Tendres Découvertes 3 : Enfin seuls !
Après la bref séance de la matinée, nous profitons des circonstances qui nous amènent à être seuls dans la maison, Anna et moi.
Proposée le 26/11/2017 par Ayann41 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Sortant de ma torpeur post-jouissance. Je décidai de prendre le temps de réfléchir. Je me connaissais dans ces circonstances-là, je n’allais penser qu’à ça, qu’à Anna et aux perspectives qui semblaient s’ouvrir pour nous. Mais je ne devais pas perdre de vue que nous étions en vacances, tous ensemble et que nous avions attendu ce séjour pendant des mois. Il était compliqué de nous voir tous ensemble. Laeticia était retourné chez ses parents après la fac pour travailler dans leur entreprise de machine agricole, elle vivait désormais à plus de 500 kilomètres, pareil pour Michèle qui avait suivi son maître de stage en pharmacie lorsque celui-ci avait décidé de reprendre une officine dans le sud-ouest. Enfin, Anna était celle qui était la plus proche de moi, bien qu’elle vive à près de trois heures de route, dans une bourgade Alsacienne où elle était employée de mairie en attendant de finir une formation autodidacte de programmatrice informatiques et de pouvoir déménager. Moi, je vivais dans une de ces villes anonymes de la grande couronne où j’exerçais ma fonction de SAV pour des sites de ventes en ligne. Ce n’était pas très passionnant, mais j’habitais à dix minutes de mon travail et les heures fixes me permettaient d’avoir du temps libre. Bien que nous fûmes tous les quatre présents sur les réseaux sociaux où nous échangions beaucoup, rien ne valait bien entendu les moments passés ensemble.Je pris ma douche en dernier. Lorsque je sorti de la salle de bain, les filles étaient en train de parler dans le salon. J’avais décidé de sortir de ma routine vestimentaire qui consistait en un éternel jean-basket-t-shirt-hoodie. Je passais un pantalon de velours bleu et une chemise à petites fleurs. Lorsque j’arrivai dans le salon, habillé ainsi, des sifflements se firent entendre. Michèle s’habillait toujours de façon élégante sans trop en faire non-plus, elle portait un slim noir un top rose pâle et un gilet grenat à petits boutons dorés. Laeticia Portait un jean pâle et un pull moulant vert qui mettait assez bien en valeur sa poitrine arrogante. Enfin, Anna portait une longue robe bleu nuit, un gilet noir et des bas pourpres. Charmante compagnie que la mienne me dis-je. En quelques minutes, nous nous retrouvâmes dans les rues de cette charmante bourgade bretonne. L’arrière saison a ceci de poétique, on croirait que la ville a ce petit sourire qui illumine doucement les visages après les fêtes, fatigués mais heureux. Les enfants sont à l’école, les juilletistes et aoutiens ont repris le chemin du travail. Et bien que le temps avait été estivale jusqu’à l’avant-veille, l’automne s’annonçait. Nous nous dîmes qu’il n’y aurait certainement plus de baignades lors de ces trois derniers jours. Le vent soufflait doucement dans ces petites rues étroites, cela faisait danser la robe d’Anna. Elle était vraiment très belle ainsi vêtue. Ses bas avaient réveillé un autre de mes nombreux fétiches : Les bas et également les pieds. Mais c’était bien mon coté sentimentale qui dominait aujourd’hui. Au bout de la longue digue, je fus pris d’un frisson face aux vagues grises. Je pense que nous le ressentions tous. Le visage fouetté par le vent iodé. Je regardai autour de moi, j’étais bien. Anna se saisi de mon bras et posa son visage sur mon épaule. Perdu au milieu du souffle d’Eole, je jure avoir entendu un soupir de sérénité. Normalement, j’aurais dû dire quelque chose, faire un bon mot dont la finesse n’aurait été que facultative, mais je me dit qu’il fallait respecter les moments de contemplation de chacun. Au bout de quelques minutes, nous rebroussâmes chemin et regagnâmes le front de mer. Cela faisait deux heures que nous marchions et le grand air semblait avoir creusé nos estomacs. Il était près de 13 heure. Nous vîmes alors un petit restaurant qui proposait d’alléchants plateaux de fruits de mer. Nous y passâmes un bon moment. Le ventre pleins de crevettes, bulots et autres pétoncles arrosées d’un blanc particulièrement sec, le tout terminé en apothéose par un kouign-amann dans la plus pure tradition beurrée de Bretagne, nous rentrions dans notre maison de vacances. La marche et la digestion semblaient nous avoir un peu assommé. Quelque peu honteux, nous décidâmes d’aller faire une sieste. Je me mis en caleçon et enfilai mon t-shirt de la veille. L’espace d’un instant, je me laissai aller à imaginer qu’Anne me rejoignait, qu’elle s’allongeait à côté de moi, se blottissait contre mon torse. Le sentimental laissa alors place à l’obscure vicieux en moi. La fatigue aide souvent l’esprit à divaguer, on l’apprends bien vite lorsque l’on est adolescent, bien que l’abondance de support doive chez beaucoup d’entre-eux de nos jours se soustraire à l’imaginaire. C’était bien dommage mais tant pis pour eux. Je repensais à ce que j’avais vu hier par le trou de la serrure, le corps superbe de ma complice ingénue. Ses fesses rondes bien qu’un rien larges, ce qui n’était pas fait pour me déplaire, son petit ventre fait pour les caresses et non pas pour le bon plaisir d’un mètre à bulle. Ses petits seins droits. J’avais adoré et je voulais adorer ce corps qui était un complément merveilleux à celle qui l’habitait. Je m’imaginais en prendre possession et faire de ce joli bouton de fleurs une rose épineuse… Mes pensées m’avaient un peu égaré et mon sexe était debout, ne pouvant rester ainsi et me disant qu’il n’y avait pas de mal à se faire du bien, je le saisi et commençai de lents vas-et-viens. C’est alors que mon portable vibra. Je vis qu’il s’agissait d’un message d’Anna : « Tu dors ? Tu peux venir me voir s’il te plaît ? ». Je ne répondit pas et me rendis quasi illico presto dans la chambre de mon amie. Juste le temps de faire entendre raison à mon émoi. En entrant, je la trouvai assise sur son lit. Elle aussi s’était changée. Elle portait un pantalon de lin beige et un maillot noire que je lui connaissais depuis des années. Elle souriait. – Je n’ai pas envie de dormir, me dit-elle. Tu dormais toi ? Qu’elle était mignonne ! Si elle savait ce que je lui faisais dans mes songes quelques instants auparavant. J’en aurais presque eu honte, mais que celui ou celle qui ne l’a jamais fait me jette la première pierre. Je m’assis à côté d’elle et posai ma main sur son épaule. – Non, je me reposais juste un peu, dis-je, détaché. – Je ne sais pas si les deux autres dorment, dit-elle au bout d’un moment. – Vu comme Michèle baillait à s’en décrocher la mâchoire, il y a des chances. Laeticia, je ne sais pas. Elle envoie sûrement des textos à son mec. – Elle l’aime vraiment beaucoup. – C’est un mec bien. Elle en avait besoin, la pauvre – oui … Ensuite, je ne sais pas. Je ne sais plus. Mais pourquoi la nature nous fait-elle parfois oublier les meilleurs moments ? Je crois qu’elle m’a regardé dans les yeux, que j’ai eu une certitude, que j’ai été assez bête pour me dire que c’était extrêmement stéréotypé et assez intelligent pour me dire que je me fichais complètement. Je crois que ma main s’est posée sur son visage et que j’ai approché le mien. Au bout de quelques seconde, notre baisé prit fin. Nous nous regardâmes alors. En tout point identiques que nous étions. Il ne fallait pas chercher un changement dans l’objet observé mais dans l’observateur. Notre regard mutuel avait s’était mué. – Oups, dis-je avec un petit sourire. – Oui, répondit-elle, visiblement un peu gênée. Deux adolescents débiles, c’est ce que nous étions. Ne sachant pas ce qu’ils venaient de faire. Ne sachant quoi dire. Je venais de m’engager sur une pente dangereuse mais je m’en fichais un peu. – J’en avais envie depuis hier, me dit-elle timidement. – Moi, je t’avoue que c’est une idée que j’ai depuis quelques temps. – Qu’est-ce que cela signifie à ton avis ? – Pour l’instant je ne sais pas. Je n’avais absolument pas envie de rationaliser ce qu’il venait de se passer. Peut-être, repris-je, que nous avons fait les choses à l’envers et que la nature a voulu que nous les remettions dans l’ordre. Le baisé avant la fessée coquine, certains trouveraient ça sûrement plus logique. Elle eut un petit rire. Puis la conversation reprit une tonalité bien plus normale, nous parlions de tout et de rien, d’anecdotes de travail, de films, de séries, etc. Bien sûr, notre baisé était en arrière-plan dans nos esprits, mais étrangement, il ne nous accaparait pas. Rien n’avait changé au fond. Une heure était passée quand nous entendîmes la porte de la chambre de Laeticia s’ouvrir. Nous la vîmes en sortir s’étirant à s’en faire claquer les tendons. – Yo, fit-elle en passant devant la porte ouverte de la chambre d’Anna. Vous n’avez pas dormi ? – Nope, on a papoté un peu, dit Anna qui ne mentait pas, omettant jute un léger détail sur le déroulé de l’heure écoulée. – Mouais, répondit Laeticia avec un grand sourire et un regard plein de malice. Attention hein ! – Va te peigner au lieu de dire des bêtises, lui lançai-je gentiment. Laeticia bougeait beaucoup pendant son sommeil et sa sieste lui avait donné l’allure d’un chanteur de heavy-métal des années 80. – Rhooo, on peut plus déconner, répondit-elle en faisant semblant de bouder. Lorsqu’elle fut partie, on se regarda avec Anna. Nous nous mîmes alors à pouffer silencieusement. Le risque était aussi amusant qu’excitant. Ma nature prévoyante me ramena cependant face à la nécessité de faire plus attention. Quand tout le monde fut enfin levé, une pluie battante tombait au dehors. Il était presque 17h, une nouvelle triste soirée en intérieur s’annonçait. Nous avions prévu de nous rendre dans une ville voisine pour aller y admirer les bateaux luxueux qui y mouillaient, cela semblait fortement compromis. Contre mauvaise fortune, bon cœur ,ce soir : repas sympa et soirée film ou jeu. Michèle nota alors que le frigo était vide qu’il faudrait aller en courses. Le repas du midi ayant été consistant, nous optâmes pour une salade composée. Un tirage au sort désigna d’ailleurs Michèle pour s’occuper des courses . Immédiatement, Laeticia se proposa de l’accompagner en voyant sa moue calimeresque. – On va laisser les deux larves se reposer, ajouta-t-elle. Est-ce qu’elle voulait dire quelque chose en particulier ? Je l’ignore. Toujours est-il que j’allais me retrouver seul pour un moment avec Anna et cela me remplissait de joie. Je sentais un duel en moi se profiler. Les filles parties, Anna me regarda et dit amusée : – On abuse tout de même, les pauvres, avec cette pluie. – Oui, je suis terrassé par la honte, répondis-je en riant. Il y eu un silence, nous nous regardâmes, elle se leva alors du fauteuil et vint me rejoindre sur le canapé pour se blottir contre moi. Je posai ma main sur sa cuisse et la caressai doucement. Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes, profitant de ces moments de tendresses. Je me demandai alors qui se trouvait à mes coté. Une amie proche pour qui j’aurais tout fait et réciproquement ? Certainement. Ma petite amoureuse ? Une voix en moi répondit alors que ce serait merveilleux, immédiatement suivi par un appel à la prudence et à la méfiance. Enfin, était-elle juste mon objet sexuel ? Une fille que malgré mes sentiments doux et mon souci du respect j’avais fait la proie de mes fantasmes ? Peut-être quelque part était-ce vrai. Je ne lui voulais pas de mal. Elle n’était pas mon objet, elle était l’une des raisons que j’avais de vivre. J’avais lu trop d’histoire de »maîtres » qui crachaient, humiliaient et pire. Je n’étais pas comme ça. Je n’étais pas un dominateur qui faisait ça pour son seul plaisir. Le mien passe par celui de ma compagne, cela avait toujours été. Je regardai alors cette petite tête brune, posée en toute confiance et avec affection contre mon torse. J’eus alors envie de dire une chose idiote. Je la ravalai et me contentai d’un petit bisou sur son crâne qui lui tira un petit soupir douillet. Elle releva alors sa tête et me regarda, le visage rose, semblant lutter contre un sourire. – Dis … J’ai envie … – Ah oui? Répondis-je doucement. – Oui. D’être seule avec toi à la maison, cela m’excite. Admit-elle en regardant ses genoux. – Et si moi je ne veux pas ? Dis-je, tentant de paraître convaincant. – Allez, s’il te plaît ! Elle semblait prête à me supplier. Je n’y croyais pas. Que de changements en si peu de temps. Je ne répondis rien, mais en moi s’éveillait le vice. Mon regard changea, je le sentis et elle le vit aussi. Comme un réflexe, elle s’allongea sur mes cuisses, les tibias repliés contre l’accoudoir du canapé. Je lui fis relever la croupe pour pouvoir la dénuder plus facilement. Je baissai d’abord son pantalon de lin pour découvrir une petite culotte de coton rayé rouge et blanc que je dégageais de l’emprise merveilleuse de ses lèvres que je ne pouvais voir. Je passai alors ma main sur ses fesses pour une petite caresse tendre qui eut pour effet de faire miauler Anna, puis, fermement, je lui donnai le premier coup. Il n’y avait plus lieu de se retenir. Le claquement résonna dans tout le salon, immédiatement suivi du gémissement de ma compagne. Le second se fit à son tour entendre, aussi fort que le premier et Anna gémit à nouveau. En moi, le duel avait accouché d’un accord. Le geste était le fait de ma part sombre et avide d’instant de ce genre, mais l’intention restait celui de mon coté romantique. La lubricité qui n’oublie pas le cœur. Ainsi ponctuais-je chacune de mes sanctions par une caresse sur ces adorables globes qui devenaient de plus en plus roses. On en était à la sixième ou septième fessée lorsque Anna fit quelque chose pour la première fois, je l’entendis dire : – Aaaah hum ! Oui ! Elle venait de verbaliser son plaisir. Elle l’assumait totalement maintenant. Ces quelques mots m’enhardirent alors et renforcèrent mon érection palpitante. Je tentais malgré tout de garder la tête froide et de ne pas dépasser son seuil de tolérance. Je contemplais avec amour mais l’autre moitié prenait de plus en plus un contrôle exclusif, je savais cependant que mes valeurs avaient instauré des gardes-fous. Je continuai alors de maltraiter avec amour le cul d’Anna dont les gémissements avaient laissé place à des cris ponctués de »oui » et de »encore ». N’y tenant plus, après un coup leste qui claqua comme un fouet sur ses rondeurs roses, j’aventurai ma caresse un peu plus bas que d’habitude et effleurai sa vulve. La zone était bouillante et trempée. Anna sursauta, comme traversée par un courant électrique. – Oh oui ! Recommence. Laisse un peu mes fesses. – Okay ! Répondis-je simplement. Ma voix n’était plus celle de d’habitude. Elle était bien plus gutturale et intrépide. Le vice parlait par ma bouche. Il avait entendu l’invitation de l’objet de son attention. Abandonnant ses fesses rosies, je passai à nouveau ma main sur le sexe de ma compagne. J’en appréciai à nouveau la chaleur brûlante. Le contacte tira un nouveau gémissement, plus affolé à Anna. J’allai trouver son clitoris. Immédiatement après que j’ai senti ce petit bouton son mon doigt, Anna eut un nouveau spasme et commença à se tortiller. Elle se laissa alors retomber sur le ventre contre mes cuisses, emprisonnant du même coup ma main contre sa vulve volcanique. Je ne pouvais pratiquement plus la bouger mais les mouvements irréguliers du bassin d’Anna dévirent des vas-et-viens rapides ponctués de gémissements plus ou moins étouffés qui viraient parfois au grognement. Son clitoris passait et repassait, frottant contre les nervures de mes phalanges. Au bout d’une minute de cette masturbation frénétique dont j’étais devenu l’outil bien malgré moi, Anna se crispa et poussa un cri roque, à nouveau prise de spasmes. Sentir et voir jouir cette fille à la peau de lait me procura un tel plaisir que je cru bien que j’allais jouir à mon tour tant mon érection était forte. Anna se relâcha alors complètement, haletant. – Humm, merci W ! dit-elle dans un souffle. J’eus alors un petit rictus. – Mais je t’en prie ma puce. Elle ne répondit rien. La voir ainsi, reprenant ses esprits après son plaisir était un spectacle qui me ravissait le cœur, lui qui avait reprit le dessus en moi. Elle était une petite chose fragile qui redescendait sur Terre. Au bout de quelques instant, elle se redressa avec mon aide ce qui la fit rire un peu, remontant sa culotte et son pantalon. Elle fit quelques pas pour se diriger vers la salle de bain mais rebroussa chemin. Je cru qu’elle avait oublié quelque chose. Rose de confusion, de gêne en encore à cause de l’orgasme, elle revint alors vers moi, mis sa main sur mon cou et déposa un court baisé mais qui valait mille mots. Elle se sentait bien avec moi. Son épanouissement était rapide. Peut-être rattrapait-elle le retard, bien qu’elle fut très jeune et qu’il n’y ait pas d’age pour se découvrir. Lorsqu’elle reparut, j’eus à nouveau envie de dire une bêtise, mais je vis alors que mon ingénue bien aimée pleurait… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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