant que le gland, tout en lui taquinant le clito de l’index, de façon à ce que son excitation monte encore. Son vagin s’ouvre, je n’aurais qu’une poussée à donner pour la pénétrer.
Je glisse une main sous mes couilles dans la fourche de ses cuisses, et je la branle. Mes doigts patinent dans la mouille qui tapisse sa muqueuse. Quand je saisis son clitoris, elle ne peut retenir un cri…
— Ouiii ! ! !…
Je reviens vers son cul. Comprimant mes couilles entre mes cuisses, je l’encule. J’y vais lentement, c’est bon, et puis je suis au fond de son cul, mes mains accrochées à ses fesses. Elle geint :
– Oh monsieur… Elle est si grosse !
Je bande maintenant comme un cerf. Fou, je l’encule avec une vigueur qui ébranle le bureau. Elle s’ouvre, elle m’avale dans son cul. Je la sodomise comme une bête et elle hurle qu’elle en veut encore et encore, elle me supplie de faire d’elle une chienne. Et elle jouit à nouveau, cette fois longuement, couinant :
– Ahh, oui, oui !! Ouiiiii monsieur, encore, encore ! Jutez !!
Ce que je fais en lâchant mon jus. Je remplis son cul. Je gicle si longuement en elle que j’ai l’impression de me vider entièrement… De son côté, elle râle comme une bête à l’agonie.
La bite encore dedans, je reprends mes esprits. Elle est silencieuse, le souffle court…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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