S’envoyer en l’air
Une mĂŞme histoire racontĂ©e Ă tour de rĂ´le par la femme puis l’homme…
Une double narration (pas de lapsus) permettant de voir les plaisirs de l’un et de l’autre, les non-dits et les questionnements deux ĂŞtres charnels, nus, Ă©rotiques et Ă©rogènes. FrĂ©mir, jouir, s’Ă©panouir.
Proposée le 12/10/2018 par alain40 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
M’envoyer en l’air !Quarante ans ! Je venais d’avoir quarante ans ! C’Ă©tait mon anniversaire ! Et par la mĂŞme occasion mon vingtième anniversaire de dĂ©pucelage… oui j’ai fait l’amour pour la première fois le soir de mes vingt ans. Il s’appelait StĂ©phane, grand, charmant, sans ĂŞtre beau mais d’une sensualitĂ© envoĂ»tante. Quand je ferme les yeux, je ne me rappelle que du toucher ferme de ses fesses que je pĂ©trissais quand son dard charnu me pĂ©nĂ©tra moi et mon hymen… Souvent je referme les yeux seule dans mon lit pour y repenser et quand je visualise cette scène, son cul bombĂ©, c’est lĂ que s’enfonce mon god en moi d’un coup sec Ă m’en refaire saigner cet hymen qui n’est plus que virtuel. Les tĂ©tons pointĂ©s vers le ciel, je m’envole, essoufflĂ©e et cambrĂ©e.Tout a Ă©tĂ© bien fait : soirĂ©e surprise, amis, amant etc… Et cadeaux Ă©videmment. Et lĂ encore l’envol… Non pas celui auquel vous pensez petites lubriques et vilains coquins… Quoi que…
Ils ont dĂ©cidĂ© de m’offrir entre autre un baptĂŞme de parachute. Les beaux jours arrivant, je dĂ©cide de m’inscrire et de brave ma hantise du vide?
Dans la salle de briefing, j’Ă©coute sĂ©rieusement et laisse quelqu’un d’autre que moi demander s’il y a un risque que le parachute ne s’ouvre pas. Je ne passerai pas pour une idiote, bien que je le sois.
Le monsieur avec les aurĂ©oles estivales sous les bras nous explique que l’on ne va pas sauter seul, mais en binĂ´me avec un instructeur… pas lui, pas ce Jean Claude Duss qui va m’asphyxier par ses aisselles, non pas lui s’il vous plaĂ®t. Divine surprise.
StĂ©phane (oui c’est fou!), sera mon instructeur. Heureusement qu’il est charmant, car la peur du vide me faisait hĂ©siter Ă rentrer dans l’avion. Mais lĂ je ne peux plus refuser… La quarantaine sĂ»rement naissante, ses premières rides sur son corps de jeune homme lui donnent un peu de profondeur. Son sourire maĂ®trisĂ© aurait tendance Ă me faire craquer… Je vais me sentir en sĂ©curitĂ© entourĂ© de sa carrure musculeuse.On s’attache l’un Ă l’autre, moi lui faisant dos. C’est un peu gĂŞnant mais il est sympa et je me sens dĂ©tendue.
3..2…1… et nous plongeons dans le vide, ventre vers le sol. Je vole, je me sens lĂ©gère. Je n’ai plus peur. C’est beau !
Mais dans ce paradis non terrestre, quelque chose me turlupine. Je sens le harnais le long de mes fesses. C’est bizarre. Ça ne me dĂ©rangeait pas au dĂ©but. Ou alors… ou alors il bande ? La proximitĂ© de sa verge est de mes fesses ne formeraient donc plus qu’un ? Mais oui il bande ! Pour une surprise … Je ferme les yeux et me laisse aller Ă ces Ă©tranges sensations… Je suis en apesanteur, attachĂ©e Ă un homme inconnu qui a la queue raidie, la force du vent me fait vibrer de partout (oui de partout), et je me laisse tomber. Je frissonne. Je fais frotter mes cuisses comme je peux pour sentir mon entrejambes qui s’ouvre Ă cette nouvelle aventure. Je gĂ©mis doucement de plaisir. Je ne sais rien de son vit : petit, gros… ? En tout cas je sais qu’il est dur.
Je me laisse planer… oui je plane…
Mais avant que je jouisse le parachute s’ouvre. Trop tĂ´t. Et je le sens dĂ©bander. Je ne saurai jamais s’il a juste repris ses esprits ou s’il s’est ramolli après avoir vous savez quoi…
Il se remet Ă me parler l’air de rien. Mais tu t’es fait plaisir ducon ! Fais le moi savoir. Je ne t’accuse pas de frottage… je suis juste bandante et tu Ă©tais collĂ© Ă moi de fait. Ah oui je ne vous ai pas dit, je suis bandante ! Assez petite et fort mince, j’ai un fessier adorable. Ni anguleux ni gras, ni plat ni celluliteux, musclĂ© mĂŞme. Ma peau mate de mĂ©tisse originale (thailandaise par ma mère et brĂ©silienne par mon père, je ne sais pas oĂą ils ont bien pu se rencontrer ceux-lĂ ) est d’une douceur sucrĂ©e. Mes yeux en amande ajoutent une coquetterie un peu allumeuse. Mes seins ? Bon passons ; et puis ça m’Ă©vite de me faire trop tripoter comme une vache Ă mamelles. Ma bouche ? Je vous y attend… Mon sexe ? Chaud, luisant, fin, accueillant, et profond…Mon anus ? On se calme… sauf si tu sais insister un peu… Mes cheveux ? Noirs bien sĂ»r, et courts pour mettre mon minois en valeur. Mes jambes ? Petites et fines. Mes mains ? Baladeuses et curieuses ? Ça y tu me vois ? Oui c’est Ă toi que je parle parachutiste lubrique…Le sol approche…fini le rĂŞve aĂ©rien…« Alors ? » Me dis-tu. Mais quoi alors, « alors toi? » plutĂ´t…Qui a pris son pied ? Ok tous les deux. Il a les yeux brillants… il a joui j’en suis certaine Ă prĂ©sent.
Mais comment te revoir maintenant ? Quel prétexte ?
« Je donne aussi de deltaplane si vous n’avez pas eu trop peur ! Voici ma carte avec mon portable. Je m’appelle Jed. » VoilĂ plus besoin de prĂ©texte. Je m’en retourne chez moi.Une douche vite. Propre je me jette sur mon lit Ă peine sĂ©chĂ©e. Je ne veux pas me rhabiller. Je veux repenser Ă ce moment en lĂ©vitation. Mon traversin Ă la place de mon harnais se colle Ă moi. Hum… ce frottement … Je me cambre et dĂ©bute quelques va et viens. Ce n’est plus du tissu, c’est un corps entier auquel je me frotte. Mon clitoris bande. La taie de traversin devient humide. Je suis belle dans ce lit. Impudique seins contre lit, fesses contre plafond. J’ai besoin d’une bite. J’ai pas de god. Ma petite lampe torche fera l’affaire. Je veux me voir excitĂ©e et excitante, et me fait face au miroir. Je me caresse les seins ; mes tĂ©tons se font durs tandis que mon vagin est pĂ©nĂ©trĂ© en douceur. Je t’imagine sur moi Jed. Je râle, prononce des « hum », des « ahrrhh », des… Le plaisir devient exponentiel. Je goĂ»te mes doigts trempĂ©s, c’est sa sale je me dis, mais c’est d’autant meilleur. Mon souffle et court. Je vais jouir de mon clitoris que je masse Ă©nergiquement. Ma lampe m’amène au ciel… il y-aurait-il un gĂ©niĂ© Ă l’intĂ©rieur. Je crie maintenant, je viens, je viens… Dans un dernier souffle je m’effondre extĂ©nuĂ©e de cette journĂ©e.Je veux dormir mais n’y arrive pas. Je pense Ă toi mon cochon.
00h00 ; il n’est pas trop tard pour t’envoyer un SMS ? Oui sĂ»rement mais je le fais.
« Merci pour cette journĂ©e. C’Ă©tait très agrĂ©able pour moi.. Pour toi aussi j’espère. Lucille ».
Mais diantre, il n’y a pas que mes yeux qui sont allumeurs.
« Pour moi c’est mon mĂ©tier » me rĂ©pond ce connard.
« Je crois que tu es allĂ© bien plus loin que ton mĂ©tier… »
« C’Ă©tait très bon » avoue t-il enfin.
« Ah oui très très bon et Ă recommencer…. » j’ajoute. « C’Ă©tait bon de s’envoyer en l’air quand-mĂŞme ». Je ne suis plus une allumeuse lĂ … plutĂ´t une salope. « Tu veux recommencer ? » me propose t-il .
Il n’est pas si timide l’Ă©jaculateur aĂ©rien.
Je feins de comprendre… « Tu as un avion si tard Ă me proposer… »
« Non un lit. »
Cinquante minutes trop logues plus tard plus tard il Ă©tait chez moi.
Je n’avais pas fermĂ© la porte. Il est rentrĂ© Ă tâtons. Il m’a trouvĂ©e dans le salon face Ă lui, assise nue sur une chaise, une cravate Ă peine nouĂ©e autour du cou, une jambe ua sol, l’autre pliĂ©e sur la chaise… Oui comme Pretty Woman attendant Richard Gere.Il s’est approchĂ© de moi en enlevant son t-shirt. A ouvert sa ceinture. J’ai dĂ©boutonnĂ© son pantalon et ai fait glisser sa braguette le long de sa verge (il avait prĂ©vu de pas mettre de caleçon). Elle n’Ă©tait ni grande ni petite, mais fièrement dressĂ©e. Mes lèvres vinrent l’enserrer sous son râle de plaisir. Mes mains accrochĂ©es Ă ses fesses accompagnaient ma bouche qui le gobait. Ses couilles Ă©taient lourdes malgrĂ© qu’elles se soient vidĂ©es ce matin. Douces et rasĂ©es, elles Ă©taient bonnes Ă mordiller.
Il me tira par le bout de ma cravate m’amenant Ă me coucher ventre sur le lit. Il s’est agenouillĂ© puis a baladĂ© ses mains sur tout mon corps, puis s’est fait plus prĂ©cis en s’engouffrant dans ma fĂ©minitĂ© la plus humide. Ce que ses mains Ă©taient fermes et savaient oĂą m’emmener, Je ne pouvais contrĂ´ler de petits cris sauvages. Sa bouche est venue se dĂ©poser sur mes fesses. Sa langue sortie m’explora l’anus qui se dĂ©tendait. Il sortit une capote… le moment tant attendu allait arriver… Sa verge se rapprocha de ma chatte, mais je le l’arrĂŞta et lui sussura « Encule moi »… ces deux mots sont d’une vulgaritĂ© extrĂŞme mais susurrĂ©s, devienennt d’un vertige ahurissant. J’avais les bras en croix quand il me dĂ©chira l’entrĂ©e obscure. Ses bras recouvraient les miens. Nous avions ainsi la mĂŞme position que lors du saut en parachute. Il bandait très fort. Je jouissais en permanence. Il Ă©clata en moi de jets violents.
C’est bon de s’envoyer en l’air.Encore m’envoyer en l’air.Encore un matin difficile. Le mĂŞme train-train. On se lève comme un zombie. Douche, cafĂ© et embouteillages Ă gogo.
Mais bon, il faut sourire et prendre du plaisir Ă ce que l’on fait.
Je suis arrivĂ© Ă la fin du briefing. Juste Ă temps pour entendre le con du matin demander s’il y avait un risque que le parachute ne s’ouvre pas. En gĂ©nĂ©ral on parie pour savoir quel blaireau posera la question. A tous les coups il va ĂŞtre pour moi celui-ci. Et bim, je regarde le tableau weleda,et voilĂ , je vais devoir me le farcir. Non, je ne vais pas le faire… non… ah ben si je suis entrain de le faire. J’efface son nom et met celui d’en dessous Ă la place. Petit tour de passe passe et me voilĂ Ă faire le G.O. avec Lucille.« Bonjour Lucille . Moi c’est StĂ©phane ».
Bon soyons clair, la première chose que je me dis en la voyant c’est : « waouahhhhou ».
Elle est jolie de partout. Ses yeux, la vache ses yeux… ils m’ont transpercĂ©. Mais qu’elle arrĂŞte de sourire je ne vais pas tenir. Non StĂ©phane ne baisse pas les yeux, non ne fais pas ça… Trop tard ! Quel corps. Elle est toute petite, mais pour rester poli, je vais dire qu’elle est super bien proportionnĂ©e.
Elle m’intimide. Je crois que c’est son regard qui ne me laisse pas de rĂ©pit. Elle me scrute, mo’bserve et m’Ă©pie. Soir je lui plaĂ®t soit elle est flippĂ©e de monter dans l’avion.Mais en gĂ©nĂ©ral elles sont plutĂ´t flippĂ©es de sauter de lĂ haut , rĂŞve pas grand imaginatif !
Je lui attache son harnais, le faisant passer sous ses cuisses. Elles sont si fines. Accroupi j’ai l’impression que je vais lui faire un cuni. Promis je ne suis pas un pervers, mais tout en elle incite Ă la chose. Elle respire la sensualitĂ© et rĂ©veille en vous quelque chose d’animal. Et je ne parle pas d’envie de cul, je parle d’envie de l’Ă©treindre, de jouir avec elle, en elle.
J’aime son parfum et sa nuque longue.
Elle se retourne et m’offre un dĂ©lice de fesses rebondies.
Je me concentre pour ne pas fixer mes yeux sur elle et du coup le reste de mon attention se relâche ; c’est alors que ma verge se tend. J’arrive Ă me contrĂ´ler et diminuer mon excitation.On va devoir s’harnacher l’un Ă l’autre.
Elle me jette un dernier regard avant que la porte de l’avion ne s’ouvre.
1…2…3… et on se jette dans les airs.
Face Ă ses fesses je kiffe. Mais je me remet Ă trop kiffer. Heureusement que le harnais nous sĂ©pare et qu’elle ne me sens pas durcir. Alors pourquoi me contrĂ´ler. C’est la première fois que je bande en sautant. C’est divin. Je sens son cul mouler mon gland qui se gonfle. Je voudrais la toucher, lui mettre un doigt dans la bouche, palper ses petits seins, mais je dois juste (c’est dĂ©jĂ pas mal) sentir ma bite lui frotter le cul.
J’entends des petits cris de sa part. Elle semble avoir un peu peur.
On est quand mĂŞme près du sol, et je me vois obligĂ© d’ouvrir le parachute qui d’un coup nous stoppe dans notre chute. Et bizarrement, c’est Ă ce moment lĂ que j’ai Ă©jaculĂ© dans son dos sans qu’elle ne se rende compte de quoi que ce soit.
Mon boxer semble trempĂ© quant nous atterrissons.. On se dĂ©samarre l’un de l’autre. Je lui souris en riant dans ma barbe. Dommage que nous nous arrĂŞtions lĂ . Je lui laisse quand mĂŞme ma carte de visite sous prĂ©texte que je travaille ailleurs, si elle veut connaĂ®tre d’autres sensations. Mais c’est plutĂ´t moi qui aurait voulu avoir sa carte. Elle ne ma rappellera jamais.Je rentre chez moi. Direction la douche. J’enlève mon boxer qui me colle de partout et qui sent le foutre Ă plein nez. Elle n’a pas du sentir que je bandais, mais j’espère que son odorat n’Ă©tait pas trop dĂ©veloppĂ©. Je me repaluche sous la douche machinalement en fermant les yeux. Je pense Ă elle
et je jouis rapidement sur la vitre de ma douche. Je vais me coucher directement. Fin de journée.Un SMS me réveille.
« Merci pour cette journĂ©e. C’Ă©tait très agrĂ©able pour moi.. Pour toi aussi j’espère. Lucille ».
Je vais être poli et lui répondre.
« Pour moi c’est mon mĂ©tier » .
« Je crois que tu es allĂ© bien plus loin que ton mĂ©tier… » Pourquoi elle me dit ça ? Elle m’a grillĂ©Â ? Je lui rĂ©pond quoi maintenant ? J’ai cru jouir comme un porc en toute discrĂ©tion. Elle va me faire virer ? De toute façon ridicule pour ridicule autant la jouer franc jeu.
« C’Ă©tait très bon »
« Ah oui très très bon et Ă recommencer…. C’Ă©tait bon de s’envoyer en l’air quand-mĂŞme ». Je relis quatre fois son message, ahuri et ravi. Et j’enlève mes dernières rĂ©serves
« Tu as un avion si tard Ă me proposer… »
« Non un lit. » Tout Ă©tait dit.C’est comme ça que je me suis retrouvĂ© chez elle dans l’heure.
J’arrive devant une porte entrouverte… C’est donc bien le lieu de l’invitation. Je passe une porte, puis deux et Ă trois mètres de moi, elle se trouve lascive et quasi nue (Ă l’exception d’une cravate autour du cou) assise sur une chaise, les jambes lĂ©gèrement ouvertes montrant sa chatte aux lèvres un brin Ă©cartĂ©es.
Elle est superbe. Je m’avance vers elle, en retirant mon t shirt. Me voilĂ Ă un mètre du bonheur, dĂ©grafant ma ceinture. Je suis face Ă elle et elle termine le travail en dĂ©boutonnant mon jean. En faisant glisser le zip de mon pantalon, elle a la surprise qui semble la faire sourire, qu’aucun dessous n’enserre ma verge. Je suis Ă quelques centimètres de son visage quand ma braguette est toute descendue. D’un coup sec ma verge claque son visage. Elle commence Ă me sucer, tout en s’attardant sur mes bourses dĂ©nuĂ©es de tout poil. Elle s’agrippe Ă mes fesses en me les malaxant.
Je l’emmène vers le lit face sur le matelas.
Je me retrouve Ă nouveau dans son dos. Mes mains baladeuses se plaisent Ă la dĂ©chiffrer. Je deviens plus pressant me rapprochant de son con que je taquine. Ma langue s’aventure sur ses fesses puis vers son minuscule trou interdit. Elle semblait apprĂ©cier. Je me caresse la verge, avec l’envie de la voir fin prĂŞte Ă la pĂ©nĂ©trer. Je me releve et prend la mĂŞme position que nous avions en parachute, ma queue sur ses fesses. Je sens l’humiditĂ© de sa chatte que je vais pĂ©nĂ©trer quant Ă ma surprise et Ă ma joie, elle me murmure : » Encule moi ». C’est ce que je fis sur son anus lubrifiĂ© par ma langue.
Ma queue déchargea rapidement de plusieurs jets qui me troublèrent la conscience.
C’est bon de s’envoyer ne l’air.PS: n’hĂ©sitez pas Ă communiquer avec moi, j’adore ça!© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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