Souvenirs érotiques et cochons d’un érotomane – Nicole, élève soumise (3)
Depuis que Gabrielle, ma maitresse, s‘est jointe à nos ébats, (voir le chapitre 2 du 11.5. 2019) les leçons de musique que je suis sensé donner à Nicole ne sont plus que prétextes à nos débauches.
Gabrielle affirme :
– Cette petite est une vicieuse dans l‘âme. Nous allons l‘éduquer.
Proposée le 17/08/2020 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Lorsque Nicole arrive pour sa leçon de musique, Gabrielle propose de nous installer d‘abord au salon. Elle sert du champagne.
Restée d’abord discrète, Nicole devient, le champagne aidant, plus loquace.
Une heure plus tard, la bouteille est vide. Nicole, les yeux brillants, me regarde. Plus précisément, elle regarde ma braguette et la bosse qui déforme mon léger pantalon. Sa blouse bâille sur un sein rond dont le mamelon proéminent semble vouloir percer le tissu.
Gabrielle introduit une main dans le décolleté et caresse un sein.
– Nous allons tout t’apprendre. Tu es sûrement une élève douée, n’est-ce pas ma chérie ? continue-t-elle, tout en déboutonnant la blouse.
Les deux pans du vêtement s’écartent d’eux-mêmes, exposant sa poitrine ronde dont les mamelons pointent.
– Montre-toi !Nicole s’exécute. Avant de nous faire face, elle laisse tomber sa jupette, révélant, au-dessus de ses cuisses rondes, ses fesses dodues, à peine voilées par une culotte blanche si exiguë que les ourlets ont glissé dans la raie. Elle fait demi-tour et se campe, les jambes légèrement écartées, couvre sa poitrine de ses deux mains, dans une attitude de défi.
Son apparente timidité a disparu. Elle me fixe en passant la langue sur ses lèvres. Elle aime se montrer. Je sens ma verge se cabrer. Au même instant, Gabrielle me palpe la braguette, achevant de me faire bander.
Nicole, après avoir pincé ses mamelons, réunit les deux ourlets de sa culotte dans une de ses mains. Le cordon disparaît entre les grandes lèvres qui saillent. Ses poils sont humides.
Après avoir correctement remis sa culotte, elle pose un pied sur mon genou. Une auréole marque l’entrejambe : son exhibition la fait mouiller. Le tissu humide moule la vulve comme une seconde peau. Elle tire l’empiècement sur le côté et j’ai sous les yeux la fente, poilue.
– Montre-nous tout, lui ordonne Gabrielle.
Elle sépare entre majeur et index les grandes lèvres, expose, à quelques centimètres de mes yeux, ses muqueuses roses et luisantes.
Dans cette attitude, un pied sur ma cuisse, écartant l’entrejambe de sa culotte, ouvrant grand sa fente, elle est d’une telle obscénité, que je referme la main sur ma braguette, emprisonnant les doigts de Gabrielle qui me palpent toujours.
– C’est excitant, hein ? On dirait une petite fille avec un sexe d’adulte. J’ai envie de me toucher.
Elle joint le geste à la parole : sa main libre se glisse sous sa jupe.
Nicole demeure dans cette position un long moment. Elle est tellement excitée que ses sécrétions se rassemblent dans les replis de sa chatte et finissent par goutter sur le sol.
– Tu vois comme elle aime ça, la petite cochonne !
Elle repose son pied à terre et nous tourne le dos. Ses pouces se glissent sous la ceinture de sa culotte, si étroite qu’elle doit se tortiller pour parvenir à s’en débarrasser. Elle dégage ses chevilles et se baisse, jambes tendues, largement écartées.
Gabrielle commence à déboutonner ma braguette.
– Fais comme moi : branle-toi… J’en crève d’envie. Je me prends en main et me masturbe, le plus lentement possible afin de ne pas éjaculer tout de suite.
Nicole, toujours de dos, a séparé ses fesses, nous montrant son intimité, y compris l’anus. Le gros plan qu’elle nous propose est d’une obscénité à couper le souffle. Dans le compas de ses jambes, elle me regarde, en train de me branler, ce qui m’excite encore davantage.
La raie des fesses s’évase pour former, au niveau de l’anus, une dépression d’un beige pâle à la périphérie, qui vire au brun foncé à mesure que l’on se rapproche de l’orifice bien clos. De fines rides en marquent la surface. Un étroit pont de chair, tendu en bas des fesses, sépare l’anus de la vulve.
Le vagin, partiellement ouvert, montre des masses roses luisantes de mouille. Les petites lèvres qui le cernent s’enroulent en torsades complexes qui se rassemblent tout en haut de la vulve pour former le capuchon très en relief du clitoris dont le gland nacré affleure.
Sur ma verge, ma main accélère l’allure.
N’y tenant plus, je me penche et colle ma bouche à la fente odorante. J’y plonge le nez, me barbouille le visage de l’excès de jus salé qui ruisselle en abondance.
– Moi aussi j’aimerai la lécher quand elle mouille comme-ça, me souffle Gabrielle. Mets ta langue dans son petit trou, elle adore sûrement ça.
Le nez écrasé dans la raie, je parcours la zone sensible, forçant l’orifice de la pointe de ma langue. Un goût âcre m’envahit la bouche. Fou de désir, j’embrasse, je lèche, je suce ce cul offert à ma lubricité.
Entendant un léger crépitement, je me redresse. Elle est en train de pisser ! Le jet doré m’éclabousse les pieds. Gabrielle est aux anges :
– Elle est trop excitée, elle ne peut pas s’en empêcher !L’odeur forte de l’urine me rend fou. Je tombe à genoux et ouvre grand la bouche pour me régaler du nectar. La fontaine est trop vite tarie. Je lui essuie la vulve de ma langue. Par miracle, je n’ai pas éjaculé.
Je me déshabille, vais m’allonger sur le grand sofa, je m’étends, la queue dressée contre mon ventre. Nicole est en train de déshabiller Gabrielle, embrassant chaque pouce de chair qu’elle dévoile. Elles s’allongent mes côtés.
Leurs mains me parcourent, repoussant les miennes jusqu’à ce que je comprenne que je dois me tenir tranquille. Pour l’instant, une main me tient la base de la queue, tandis que deux bouches se succèdent sur mon gland. La petite m’enjambe, s’ouvre la chatte de deux doigts et se pénètre de mon pieu. Gabrielle viens s’agenouiller, en sens inverse, au-dessus de mon visage, me présentant en gros plan sa vulve dégoulinante. Je me soulève pour y coller ma bouche. Puissante odeur de femelle en chaleur… Avidement, je lèche les muqueuses, c’est fort et salé.
Pendant ce temps, Nicole monte et descend sur ma verge, attentive à son seul plaisir. De temps à autre, elle reste assise sur mon ventre pour se frotter d’un mouvement circulaire l’anus contre mes couilles. Ou bien, totalement immobile, elle contacte si puissamment son vagin que j’éprouve la sensation d’une bouche gloutonne en train de me dévorer la queue.
Comme elle, Gabrielle aussi, en quête de son propre plaisir, frotte sa fente baveuse sur ma bouche sans s’occuper de moi, j’ai l’impression d’être un simple objet à leur service. Impression qui se renforce lorsqu‘elles s’embrassent goulûment.
Je sens mon jus monter. Je ne peux plus aller contre, je bande trop fort. Je les laisse m’utiliser comme bon leur semble. La double chevauchée devient infernale. Quelques gouttes de pisse suivies d’une giclée plus longue me font décharger en même temps que Gabrielle. Je suis soulagé mais frustré.
Insatiables, elles s’installent tête-bêche, Gabrielle au-dessous, pour se gougnoter. Comme Nicole me tourne le dos, son petit cul est une invite à laquelle je ne peux résister. Ma verge se tend à nouveau.À quatre pattes, je me rapproche de l’orifice convoité pour le mouiller de salive. Juste au-dessous, Gabrielle mâchonne les replis des nymphes. Nos langues se frôlent.
– Encule la petite. Elle doit être prise de ce côté-là.
Gabrielle guide elle-même ma queue. Mon gland vient se loger dans la dépression anale. Les mains agrippées à ses hanches, je pousse. L’orifice étroit résiste. Je force davantage. Insensiblement, je progresse. Mon prépuce est délicieusement repoussé, le frein étiré au maximum. Soudain, en même temps que Nicole pousse un grand cri, la résistance disparaît : mon gland a vaincu le sphincter.
– Oooh… C’est gros… C’est bon… Lentement… C’est fort !
Je m’enfonce lentement dans le cul qui me gaine le membre aussi étroitement qu’une main serrée. Mon ventre vient se coller à ses fesses. Je reste quelques instants immobile, puis j’entame un retrait. Mes mains se sont emparées de ses seins dont les mamelons sont tout durs. Je lui mordille la nuque et accélère la cadence.
Mes couilles viennent battre l’arête du nez de Gabrielle, elle délaisse un instant la chatte de Nicole et aspire mes couilles dans sa bouche. C’est à la limite de la douleur mais ça me fais gémir et bander encore plus.
Elle m’enfonce un doigt dans l’anus, puis deux. Ils prennent le contre-pied de mes mouvements… À la fois j’encule et suis enculé.
Gabrielle se montre particulièrement salope. Ses deux doigts me massent la prostate avec une terrible efficacité. Je ne peux retenir mes râles…
– C’est bon, hein, mon cochon ? Tu aimes te faire enculer, comme une fille…
– Grosse truie salope ! Je mouille… Je coule… Je vais gicler !
Gabrielle le sent :
– Enfonce-toi et ne bouge plus.Je ne suis plus en mesure de me retenir. J’écrase Nicole sous moi. Les doigts de Gabrielle se déchaînent. J’ai l’impression que ma queue enfle encore. Mon corps se tend comme un arc, et je rugis et ça gicle. De longues décharges qui me font tressauter. Je finis par m’écrouler, crevé, la queue molle, les couilles vidées. Gabrielle ordonne à la petite :
– Nettoie-lui la pine, et n’oublie pas les couilles… et le trou du cul. Mon porc pervers adore ça !
Nicole rampe entre mes cuisses, et comme une chatte son chaton elle lèche. Et Gabrielle, salope, s’agenouille derrière elle. Nicole lui tend son cul potelé. Et Gabrielle lèche aussi.
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