Souvenirs érotiques et cochons d’un érotomane – Mère et fille lubriques (3)
Deux femmes sont à l’origine de mes vices et perversions, entre autres de mon fétichisme pour les petites culottes : Ma tante Cécile (voir mon premier récit sur ce site), et ma cousine Colette, sa fille… Ceci est le troisième chapitre de mes vacances chez elles…
Proposée le 13/01/2020 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FFHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Je me réveille tard, la queue raide, la tête pleine des images de la veille…
Quand j’arrive sur la terrasse, Colette est déjà là, les seins nus, vêtue juste d’une petite culotte, sirotant son jus d‘orange. Je me verse un café, debout, mon slip tendu par mon érection à quelques centimètres de son visage.
Elle a un petit sourire vicieux :
– Bonjour cousin… Oh ! C‘est pour moi, cette queue toute dure ?
La petite cochonne sait très bien que c‘est pour elle que je bande comme un âne… Elle s‘installe dans sa position habituelle, les cuisses ouvertes, les pieds sur la chaise. Ses yeux sont brillants.
– Tu n‘as pas encore juté ce matin, cousin ?
Elle ouvre et referme les cuisses, à chaque mouvement sa culotte s‘insinue dans sa fente, le fin tissu se mouille un peu plus. La petite perverse me met au supplice, elle le voit, ses yeux ne quittent pas ma verge qui suinte déjà :
– Ton slip aussi est déjà tout mouillé… Et ça me fais tout chaud entre les cuisses… Tu veux juter dans ma culotte ? Je la porte depuis hier… Elle est pleine de petites taches… Elle sent bon… Tu veux la sentir ?
Elle se soulève et fait glisser sa culotte sous ses fesses, la garde autour de ses cuisses largement ouvertes. Sa fente est gonflée, un filet de mouille coule entre la raie des fesses jusqu‘à son trou du cul. Cette gamine est obscène et perverse de façon instinctive, naturelle. Elle aime ça.
– Ôtes ton slip, cousin… Montre-moi ta belle grosse queue qui bande pour moi…
J‘enlève mon slip, ma queue se dresse, raide, tendue jusqu‘au nombril. Colette la contemple avec les yeux gourmands d’une petite fille devant une friandise :
– Elle est vraiment très grosse… Celles des garçons que j‘ai déjà vues sont plus petites… Déshabille-moi… Ça m‘excite quand un homme a envie et qu‘il m‘enlève ma petite culotte… Et toi surtout, je sais que tu aimes ça…
Je fais glisser sa culotte le long de ses cuisses, elle tend les jambes pour m‘aider. Cambrée, elle exhibe sa chatte ouverte et son cul.
– Sens-la… Lèche-la… Je porte la culotte à ma bouche, la renifle, la lèche, je connais déjà son odeur, quand tante Cécile m‘as fait gicler dedans. Colette a reprit sa position sur sa chaise, jambes ouvertes, agrippée aux accoudoirs. Elle est maintenant aussi excitée que moi.
– Dis… Tu aimes mon odeur ?
– Oui… J‘aime ton odeur de gamine vicieuse qui a envie et qui mouille ses petites culottes.
Elle a le rouge aux joues, ça l‘excite de m‘entendre le lui dire, elle continue :
– Tu es un vicieux pervers, cousin… Jutes dans ma culotte… Montre-moi comment tu le fais avec celles de maman.
J‘enveloppe ma verge dans le fin tissu et commence à me branler, les yeux fixés dans ceux de Colette. Je veux voir son envie, son plaisir. Son regard va de ma queue vers le mien, nous sommes sur la même longueur d‘ondes. Deux vicieux qui prennent leur plaisir.
L‘orgasme vient très vite, très fort, je m‘entends râler tandis que mon jus se répands à travers l‘étoffe, coule sur mes doigts. Cramoisie, deux doigts enfoncés dans sa chatte, Colette est en train de jouir elle aussi.
Je m‘affale sur une chaise, reprends mon souffle, la culotte n‘est plus qu‘une loque trempée autour de ma pine. Et je bande toujours. Et Colette, les yeux rivés sur ma queue trempée de sperme, attend.
Je me lève, l‘arrache à sa chaise et la couche sur la table, pose ses jambes sur mes épaule et lui enfonce ma queue, jusqu‘au fond, mes couilles collées contre ses fesses. Elle n‘attendait que ça, au fond, je le vois à la lueur vicieuse dans ses yeux. Quand le plat de ma main s‘abat sur sa cuisse, elle laisse échapper une plainte :
– Oh ! Encore ! Je tape encore une, deux fois, et commence une fessée régulière sur ses cuisses. Ma queue calée au fond de sa chatte, je frotte mes couilles contre son cul. Je claque de plus en plus fort, cuisse gauche, cuisse droite.
Colette, agrippée des deux mains à la table, a un regard étrangement trouble, son visage reflète une intense expression de plaisir que je ne lui connais pas.
Le visage en feu, elle émet maintenant un râle continu, rauque. Ce n‘est plus une gamine sainte-nitouche qui joue, elle est une femelle offerte à la saillie du mâle… et une vicieuse qui aime la fessée.
À chaque coup sur ses cuisses, elle râle plus fort, je sens son jus couler sur ma queue, jusque sur mes couilles pressées contre son cul.
Quand je lève les yeux, je vois tante Cécile, qui sans doute nous observait depuis un moment déjà s‘approcher. Elle se colle derrière moi, m‘entoure de ses bras, frotte ses gros seins aux tétons érigés contre mon dos.
Ses larges cuisses enserrant les miennes, elle me pousse encore plus contre Colette. Je ne bouge presque plus, reste au fond d‘elle qui se démène, qui se jette contre ma pine.
Tante Cécile s‘agenouille, je sens sa langue descendre le long de mes reins, s‘introduire entre mes fesses qu‘elle écarte des deux mains.
Elle se met assise entre mes jambes écartée et lèche. Elle me rend fou, sa langue va de mes couilles et du cul de Colette au mien, très lentement.
Elle s‘applique. Elle sait y faire. Je ne peux plus me retenir… Je m‘écroule sur Colette, le cul tendu vers cette langue qui me fouille, agité de spasmes incontrôlables tant mon orgasme est violent. Sous moi, Colette se trémousse en poussant des petits cris d‘animal.Quand la tornade s‘apaise enfin, tante Cécile, en bonne maîtresse de jeu, nettoie de sa langue ma pine et la petite chatte de Colette.
Le reste de la journée est consacré au farniente, bains dans la piscine, sieste. En fin de journée, pour couronner le tout, tante Cécile nous emmène dîner au restaurant.
Nous rentrons à la villa tard dans la soirée, mais je sais déjà que la journée ne s’achèvera pas là.
Nous sommes à peine entrés que tante Cécile m’entraîne dans sa chambre. Elle me passe ses bras autour du cou, se serre contre moi.
– J’ai envie de ta queue… J’en ai eu envie toute la journée… Baise-moi…
Tout en me parlant, elle tripote ma bite à travers mon pantalon. Elle me pousse vers le lit. Je me laisse tomber sur le dos, elle sur moi. Elle m’embrasse à pleine bouche. Je remonte sa jupe au-dessus de sa taille, palpe ses fesses que sa culotte cache à peine. Elle me chuchote?:
– Sois cochon, mets-moi un doigt dans le cul.
Je lui enfonce mon doigt dans l’anus, le fait tourner à l’intérieur. Elle plonge sur ma bouche. Elle reprend son souffle, lance un coup d’œil de côté. Debout sur le pas de la porte, Colette nous observe. Elle l’encourage?:
– Approche, ma chérie?! Occupe-toi de moi?!
Colette fait glisser la culotte toute mouillée de sa mère le long de ses jambes, puis, à genoux derrière elle, elle fourre sa tête entre ses cuisses. Elle lui lèche l’anus, sa langue tourne autour de mon doigt qui y est enfoncé.
La langue descend plus bas, s’introduit dans la chatte. Son vagin, son anus mouillent ensemble, s’élargissent. Je glisse un deuxième doigt dans son trou du cul, le fait aller et venir.
Ma queue est à l’horizontale. La mère et la fille ont les yeux braqués dessus, mais tante Cécile est plus rapide. Elle se laisse tomber à mes pieds, aspire ma bite au fond de sa bouche. Ses yeux se ferment, elle soupire de plaisir.
Agenouillée contre elle, Colette attend patiemment qu’elle lâche l’instrument pour s’en emparer. Bonne fille, la mère s’écarte pour que la fille suce à son tour. Elle prend mes couilles dans ses mains, les malaxe. Mon souffle s’accélère.
– Pas trop vite… !
Elles se mettent en 69. La langue de Colette s’infiltre dans la chatte de sa mère. Elle, elle plaque sa bouche sur ses grandes lèvres charnues, les mord, aspire sa moule. Ça coule dans sa gorge. C’est bon. Tante Cécile est au- dessus de Colette. Je me poste entre ses cuisses. Je lui relève les jambes.
Puis je glisse ma queue dans la bouche de tante Cécile, la ressort aussitôt, l’enfonce d’un coup dans le con de Colette. Elle pousse un cri rauque :
– Suce-moi la chatte pendant qu’il me baise !
Les lèvres de tante Cécile cherchent le clitoris de Colette, le trouvent, le serrent. Elle sursaute. Elle lui suce le bouton avec frénésie, le mordille. Colette hurle de jouissance. Je la lime à coups rapides, précis, qui la font grimper au plaisir. Elle explose en poussant des cris.
– Mon Dieu?! C’est trop?! Tous les deux?! C’est si bon?!
Quand elle est calmée, je repousse Colette sur le côté. Ma queue glisse hors de sa chatte, je me tourne vers tante Cécile, et la lui enfonce dans la bouche jusqu’aux poils. Colette, les yeux fermés, se malaxe les seins. Elle n’en a jamais assez. En fait, je sais qu’elle fait ça pour m’exciter, nous exciter.
Dans un souffle, elle murmure encore?:
– Que c’est bon… avec vous deux… il n’y a rien de meilleur…
Tante Cécile fait glisser ma queue hors de sa bouche, me regarde, je n’ai pas débandé.
– Tu as joui avec Colette??
– Non, je me garde pour toi. Tu en as envie, hein??
– Ça m’a excitée de te voir la baiser.
– Branle-toi?!
Je sais qu’elle aime ça?: ça la fait devenir chienne. Elle pose sa tête sur mes cuisses, en restant face à moi. Je me mets sur le flanc, vers elle, en repliant une jambe. Elle ouvre grand la bouche pour avaler mes couilles. Elle les suce, les fait rouler sous sa langue. Elle me tient la bite en se branlant la chatte. Elle peut enfoncer quatre doigts dans son con sans forcer.
Colette vient coller sa bouche à la chatte de sa mère, la lèche.
– Cochonne… truie… tu ne sais pas quoi inventer pour m’exciter, hein??
Ma bite est devenue très dure dans sa main. Elle la regarde avec gourmandise.
– Mets-toi à quatre pattes?!
Elle obéit. La tête entre les bras, les cuisses écartées, elle me tend son gros cul. Je me place derrière elle. Ma queue joue autour de son trou, puis le gland s’introduit. Je pousse pour la lui mettre au fond. Elle râle?:
– Oh, c’est bon… Faites-le moi… Tous les deux?!Assise contre elle, Colette fouaille dans ses poils, lui pince le bouton, s’empare de ma queue quand elle sort. Et quand la bite entre, Colette glisse ses doigts en même temps dans la chatte de sa mère. De l’autre main, elle lui tire le bout des seins, le pince, le pétrit.
Tante Cécile n’en peut plus. Le plaisir la submerge, elle halète comme une chienne après une course. Elle est au bord de la jouissance quand j’arrête de la limer. Elle supplie :
– Ne me laisse pas comme ça… tu n’as pas le droit… je t’en prie… remets-la?! À fond?!
Je la remplit d’un coup jusqu’aux couilles. Elle hurle. Après plusieurs montées successives, j’accélère. Colette, bien synchronisée, lui écrase le clitoris. Elle explose dans un orgasme qui se prolonge… lui fait presque perdre conscience.Cette nuit-là, je les baise encore trois fois chacune. Et nous allons continuer !© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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