Un visiteur inattendu
Il me fixait en souriant, sĂ»rement satisfait de la vision, qu’il avait devant lui ; il saisit son Ă©norme tuyau noir d’une main et commença Ă jouer avec son prĂ©puce, calottant et dĂ©calottant son gland qu’il avait un peut moins noir que le reste du corps. Il ne parlait pas et continuait Ă sourire..
Proposée le 7/06/2022 par Trixie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Toute la semaine suivante, je pensais Ă l’expĂ©rience sexuelle que je venais de faire. Je culpabilisais un peu, car… oui, me disais-je, il Ă©tait vieux, laid, ridĂ©, mais quel engin monstrueux !! Il m’avait faite hurler de plaisir ! Ce n’Ă©tait pas comme avec mon mari.
J’Ă©tais d’ailleurs seule chez moi, mon Ă©poux Ă©tait, comme souvent, en stage pour trois jours. La nuit Ă©tait tombĂ©e. Après avoir avalĂ© rapidement mon dĂ®ner, je dĂ©cidai de visionner un DVD. Mais avant cela j’aimais, lorsque j’avais un moment de tranquillitĂ© le soir me mettre Ă l’aise. Je me dirigeai vers ma chambre. J’enlevai mon chemisier et ma jupe, la glace de mon armoire me renvoya l’image d’une fille qui assumait, sa fĂ©minitĂ©. Mes cheveux, châtain dorĂ©, teintĂ©s de nombreuses mèches blondes, tombaient en accroche-cĹ“ur sur mon front. Ils Ă©taient savamment tirĂ©s au dessus des oreilles et attachĂ©s en une sorte de queue de cheval qui les laissaient gracieusement retomber en ondulant sur mes Ă©paules. Je portais une fine chaĂ®ne en or, au bout Ă©tait accrochĂ©e une pierre bleue. Elle descendait jusqu’Ă la naissance de mes deux seins, très appĂ©tissants aux arĂ©oles et tĂ©tons assez foncĂ©s, soutenus par un soutien-gorge noir, seins nus aux fines bretelles. Je rĂ©ajustai mon soutien- gorge ce qui fit pointer les tĂ©tons vers le haut. Je me les pinçai les, en pensant encore au vieux fermier et au DVD coquin que j’allais regarder. L’acteur porno qui me faisait le plus fantasmer Ă©tait Mandingo. J’avais lu sur internet que ce grand noir avait un sexe de trente centimètres, au diamètre de six centimètres qui lorsqu’il bandait, devait avoisiner les huit centimètres. Mes mains descendirent et passèrent entre mon porte-jarretelles et ma peau, j’hĂ©sitai un peu, Ă´tai ma culotte de dentelle noire. Je lissai mes bas noirs, gainant mes longues jambes fines. Je dĂ©cidai de garder mes talons aiguilles qui les affinaient un peu plus.
Je choisis une Nuisette sexy toute transparente entourĂ©e d’une fine dentelle. Cette nuisette Ă©tait très Ă©rotique avec ses ouvertures sur les seins et ses nĹ“uds en satin pour les fermer. Je positionnai les fentes en face de mes tĂ©tons, et les malaxai. Le souvenir du petit jeu de Maxime, un copain de boulot qui aimait bien les triturer, en les faisant sortir par les trous de mon chemisier blanc, eut pour effet de les faire gonfler et durcir, ils pointèrent au travers des fentes, je me dis que le vieux marchand de lĂ©gumes deviendrait fou de dĂ©sir s’il me voyait dans cette tenue, je trouverai bien un prĂ©texte pour l’attirer chez moi !
La longueur du nĂ©gligĂ© dĂ©passait Ă peine le bas de mon pubis. La transparence Ă©tait telle que l’on pouvait apercevoir le petit triangle de mes poils soigneusement Ă©pilĂ©s, finissant en pointe au dessus de mon sexe qui, ainsi dĂ©pourvu de pilositĂ© laissait apercevoir mon clitoris et la fente de ma vulve.
Satisfaite de mon examen, je partis vers le salon, je savais que j’allais fantasmer sur la vidĂ©o et surtout sur l’acteur noir, et finir par me caresser, ainsi vĂŞtue cela me faciliterait la tâche. J’allumai la tĂ©lĂ©, mis le DVD dans le lecteur, le film commença. J’enviai la mignonne petite brunette qui allait se faire baiser. J’allai fermer les volets, et tirer les rideaux, lorsque j’aperçus une ombre derrière la porte-fenĂŞtre de la chambre du voisin qui surplombait lĂ©gèrement celle de mon salon. Paul devait avoir entre soixante dix et soixante quinze ans, je savais qu’il faisait chambre Ă part avec sa femme, et cette fenĂŞtre Ă©tait celle de sa chambre. Souvent il m’Ă©piait, essayant de m’apercevoir en petite tenue, alors pourquoi ne pas lui faire plaisir ce soir, lui offrir un petit cadeau pour qu’il puisse se masturber. Je laissai les volets et les rideaux de la baie du salon grands ouverts, le divan Ă©tait juste en face, avec la lumière crue de la pièce, il allait pouvoir se rĂ©galer Ă m’Ă©pier. Il coupa l’Ă©lectricitĂ© de sa chambre, mais j’Ă©tais sĂ»re qu’il me regardait,et cela m’excita encore plus.
C’est Ă ce moment que l’on frappa Ă la porte. Je me demandai qui cela pouvait bien ĂŞtre, et comment cette personne avait fait pour arriver jusque lĂ . Puis je pensai que j’avais oubliĂ© de fermer Ă clĂ© le petit portillon donnant sur la rue. On frappa Ă nouveau. Un peu agacĂ©e, je saisis mon dĂ©shabillĂ© en tulle noir dĂ©corĂ© d’une superbe dentelle sur le devant, l’arrière Ă©tait complètement transparent. Ce dĂ©shabillĂ© aussi sexy et arachnĂ©en que ma nuisette Ă©tait fermĂ© Ă hauteur de mes seins par un ruban de satin noir, qui le laissait s’entrebâiller sur tout le devant de mon corps. Comme ma nuisette il Ă©tait retenu par deux fines bretelles et laissait mes Ă©paules nues. Il Ă©tait un peu plus long que la nuisette et m’arrivait aux genoux. Avec cette nuisette et ce dĂ©shabillĂ© ultra sexy, mon corps habillĂ© d’un voile lĂ©ger, aurait donnĂ© des envies Ă ceux qui auraient pu avoir le plaisir de me regarder.
Nouveau coup sur la porte, cela me contraria un peu ! Mais qu’importe, je n’ entrebâillerai que juste un tout petit peu la porte et arriverai sĂ»rement et facilement Ă chasser l’intrus sans qu’il se rendre compte de la façon dont j’Ă©tais vĂŞtue, puisque je resterai derrière le battant. Puis une fois celui-ci parti, comme il ne faisait pas froid et que la nuit Ă©tait vraiment noire, je pourrai ainsi habillĂ©e aller fermer Ă clef mon portillon personne ne me verrait.
Je laissai tourner le DVD, me dirigeai vers la porte, tournai la clef et l’entrebâillai lĂ©gèrement.
J’allais demander qui Ă©tait lĂ , mais je n’en eu pas le temps. Je sentis un pied qui s’intercalait dans l’interstice, et une poussĂ©e me fit reculer d’un bon mètre et la porte s’ouvrit en grand. Un immense noir se tenait devant moi. J’eus un hoquet de peur et de surprise. Rapidement, il referma la porte et donna, un tour de clef.— N’ai pas peur, ne crie surtout pas. Je ne te veux pas de mal, Chutttt… tout va bien se passer !
Marmonna-t-il. Je n’Ă©tais pas rassurĂ©e.
— Mais ! Que vou…voulez-vous ?Tandis qu’il me faisait Ă nouveau face, je l’examinai. Sa peau Ă©tait vraiment noire et brillait Ă la lumière, il avait le crane rasĂ©, il mesurait plus d’un mètre quatre vingt. Il Ă©tait vraiment costaud, ses mains Ă©taient Ă©normes, une chemise ouverte sur un torse puissant et un jean l’habillaient.
C’Ă©tait une coĂŻncidence, mais il ressemblait Ă mon acteur prĂ©fĂ©rĂ© celui du DVD. Je m’aperçus qu’il me fixait avec Ă©tonnement, ne s’attendant pas Ă se retrouver en face d’une telle vision de rĂŞve.
Sous la lumière vive du plafonnier du couloir, mon déshabillé et ma nuisette ne cachaient pas grand chose de mon corps et laissaient apparaître en transparence soutien gorge, bas et porte-jarretelles.
En se rĂ©trĂ©cissant, les yeux du grand noir m’examinèrent des pieds Ă la tĂŞte. Il me rĂ©pĂ©ta que si je ne criais pas, tout se passerait bien. Au regard qu’il venait de me lancer, je compris qu’il ne me ferait pas de mal. Je me dis qu’effectivement, je ne crierai pas.
Mon fantasme le plus secret allait-il se rĂ©aliser ? Me faire prendre par un noir au sexe Ă©norme. La vision de mon corps blanc enlacĂ© par ce grand noir couleur anthracite, le contraste noir sur blanc m’excita au plus haut point. Avec le vieux des lĂ©gumes, je n’avais satisfait que la moitiĂ© de mon dĂ©sir, pour qu’il soit abouti, il avait manquĂ© la couleur et un tout peu petit peu de grosseur supplĂ©mentaire au sexe du vieux paysan sadique, cela m’aurait bien plu, mais l’expĂ©rience avait Ă©tĂ© plus que concluante, celle lĂ serait peut ĂŞtre meilleure !
Le noir toujours Ă©berluĂ©, scrutait maintenant chaque partie de mon corps avec insistance, je vis que son regard se portait Ă tour de rĂ´le de mes seins Ă mon sexe que l’entrebâillement du dĂ©shabillĂ© laissait offert Ă ses regards, car ce n’Ă©tait pas la transparence de la nuisette qui cachait quoi que ce soit.
Il Ă©tait maintenant vraiment très Ă©moustillĂ©. Mes yeux se portèrent vers le bas de son pantalon, une bosse semblait pousser le long de sa jambe. Je frissonnai, et si son engin Ă©tait aussi gros que celui de Mandingo ! C’Ă©tait en gĂ©nĂ©ral le cas pour les noirs et si son sexe Ă©tait en rapport avec sa taille et sa corpulence, cela pouvait vraiment ĂŞtre très très intĂ©ressant. Comme s’il avait lu dans mes pensĂ©es, il dĂ©fit le zip de son jean et d’une main sorti son sexe. J’en eu le souffle coupĂ©, la verge commença Ă prendre une certaine rigiditĂ©, mais elle pendait encore molle, jusqu’au milieu de la cuisse. Au bas mot, elle devait bien faire trois centimètres de plus que celle du marchand de lĂ©gume. Quand Ă la grosseur, elle me sembla aussi large si ce n’est plus, mais elle n’Ă©tait pas encore en totale Ă©rection. Une paire de bourses assez consĂ©quentes ressemblant Ă deux petites outres noires sortaient aussi de sa braguette.
Mes seins devinrent durs et l’intĂ©rieur de mon vagin commença Ă s’humidifier, ma respiration s’accĂ©lĂ©ra. Tout en quittant sa chemise, il me demanda de nous conduire au salon, d’oĂą provenait des cris de plaisir Ă©manant de la tĂ©lĂ©vision. Je tournai les talons et me dirigeai vers celui-ci. Je sentis son regard qui fixait intensĂ©ment les deux globes de mes fesses qui frottaient l’un contre l’autre, du fait de mes talons aiguilles. Le tulle de mon dĂ©shabillĂ© absolument transparent dans tout le dos, laissait voir la dentelle du porte-jarretelles qui m’ entourait la taille, les deux lanières descendant sur l’arrière de mes cuisses suivaient le mouvement des fesses. On apercevait ma peau blanche tranchant avec le noir de mes bas. Tout en m’emboĂ®tant le pas, le noir ne put dĂ©tacher son regard du magnifique spectacle qui lui Ă©tait offert. Son gros rouleau se mit Ă durcir et Ă s’allonger.
J’ allai franchir l’embrasure de la porte, lorsque celui-ci apercevant la tĂ©lĂ©vision, me prit par les Ă©paules et m’arrĂŞta. Il me dĂ©passait de plus d’une tĂŞte. Il regarda la tĂ©lĂ©, Mandingo Ă©tait en train de pĂ©nĂ©trer l’actrice, qui n’Ă©tait vĂŞtue que de ses bas et de son porte-jarretelles.— Dis donc petite Salope, on dirait que le porno, te branches et avec des noirs bien montĂ©s de surcroĂ®t. Mais je crois que je ne lui doit rien, dit-il en pressant sa bite. Ses mains passèrent devant ma poitrine, il attrapa le ruban de satin noir du dĂ©shabillĂ© et y tira dessus. Les pans du vĂŞtement s’Ă©cartèrent. Il se saisit des fines bretelles et me les baissa sur les bras, je facilitai la manĹ“uvre par un lĂ©ger mouvement d’Ă©paule. La bretelle gauche de ma nuisette suivit le mouvement et tomba sur mon bras laissant mon Ă©paule dĂ©nudĂ©e. Le grand noir, Ă´ta le dĂ©shabillĂ© le laissa tomber. Il se pencha sur moi, ses lèvres se posèrent au dessous de mon oreille, et l’embrassèrent. Sa langue descendit le long de mon cou pour me lĂ©cher la peau jusqu’au bout de l’Ă©paule, j’en attrapai la chair de poule. Sur l’Ă©cran l’actrice gĂ©missait de plaisir, cela m’Ă©moustilla.
Je tremblais de dĂ©sir. Ma chatte mouillait maintenant abondamment. Les mains du grand noir, se saisirent des nĹ“uds de satin qui fermaient les fentes de la nuisette d’oĂą Ă©mergeaient les deux tĂ©tons tendus qui commençaient Ă ĂŞtre gorgĂ©s de sang. Mes arĂ©oles comme le reste de mon corps Ă©taient pigmentĂ©es de petits points dus Ă la chair de poule, ce n’Ă©tait pas dĂ©sagrĂ©able. Il tira sur les rubans, Ă©carta le vĂŞtement, puis dĂ©licatement, sortit les deux seins. Ils Ă©mergèrent comme d’un Ă©crin du soutien gorge seins nus, par les fentes maintenant grandes ouvertes. Il les malaxa, je gĂ©mis en regardant les deux mains noires prodiguer une caresse appuyĂ©e sur mes deux globes laiteux. Il commença Ă promener ses majeurs, sur les deux sphères, ses doigts se rapprochèrent des arĂ©oles, en firent le tour, plusieurs fois, puis il enserra Ă nouveau les deux seins et les pressa doucement. Son pouce et son index remontèrent vers mes tĂ©tons durcis. Je crus qu’il allait les saisir et les pincer, mais il ne fit qu’en effleurer la pointe. Je rejetai la tĂŞte en arrière déçue. Ma nuque appuya sur sa poitrine lisse, il baissa la tĂŞte et ses grosses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue s’insinua dans ma bouche, en allant chercher la mienne. Je le laissai faire, lui rendant son baiser. Pendant ce temps ses grosses mains s’occupaient toujours de mes seins, il les tritura, les malaxa, effleura les tĂ©tons, et les arĂ©oles, mais on aurait dit qu’il Ă©vitait de saisir mes petits cĂ´nes bruns et de les faire rouler entre ses doigts ou de les pincer avec ses ongles. Au bout de ma frustration, je lui attrapai les mains et les plaquai sur mes mamelons. Je lui pris les doigts et lui fit comprendre ce que maintenant je dĂ©sirais. Il s’exĂ©cuta, les tirant doucement, pinçant la pointe des tĂ©tons, lĂ ou la zone est la plus sensible, les malaxa jusqu’Ă ce qu’il entende de petits cris sortir de la bouche, de la fille blanche qu’il tenait dans ses bras. Puis ses mains descendirent le long de la nuisette, il la remonta au dessus du porte-jarretelles, elles descendirent le long de mes hanches nues et se glissèrent sous les lanières de devant du porte-jarretelles, juste au dessus des bas. Le noir commença Ă se plaquer contre moi, et son Ă©norme sexe, qui avait encore grossi vint effleurer le bas de mon dos, il Ă©tait passĂ© sous la nuisette, et s’Ă©tait positionnĂ© entre les deux globes de ses fesses. Du foutre commença Ă suinter de mon vagin. Ses mains firent doucement plusieurs va et vient sur ma peau nue entre le haut de mes bas et mon porte-jarretelles, cela m’excita au plus haut point, je me frottai au sexe en Ă©rection, que je sentis dans mon dos. J’essayai de le saisir d’une main mais le noir se recula. La frustration me gagna Ă nouveau.
Cessant son petit jeu avec le porte-jarretelles, il attrapa la nuisette et la fit passer au dessus de mes cheveux blonds.
Il me fit se tourner face Ă lui pour mieux m’admirer dans ma nuditĂ© presque totale, et quitta son pantalon. J’eus alors un plein aperçu du sexe monstrueux qui se balançait devant moi. Tout en me fixant en souriant, sĂ»rement lui aussi satisfait de la vision, qu’il avait devant lui ; il saisit son Ă©norme tuyau noir d’une main et commença Ă jouer avec son prĂ©puce, calottant et dĂ©calottant son gland qu’il avait un peut moins noir que le reste du corps. Il ne parlait pas continuait Ă sourire, tout Ă coup il me dit :— Tu es vraiment bandante petite salope blonde, regarde ce ce que je vais te mettre, et ce ce jusqu’au bout. Regarde, crois-tu que j’ai quelque chose Ă lui envier, Ă cet acteur ? Me dit-il en me montrant Mandigo.J’ essayai de comparer la longueur et la la largeur de l’Ă©norme grosseur qu’il me prĂ©sentait avec la bite de Mandigo qui s’Ă©talait en gros plan sur l’Ă©cran, effectivement c’Ă©tait presque la mĂŞme ! Puis je me remĂ©morai la queue du vieux des lĂ©gumes, il n’y avait pas de doute, le noir arrivait largement en tĂŞte. Mon foutre commença Ă ruisseler Ă l’intĂ©rieur de mes cuisses. Mon sexe complètement Ă©pilĂ©, Ă part le petit triangle châtain au dessus de ma fente, fit qu’il avait du s’en apercevoir. Il avança la main vers moi, et la plaqua sur mon pubis et il entra deux doigts Ă l’intĂ©rieur des lèvres. Mes jambes fines s’ouvrirent toutes seules, il fit deux va et vient et retira ses doigts luisants de foutre, et en souriant et en me regardant dans les yeux, il les suça. — Excellent… Puis il me repoussa vers le tapis, qui Ă©tait devant le canapĂ© et me demanda de m’y coucher face Ă lui. Je m’exĂ©cutais.— Montres que tu as envie de moi ! Tu allais sĂ»rement te masturber en regardant le film. Tu as maintenant le modèle avec toi, profites en, je sais que tu as envie de ma grosse bite noire, tu ne mouillerais pas autant sinon !Je commençai Ă passer une main dans mes cheveux blonds Ă©pars sur le tapis, de l’autre je me caressai les seins qui me faisaient presque mal tant ils avaient durci. je flĂ©chis les jambes et posai bien Ă plat mes talons hauts. Il avait ainsi une vue parfaite sur mon sexe ouvert. Puis je pris appui sur les Ă©paules et soulevai mon bassin, mimant une pĂ©nĂ©tration, ouvris au maximum mes jambes, en roulant des hanches, tout en Ă©cartant d’une main les lèvres de mon sexe. Je me retournai sur le ventre, le sexe ouvert, toujours offert Ă ses regards, tournai la tĂŞte vers lui et de mes yeux bleu vert, je le regardai langoureusement, je mis deux doigts dans ma bouche et les suçai. A la vue de mon sexe offert, du haut de mes cuisses de plus en plus humides, la respiration du noir s’ accĂ©lĂ©ra. Il me demanda de m’asseoir sur le canapĂ©, j’obĂ©is. Il m’Ă©carta doucement les jambes et s’agenouilla entre celles-ci. Il me saisit les hanches au niveau du porte-jarretelles. Sa tĂŞte s’approcha de mon sexe en feu qui palpitait devant lui. J’aperçus sa langue rose qui sortit de sa bouche et j’Ă©cartai au maximum les jambes, mes lèvres s’Ă©cartèrent, mon vagin s’ouvrit en plein.
Je ne sais pas pourquoi, mais la vision de mon vieux voisin qui devait nous mater de sa fenĂŞtre et forcement se masturber, en me regardant me faire baiser par un noir me traversa l’esprit, cela boosta ma libido.
Puis tout d’abord la douce caresse de la langue rose me tira des gĂ©missements et me donna des frissons, le contraste de sa peau noire avec la mienne m’excita beaucoup. Il me parcourut plusieurs fois la totalitĂ© de la fente, en faisant parfois de lĂ©gères incursion jusqu’Ă mes petites lèvres internes, mais sans vraiment jamais pĂ©nĂ©trer très profondĂ©ment, cela m’excita de plus en plus. je saisis Ă deux mains la tĂŞte lisse et noire, lui remonta bouche Ă hauteur de mon clitoris et la lui appuya dessus. Les deux grosses lèvres saisirent dĂ©licatement mon petit bouton rose et la langue vint me le titiller, il avait l’air expert. Il me l’aspira, puis sa langue en fit une, puis deux fois le tour, il le malaxa ensuite entre ses lèvres lippues, puis pour finir il le mordilla dĂ©licatement avec ses dents, je crus dĂ©faillir.
Je contins au maximum mon plaisir, souhaitant que cela continue le plus longtemps possible. Mon foutre coula Ă flot dans la bouche du noir. Je fus secouĂ©e de petits soubresauts, et des gĂ©missement continus s’Ă©chappèrent de ma bouche, je lui maintins la tĂŞte plaquĂ©e contre mon ventre de peur qu’il ne la retire. Il cessa de me lĂ©cher, et fit pĂ©nĂ©trer son majeur dans mon vagin. Il entra doucement en moi, de plus en plus profondĂ©ment, ses doigts Ă©taient très longs. Il y adjoignit bientĂ´t son index, puis l’annulaire et enfin son petit doigt, il tourna la main dans mon sexe ouvert, il l’enfonça en la tournant doucement, jusqu’Ă ce qu’il n’y ait plus que pouce qui soit dehors, le reste de sa grosse main rĂ©ussit Ă se faufiler Ă l’intĂ©rieur du sexe. Il commença des allers et retours, la lubrification de ma chatte en facilita grandement la tâche. Je saisis la main qui me pĂ©nĂ©trait et essayai de la faire entrer plus profondĂ©ment en moi, en me cambrant. Il voulait vĂ©rifier que l’Ă©lasticitĂ© de ma vulve serait suffisante pour que, vu la grosseur de son sexe celui-ci puisse y pĂ©nĂ©trer sans trop de peine. Je vis la tĂ©lĂ© devant moi, Mandingo sodomisait la petite brune, son immense bite disparaissait entièrement dans le cul de la jeune fille, je me demandais si j’allais avoir le mĂŞme traitement.
Puis, jugeant que ce petit intermède avait assez durĂ©, ou sentit que mon dĂ©sir Ă©tait exacerbĂ© au maximum, il se releva. Son monstrueux sexe Ă©tait maintenant en pleine Ă©rection, c’Ă©tait vraiment impressionnant. Il Ă©tait juste Ă hauteur des mes yeux, mon dĂ©sir de me voir envahir par cet Ă©norme rouleaux noir, en fut dĂ©cuplĂ©.
Il s’assit Ă cĂ´tĂ© de moi, et me demanda de bien vouloir l’enjamber en lui tournant le dos, je m’exĂ©cutai. Ma vulve ouverte Ă©tait juste au dessus du gland qui effleurait le bas de mes lèvres, j’ aurais voulu m’empaler, mais il me retint par la taille, et me dit de ne pas ĂŞtre si pressĂ©e. Il me laissa descendre un tout petit peu, effectivement je sentis de suite qu’il avait le sexe beaucoup plus gros que le marchand de lĂ©gumes. Son gland eut un peu de difficultĂ© a s’insinuer en moi. Il me retint et se retira, ses mains me caressèrent le dos, se saisirent de la fermeture de mon soutien gorge seins nus et la dĂ©firent, cela me donna un long frisson, lorsque mon soutien gorge tomba. Il le ressentit, car il me saisit les deux seins Ă pleine mains et les pĂ©trit longuement. Il m’embrassa et me lĂ©cha le dos un peu de partout, chaque baiser me fit me tortiller, et j’aurais bien voulu qu’il me pĂ©nètre Ă nouveau. Mon sexe n’arrĂŞtait pas couler, la lubrification devait ĂŞtre suffisante pour supporter la pĂ©nĂ©tration de cet Ă©norme tuyau noir. A ce moment lĂ , la lumière de la chambre de mon voisin s’Ă©claira, je le vis devant sa porte-fenĂŞtre ne perdant pas une miette du spectacle que nous lui offrions. Il voulait sĂ»rement que je sache qu’il me matait.
Ses rideaux Ă©taient grand-ouvert et debout en pleine lumière, il se masturbait ardemment, il avait des jumelles me sembla-t-il le coquin, je ne regrettai pas d’avoir laissĂ© mes volets ouverts.
Encore une fois, je crus que mon amant avait lu dans mes pensĂ©es. Il me reprit Ă la taille et commença Ă m’empaler sur ce qui maintenant ressemblait Ă un petit pieu noir pointant vers le ciel. Je sentis d’abord que le gland s’Ă©tait enfoncĂ© un petit peu plus profondĂ©ment que tout Ă l’heure, je fis jouer mes muscles internes pour Ă©carter les parois de mon vagin et Ă©cartai les jambes au maximum. Le noir sentant que la pĂ©nĂ©tration avait progressĂ©, m’appuya brièvement sur les hanches, je criai un peu, il me remonta. Il cracha dans sa main, enduisit son sexe, dĂ©jĂ luisant des sĂ©crĂ©tions qui Ă©manaient de mon vagin, de sa salive et recommença l’opĂ©ration. Il gagna six centimètres, il commença alors un lent va et vient sans chercher une pĂ©nĂ©tration plus profonde. Des ondes de chaleur me traversèrent le ventre. Il continua un petit moment ses allers et retours puis jugeant que le passage avait Ă©tĂ© Ă©largi, il poussa d’un seul coup son Ă©norme engin de quatre ou cinq centimètres plus profondĂ©ment, puis il stoppa tout mouvement. Je grognai de plaisir, vu qu’il ne bougeait plus, je regardai entre mes jambes et je m’aperçus que plus de la moitĂ© de la grosse colonne noire Ă©tait Ă l’intĂ©rieur de ma chatte, de voir ce gros sexe noir me rendit folle d’excitation.
Je jetai un coup d’œil au vieux qui se branlait toujours d’une main et tenait ses jumelles de l’autre, cela dĂ©cupla mon excitation.— Tu as vu, ton voisin, il se masturbe, de te voir baiser avec un noir, cela doit lui plaire vachement, tu ne crois pas !! Mais Ă toi aussi non, depuis que tu as vu qu’il nous regardait, il me semble que tu te surpasses ! En rĂ©ponse, je commençai alors Ă tortiller mes fesses, de droite Ă gauche, puis de haut en bas, Ă chaque mouvement, bien que je sois vraiment obligĂ©e de forcer, je sentis que le sexe monstrueux entrait doucement jusqu’au fond de mon vagin. Mon plaisir Ă©tait intense, mon ventre en feu, ma respiration courte et saccadĂ©e, on aurait dit que mon cĹ“ur Ă©tait pris dans un Ă©tau, je ne sentais plus que ce sexe en moi, le monde y tournait autour. Rien Ă voir avec l’expĂ©rience que j’ avais faite dans le hangar des lĂ©gumes. Le fait que ce soit un noir qui me possède y Ă©tait sĂ»rement pour beaucoup, j’en rĂŞvais depuis toute jeune fille. J’avais Ă©tĂ© Ă©levĂ©e strictement, une Ă©ducation teintĂ©e de lĂ©ger racisme, et ça m’avait toujours fait fantasmer de transgresser ce tabou. De voir ces mains noires se promenant sur la blancheur de mon corps, me plut Ă©normĂ©ment, le vieil homme qui se branlait en nous regardant y Ă©tait aussi pour beaucoup.
Il reprit ses va et vient, me tenant toujours fermement aux hanches, il me souleva et me laissa retomber Ă un rythme plus rapide. Chaque fois que le sexe de l’homme entrait un peu plus profondĂ©ment un petit cri s’Ă©chappait de ma bouche. Puis tout Ă coup les poils frisĂ©s et rĂŞches du noir me chatouillèrent la fourchette vulvo-anale, je compris que j’avais englouti entièrement le monstrueux rouleaux de chair noire. Maintenant que son sexe avait pĂ©nĂ©trĂ© entièrement mon vagin, le noir accĂ©lĂ©ra de plus en plus le mouvement, un tout petit peu plus brutalement, mais ce ne fut pas pour me dĂ©plaire. Sur l’Ă©cran de tĂ©lĂ© Mandingo, Ă©jaculait dans la bouche de sa partenaire qui dĂ©glutissait le sperme qui giclait de son Ă©norme bite noire.
Puis il retira complètement son énorme phallus, me retourna face à lui pour que je me trouve toujours à cheval sur ses cuisses.
Sans trop de mĂ©nagement il m’empala sur son pieu et poussa son avantage d’un seul coup jusqu’au fond de ma vulve, je criai de plaisir. Il resta ainsi Ă se trĂ©mousser lĂ©gèrement, tandis qu’il me prit un sein dans la bouche, et me caressa le clitoris de son pouce gauche. On eut dit qu’il voulait profiter de la profondeur et le largeur du sexe qu’il avait conquis. Il ne devait pas ĂŞtre Ă pareille fĂŞte Ă chacune de ses expĂ©riences sexuelles surtout avec une blanche, d’habitude la grosseur et la longueur de son sexe devait plutĂ´t rebuter ses partenaires. Je hoquetai de plaisir, j’aimai le sentir ainsi au plus profond de ma vulve. Je recommençai Ă me trĂ©mousser de gauche Ă droite et d’avant en arrière, frottant mon corps blanc sur ce torse lisse et noir. J’y Ă©crasai mes seins et les frottai. Il avait l’air d’apprĂ©cier. Il respira de plus en plus vite. Il se leva, me tenant toujours empalĂ©e sur son sexe, il me souleva et me laissa retomber sur celui-ci deux ou trois fois, puis toujours en moi, il me coucha sur le canapĂ©.
Il m’attrapa les chevilles et me relevant les jambes il les Ă©carta au maximum pour faciliter la pĂ©nĂ©tration de son Ă©norme pĂ©nis noir. Sans mĂ©nagement, il l’approcha des lèvres de ma chatte, engagea le gland et poussa d’un seul coup, je hurlai Ă nouveau de plaisir. Il commença alors une sĂ©rie de va et vient extrĂŞmement rapides, je sentis ses bourses rebondir avec force sur mes fesses. Il me traita de petite salope de blanche, me demanda si j’aimais sa grosse bite, je balbutiai oui. Il me prit de plus en plus sauvagement. Le plaisir monta Ă l’intĂ©rieur de mon ventre, il accĂ©lĂ©ra encore le mouvement, je sentis la vague du plaisir me submerger. La pièce rĂ©sonna de l’Ă©cho de mon cri, mon vagin se contracta enserrant fortement le sexe noir monstrueux, mon orgasme fut tel, que je crus m’Ă©vanouir. Celui-ci dĂ©clencha certainement l’Ă©jaculation du noir. Un liquide chaud et abondant se rĂ©pandit au plus profond de mes entrailles, il me sembla qu’il ne s’arrĂŞtait pas d’Ă©jaculer, lui aussi grogna de plaisir, en m’enserrant fortement les seins.
Puis il se leva, approcha son Ă©norme sexe dĂ©goulinant de foutre et de sperme de ma tĂŞte, j’ ouvris la bouche, il força un peu pour m’enfourner son gland. J’aspirai goulĂ»ment, le bout du pĂ©nis. Ouvrant la bouche au maximum, je rĂ©ussis Ă faire entrer un morceau supplĂ©mentaire de cette immense hampe noire. Je lui caressai les bourses et aspirai avec aviditĂ© ce qui pouvait rester de sperme, le long du mĂ©at de cet imposant pĂ©nis. L’application de mon aspiration et la douce caresse prodiguĂ©e, provoqua une contraction des testicules et fit couler, un filet de sperme dans ma bouche, comme pour celui du vieux fermier, j’en trouvai le goĂ»t dĂ©licieux, et l’avalai. Le noir me prodigua un tendre baiser.— Je m’appelle Jamaar, tu es une petite salope de blanche qui baise fabuleusement bien.
Tout en me caressant les seins il murmura
— As-tu aimé ? Ma grosse bite a-t-elle comblé tes attentes ?
— Oh oui, j’ai adorĂ© baiser avec toi ! Je m’appelle Trixie. Il y a t longtemps que j’ avais envie de me faire baiser par un homme noir, parce que vous avez des bites Ă©normes et vraiment très grosses et que j’adore cela.
— Oui c’est mieux que se masturber, en regardant un film porno, mĂŞme si c’est un noir qui baise une blanche me dit-il ! Et de te donner en spectacle Ă ton vieux voisin ça Ă l’air de t’exciter vachement.
— Oh oui, ça n’a rien de comparable rĂ©pondis-je. Ta bite est merveilleuse.Je jetai un coup d’œil Ă la fenĂŞtre d’en face, le vieux voisin Ă©tait toujours lĂ , avec ses jumelles, je lui souris.
Je caressai la bite ramolli sur la longueur, calottant et dĂ©calottant le prĂ©puce. Je lĂ©chai Ă petits coups de langue le gland brun. Jamaar gĂ©mit de contentement. Je le pris entre mes lèvres. Il Ă©tait tellement gros que je dus ouvrir dĂ©mesurĂ©ment la bouche pour le faire entrer. Mais Jamaar ne bandait pas encore, cela facilita l’insertion. Je ne pus, par manque d’expĂ©rience, n’en avaler que la moitiĂ©, je sentis le gland frotter au fond de ma gorge. Ma bouche allait et venait sur le gros rouleau noir, il commença Ă s’Ă©tirer Ă nouveau.
La bite noire Ă©tait maintenant en Ă©rection totale, Je n’en avais jamais vue une aussi grosse, mais je dĂ©sirai ardemment qu’il me baise Ă nouveau. Jamaar me fit mettre Ă genoux sur le canapĂ©, il se mit derrière moi. Il Ă©carta doucement mes fesses, dĂ©gageant mon trou intime. Je compris ce qu’il voulait faire, un gĂ©missement de plaisir sorti de ma bouche. — Bien, dit-il le vieux mates toujours, passons Ă l’apothĂ©ose !Il cracha dans mon anus et sur sa verge, il enfonça entièrement deux doigts dans le trou offert, il les tourna pour bien humidifier l’anus et enfonça lentement, mais d’un seul coup vingt huit centimètres de son Ă©norme phallus noir. Je hurlai un peu de douleur mais beaucoup de plaisir. Il commença alors un martèlement vigoureux dans mes fesses. Il me demanda si j’aimais ça. Je lui rĂ©pondis que oui, que j’Ă©tais une vrai salope et que j’Ă©tais folle de sa grosse bite noire. Avec cette pĂ©nĂ©tration brutale, je me tordis de plaisir, mon ventre accĂ©lĂ©ra la cadence, je sentis le plaisir qui montait dans mes entrailles. Avec un cri sauvage le grand noir enfonça sa bite au plus profond de mon orifice anal, et lâcha sa semence avec de grands jets, je sentis le liquide tiède et poisseux se rĂ©pandre au fond de moi. Mon corps se cambra, mon orgasme fut si puissant que je perdis, en hurlant de bonheur, la notion du temps…
J’ Ă©tais en sueur, mais j’Ă©tais dĂ©tendue et comblĂ©e, le grand noir s’habillait, je fermai un instant les yeux, j’entendis la clef tourner dans la serrure et la porte se refermer. Je me retrouvais seule.
Je crus avoir rĂŞvĂ©, ce que je venais de vivre, mais le sperme qui coulait de mon vagin et de mon anus, me prouva bien que j’avais tort et que c’Ă©tait bien rĂ©el. Machinalement je m’approchai de la baie vitrĂ©e, mon vieux voisin Ă©tait toujours derrière sa fenĂŞtre, il n’avait rien du rater de nos Ă©bats. En le fixant avec insistance, de mon index et mon majeur je recueillis un peu de sperme et portai mes doigts Ă la bouche, je les suçai dĂ©licieusement en lui souriant. Il leva le pouce…
Je ne revis, jamais le noir et ne sus pas pourquoi, il Ă©tait venu forcer ma porte. Mais je m’achetai tous les films de Mandingo…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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