Subtile Complicité
Quand votre esprit vagabonde lors d’une soirée entre amis et qu’un fantasme née sous l’idée d’une impulsion du plaisir cela peu mal ou bien finir. Reste à s’avoir quelle femme aura envie de m’écrire la suite…
Proposée le 7/05/2018 par drpopox Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Nous sommes en voiture, une soirée se termine, je conduis, l’autoradio diffuse un titre sympa qui sous alcool nous donne encore envie de danser.
Je ne sais plus d’où nous rentrons, mais c’est une bonne soirée, je sais que nous avons beaucoup ri, bien mangé et pour la première fois ensemble, beaucoup dansé.La danse c’est un acte compliqué, car pour une fois rien ne peut être contrôlé, on exprime une sensation provoquer par la musique avec notre corps, nous partageons une fluidité, un feeling, une envie, seul le regard des danseurs peuvent faire le lien entre nos deux corps, alors d’un rythme à l’autre, les envies changent, les gestes aussi, en plus des regards, il s’y greffe les sourires,les pensées, les désirs, la danse c’est bien, mais c’est compliqué. J’adore ça et pourtant je le fais que trop rarement, j’aime cette sensation de lâcher prise, le sentiment de laisser bouger mon corps, bien ou mal en vrai je m’en fiche, je le laisse s’exprimer. Et ce soir c’est avec toi que je m’exprime.Toute la soirée nous nous sommes amusés. Déjà pour la première fois nous avons pris le temps de nous découvrir, de nous sourire,,,, nous avons passé la soirée à jouer, à nous regarder, j’ai tendu mon oreille comme d’habitude pour t’écouter, nous avons parlé du passé, du présent, mais surtout de ton futur. nous avons joué les amis, les amants, les époux, les potes, le temps d’un repas et c’était agréable de tout oublier et de profiter avec toi. A un moment donné, mon visage s’est glacé, car le regard d’une femme m’a crispé et ça , tu l’as vite remarqué, alors de manière subtile, tu as osé me demander. Chose rare et bien souvent douloureuse dans ma vie, je t’ai fait confiance encore une fois et je t’ai tout raconté. Mots après mots tu l’as regardais à ton tour, tu regardais sa prestance, son corps, sa coupe , son regard, mots après mots tu l’as mangeais des yeux, tu la fixais, tu l’enviais et la détestais à la fois, mots après mots tu compris que je ne pardonne jamais certaines blessures, le temps d’une seconde tu réfléchis et c’est là que tu m’as invité à danser.Comme si tu voulais lui montrer, que cette soirée c’est toi, qui l’écrivais avec moi, que cette nuit là, c’est toi qui marquais le pas et que même des années après elle pourrait toujours s’en mordre les doigts. Alors face à face, tu as bougé, dansé, sourit, pensé, face à face nos mains se sont liées, serrées, nos corps se sont entre croisés, effleurés, alors face à face tu as marqué ce moment de la vie.Nous arrivons près d’un petit port, crée au bord de jolies petites ruelles, tu es là, un nouvel appart, une nouvelle vie que tu dessines seule,tu me remercies pour la soirée, me souris et m’invites à visiter, j’hésite, je ne sais pas, je n’ai pas envie de tout gâcher par un désir non partagé, tout est si bien dans cette soirée….alors avec sincérité je te dis que je prendrai bien un bain, ce qui te fait sourire, et tu m’avoues que l’eau est trop froide pour toi. « Pas de souci je vais y aller »Rapidement tu me proposes de m’accompagner, tu montes chercher un drap de bain et je me gare juste à coté du port, un petit bain volé entre deux rochers de la digue. De ta montée, tu profites pour te changer et enfiler une robe plus ample, plus fluette aussi, tes pieds libres, marquent ton pas rapide pour me rejoindre, à ton arrivée je suis là, quasi nu à mon entrée dans cette eau noire miroir. Tu éclates de rire en me disant « Mais qu’est ce que tu fais ? »Excitée et encore euphorique de la soirée, tu t’assoies sur un rocher, l’humidité de l’air rafraîchit tes épaules, surprise par le silence, tu me cherches du regard, tu regardes à droite, à gauche, au bord, tu portes l’attention sur le son de la mer, mais rien…………… le temps passe et toujours aucun son ne peut t’indiquer que je suis là, immergé dans cette eau froide, le visage hors de l’eau en train de te regarder au reflet de la lune qui s’éclaire.Sur le coup j’ ai envie de répondre à tes appels mais je trouve ça plus marrant de te faire patienter, lentement je sors de l’eau et me dresse devant toi, nu, mouillé, d’une main fragile et déstabilisée tu me tends la serviette que j’enroule rapidement autour de ma taille et m’assois à côté de toi. »ça t’a fait du bien? me demandes tu .. » Je prends une minute pour te répondre, le visage encore ruisselant , je me tourne vers toi et te souris « oui, l’eau j’en ai besoin, cela me fait toujours du bien et à cette heure si, elle a le pouvoir magique de me sentir en vie ».Complètement timide, ton silence me surprend car je t’ai rarement si peu entendue, soudain d’une douceur extrême je sens tes doigts glisser entre
mes cheveux, comme pour te rafraichir, ils viennent caresser ma chevelure mouillée.Le temps de quelques minutes, je pense que tu as pris un bain dans mes yeux la main plongée dans mes cheveux, car là devant moi, sans dire un mot, j’observe ton buste marqué ta respiration qui s’amplifie, j’observe tes yeux, ton silence, les traits de ton cou que les lumières dessinent à contre jour, j’ai l’impression que tu me parles, pourtant à part le clapotis de l’eau contre les rochers, aucun mot ne sort de ta bouche.Au bout d’un moment et sans rien dire tu te leves, comme pour fuir. Je prends donc le train en marche et saute derrière toi, pieds nus, harnaché dema serviette à la taille et de mes fringues à la main. Nous marchons comme des adolescents en voyage au bout du monde sur les quais de ce petit port qui nous conduit jusqu’à ta porte. »Monte au moins te rhabiller et après tu files ? » « OK » Après quelques regards que tu me lances en escaladant l’interminable escalier en colimasson ,nous pénétrons enfin dans ton nouveau chez toi. C’était un appartement, type haussmannien, avec un grand balcon qui souligne la façade, tu as fait des travaux pour le moderniser tout en gardantavec subtilité les marques du passé. Un doux mélange de couleurs sur fond blanc, c’est dingue le goût que tu as, à cet instant j’identifie vraiment ce lieu à ta personnalité. « La chambre est là, vas y je te sers à boire. »Je pousse la porte d’une grande chambre relativement sombre, je cherche l’interrupteur quand je t’entends » attends, mince je suis désolée, je dois changer l’ampoule, tiens prends ça, tu me tends une bougie dans un verre pour m’éclairer. »Je prends un instant pour découvrir ce lieu tout fraichement aménagé, un lit palette, de jolies commodes ornent la tête de lit, remplies de livres, de magazines, une penderie ouverte, des cadres vides ou des colliers et accessoires sont accrochés, des fils de différentes couleurs et épaisseurs, une porte d’armoire miroir posée en butée contre le mur à coté du lit et une bibliothèque qui exposait tes chaussures comme dans un magasin parisien, l’ambiance créée ici me plaît et me fait sourire.Une nouvelle fois je suis agréablement surpris par ton goût de la décoration, je m’assois sur ton lit et entrouvre ma serviette pour me rhabiller, quand tu entres pour me demander ce que je fais. Là, je pense que même dans la nuit je te vois rougir comme un phare au milieu de la nuit.tu avances vers moi, glisses tes genoux entre mes cuisses et poses tes mains sur mon visage pour m’embrasser.L’élan que tu as pris nous propulse sur le lit, en un rien de temps et sans comprendre que le temps s’est arrêté mon corps prend feu sous l’assaut de tes lèvres à la conquête des miennes. A cet instant il y a une chose que je peux assurer c’est que j’adore ta façon de m’embrasser, entre chaque respiration, je prends le temps d’ouvrir les yeux pour être sûr que je ne rêve pas, c’est bien toi, là, à cet instant, allongée sur moi qui m’embrasse comme jamais… le monde pourrait s’écrouler au bout de ta fenêtre que je ne l’entendrais pas. Mes mains qui sont autour de ta nuque , effleurent ton corps sans réellement savoir où se poser, j’ai le désir de te retirer cette petite robe, mais je n’ose pas sur le coup tellement que je vis le temps présent, je sens le bout de tes seins se coller contre mon torse et là en une seconde. Tout s’arrête » je ne peux pas, me dis tu »Pour dire vrai, je ne comprends pas ce que tu me dis, je suis sur le coup de l’émotion, en une seconde j’ai si chaud contre ton corps et maintenant si froid, j’analyse cette sensation alors pour réaliser ce que tu me dis il me faut une minute. Sans rien dire, je me redresse , enfile mon pantalon , glisse mon tee-shirt sur la peau et sors de la pièce. »Cyril , écoute-moi ! « Calme et posé je te souris en te regardant. « Pas de soucis, laisse moi juste boire le verre d’eau et je file, ne t’en fais pas ».L’eau me fait remonter les arômes de ta langue, le temps d’une respiration, je me pose la question, (mais qu est ce qu il se passé? lol.) Doucement je pose mon verre et prends la fuite. Au moment même où je passe la porte, tu tends ton bras devant moi pour me dire. « Écoute, je…..je « Le deuxième JE était de trop je pense et je saisis cette prononciation pour t’embrasser de nouveau. D’une main je saisis ta nuque et de l’autre te colle au mur, de ton pied tu refermes la porte d’entrée. Il n’y a plus rien à dire, c’est fou, c’est voulu, c’est maintenant, c’est cet instant, et basta.Mes mains glissent sur ta taille et je te saisis contre moi, tes jambes s’enroulent autour de la mienne, d’un pas sûr je prends le chemin de la chambre en te portant dans mes bras, nous revoilà, au point sismique où tout a commencé, tes doigts me retirent mon tee-shirt blanc et tes pieds font glisser mon jean sur le sol, il ne me faut qu’une minute pour te sortir de ce tissu qui me sépare
de toi. Décidé à vivre cet instant peut être qu’une seule fois dans ma vie, je peux t’assurer que chaque centimètre de ta peau est à moi.Nos langues liées dans une danse savoureuse je prends le temps de te mordre quelquefois la lèvre inférieure, tes mains crispées caressent mon dos ainsi que mon crâne, nos corps se frottent l’un à l’autre comme la mer s’échoue sur le sable. Mon corps prends d’ondulation entre ouvre tes cuisses toujours enlacées au tour de moi. Je décide de prendre le risque de quitter ta bouche quelques instants pour laisser mes lèvres effleurer ta peau jusqu’au sommet de tes seins, là dans un mélange tendre et animal à la fois, ton corps se raidit à l’assaut de celle-ci, tes petits seins frémissent sous le passage de mes dents et au contact de ma langue chaude sur tes mamelons, tes bras enroulent mon visage comme si tu voulais m’immobiliser entre tes seins, simultanément mes mains dessinent chaque courbe de ton corps, qui prend le rythme d’une danse sensuelle. Je te prie de me croire qu’à cet instant, la température de nos corps est celle d’un magma. Au bout d’un moment ma bouche reprend son chemin face à une sensibilité développée de tes seins, mon visage peut constater la douceur de ta peau jusqu’à l’orée de ton intimité, là, je prends le temps d’une seconde comme plus tôt dans la mer noire pour te regarder, te voyant allongée devant moi, le corps nu, sensible, je réalise à l’instant la sensation enivrante du plaisir que je vis, dans la pénombre brisée par la chaleur de cette flamme qui brûle toujours, tu me lances ton regard, si profond…. , si…. captivant que sans te quitter des yeux j’entrouvre ma bouche pour venir saisir entre mes lèvres cette partie de toi, si gonflée, si brûlante, si douce que ce bouton d’or te plonge dans un plaisir profond, de ma langue experte, je te montre tout mon désir. Chaque coup de langue me fait découvrir un peu plus de cette humidité saisonnière qu’offre le paradis d’entre tes cuisses.Tel un fruit succulent qui s’offre à moi je prends le temps de me rassasier à ma faim, sous le bruit de ta respiration saccadée qui résonne dans la pièce. Peu à peu je sens la musculature de tes cuisses exercer une pression sur ma tête, ton clitoris bandé devient de plus en plus sensible au point d’en venir presque subtilement douloureux. Là, coincé entre mes dents cette petite partie de toi prend un pouvoir somptueux, car plus je ralentis le passage de ma langue chaude, plus j’augmente la pression d’écrasement sur lui, plus celui ci raisonne en toi, comme une onde sur l’eau. Ton corps rend des spasmes involontaires, ton souffle presque coupé, je comprends vite à l’insertion de tes ongles dans mon cuir chevelu que les portes de ton plaisir intime est proche, vicieux , joueur et malicieux, je prends un rythme boulimique, pour te délivrer tel un conquérant. Plus ma langue passe sur toi, plus tu me sembles douce, humide, tes cuisses qui m’oppressent, s’ouvrent comme pour une délivrance. En une respiration, ce qui est devenu si bon devient soudain douloureux, je comprends vite à la chute de tes jambes, que l’orgasme est somptueux.D’un geste habile tu roules sur le côté pour te retrouver sur le ventre, affalée comme un animal prêt à bondir sur une proie, tu releves ton bassin en m’offrant ta plus belle des cambrures, aussitôt je pose alors mes mains sur l’arrière de tes genoux et entre ouvre tes cuisses encore tremblantes. Ma bouche reprend sa route sur l’arrière de celles-ci, en un rien de temps je retrouve ce met que je viens de quitter et poursuis mon chemin, autant te dire que la traversée de tes fesses est l’une de mes plus belle virée de ma vie, d’ores et déjà comblé de ce voyage , je prends le temps de flâner en remontant lentement le long de ta colonne comme certains explorateurs remontent le Nil. Je ne sais si c’est le frottement de ma courte barbe qui fait frissonner ta peau mais à mon arrivée au creux de ta nuque, je te sens…..comme tendue, après un passage chaleureux dans ton cou, je retrouve enfin celle que j’ai abandonnée il y a déjà trop longtemps. D’un léger sourire en coin, je comprends que tu ne m en n a pas tenu rigueur de cette échappée. Là, collé à toi, j’ai envie de te dire mille choses mais je ne dis rien, j’enlace tes mains entre les miennes et présente à toi, la seule partie de moi que tu ne connais pas.C’est au contact de mon gland contre ta peau humide que j’entreprends une pénétration lente entre tes lèvres. Comme envahie et à la fois soumise, je sens ton bassin s’incliner le plus possible contre moi, mon insertion profonde prend fin quand mon corps écrase le tien, à cet instant je prends le temps de te sentir, ma bouche saisit entre mes dents une petite partie de ton oreille, comme un lien à ne pas rompre, j’entreprends à ce moment, une lente expulsion de mon sexe bandé en toi. Le balancement de mes hanches contre toi a deux vitesses, une sortie lente et une pénétration vive..et au son de ta voix je comprends que tu ressens tout mon désir enfoui en moi. Au bout d’une dizaine de minutes, ton corps suave, transpire notre plaisir, sur un geste maladroit de ma part je m’effondre à côté de toi, après un regard interrogateur de ta part, tu lances une ascension à califourchon sur mon corps bien trop excité.Là, comme si c’etait la première fois je te vois différemment, je t’ai déjà dit combien tu étais belle, mais la femme sur moi, est belle à en mourir.
Brusquement je me redresse pour t’embrasser et d’un geste tendre tu poses tes mains sur mon buste pour me contrôler. Nos lèvres de nouveau liées, je profite de cet instant pour sucer ta langue, j’aime cette sensation quand ta langue glisse entre mes lèvres,
j’aime la douceur qui s’en dégage et ce plaisir partagé déclenche en toi comme un réveil. D’une main ferme et rapide tu attrapes mon sexe et entreprends une masturbation lente, je sens en toi le désir de me faire comprendre que tu contrôles la situation,
en réalité je pense que la pression que tu exerces sur moi, m’excite encore plus, le fait de sentir chaque partie de moi rouler entre tes doigts me rend fou. Au bout d’un instant bien trop court pour moi, tu inseres celui-ci de nouveau en toi, tout commemoi, tu prends le temps de m’accueillir en me regardant droit dans les yeux. Mais qui es-tu ? De quel fantasme les plus fous sors-tu ? Lentement tu mets ton corps en mouvement, ton bassin avançe et recule telle la foulée d’un pur-sang au galop. Mon sexe redéfinitl’extrémité du tien, chaque balancement provoque en moi, un plaisir limite douloureux et inimaginable, mon corps se raidit comme jamais. Mes muscles s’arrondissent sous la pression de mon désir. Enfin l’étreinte de nos bouches est rompue et lentement tu posestes mains sur l’avant de mes cuisses. Là, le buste cambré sur l’arrière, je vois ton corps trempé, bouger sur moi, telle une déesse qui se lance dans un combat , une de mes mains saisit alors ta hanche fermement pour t’accompagner et augmenter ton mouvement, l’autre glisse sur ton sein rond et
frémissant de désir, je prends le temps de caresser ton buste comme un sculpteur touche la pierre froide de son œuvre. Je veux mémoriser , chaque galbe, chaque traits de ton corps.Ton corps luisant m’offre une douceur extrême, seulement voilà, la belle réalité des choses est là, trop de plaisir, trop de désir, tout le contrôle de soi et là pendant que je te contemple , je sens en moi monter la sève de mon orgasme.D’un souffle plus roque, je me releve et te bascule en arrière, là, en position d’amant au-dessus de toi , j’entrouvre tes cuisses dans leurs extrémités pour venir percuter à mon tour ton corps. Mon étreinte est rythmée comme un coureur prend sa foulée
avant l’arrivée. j’entre et je sors de toi, le plus rapidement et le plus percutant possible, je ne veux pas être le seul à franchir la ligne d’arrivée, alors habilement je remonte tes jambes sur mon buste en inclinant légèrement mon assaut, me voilà parti à la
recherche de ton point G et crois-moi que je vais vite le trouver. Mon souffle s’accélère et s’entre coupe mais je tiens bon en te voyant plisser des yeux, je saisis tes fesses entre mes mains pour augmenter la percutions de nos corps, tu ne me quittes pas
d’un centimètre. Tes mains agrippent les draps froissés de ton lit comme si tu t’accrochais à la vie. Par manque d’oxygène ou d’humidité dans la pièce, la bougie se met à crépiter avant de s’éteindre, la fin approche et c’est au son de nos voix qu’une certaine
lueur réchauffe la pièce, je n’en peux plus, je suis là, au bord du précipice de plaisir je fais raisonner ma main sur ta fesse, ce qui te surprends et tu ouvres les yeux. Je te veux là, maintenant, je veux te voir, je veux finir en toi, je veux
que tu me vois, je le veux là maintenant…et c’est au son de ta voix éclatante de lumière et à tes talons qui me frappent sur mes bras que nos corps explosent, le tien contracté comme jamais par la montée de ton plaisir qui te fait convulser et le
mien décontracté à bout de la moindre possibilité de t’aimer plus qu’à cet instant.Je reprends mon souffle en retombant tout contre toi, blottis là, les yeux fermés je ressens tes bras s’enlacer autour de moi, nos corps brûlants
attendent ce froid qui vient juste après. Quand j’entends de ta voix » Cyril sors tu vas avoir froid. « Surpris,…… j’ouvre mes yeux mouillés , et là face à moi, une pluie d’étoiles m’éclairent, l’alcool saisi par le froid, cette mer froide m’a
fait rêver en flottant dans ses bras. Je réalise alors….triste et excité à la fois que la soirée n’est pas terminée et que l’amie que j’ai retrouvée me plonge dans sa réalité.Mais qu’en serait elle ? © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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