Une froide nuit ardente
Un week-end en pleine nature, logĂ© dans une Caravane, StĂ©phanie et moi Ă©tions heureux de nous retrouver tous les deux. En plein mois, d’AoĂ»t, les nuits Ă©taient glaciales. Il a fallut que l’on se blottisse fort l’un contre l’autre pour passer cette nuit. Mais nos dĂ©sirs nous ont amenĂ©s Ă faire plus que se blottir…
Proposée le 12/09/2019 par NyfaEtRom Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Histoire vraie
C’Ă©tait notre deuxième nuit Ă la campagne dans une caravane louĂ©e. Il devait ĂŞtre 2 ou 3 heures du matin. En plein mois d’AoĂ»t on aurait pu penser que les nuits auraient Ă©tĂ© chaudes. Mais cette nuit lĂ , comme la nuit dernière, il faisait froid Ă en geler. StĂ©phanie et moi Ă©tions recroquevillĂ©s sous notre couette Ă nous protĂ©ger de cette basse tempĂ©rature. On se collait le plus possible pour se tenir chaud. Je la serrais contre moi et elle se blottissait dans mes bras. Simplement Ă©clairĂ©s par une petite lampe bleue de camping.Elle et moi nous nous aimons, nous nous dĂ©sirons. Et tout cet amour et tout ce dĂ©sir n’ont pas tardĂ© Ă confronter le froid intense qui nous entourait. Ă€ sa manière habituelle, elle commença Ă passer ses belles mains de femme le long de mes cuisses. Je la connais. Je savais que ces caresses n’avaient pas pour but d’ĂŞtre platonique. Au contraire, Ă la manière dont elle glissait ses paumes sur mon corps, je savais très bien ce qu’elle cherchait ; c’Ă©tait mon dĂ©sir, mon excitation, la rĂ©Ă©dition de mon corps pour son plaisir. Et il n’a pas fallu plus d’une minute pour que mon sexe durcisse et pour que mes baisers se posent sur son cou. J’Ă©tais allongĂ© sur le cotĂ© en l’enlaçant, elle sur le dos. Elle attrapa Ă travers mon pantalon mon membre ; je sentais sa poigne dĂ©sireuse se serrer contre mon sexe Ă la fois dur comme de la glace mais chaud comme de la lave. Elle se tourna vers moi et commençait Ă me branler tout en m’embrassant. Elle avait le contrĂ´le absolu sur mon ĂŞtre.Chaque pressions qu’elle faisait sur mon sexe me soumettaient d’avantage Ă son dĂ©sir. Elle embrassait, suçait, mordait mes lèvres comme si le goĂ»t du plaisir y Ă©tait posĂ©. Ma main gauche sur ses fesses et mon bras droit enroulĂ© autour d’elle, je la serra fermement contre moi ; je lui faisais comprendre qu’elle est Ă moi et personne d’autre ; que si c’Ă©tait de la jouissance qu’elle voulait alors j’allais l’immoler au Plaisir. Je malaxais ses fesses et elle me dĂ©vorait, telle une louve, mes lèvres. Je sentais sa respiration s’affoler et mon cĹ“ur palpiter d’excitation. Le froid que l’on ressentait plus tĂ´t n’avait comme jamais exister. Ă€ ce moment lĂ , nous avions changĂ© l’Arctique en fournaise. Plus besoin de se replier sous la couette, l’air froid s’Ă©tait Ă©vaporĂ© autour de nous. Je glissa ma main sous son pantalon et sa culotte pour atteindre sa fleur. L’humiditĂ© que je ressenti en glissant mes doigts dans sa fente, rendu mon sexe encore plus dur que le diamant. Je lui caressais chaque partie de sa vulve et prenait plaisir Ă l’entendre gĂ©mir et murmurer mon nom « Romain.. ». Elle bougeait ses hanches sur le rythme du plaisir et de l’excitation, posait sa main sur ma main pour plus de fermetĂ© sur son intimitĂ©. Plus elle mouillait, plus je la voulais. Plus elle sentait mon instrument dur, plus elle me voulait en elle. Nous retirâmes nos pantalons et sous vĂŞtements. Elle, allongĂ©e sur le dos les jambes Ă©cartĂ©es, posĂ©es sur les miennes, moi allongĂ©es sur le cotĂ© la main gauche sur son sein. Elle empoigna mon membre viril et enfonça d’abord juste mon gland Ă l’entrĂ©e de son sexe. En mĂŞme temps, nous poussâmes un cri de plaisir presque de soulagement. Enfin nous nous sentions, enfin nous nous connections. J’effectuais de petit va-et-viens de plus en plus profond. Elle sentait chaque centimètre de ma largeur et Ă mesure que je glissais au fond d’elle, elle s’enivrait de ma longueur. Je sentais tout autour de mon sexe sa mouille et sa chaleur. Ă€ cet instant, le plaisir que l’on ressentait Ă©tait tel qu’il marqua nos mĂ©moires. Pendant de longue minute, je me dĂ©lectais de cogner le fond de son vagin avec le bout de mon gland. J’y allais profondĂ©ment, tantĂ´t doucement, tantĂ´t vigoureusement. J’entrais et ressortait rapidement pour l’entendre avoir le souffle couper puis lentement pour admirer les rayonnements d’euphorie sur son visage. Je la pĂ©nĂ©trais sans m’en lasser, sans fatiguer et elle, se caressait le clitoris en mĂŞme temps. J’Ă©tais en extase devant cette vue. La caravane tremblait sous les Ă -coups de notre amour. Quand soudain je vis que son corps s’affolait, quand soudain je l’entendis dire « Je jouis. », je n’avais plus le contrĂ´le ni de mon corps, ni de mon esprit, ni de mon âme. J’accĂ©lĂ©rais passionnĂ©ment mes va-et-viens le plus profondĂ©ment possible comme si je voulais atteindre ton âme. Et sous la pression et l’excitation intense qui dĂ©coulait de cet effort enivrant, j’explosa en mĂŞme temps que ma femme. Je sentais chaque millimètre de ses parois intimes. Toute ma semence se rĂ©panda en elle sous l’harmonie de nos cris de jouissance. J’ai eu l’impression que la vie me quittait mais de la plus heureuse des manières.Le froid n’Ă©tait plus un problème pour dormir. L’excitation avait fait place Ă la quiĂ©tude. Nos corps Ă©taient relaxĂ©s, libĂ©rĂ©s de cette passion bestiale. De nos ĂŞtres n’Ă©manaient plus que de la douceur, de la tendresse et du calme. Toujours en elle, dans la mĂŞme position que lorsque nous avons jouis, le sommeil nous a capturĂ© insidieusement. La seule chaleur dont nous avions besoin Ă ce moment lĂ , c’Ă©tait celle de nos corps collĂ©s et de notre amour.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Ardente voisine 1
Une nuit innatendue
Train de nuit
Train de nuit
dĂ©licieuse nuit d’Ă©tĂ©