Souvenirs érotiques et cochons d’un érotomane. Nicole, élève soumise (2)
Le soir, dans notre lit, en enculant Gabrielle, ma maitresse, c‘est le cul de Nicole que je remplis. Gabrielle ne s’y trompe pas. Dans le feu de l‘action elle lâche :
– Je sens que tu es en train de baiser cette petite salope ! Tu es si dur ! Je le sens à tes coups de queue…
Proposée le 11/05/2019 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FFHLieu: InclassableType: Fantasme
Elle insiste :
– Dis-le ! Dis-le que tu as ta grosse queue dans son petit cul !
Elle s‘était mise trois doigts dans la chatte. J‘entre dans le jeu :
– Oui…! Et je la lui met bien, je la baise, je la bourre, je la pilonne, je la besogne… Elle me fait bander comme un âne parce qu‘elle aime ça et qu‘elle en redemande !
Planté jusqu’aux couilles dans son cul, je cesse de bouger. Et poursuis :
– Elle en veut aussi… Elle est là et veut ma queue et ta chatte… Elle nous regarde… Elle a sa main entre ses cuisses, dans sa culotte… Je la regarde… Elle se glisse sur le lit… Comme une petite chienne, elle rampe derrière moi. Je sens son souffle entre mes cuisses. Puis sa langue se faufiler entre mes fesses. À petits coups de langue, elle me léchouille le trou du cul…
Gabrielle grogne et bave dans l‘oreiller en se masturbant comme une folle, signe chez elle qu‘elle ne va pas tarder à jouir. Je me remets à bouger au fond de son cul, mes ongles plantés dans ses cuisses :
– Elle est très vicieuse… Elle va plus bas, elle suçote ta chatte et lèche mes couilles… Elle s’occupe de nous deux en même temps. Elle mord et suce ton clito, elle joue avec mes couilles, glisse un doigt dans mon trou du cul, puis dans le tien. Elle elle aime ça… Elle veut nous laper et lécher et sucer et être barboullée de mon foutre et de ta mouille….
Gabrielle jette son cul contre ma queue comme une furie. Je rugis et lâche mon jus, Gabrielle jouit en mordant l‘oreiller. Elle s‘écroule sur le ventre et moi sur son dos, planté dans son cul.
Revenus sur terre elle constate :
– Elle est bonne, NOTRE petite vicieuse… Elle NOUS a bien fait jouir… Elle est sûrement une élève douée… Je participerai à la prochaine leçon… Nous allons tout lui apprendre. ****
Nicole est à peine entrée qu’elle se jette dans mes bras, me roule une pelle d’enfer. Je glisse une main entre ses cuisses, elle feule :
– Oh oui… touchez-moi !
Sa culotte est trempée. Elle se laisse glisser à genoux, s’active sur ma braguette, fait tomber mon pantalon, mon slip… Elle ouvre grand la bouche et j’enfourne ma queue dedans. Elle me lèche le gland à toute vitesse, tournant autour. Bon dieu… je vais tout lâcher… Je me retire à temps…
Je la relève, passe mes mains sous ses fesses, la soulève et l‘assied sur la table. Je fais glisser sa culotte, elle m‘aide en soulevant son derrière. Je prend le petit chiffon trempé et le porte à mes narines. Elle se positionne assise, les fesses au bord du plateau, les jambes écartées, les pieds posés sur la table.
Je reste un instant à la détailler. Elle a un con de petite fille vicieuse. Bombé, charnu. Ses poils noirs sont collés par sa mouille, un duvet s‘étend jusqu‘à son petit trou du cul… Elle me regarde. Un regard de vicieuse.
La fente de sa chatte s’écarquille, laissant saillir les deux petites lèvres et le bouton. J‘effleure les poils mouillés sur les bords de la fente. Je vois frémir le ventre de Nicole, elle cesse de respirer. Le bouton du clitoris se dresse, et un filet de mouille coule de la vulve.
Mes doigts se faufilent entre les poils, se rapprochent de la partie humide, lentement. J‘achève d’ouvrir les chairs, fouille dans les replis tièdes, dégage entièrement le clitoris, tapote dessus pour le faire grossir. J‘approche ma bouche de l’entre-cuisse et flaire sa fente, tout en la titillant. Son petit bouton grossit, il est rouge.
Je donne un coup de langue, son jus un peu âcre coule. Nicole pousse son bassin tout au bord du plateau. Je la couche sur la table. Elle attrape elle-même ses jambes sous les genoux, les soulève en ramenant les genoux vers sa poitrine, pour bien tout me montrer.
Offerte. Ouverte. Obscène. Et elle le sait. J‘ai une envie folle de la lécher, de la bouffer, de la baiser, de la saccager. Je pose ma bouche sur sa chatte. Ma langue s‘enfonce, je lape la mouille tiède du con, déplisse les muqueuses. Je colle mes lèvres à celles de sa vulve et aspire. Je la relâche et referme la bouche à demi pour aspirer le clitoris. Elle geint :
– Oh oui monsieur… C‘est bon…
– Tu mouilles beaucoup et tu sens fort. J’adore ça !
Elle glousse à nouveau :
– C‘est à cause de tout ce que vous me faites, monsieur.
Je me penche sur elle, remonte, ma langue la parcourt. Je suis une bête en rut qui lèche sa femelle avant de la couvrir, qui la prépare pour la saillie. Je suce ses tétons durs, les mordille. Ma bouche s‘empare de la sienne, sur mes lèvres le goût de sa mouille. Nos langues se mêlent, je bois sa salive, je râle de désir, elle gémit, elle balbutie.
– Oui, oui, oui…
Je la met debout, je la retourne, elle prend appui sur la table. Les mains agrippées au plateau, elle me tend ses fesses.
Sa chatte bave, je la caresse, la frotte avec mon gland turgescent. Nicole ne se dérobe pas à la pénétration. Prennent appui sur ses hanches, je la besogne consciencieusement.
Mon membre, qui dilate ses muqueuses, lui tire des petits cris, tout son corps secoué par cet accouplement sauvage. La position que je lui impose, cette façon de lui écarter les cuisses, de lui faire tendre les fesses pour m’introduire en elle, cette position d’offrande met le feu à nos sens.
Elle s’ouvre au mâle avec délice, je pilonne le sexe de la petite femelle à grands coups de reins. Elle est trempée et a du mal à assurer son équilibre. Les mains toujours crispées sur la table, elle semble se délecter de cette saillie bestiale.
Elle se met à geindre de plus en plus fort. Elle accompagne la pénétration, imposant son rythme pour ne pas perdre le fil de son plaisir. Elle m’encourage :
– Plus vite ! Plus vite !
Puis elle reprend, la voix rauque :
– Plus vite ! Oui, plus fort !
Je m’enfonce jusqu’à la garde, mes couilles battent en cadence contre sa chatte en feu. Ce n’est plus qu’un accouplement bestial, d’où émanent des bruits de flaque d’eau ponctués par les ahanements rauques du mâle au bord de l’orgasme.
À coups de reins presque rageurs, je gicle ma semence, et trouve la force de m’activer encore jusqu’a son plaisir.
Sur le pas de la porte, la main passée sous sa jupe, je vois Gabrielle. Les lèvres gonflées, les yeux mi-clos…
Je me retire de Nicole pour souffler, la laissant assise sur le tapis, tremblante. Un liquide blanchâtre coulant le long de ses cuisses.
Gabrielle avance dans le bureau. Nicole observe, immobile, la suite des évènements… avec un regard de petite fille vicieuse.
Gabrielle enlève sa culotte, me la tend, je la drape autour de ma pine. Je veux bander encore, je me masturbe en la regardant. Ses yeux brillent. Elle vient s’accroupir sur Nicole. Elle enfouit sa tête sous sa jupe et lui ordonne de la lécher.
– Lèche. Fais-moi ce que tu aimes qu’on te fasse, petite perverse…
Sa langue humide effleure sa fente. Comme une petite chienne, Nicole la lape. Ses lèvres la caressent et trouvent le clitoris. Elle l’aspire, fait glisser sa langue dessous, l’enfonce et donne des petits coups. Gabrielle se cambre pour l’encourager. Bon Dieu comme elle l’excite… Nicole la bouffe et ses mains viennent l’ouvrir. Elle l’explore. Gabrielle passe sa main dans ses cheveux. Elle a envie de lui pisser son plaisir dans la gorge.
Mais il y en a un autre que cette affaire excite, et je m’approche. Gabrielle ouvre la bouche, tire la langue, comme pour boire un sirop. Je dépose mon gland contre ses lèvres entrouvertes et elle me reçoit comme une friandise. Elle goûte longtemps mon gland, le lape, le couvre de petits suçons. Elle engloutit ma queue loin dans sa gorge, elle redevient dure.
Sous elle, avec sa langue et ses doigts, Nicole la fait fondre. Je nous regarde tous trois dans le miroir. Je regarde ma queue plongée dans la bouche de Gabrielle et ses reins se creuser et lui demande de se retourner.
À quatre pattes au-dessus de Nicole, elle la supplie de poursuivre ses douceurs. D’abord nos langues s’activent sur elle, tantôt sur sa croupe et tantôt se lèchent, l’une l’autre, et puis la mienne remonte dans son dos, jusqu’aux épaules que j’embrasse, sa nuque, ses oreilles, je lui susurre :
– Je vais te la mettre, voyeuse, je vais te baiser et elle aussi. Elle est belle, la petite cochonne, non ? Lèche-la.
Gabrielle descend alors entre les cuisses de Nicole. Elle goûte sa sève, épaisse et salée. Je lui arrache un soupir de bonheur en la pénétrant à son tour.
Nicole écarte les jambes et fignole de sa langue sa fente ouverte et bien prise, la naissance de ma queue, les couilles, elle les gobe, les suçote, et s’applique à nous faire gémir en accompagnant le lent va-et-vient de ma pine.
De sa bouche, Gabrielle laisse couler un filet de salive tiède dans la fente bouillante de Nicole. Elle soulève ses fesses vers elle en soupirant. Son index la fouille. Je la baise et la regarde la bouffer. Je n’en peux plus de bander à cause d’elles, deux femelles en chaleur, à cause de leurs gémissements, de leurs langues qui courent partout où elles peuvent pour les soulever de plaisir.
Je brûle et la chatte de Gabrielle vient se cogner à ma queue énorme qui l’ouvre et la remplit. Ses doigts visqueux s’acharnent entre les cuisses de Nicole, elle s’adresse à elle :
– Comme tu mouilles… Je veux qu’il te prenne aussi, je veux voir ta chatte devenir folle sous l’emprise de sa queue. Elle est bonne sa queue. Tu veux la sentir encore ?
Nicole soulève son cul en gémissant. Je me retire de Gabrielle et ma queue vient remplacer ses doigts dans la chatte de Nicole. Elle geint, enroule ses jambes autour de mes hanches. Gabrielle nous regarde baiser.
Puis je la retourne. En levrette elle me présente sa croupe. Gabrielle s’allonge sur le dos, sous elle. Je tourne maintenant à l’orée de sa fente, la caresse avec ma queue chaude et mouillée des jouissances. J’effleure son con et m’y introduit. Je pose mes mains sur ses hanches et la fait aller et venir doucement.
Je lui donne des petites claques. Son corps entier maintenant repose sur Gabrielle tandis que je la laboure. Je me retire, pénètre Gabrielle, revient dans Nicole et ainsi de suite, les faisant souffrir de manque. Elles sentent ma bite glisser de l’une en l’autre et leurs sexes qui se frottent. Nous sommes enlacés tous trois à nous plaindre de plaisir.
Gabrielle lui roule une pelle en riant. Et elle sent mon gland au bord de son cul. D’humides doigts la caressent. Elle sent ma queue, épaisse et longue la transpercer, avancer régulièrement, profondément en elle, jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’elle sente mes couilles sur son con et mon ventre sur ses reins.
Elle soupire alors, elle perd le souffle. Gabrielle pose une main sur sa tête et la force à la bouffer. Cambrée comme elle est, la tête entre les cuisses de Gabrielle, je n’ai pas grand mal à la bourrer. Elle se sent complètement soumise, abandonnée à nous et ça la fait venir très vite. Son cul s’ouvre et je la besogne de plus en plus, de plus en plus elle gémit et brûle et jouis. Je la fait jouir ainsi, la fait crier, la creuse, la vide et tombe, tombe sur Gabrielle, sur son ventre moelleux et moite.
Je retire alors ma queue et me branle au-dessus d’elles. Gabrielle tire la langue. Je viens me fourrer dans sa bouche et la baise à l’en étouffer, mais elle aime ça la garce. Elle m’ouvre sa gorge, profonde et trempée, et mon sperme gicle, se répand dans sa gorge à elle, elle avale, elle me regarde et avale. Une larme de foutre coule sur ses lèvres quand je me retire d’elle.
Rassasiée, elle essuie avec sa main et sourit.
Nicole remet sa culotte, se rhabille, récupère ses cahiers de musique, sa guitare, sa veste. Elle traverse le bureau et s’enfuit presque comme une voleuse.
Mais elle reviendra…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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