Comme chaque
après-midi, Rémi et Anne-Lise, la quarantaine, vont faire du naturisme sur la
plage. Si Anne-Lise reste prude, Rémi lui, à des idées plus érotiques. De plus,
il trouve son épouse de plus en plus désirable. Le couple, entièrement nu,
vient à peine de s’assoupir, que Mouloud, un jeune maghrébin d’une vingtaine
d’année, nu lui aussi, a le toupet d’empiéter sur leur serviette. Anne-Lise
sent la main qui la frôle, avertit son époux.
-C’est pas
grave ma chérie…je suis là…et puis, il ne va pas te manger.
La main se
fait de plus en plus exploratrice, caresse la cuisse, la hanche, remonte pour
saisir un sein.
-Chéri, dit
Anne-Lise, il est en train de me caresser, il faudrait intervenir.
-Rrrrr…grogne
Rémi à moitié endormi…ça lui passera ma chérie…
Le jeune
maghrébin prend la cuisse d’Anne-Lise, et la passe par dessus son corps. Cette
dernière se trouve écartelée. La main remonte à l’intérieur des cuisses,
jusqu’à la fente. Anne-Lise lance un dernier appel à son mari. Aucun signe. Un
doigt, en quête d’aventure, se faufile entre les lèvres intimes, remonte
jusqu’au clitoris. Anne-Lise est paralysée entre l’envie de crier ou d’accepter
les caresses. Un autre doigt rejoint l’intrus, pénètre la chatte légèrement
humide. Anne-Lise ferme les yeux, se retourne vers Rémi.
-Chéri…si tu
savais ce qu’il fait à ma petite chatte…comme il me la fait mouiller…comme il
gratte mon clitoris…oh le salaud…réveille toi…embrasse moi…
La réponse de
Rémi est pour le moins surprenante, laisse Anne-Lise sans voix. Elle sous entend
de la part de son époux, une proposition indécente. Elle si fidèle à l’homme
qu’elle aime par-dessus tout.
-C’est rien
mon amour, il veut jouer avec toi, tout simplement. Profite de l’instant, lâche
toi.
Mouloud a
tout entendu, accentue le va et vient de ses doigts dans la chatte pleine de
mouille d’Anne-Lise. Celle-ci commence à gémir, se cambre sur ses pieds pour
mieux recevoir la caresse. Elle tend une main, et rencontre une bite au
dimension dantesque. Elle va plus loin, et saisit une paire de couilles hors
norme.
-Mon dieu…mon
chéri…si tu savais ce que j’ai dans la main…tu en mourais de jalousie…s’il te
plait…tu m’autorise à le sucer….j’aimerai bien lui tailler une pipe…
-Mais bien
sur trésor, amuses-toi je t’ai dis…
Anne-Lise se
retourne, décalotte l’énorme queue, et l’avale jusqu’aux couilles. Elle entame
une lente fellation. Le jeune maghrébin pousse des râles de plaisir. Au bout de
dix minutes, Mouloud éjacule dans la bouche d’Anne-Lise, de puissants jets de
sperme déferlent au fon de sa gorge.
-Oh putain,
dit-elle à son mari, qu’est-ce- qu’il m’a mis…ses couilles devaient être pleine…j’ai
tout avalé… t’es pas fâché mon amour…
-Mais pas du
tout, tu t’es faite plaisir…je suis bien content pour toi, fais-toi niquer si
tu veux…
-Justement,
sa bite est juste au bord de ma chatte…non…trop tard…il est en train de me le
mettre…salaud.
-Ca te
changera de mon fifre…allez, régales-toi ma chéri, je te laisse, je vais me
baigner…
Pendant une
heure, Mouloud va jouer avec Anne-Lise, entièrement soumise. Il la nique…l’encule…se
fait tailler des pipes. Rémi entend son épouse hurler de plaisir. Quand il
revient, le couple a disparu, sur sa serviette, un mot.
« Chéri,
on est rentré. Il veut à tout prix me baiser dans nôtre lit, il veut me mettre
des coups de queues dans tous les trous, toute la nuit. La porte de la chambre
sera ouverte, tu pourras m’entendre jouir, hurler de plaisir, m’entendre crier
son nom, et ne m’en veut pas si je lui dis qu’il est beaucoup mieux monté que
toi, ce qui est la vérité. Ton petit fifre n’a rien à voir avec son énorme
calibre. Merci de ta compréhension ».
