Un Dimanche à West Wood.
Deux jeunes femmes profitent d’un dimanche après-midi, nous sommes en juillet au milieu d’une guerre qui n’a épargnée personne. L’amour lui, attend toujours le bon moment et l’endroit pour reprendre ses droits, Ava et Amélia succombent cet après-midi-là, avec un bonheur sans limites.
Proposée le 30/04/2021 par maximilien7 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFLieu: Forêt, campagne, natureType: Roman
Sous nos pieds nus, les feuilles mortes nous offraient de douces sensations et les mousses qui recouvraient les sous-bois en accentuaient encore l’effet nous rappelant que nous étions des femmes et non des soldats. Accablées par cette guerre, nous nous étions engagées comme beaucoup d’autres jeunes femmes dans la défense passive, par patriotisme certainement, mais plus encore par solidarité pour nos hommes partis au front.Mon amie Amélia était d’une beauté déconcertante et bien sûr, j’en étais jalouse. Nous étions amies depuis toujours et liées par les secrets que nous nous racontions en toute confidence. Une brise aguichante s’amusait à jouer avec nos robes légères, elle enveloppait mes mollets, s’immisçant d’une friponne fraîcheur et me conviant aux plus impudiques envies et aux obsessions les plus déraisonnables. Mon amie refusait ses avances lorsque trop légère sa robe se soulevait me laissant entrevoir s’est dessous et ses longs fuseaux ambrés inspiraient mon imagination, au-delà du raisonnable. Alors, émergeait en moi, la source pateline et liquoreuse qui s’épanche sans qu’on ne puisse l’endiguer, je mouillais mes dessous avec l’insupportable honte de mon éducation.Sans oser l’avouer, j’admirais ses fesses sensuelles et rondelettes, elle les cachait à peine en ma présence, il n’y avait pas de raisons à cela, pensait-elle. J’affectionnais ses jambes qui n’en finissaient pas d’arriver à l’endroit rêvé, et ses cuisses qui vous invitent à en oublier toutes vertus, en vérité, je l’aimais, mais en ces temps-là, l’amour entres femmes était proscrit et je ne voulais pas me retrouver devant un tribunal. Est-ce un crime, d’aimer les femmes autant que les hommes ? Oui ! Je l’aimais d’amour et tandis qu’elle marchait devant moi, j’admirais ce corps svelte et cette silhouette pleine d’entrain qui ne cherchait qu’à vivre les beaux instants de la vie.
Amélia s’émerveillait de tout et tout était bon pour découvrir une nouvelle aventure. Un jour plus propice que d’autres, j’eus l’ineffable chance de la voir vêtue d’une simple nuisette de satin rose, elle l’habillait si peu que j’en eu des frissons. Elle apparut avec ce sourire qui la caractérise, depuis ce jour-là, je n’avais plus que l’envie, de la prendre dans mes bras et de voir sur son visage l’éclat de la jouissance et de la passion. La ruine dans laquelle nous jouions enfants nous rappelait nos histoires de princesses et nous accueillait souvent lors des moments plus difficiles que vous impose la vie. Amélia s’est arrêté là en cet enclos de verdure aux feuillages turbulent, un rayon de soleil éclairait son visage et les yeux fermée elle écoutait le chant de la nature. Quelques oiseaux péroraient dans la canopée et prêt de son corps, je m’enivrais de ses fragrances tandis qu’au plus profond de moi, l’envie se fit présente. L’envie élémentaire de goûter au plaisir et de faire courir mes doigts sur sa peau moirée. À genoux, je déposais quelques baisers sur la doucereuse finesse de ses mollets et de mes mains, je m’appliquais à jouer une chorégraphie, en suivant vertueusement le galbe de ses jambes. Je restais attentive aux expressions de ce corps d’airain et à ma grande surprise, Amélia n’opposa aucun refus. Sa respiration s’accéléra alternativement pour ralentir ensuite, quelques fois même elle cessa. Puis elle reprit de plus belle, et sous mes mains je percevais l’espace d’un instant quelques frissons, mais elle restât là, immobile espérant sans doute un geste plus osé.
Il se passait en moi un profond bouleversement, car depuis des mois d’une vie monastique, je m’étais astreinte à garder le souvenir du plaisir charnel par de longues caresses et des attentions particulièrement indignes à l’endroit de mon intimité, Amélia portait une petite culotte soyeuse, d’une finesse méritante de sa beauté. Je découvrais avec un plaisir coupable la turgescence du pubis puis une légère poussée m’avisa du sillon à suivre et révérencieusement, je glissais le plat de la main entre ses cuisses. Je me surpris alors à ressentir tant d’émotion, juste en frôlant cette peau sybarite, et les exquis fuseaux s’ouvrirent, me laissant le choix de prolonger mes attouchements. Le délicat dessous écarté chut aux chevilles et quelques goûtes chaudes m’enseignaient en cet instant des désirs aboutit de mon amie. Le cœur battant la chamade, je glissais mes doigts entre les lippes rosées pour en recueillir la douce coulée et Amélia murmura les mots que je voulais entendre.Ces mots d’amour recelé par pudeur m’invitaient à perpétuer mes caresses là où le papillon rose déploie ses ailes, là ou chaque caresse, chaque effleurement contraint la douce à se laisser séduire, à s’ouvrir un peu plus encore afin que ma langue puisse explorer son sexe aussi profondément que j’en perde la notion. Amélia, le regard fiévreux se délaça encore et dans mes cheveux ses mains, doucement, soutinrent ma tête que j’avais plongée entres ses cuisses tandis que je recueillais toutes les sèves de ses chairs. Patiemment, je suçotais, mordillais et léchais le turion rosé et elle fléchit à mes caresses se laissant aller à la terre moite. Elle était à moi, à moi seule et j’en disposais à ma guise, faisant papillonner mes doigts sur cette peau délicate, je m’assouvissais enfin de la candeur innocente de sa jeunesse. Je l’encourageais alors outrageusement à la débauche, je voulais admirer et l’entendre soupirer, je voulais la voir fléchir et s’avilir sous mes yeux.On ne contient pas la jouissance, elle est maîtresse en son domaine alors on plie pour atteindre le but, Amélia tentait d’y échapper un instant pour y revenir aussitôt et ses doigts agiles disparaissaient dans son bas-ventre, elle l’avait fait ! Peut-être souvent même et je m’en rendais compte avec une jubilation torride, moi qui la croyais trop vertueuse pour se laisser aller à cette bassesse, j’assistais à l’onanisme de cette amie en ordonnant l’arrêt ou la reprise du cycle qui devait lui offrir la délivrance. Alors dans la folie de l’instant, je déboutonnais son chemisier avec l’avidité du voleur qui s’empare d’un trésor, et dans mes mains ses mamelons lourds se livraient à mon bon plaisir. Je malaxais et triturais, puis je mordais et suçais les pointes acerbes et Amélia punissait d’autant plus son vagin. Mes efforts portaient leurs fruits, je constatais à la brillance de sa main, les sucs qui s’extrayaient de cette vulve en flamme alors j’ordonnais de cesser et la plongeais dans une attente impromptue.Mouillant mes dessous à l’excès, je m’en débarrassais face à cette amie qui d’un geste lascif recueillait les sèves avec cet étonnement que je ne comprenais pas. Je la voulais entière, je voulais que ce corps me soit soumis, nu et sans réserve alors une nouvelle fois, j’ordonnais et Amélia, aussitôt, s’effeuillât me laissant admirer ce qu’elle cachait depuis si longtemps. J’autorisais la reprise de la masturbation et elle exécuta mes ordres avec célérité. Elle se fit vicieusement justice, presque tragiquement, vagissant et implorant un pardon qui pour moi, n’avait pas de sens, mais qui avait le don de me confronter à mes propres enfers. Alors pour assouvir mes instincts, je saisis un bout de bois qui se trouvait là sous les feuilles mortes, et j’enfilais le bout arrondi de cette bite rugueuse entre mes cuisses. Amélia tout a sa surprise se laissât aller et cette férocité trouvât son apogée par quelques jets qui exsudaient et jaillissaient hors d’elle. Elle s’empara du gourdin que je tenais encore et l’enfonçât en moi, alors je criais, perdant le contrôle de mes sens tandis que les rugosités du bois faisaient leur office, brûlant et ramonant mes intérieurs. Je me vois encore couchée sur ce sol humide, les membres écartelés à subir les assauts d’Amélia, je ressens toujours ses lèvres sur mon cou, la morsure de ses dents torturant mes mamelons, je la vois encore le regard féroce me faisant basculer d’un côté pour frapper mon cul, je la vois mordre ses lèvres quand je lui dis que je l’aime. Quand arriva la fin et que l’orgasme frappât, j’aspergeais le tapis de mousse et elle repris de même une masturbation sans indulgence pour trouver un orgasme sans fin. Ce fut un dimanche après-midi à West Wood, au cours d’une guerre qui n’en finissait pas…. Nous sommes amies et nous le resterons, nous nous sommes aimé des jours et des nuits en attendant le retour de nos époux. J’appris au cours du mois suivant par un intendant délégué aux armées, que depuis quelques jours, j’étais veuve….© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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