Trois baises en vingt-quatre heures torrides
Trois parties de jambes en l’air en vingt-quatre heures, ça pourrait passer pour un challenge, mais ce ne fut en rĂ©alitĂ© qu’une succession d’occasions que j’ai saisies. Et l’occasion de tester ses limites !
Proposée le 2/08/2022 par Créatif21 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Grand et de carrure de plus en plus sportive depuis quelque temps, sans être un athlète pour autant, je suis désormais à l’aise, en confiance et bien dans mon corps depuis que j’ai augmenté la fréquence de mon activité sportive. J’ai arrêté de complexer sur ces petits défauts qui marquent souvent la quarantaine chez un homme (les femmes en ont aussi !), et j’ai pris les choses en main depuis un an. Conséquence : mon agenda est bien rempli en cette semaine de repos printanière. Vive les sites de rencontres ! Mardi soir, la soirée chez Sandrine, une de mes libertines régulières, s’annonce torride comme souvent. Entretemps deux nouveaux rendez-vous se sont intercalés lundi soir et mardi après-midi. Comme on ne sait jamais trop à quoi s’attendre avec ce genre de rencarts, je ne suis pas inquiet d’en enchaîner ainsi plusieurs en vingt-quatre heures ; pour deux d’entre eux, il s’agit juste de prises de contact, après tout. D’ailleurs, vous savez comme moi combien l’alchimie n’est jamais garantie à l’avance dans ce genre d’entrevues, qui peuvent être désastreuses parfois ! La première de mes invitées, Carole, a finalement pu trouver un créneau lundi soir – le seul possible. Elle a l’air plutôt sage au regard de ses SMS, qui visent simplement à faire connaissance. Quant à Séverine, elle a souhaité avancer notre rendez-vous au mardi après-midi et semble très pressée de me rencontrer. Cela dit, elle a surtout l’air d’avoir besoin d’une épaule pour se consoler d’une séparation douloureuse. En plus elle a à peine deux heures à me consacrer, et semble fragile. Ces deux rendez-vous ne sont donc pas des plus prometteurs.L’apéro avec Carole, arrivée vers 19h, commence sur un a priori positif. Physiquement cette femme aux cheveux châtains, la quarantaine, me plait bien. Sous des dehors sobres (jupe mi longue, haut coloré très légèrement décolleté, petits talons), je devine une taille fine, un petit cul engageant et des petits seins en poire savamment suggérés. En revanche son visage, inexpressif, n’est pas des plus avenants et ne traduit aucune envie de me séduire. A ce moment je suis loin d’imaginer à quel point Carole est pourtant une véritable débauchée, d’autant plus que la teneur de ses messages écrits a été jusqu’alors très banale pour un plan cul. Je ne tarderai pas à apprendre qu’elle a un partenaire par jour au moment de notre rencontre…Convenons-en, voilà qui relativise mon mérite ! On est bien naïf, parfois…Nous voici assis côte à côte sur mon clic-clac, dans la mezzanine de mon baisodrome, une coupe à la main. Je plais semble-t-il à cette femme. En tout cas, elle a une idée assez précise de la manière dont la soirée pourrait se terminer, sinon elle n’aurait pas posé ses jambes dénudées sur mes cuisses, jupe légèrement relevée l’air de rien, au fil de la discussion. Mes mains tardent un peu avant de répondre à l’invitation de ses deux compas, histoire de faire monter le désir. De belles jambes, fines et douces…J’ai du mal à en placer une, avec elle, et la question qui m’anime pendant son monologue est « est-ce que je la baise ce soir, ou ne vaut-il pas mieux finalement garder mes forces pour Sandrine demain soir ? ». J’avoue que la conversation, un peu ennuyeuse, est sur le point de tout faire retomber. Mais « tout » se redresse quand elle cesse d’évoquer sa vie professionnelle, ses ennuis de santé et la vie avec ses ex, pour raconter ses expériences libertines en club. Avec à l’appui des photos prises par un photographe, pour l’occasion ! « Tu vois, là , c’est quand Manu s’est fait sucer par mes trois copines et moi ! En même temps, avec ses mains, il m’a fait gicler moi et Maud.
– Excitant, dis-moi…il a dĂ» bien prendre son pied, le veinard !
– Oui, on peut dire qu’on s’est bien occupĂ© de lui… »Carole me regarde avec un sourire coquin, car elle a senti une bosse se former tout contre ses cuisses. Nous finissons par nous embrasser…Alors comme ça, j’ai affaire Ă une libertine plus expĂ©rimentĂ©e que moi…Première surprise de taille, car je m’attendais naĂŻvement Ă une novice un peu timorĂ©e vu nos premiers Ă©changes par messages. C’est dĂ©cidĂ© : j’ai envie de la baiser ce soir.Naturellement ma main commence alors Ă remonter sa jupe. Pendant que les photos « pornochic » de sa partie fine continuent Ă dĂ©filer, agrĂ©mentĂ©es de commentaires assez « techniques », je me mets Ă la caresser dans le creux des cuisses, Ă la lisière de sa culotte. Je me dis qu’ainsi je vais peut-ĂŞtre rĂ©ussir Ă la faire taire. Mais ça met longtemps avant qu’elle pose son portable. Le silence peu Ă peu s’installe, autre signe qui ne trompe pas, et effectivement : je constate Ă ses yeux mi-clos qu’elle savoure ce moment, abandonnĂ©e, les deux bras Ă©tendus sur le dessus de mon clic-clac. Une attitude aussi confiante après si peu de temps, c’est typique des libertines. Ma main ne tarde pas Ă Ă©carter sa culotte, dĂ©jĂ un peu humide, pour dĂ©couvrir un sexe Ă©pilĂ© et surmontĂ© d’une lĂ©gère toison soigneusement taillĂ©e. C’est très excitant, une culotte de dentelle juste Ă©cartĂ©e sans ĂŞtre enlevĂ©e ! Plusieurs petits glapissements d’un plaisir animal surgissent quand j’entreprends, sans autre forme de procès, de branler le clitoris de ma partenaire en alternant douceur et fermeté…je n’ai entendu cela avec aucune autre. Elle finit allongĂ©e, jupe entièrement relevĂ©e, ma tĂŞte entre ses jambes, ma langue entre ses lèvres offertes. Le cunnilingus est dĂ©cidĂ©ment une bonne manière de briser la glace…Après avoir gratifiĂ© sa chatte luisante de longs va-et-vient, je m’interromps sournoisement pour lui embrasser l’intĂ©rieur des cuisses, puis me rapproche de nouveau de son sexe en jouant Ă l’éviter, Ă le frĂ´ler, afin de la rendre dingue… Je l’écarte enfin pour saisir son clitoris Ă pleine bouche et Ă pleine langue, avant de m’arrĂŞter dès que je sens ma complice partir trop loin. Ce petit jeu de « jouira, jouira pas ? » dure de longues minutes. J’aime ce pouvoir de dĂ©clencher l’orgasme d’autrui quand je le dĂ©cide, et d’en priver ma partenaire au moment oĂą elle l’attend…Les glapissements de Carole et sa chatte de plus en plus humide me guident parfaitement dans la semi-obscuritĂ© qui commence Ă nous environner. Cette femme a de toute Ă©vidence la facultĂ© de jouir très facilement ! Mais il est hors de question que je lui offre cela aussi tĂ´t…Bien excitĂ©e dĂ©sormais, sur la ligne de crĂŞte entre frustration et plaisir, Carole a compris qu’elle va devoir patienter avant de grimper au rideau pour de bon. La voici qui se redresse donc sur le clic-clac, m’offre avec aviditĂ© sa bouche, et goĂ»te la saveur de son propre sexe dont l’odeur emplit dĂ©jĂ la pièce. Les baisers intrusifs sont d’autant plus langoureux quand ils ont du goĂ»t…J’ai voulu jouer avec elle ? A mon tour de connaĂ®tre les affres de la frustration. Ma partenaire s’empare de la bosse qui dĂ©forme mon jean, pour jauger la taille potentielle de ma queue, la taille de mon dĂ©sir, ou les deux. Elle la soulage du bouton de mon pantalon et de ma braguette, la caresse Ă travers mon caleçon, puis l’abandonne aussitĂ´t, comme rassurĂ©e, pour se consacrer Ă ma chemise. L’effeuillage continue tout doucement pendant que nos bouches aromatisĂ©es s’entremĂŞlent. Des baisers mouillĂ©s parcourent mon torse, s’attardent longuement sur mon ventre, avant de s’aventurer sur mon caleçon…Les mains de ma libertine me massent fermement les couilles au travers, durant un instant qui me semble interminable. Je n’en peux plus et la garce le sait très bien ! Le regard satisfait qu’elle me lance le montre parfaitement. Son visage n’est plus du tout le mĂŞme que celui du dĂ©but de soirĂ©e. Carole s’est muĂ©e en crĂ©ature lubrique, en machine de plaisir, vouĂ©e Ă jouir et faire jouir, et arbore un sourire vicieux qui veut dire « tu vas voir ! ». Elle se lève alors. Lentement, elle se dĂ©vĂŞt entièrement. Je me lève et la mets Ă genoux devant moi ; manifestement elle apprĂ©cie ce petit geste de domination… VoilĂ qui est bon Ă savoir… Tandis qu’elle finit de retirer mon caleçon centimètre par centimètre, elle continue Ă embrasser mon ventre et prends dĂ©licatement mon gland dans sa bouche, avant d’engloutir toute ma bite d’un seul coup. Je tressaute de plaisir, et me sens dĂ©jĂ dur comme du bois. Ma partenaire ressort mon sexe tout brillant de salive, le saisit Ă pleine main et le regarde avec un air qui clairement veut dire « je vais bien m’amuser ce soir… ». Au fil des minutes j’apprĂ©cie de plus en plus sa manière de sucer, pleine de douceur et d’humiditĂ©. Je redĂ©couvre cette sensation comme si c’est la première fois, ce qui m’arrive quand ma partenaire sait comment s’y prendre. En mĂŞme temps que ma queue rentre et sort de sa bouche, Carole me branle Ă la fois si fermement et si sensuellement qu’au bout de plusieurs dĂ©licieuses minutes dans son Ă©tui mouillĂ©, je me surprends Ă avoir envie de jouir, d’autant plus lorsqu’elle redescend gober mes couilles. Je dois finalement retenir ma partenaire car sinon elle se ferait une joie de me finir…Un moment de simples caresses me laisse le temps de reprendre mes esprits, et me donne l’occasion de goĂ»ter Ă ses seins, dont les tĂ©tons prennent rapidement le goĂ»t et l’odeur de son sexe. Son corps entier finit par sentir le sexe, semble-t-il ! Après ĂŞtre descendus de ma mezzanine, nous dĂ®nons et buvons quelques verres. Durant cet intermède la belle se rĂ©vèle plus intĂ©ressante qu’au dĂ©but. Mais suis-je encore très objectif ? En tout cas c’est très excitant de suspendre les Ă©bats de la sorte, pour mieux les reprendre ensuite.L’ambiance tamisĂ©e par les bougies, et quelques verres, finissent de faire remonter notre dĂ©sir. Nos mains et nos bouches ne tardent pas Ă renouer contact. Face Ă ma partenaire, assise nue comme moi Ă une chaise de bar, je finis au bout d’un moment par lui dĂ©croiser les jambes, et Ă embrasser de haut en bas son corps ferme et doux. C’est plus fort que moi, je ne peux attendre bien longtemps avant de lui lĂ©cher la chatte de nouveau… aussitĂ´t elle se dĂ©hanche et Ă©met ses petits gĂ©missements caractĂ©ristiques. Je dĂ©cide que le moment est venu de la faire jouir une première fois. Je saisis un des prĂ©servatifs que j’ai toujours (au cas où…) dans une boĂ®te sur le bar… puis rapproche les deux autres chaises de part et d’autre de la crĂ©ature, afin qu’elle puisse tenir ses jambes bien Ă©cartĂ©es ; ce petit cĂ©rĂ©monial, lent, mĂ©ticuleux et effectuĂ© pendant que je la fixe les yeux dans les yeux, ne fait qu’augmenter son excitation. Sa chatte et son cul me sont offerts. A peine bien installĂ©e, elle sent mon majeur et mon annulaire la pĂ©nĂ©trer sans prĂ©venir en mode « boule de bowling » et la branler vigoureusement ; ses tĂ©tons, sa bouche, son sexe goĂ»tent tour Ă tour Ă ma langue… Elle gĂ©mit de plus belle. J’ai envie maintenant de lui offrir un orgasme qu’elle ne sera pas prĂŞte d’oublier. Je lui Ă©carte alors le cul, lèche voluptueusement son petit trou et y introduis un doigt abondamment enduit de gel, puis progressivement un deuxième ; en mĂŞme temps et avant qu’elle puisse redescendre de cette sensation, mon autre main doigte lentement et profondĂ©ment sa chatte. Elle apprĂ©cie ĂŞtre fouillĂ©e ainsi de partout, c’est Ă©vident, et rapidement son regard salace me supplie de la dĂ©glinguer une bonne fois pour toutes. Elle ne le sait pas encore, mais une furieuse envie de l’enculer a fini de monter en moi. Quel bonheur de remplacer mes doigts par ma queue, et quel plaisir de la sentir se frayer un chemin dans ce trou Ă©troit…Regard incrĂ©dule de sa part, rictus du plaisir inattendu de se faire Ă©carter le cul d’emblĂ©e… Avec une libertine pareille, je peux passer certaines Ă©tapes, et au contraire ce sans-gĂŞne obscène l’excite ; mon intuition sur ce point m’a rarement trompĂ© au cours de mes aventures.« Oh, toi, tu as la queue parfaite pour me prendre le cul… » me dit-elle les yeux dans les yeux. L’expression lubrique de son visage me montre que ce soir, je vais pouvoir faire ce que je veux de mon invitĂ©e…Je la saisis fermement par les hanches, en savourant chaque centimètre introduit dans ce fourreau dĂ©licieusement Ă©largi, tandis que ses glapissements m’encouragent Ă m’enfoncer au plus profond. MalgrĂ© sa bonne longueur, ma queue, fine comme il faut, rentre jusqu’à la garde. Bien en place, je profite un instant de cette sensation incroyable de me sentir littĂ©ralement gobĂ© par le cul de ma partenaire, tout en contemplant l’effet produit. De lents aller-retours, et Carole ne tarde pas Ă crier de manière bien diffĂ©rente cette fois…si les voisins sont chez eux, ils vont forcĂ©ment tout entendre ! Pour accompagner son orgasme je me mets Ă la dĂ©foncer si puissamment que le lendemain, elle gardera dans le dos un bleu Ă©pousant la forme du dossier de la chaise. J’entends tomber quelques objets disposĂ©s sur le bar, mais Ă ce moment prĂ©cis je m’en fous complètement ! Deux de mes doigts lui fouillent de nouveau la chatte, tandis que je l’encule de manière plus lente mais plus ample ; ma queue ressort par moments, mais comme la nature a horreur du vide, c’est pour mieux entrer de nouveau… Le spectacle qu’elle m’offre durant ce moment suspendu est mĂ©morable : visage crispĂ© par un plaisir indescriptible, seins baladeurs, cuisses Ă©cartĂ©es, chatte et culs remplis. Le bruit de mes couilles qui claquent contre son petit cul rĂ©sonne. Cette vision entre-aperçue dans la pĂ©nombre se mĂŞle Ă mes propres sensations, que je rĂ©ussis Ă contrĂ´ler alors que son orgasme semble ne jamais devoir s’arrĂŞter et atteint un nouveau pic (peut-ĂŞtre s’agit-il mĂŞme d’une succession d’orgasmes). Je sais que si je franchis ce palier sans jouir tout de suite, mon plateau pourrait durer longtemps. Or, je compte bien ne pas en finir aussi vite avec une invitĂ©e qui recèle autant de potentiel !Cette soirĂ©e est trop bien engagĂ©e pour que ma partenaire rentre chez elle, et nous alternons conversations câlines et baises intenses jusqu’à une heure du matin. Je ne cherche plus Ă me mĂ©nager, après tout mon rencart du lendemain avec Sandrine pourra ĂŞtre, au pire, reportĂ©. C’est une règle tacite du libertinage, que j’ai dĂ©jĂ apprise plus d’une fois Ă mes dĂ©pens : les opportunitĂ©s d’un soir, quand elles ont l’air de valoir le coup, passent avant les rĂ©gulières. Avec ces dernières il est facile de s’arranger, et puis Sandrine m’a dĂ©jĂ fait le coup une fois pour se faire tringler par un Ă©talon de passage. Je n’ai rien contre les « infidĂ©litĂ©s », Ă condition qu’on me les raconte dans le dĂ©tail. Bref. Une fois le point de non-retour franchi, j’encule mon invitĂ©e sur le plan de travail, avant de la prendre en levrette sur le fauteuil, et mĂŞme…sur mon lit ; il faut s’y rĂ©soudre finalement, car c’est quand mĂŞme bien confortable. A mon tour d’être chevauchĂ©, et de constater combien ma partenaire a un rĂ©pertoire Ă©tendu en matière de baise. Le tout entrecoupĂ© de pipes, de cunnis et de 69 dĂ©chaĂ®nĂ©s. Carole est globalement plutĂ´t passive et se soumet au moindre de mes dĂ©sirs ; je me fais un plaisir d’assouvir sa chatte tour Ă tour avec ma langue, mes doigts et ma bite. Après trois nouveaux orgasmes, elle me fait comprendre qu’elle n’en peut plus. Je me suis bien retenu jusqu’alors, car jouir m’épuise, et comme je suis pratiquement Ă court de munitions je ne me fais pas prier pour lâcher les chevaux.« J’ai envie que tu me fasses jouir avec ta bouche. Lâche-toi comme tu veux, cette fois ! Ne te retiens pas !
– Ça, mon salaud, tu peux compter dessus ! »
Elle m’allonge alors sur le lit, et m’engloutit en me branlant sans ménagement.
« Attention ! Je vais jouir ! dis-je au bout de quelques instants, en ôtant ma queue de ce fourreau magique.
– Justement… » rĂ©pond-elle, en m’enfournant aussitĂ´t de plus belle.J’éjacule alors, en un orgasme d’une intensitĂ© rare. Mon sperme se rĂ©pand dans la gorge de ma partenaire en longues saccades, tandis que sa bouche contient mes spasmes de jouissance. Aucune goutte ne ressort. Ce cadeau-surprise, le premier du genre pour moi, rend cette explosion encore plus terrible.« Avaler…j’adore ça… », murmure-t-elle enfin, satisfaite de l’effet qu’elle a produit sur moi, avant de me reprendre dans sa bouche et de sucer ma queue quelques instants encore pour prolonger mon plaisir. Finalement, comme nous avons mis nos dernières forces dans la bataille, ce n’est pas compliquĂ© pour elle comme pour moi de sombrer dans un profond sommeil, après une douche Ă©clair. C’est toujours dĂ©concertant de passer la nuit enlacĂ© avec une inconnue, d’autant plus quand la matinĂ©e qui suit nous laisse autant de temps que nĂ©cessaire…
Se rĂ©veiller aux cĂ´tĂ©s de cette belle endormie, Ă la lumière du jour, est une petite surprise…il me faut un peu de temps pour rĂ©aliser. « Ah oui, c’est vrai !… ». Je me sens bien reposĂ©, et la matinĂ©e est dĂ©jĂ bien entamĂ©e en rĂ©alitĂ©. Mon invitĂ©e n’a pas pris la peine de remettre quelque sous-vĂŞtement que ce soit avant de s’endormir, et mes mains se font donc une joie de parcourir son dos, son cul et ses jambes au fur et Ă mesure que je me remĂ©more les moments « saillants » de la soirĂ©e. Elle dĂ©gage une innocence qui contraste avec nos Ă©bats de la veille… cette rencontre le confirme une fois de plus : les meilleurs coups se dĂ©roulent le plus souvent avec des femmes qui cachent bien leur jeu. Ce n’est pas Ă©tonnant après tout ! Plus on est Ă l’aise avec son corps, moins on a besoin d’en faire Ă©talage et d’user d’artifices au quotidien. Et plus on sait s’en servir.Le contact avec sa peau ne tarde pas Ă me faire bander de nouveau, plus dur que jamais mĂŞme ! Vite, une capote…Je reviens tout contre elle. Carole commence Ă se rĂ©veiller, et sentant mon « morning wood » l’effleurer, laisse Ă©chapper un soupir de dĂ©sir… Elle se cale alors longuement, en cuillère, contre mon corps qui la serre, son cul contre mon bas-ventre, puis sans prendre la peine de me dire bonjour, saisit ma queue et l’introduit dans son sexe. Je la pĂ©nètre de toute ma longueur, ravi de la trouver dĂ©jĂ trempĂ©e, et la baise doucement durant de longues minutes. Après cette entrĂ©e en matière ma partenaire se redresse et se met sur les genoux, bras Ă©tendus contre le lit, m’offrant son sexe et son cul bien Ă©cartĂ©s. « Vas-y, dĂ©fonce-moi bien comme tu sais le faire… », finit-elle par me dire en me provocant du regard.C’est incroyable d’avoir une telle envie de baiser après la sĂ©ance de la veille ! Son dĂ©sir, intact, est communicatif…cette petite sĂ©ance matinale va se terminer en levrette claquĂ©e, une de mes disciplines prĂ©fĂ©rĂ©es. Un pied ancrĂ© dans le lit, je viens frotter ma queue sur sa vulve, un instant, avant de la prendre Ă nouveau et de la pistonner sans merci, longuement, encouragĂ© par ses petits glapissements bien Ă elle. Ils ne tardent pas Ă se muer en cris de jouissance, pendant que rĂ©sonnent les claques sur son petit cul de plus en plus rouge.
Cette fois-ci c’est sur son cul que je finis par jouir Ă mon tour. Après un petit dĂ©jeuner rapide, Carole s’en va, et je m’effondre dans mon lit, assouvi…Une partie de l’après-midi a passĂ© quand j’émerge. J’ai tout juste le temps de ranger et d’effacer les traces (assez nombreuses…) laissĂ©es par le passage de mon invitĂ©e, en particulier au niveau du bar et du plan de travail. D’aĂ©rer mon appartement, aussi, car mĂŞme un non-voyant aurait devinĂ© sans peine la thĂ©matique principale de ma nuit !! Certes, mon rendez-vous de tout Ă l’heure avec SĂ©verine doit s’effectuer en terrain neutre et je n’en attends rien de spĂ©cial dans l’immĂ©diat. En plus il s’agit (contrairement Ă la veille !) d’un « date » Ă partir d’un site de rencontres classique. Mais bon, mon expĂ©rience me dit qu’il vaut mieux prĂ©voir le coup ! Dans nos messages, jusqu’alors, j’ai indiquĂ© que j’ai tout mon temps, d’autant plus que j’ai de nombreuses partenaires en ce moment. Je lui ai dit aussi que je ne veux pas la brusquer compte tenu de la sĂ©paration pĂ©nible qu’elle vient tout juste de traverser. A quoi bon se presser ? Pour un homme, ĂŞtre patient et faire mine d’être dĂ©tachĂ© lui apporte souvent l’intĂ©rĂŞt des femmes et mĂŞme, leur confiance, comme je vais pouvoir le constater encore Ă plusieurs reprises. La patience est le luxe des hommes qui ont dĂ©jĂ un harem, et leur meilleure arme pour l’étoffer de plus en plus. Pour le moment, donc, je me dis que je vais surtout m’employer Ă la consoler. On verra bien par la suite.Une fois arrivĂ© au parc oĂą nous avons prĂ©vu de nous retrouver l’espace de deux heures, je vois arriver une jolie brune de taille moyenne, petite quarantaine. Son jean et son haut mettent en valeur des formes plutĂ´t pulpeuses et des fesses rebondies. Je suis aussitĂ´t charmĂ© par son sourire sincère quoiqu’un peu dĂ©primĂ©, et par son regard vif, complètement dans l’échange. A plein d’égards, rien Ă voir avec la femme que j’ai quittĂ©e quelques heures auparavant ! Contrairement Ă Carole, SĂ©verine s’avère d’emblĂ©e intĂ©ressante. Très rapidement, au fil de la discussion, je dĂ©cèle un Ă©quilibre de vie, une puissance et une certaine finesse d’esprit qui tranchent avec la baiseuse, certes convaincante, de la veille. J’aime ĂŞtre excitĂ© de l’intĂ©rieur, ça arrive rarement mais je ressens peu Ă peu l’envie de conquĂ©rir cette femme qui me paraĂ®t un peu hors-norme. J’ai amenĂ© cafĂ© et dessert, et après avoir Ă©voquĂ© sa situation, la conversation glisse tout naturellement vers ma pratique du libertinage, que nous avons dĂ©jĂ Ă©voquĂ©e dans nos messages. Je ne lui dis pas pour autant que je rĂ©cupère Ă peine d’une baise mĂ©morable ! En tout cas rapidement je comprends que la thĂ©matique l’émoustille, et ses questions montrent qu’elle est attirĂ©e par ce type d’expĂ©rience. Elle aime le cul, de toute Ă©vidence ; elle a dĂ©jĂ fait une fiche temporaire sur le site dont je lui ai parlĂ© dans nos premiers messages, quand elle a voulu vĂ©rifier ce que je lui disais de moi et de mes complices. Ses visites rĂ©pĂ©tĂ©es sur mon profil m’ont vite laissĂ© deviner son intĂ©rĂŞt Ă mon Ă©gard ! D’ailleurs elle me dit rapidement, de manière assez cash, qu’elle est contente d’être tombĂ© sur un libertin sur notre site de rencontres « conventionnel », car au moins, les libertins savent comment s’y prendre. Je lui propose de guider son entrĂ©e dans le milieu, car indirectement je connais dĂ©jĂ plusieurs mecs fiables ou du moins, compĂ©tents. On va faire un tour sur le site et elle pourra ainsi « faire ses courses » en Ă©tant un peu coachĂ©e. Touchante attention n’est-ce pas ? Au passage je lui fais comprendre qu’elle est tout Ă fait mon genre et que si c’est rĂ©ciproque, je me ferai une joie de la compter parmi mes libertines favorites. Les femmes aiment sentir qu’on les choisit…j’ai l’impression de mener le jeu Ă ce moment. Nous les hommes sommes dĂ©cidĂ©ment bien naĂŻfs parfois ! On est persuadĂ© d’avoir la main mais en rĂ©alitĂ© ce sont souvent les femmes qui, habilement, nous guident Ă elles quand elles le dĂ©cident. Je m’en rends compte quand, au bout d’une demi-heure, SĂ©verine fait mine de chercher des toilettes dans le parc, qu’elle connaĂ®t pourtant fort bien…évidemment il n’y en a pas ! Je crois comprendre sa manĹ“uvre (elle a regardĂ© l’heure, et doit calculer combien de temps il lui reste si elle veut baiser). Je lui propose donc de passer chez moi. En tout bien tout honneur. Bien sĂ»r, promis…parole d’opportuniste ! Une fois dans mon appartement, il ne faut pas longtemps pour entrevoir Ă qui j’ai rĂ©ellement affaire. On ne peut pas dire qu’elle lutte pour venir dans mes bras, au bout de quelques minutes seulement, et m’embrasser. Des baisers bien plus mouillĂ©s que la veille, un regard de braise qui me dĂ©shabille, et mon choix est vite fait ! Je suis encore fatiguĂ© de ma toute rĂ©cente partie de jambes en l’air en deux sets, c’est certain, mais je ne peux pas laisser repartir SĂ©verine sans lui donner un aperçu de ce qui l’attend si on se revoit. De toute façon il ne nous reste que le temps d’une baise rapide et efficace. Je finis donc par l’allonger sur mon lit. Après avoir relevĂ© son haut et son soutien-gorge pour goĂ»ter ses seins, je lui enlève uniquement le bas et dĂ©couvre des fesses diablement rebondies et des jambes fermes et toniques. Tandis que ses yeux lubriques ne se dĂ©tachent pas des miens, elle Ă©carte grand les cuisses, m’invitant Ă lui bouffer la chatte, ce que je fais sans mĂ©nagement tout en la pĂ©nĂ©trant de mes doigts. Peu de temps après son orgasme surgit, et je choisis ce moment pour la prendre sans mĂ©nagement, dans la mĂŞme position, pour le prolonger le plus possible. Je sens bien que je ne tiendrai pas très longtemps, car mon corps ne rĂ©pond plus aussi bien que ce matin ! Son envie de jouissance assouvie, le reste n’est que du bonus. Après quelques minutes d’aller-retours vigoureux, je m’arrĂŞte, malgrĂ© son regard de feu qui en redemande, et me rhabille. « Je crois qu’on doit faire attention Ă l’heure, tu vas bientĂ´t devoir y aller…
– Toi, il faut que je te revoie… » me rĂ©pond-elle, frustrĂ©e. Et comment ! Je ne le sais pas encore Ă ce moment-lĂ , mais cet après-midi inachevĂ© signe le dĂ©but d’une de mes plus belles relations libertines. Pendant quelques mois, SĂ©verine sera initiĂ©e au milieu libertin par mes soins, et se fera une joie de me raconter par le menu son exploration des autres hommes ; la dĂ©couverte de grosses bites perfor(m)antes, la soumission, les fesses marquĂ©es de rouge, ses premières fontaines, et mĂŞme son premier trio…. Mère exemplaire et professionnelle hyperactive le jour, folle de cul dĂ©chaĂ®nĂ©e la nuit (ou les après-midi), elle dĂ©teste les parties de jambes en l’air standard. Elle, ses pĂ©chĂ©s mignons, c’est la sodomie et le fist. Quelle fiertĂ© de l’avoir ouverte au libertinage ! Au passage, Ă son contact, je vais en apprendre encore davantage sur les femmes et leur dĂ©sir. DĂ©sir d’être laissĂ©es libres, mais aussi dĂ©sir d’être guidĂ©es voire dominĂ©es ; dĂ©sir d’être doublement pĂ©nĂ©trĂ©es (dans son cas, le plus souvent avec son gode prĂ©fĂ©rĂ© dans la chatte, le plus gros de sa collection, et ma bite dans le cul…). LĂ encore, voici une femme qui n’use d’aucun artifice pour se mettre en valeur, mais qui est sacrĂ©ment bonne au lit. Et quelle collection de godes et autres accessoires ! Sa commode suffit Ă peine Ă tout contenir…Il est 17h passĂ© quand SĂ©verine quitte mon appartement, non sans avoir fixĂ© notre prochaine entrevue (Demain ! Elle est donc motivĂ©e). Il me reste deux heures avant d’aller voir Sandrine, ma rĂ©gulière. Allez, je n’annule pas, mais la soirĂ©e sera soft, c’est certain ! Cette femme approchant la cinquantaine a un profil très diffĂ©rent des autres libertines que j’ai pu rencontrer. Intellectuellement tout d’abord, c’est une tronche. Physiquement ensuite. C’est une femme obèse, aux seins et au cul Ă©normes, d’une Ă©nergie dĂ©bordante. J’adore ses formes. Haute responsable d’une grosse boĂ®te, elle dĂ©compense sa charge mentale permanente par une grosse dĂ©charge sexuelle rĂ©gulière. Elle est volontiers soumise mais sait aussi se montrer très entreprenante et capable de bien dominer son partenaire par moments. Vous ne vous ĂŞtes jamais pris des gros coups de sein dans la tronche ? Non ? Alors vous ne pouvez pas comprendre !J’arrive chez elle vers 19h, pour un apĂ©ro dĂ®natoire dont elle a le secret. Notre discussion est aussi riche que d’habitude, et comme Ă chaque fois, on ne sait pas Ă l’avance si l’envie de baiser va ĂŞtre au rendez-vous, ou si on finira devant un bon film. Je me dis qu’après tout, c’est plus raisonnable s’il ne se passe rien ! Au bout de deux heures cependant, comme Sandrine ne cesse de nous resservir des verres, nous avons un coup dans le nez et elle commence Ă m’embrasser sur son canapĂ©, la main sur ma cuisse. Je ne sais pas trop si je suis en mesure de rĂ©pondre Ă son invitation, au dĂ©but, mais ma queue, souvent de bon conseil, s’en charge Ă ma place : j’ai l’impression de bander comme si j’étais en manque ! L’alcool aidant, j’oublie ma fatigue et me lance Ă l’assaut de ce doux Everest. Son haut se retrouve vite par terre, et j’entreprends d’ôter son soutien-gorge renforcĂ© ; ses deux lourds ballons surgissent d’un coup. Ses tĂ©tons super-sensibles sont, je le sais depuis quelque temps maintenant, des interrupteurs imparables…aussi je les humecte, les triture et tire dessus sans mĂ©nagement avec mes doigts, avec ma bouche. L’effet est immĂ©diat et une vague de dĂ©sir envahit ma partenaire, Ă en juger par ses gĂ©missements. Les petites douleurs, pour Sandrine, sont source d’excitation…avec elle, nulle besoin de retenue pour peu qu’on la respecte le reste du temps (c’est aussi Ă cause de cela que rĂ©gulièrement elle s’ennuie avec des amants trop timorĂ©s).Au bout de quelque temps, tout en se mettant Ă genoux, elle me demande de me mettre debout. Je me retrouve rapidement avec pantalon et caleçon aux chevilles…La bouche de ma rĂ©gulière s’empare alors de ma bite et, dĂ©bordant de bave, l’avale entièrement. Quand elle suce, Sandrine ne plaisante pas ! Je suis moi-mĂŞme surpris d’avoir encore envie après les dernières 24h que j’ai passĂ©es. La voilĂ maintenant qui tient ses deux seins dans ses mains, offerts, et laisse couler un long filet de salive au milieu…on se connaĂ®t bien maintenant, et je sais ce que cela signifie… Je ne me donc fais pas prier pour mettre ma queue dans cet abri particulier, qui se referme aussitĂ´t pour l’englober entièrement. Sandrine commence alors Ă me branler entre ses seins bien lubrifiĂ©s, dans une branlette espagnole qui n’a rien Ă envier Ă la pĂ©nĂ©tration, la fellation ou mĂŞme la sodomie… Son lent mouvement de haut en bas me laisse sans voix, et je savoure cette sensation rare. Elle sait que j’aime quand ses seins et sa bouche collaborent, miracle que très peu de femmes ont la possibilitĂ© d’accomplir ! Alors elle remonte ses seins de plus en plus haut, laissant mon gland dĂ©passer, et se met Ă le lĂ©cher en tournant sa langue tout autour, tout en me branlant lentement dans ses seins (sa poitrine est si imposante qu’elle peut se lĂ©cher ses propres tĂ©tons, spectacle pour le moins excitant Ă chaque fois qu’elle me l’offre…). Un instant, je pense Ă ce miracle du dĂ©sir fĂ©minin, dont j’ai pu tâter des facettes si multiples depuis hier soir !Après avoir bien pris mon pied durant plusieurs dĂ©licieuses minutes, je me rassois quelques instants pour reprendre le contrĂ´le de mes sens. Sandrine en profite pour s’éclipses, et revient entièrement nue, avec des talons ; ils la mettent parfaitement Ă la bonne hauteur pour que je la baise debout. Mon sourire vicelard reçoit une rĂ©ponse sans Ă©quivoque ! Elle se rapproche de moi et me met une capote en me branlant d’une manière sensuelle mais ferme…puis elle se rapproche de son bar et se cambre en s’appuyant dessus, pour que je la prenne par derrière. Ma rĂ©gulière, elle aussi, adore quand je l’encule, mais Ă cet instant je sens que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps (ce rĂ©cit est une histoire vraie, je vous le rappelle, donc n’en demandez pas trop au narrateur non plus !). Je remets donc ce projet Ă une autre fois. Je choisis plutĂ´t de lui bouffer le cul et la chatte, jusqu’à sentir son orgasme approcher. Au dernier moment, je me relève et l’emmanche d’un coup sec. J’aime vraiment les fesses de cette libertine-lĂ : elles sont si rondes qu’elles forment un merveilleux ressort naturel pour dĂ©foncer et pilonner sans vergogne son sexe affamĂ©. Sandrine ne tarde pas Ă pousser de grands cris de jouissance tandis que je lui donne mes dernières forces…mon objectif premier atteint, je la redresse au bout de quelques instants pour en finir.« Mets-toi accroupie », lui dis-je, tout en enlevant ma capote.En contrebas, elle me regarde me branler en se massant les seins et en me regardant dans les yeux, ce qui rapidement me fait gicler. Elle accueille mon sperme sur ses seins, et l’étale dessus avec un sourire satisfait. Petit plaisir Ă elle : une fois que je serai parti, elle se couchera avec, sur elle, ce petit souvenir de moi …C’est la seule fois de ma vie que j’ai niquĂ© avec trois femmes diffĂ©rentes en si peu de temps. Je n’ai plus recherchĂ© Ă retrouver ce genre d’instants par la suite. Il y a des moments oĂą la vie nous donne l’occasion de tester nos limites sexuelles, sans que ce soit prĂ©mĂ©ditĂ© ou voulu. Libre Ă chacun de saisir ou non ces opportunitĂ©s ! Tant qu’on ne les a pas vĂ©cues, de telles expĂ©riences suscitent envie et excitation. A leur contact cependant, on mesure combien elles nous amènent sur la ligne de crĂŞte sĂ©parant notre rĂ©alitĂ© et nos fantasmes ; d’un cĂ´tĂ© on contemple le quotidien d’en haut, en ressentant la fiertĂ©, toute masculine, d’avoir franchi de tels sommets ; de l’autre, le gouffre de nos dĂ©sirs apparaĂ®t, bĂ©ant. Il suffirait d’un faux pas pour les laisser diriger notre vie et tomber dans l’addiction et la surenchère. C’est pire encore quand on croit pouvoir fuir de la sorte la dĂ©pression, comme l’une de mes anciennes partenaires l’a un jour admis après coup. Le risque est d’autant plus grand Ă notre Ă©poque, tant il est facile aujourd’hui de multiplier les partenaires grâce aux sites de rencontre. Potentiellement aliĂ©nante pour les personnes enclines Ă l’addiction, l’expĂ©rience libertine peut aussi s’avĂ©rer rĂ©ellement jouissive quand on peut l’arrĂŞter aussi librement qu’on l’a commencĂ©e, et la reprendre quand ça nous chante. Elle devient alors un chapitre de notre vie, une « lĂ©gende » que l’on s’est forgĂ©e et qu’on garde soigneusement au fond de soi en se disant « j’ai appris tout ça sur les femmes, et sur moi ! ». Le libertinage peut, enfin, ĂŞtre une belle Ă©tape pour reconstruire son estime de soi et sa confiance en soi. Plusieurs des femmes que j’ai rencontrĂ©es ces dernières annĂ©es n’y ont d’ailleurs goĂ»tĂ©, elles aussi, que temporairement, que ce soit quelques mois ou Ă peine plus longtemps. Pour ma part, « coquiner », selon l’euphĂ©misme consacrĂ©, a perdu son charme quand je suis arrivĂ© Ă me trouver, finalement, « pas si mal ». Les expĂ©riences engrangĂ©es demeurent cependant ancrĂ©es en moi, et nourrissent d’inĂ©puisables joutes avec la femme dont je suis amoureux aujourd’hui. Elle n’a rien d’une libertine, mais c’est bien avec elle que j’atteins les plus beaux sommets, les plus inattendus. Ces histoires, cependant, je les garde pour moi…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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