Une inconnue me branle au ciné
Une inconnue m’amène chez elle et me dépucelle sous le regard de son mari. 1er épisode d’une longue série
Proposée le 29/01/2015 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
1er épisode
Une inconnue me branle au ciné.
Ma première expérience sexuelle
Je me prénomme Patrick , j’ai plus de 40 ans, je mesure 1m77 pour 75 Kilos bien charpenté. Je veux vous faire connaitre mes aventures sexuelles et il faut donc que je commence au début. Donc, il y a quelques années…….
Ce jour là je fête mes 16 ans et je décide d’aller voir un film porno.
Tout le long de l’attente au guichet, une très belle femme n’a pas arrêté de me regarder, que me veut elle? En entrant dans la salle, comme chaque fois que je vais au cinéma, je choisi une place tout au fond au dernier rang. La salle est pratiquement vide, dans la pénombre, un couple vient de rentrer et se dirige vers moi, la femme prenant le siège à coté de moi, zut! la salle est pourtant assez grande!
Le film commence et au bout d’un moment je vois les 1er ébats des acteurs, mon pantalon commence à se tendre.
Soudain la jambe de ma voisine vient me frôler et au bout d’un moment se frotte avec insistance sur la mienne. Qu’est qu’il lui prend? Mais alors que je cherche vainement quelle attitude prendre, je sens soudain la main de ma voisine se poser sur ma cuisse. Abasourdi par son audace, je tourne la tête dans sa direction, c’est la femme qui n’arrêtait pas de me mater tout à l’heure. Elle me fixe en me souriant gentiment, l’homme qui l’accompagne me regarde aussi . Stupéfait, le souffle court, je ne sais comment réagir. Doucement sa main commence à bouger et remonte vers mon entrejambe. Sa main s’enhardie et avance vers ma braguette, je ne respire pratiquement plus. Ses doigts fureteurs s’appuient sur mon sexe à travers mon pantalon et ne bougent plus, je n’en reviens pas de son audace. La pression de ses doigts qui palpent ma queue la fait gonfler encore plus dans mon slip. Mon érection atteint son apogée. Que faire? Repousser la main féminine qui me fait bander ? Quelle sensation! Bien calé dans mon siège, je laisse l’initiative à ma voisine. Je la regarde me sourire d’un air complice, elle approche sa bouche de mon oreille et me susurre: – Fais-moi voir ta queue !
Et sans attendre mon assentiment elle descend la fermeture éclair ouvrant entièrement ma braguette. Je frissonne, désir? Peur? Je ne sais plus. Je sens sa main se glisser lentement dans mon pantalon et s’appuyer sur ma verge gonflée dans mon slip.
Elle relâche la pression et ses doigts repoussent mon slip pour se saisirent de ma queue toute dure, mon cœur bat la chamade. Même dans mes fantasmes les plus fous, je n’avais imaginé un tel scénario, me faire tripoter au ciné par une inconnue aussi belle ! Sans se soucier de son compagnon, elle referme ses doigts autour de ma verge turgescente, me lâche soudain mais revient aussitôt à la charge et me branle lentement, avec énormément de douceur.
Elle fait coulisser sa main refermée le long de ma verge avec une lenteur exaspérante et à la limite du supportable. Ma bite complètement dilatée, aussi dure qu’une pierre, je voudrais qu’elle me branle avec plus d’énergie. Je suis une vrai boule de nerfs. Je lance mon bas-ventre en avant, pour lui faire comprendre mon désir , on dirait qu’ elle a comprit mon message, et elle accélère graduellement sa masturbation, sa main me branle avec vivacité. Les minutes passent et je sens que je ne vais plus tenir bien longtemps.
Les couilles contractés par le plaisir arrivant à son apogée je regarde mon sexe fièrement dressé dans sa main. Ses doigts autour de ma verge gonflée coulissent à un rythme effréné. Mon bas-ventre se crispe, je sens l’orgasme venir. Dans un réflexe que je ne peux contrôler, je lance mon bas-ventre au-devant de sa main bienfaitrice. Elle glisse à mon oreille : –Tu aimes que je te branle? Je ne sais que répondre. Sa main autour de ma bite frémissante accélère encore, pressant le gland à chaque remontée, déclenchant aussitôt des soubresauts de plaisir. Je sens la jouissance monter dans mes couilles. Ma queue se raidit encore si c’est possible, prête à l’éjaculation. Dans une merveilleuse délivrance, mon sperme jaillit avec force par saccades sans fin de mon gland dilaté. Sous la violence de la jouissance, je manque d’hurler dans la salle. Ma voisine qui n’a pas arrêter de me regarder pendant tout le temps qu’elle m’a masturbé, comprend immédiatement ce qui se passe et dans un réflexe referme vivement sa main autour de ma verge d’où jaillissent en jets puissants et ininterrompus mon sperme qui macule le siège devant moi et passe même par dessus, de son autre main elle recueille comme elle peut une partie de ce précieux nectar à l’intérieur de sa paume. Je sens toujours la pression de sa main autour de ma queue qui n’arrive pas a débander. Des paroles murmurées à mon oreille me tire de mon état second : – Ben mon salaud! C’était bon ?… Tu as aimé ?… Reprenant alors mes esprits, je tourne mon visage et la regarde. Elle me sourit avec tendresse, retire délicatement sa main de ma bite et la porte à sa bouche. Là d’une langue gourmande elle lèche longuement le creux de sa paume, recueillant le sperme qui s’y ‘était déposé. Une fois la main entièrement nettoyée elle prend mon poignet et le pose sur son bas-ventre, elle avait repoussé le pan de sa robe fourreau sur le côté gauche, dénudant entièrement ses deux cuisses, sa chair est douce et satinée, elle n’a pas de sous-vêtements! Mon regard est obnubilé par la vision du pubis vierge de toute toison. Je sens sous mes doigts sa fente où règne une douce humidité. – On sera mieux chez moi, me souffle t’elle… Tu pourras me caresser à ton aise ! Que faire? J’en veux plus, elle m’a laissée sur ma faim. Je me reboutonne et sors de la salle , partis avant moi, ils m’attendent dans le hall, la femme me sourit et nous quittons ensemble le cinéma. On fait une centaine de mètres ainsi tendrement réunis, lorsque la femme s’arrête devant la porte d’entrée d’un immeuble luxueux. Au fond de l’allée se trouve l’ascenseur privatif dans lequel nous montons tous les trois. Alors que la cabine s’élève elle me demande:
– Comment t’appelles-tu ?
– Patrick, madame. – Tu peux m’appeler Claude. Tu me connais suffisamment intimement, tu ne crois pas ?… Mon mari c’est Pierre… – Et tu as quel âge Patrick ? – 16 ans madame… Claude Arrivé directement chez eux je découvre un logement très luxueux, le salon est immense avec un grand canapé. Claude m’invite à prendre place sur le profond canapé, tandis que son mari s’installe confortablement sur l’un des fauteuils lui faisant face. Son comportement me surprend et me perturbe. Mon désir, s’il est toujours aussi persistant à l’encontre de ma belle hôtesse, est freiné par la présence de cet homme. – Que veux-tu boire Patrick, me demande Claude ? Un jus de fruit ou un coca ? – Un jus de fruit, s’il vous plait. – Et toi mon chéri, un whisky, comme d’habitude, continue-t-elle pour son mari… Je vous amène ça. Resté seul avec Pierre, je me trouve un peu niais. Soudain il me demande: – Comment trouves-tu ma femme,?… Elle te plait ?… Tu n’as certainement jamais eu l’occasion d’être branlé par une aussi belle femme .
– Heu, non. – Tu aimerais lui faire l’amour, n’est-ce pas ? Je ne sais quoi répondre à pareille question. J’aurais souhaité être ailleurs. – Tu vas être comblé, me promet l’homme… Ma femme adore se faire baiser par des jeunes comme toi !… Nous sommes un couple candauliste. Je ne suffit pas à la satisfaire et comme elle a des besoins sexuels excessifs, j’accepte qu’elle prenne des jeunes amants quand elle en a besoin pour ne pas la perdre. Je suis sur que tu vas aimer… De plus en plus mal à l’aise, je réfléchis au moyen de me sortir de ce guêpier, un couple de pervers?. Cependant, le retour de Claude, avec les deux verres remplis, stoppe les confidences de son mari. – De quoi parliez-vous, questionne-t-elle ? – De toi ma chérie, répond son époux en saisissant son verre . J’expliquais à notre jeune ami ce qu’il allait connaître… Claude me tend mon verre. – Tiens Patrick. N’écoute pas tout ce que dit mon mari… Je désire simplement que tu me fasses l’amour… Que nous partagions la même jouissance. Claude vient s’asseoir aux côtés de moi buvant mon jus de fruit, m’attire à elle, m’obligeant à déposer mon verre et m’embrasse à pleine bouche. Avant que je ne réalise, je me retrouve lèvres contre lèvres, sa langue agile et experte dans ma bouche. Claude a une façon diabolique d’agiter sa langue à l’intérieur de ma bouche mettant une telle exaltation dans son baiser, qu’il m’est impossible d’y répondre. Complètement enivré par sa science du baiser, je ne remarque pas immédiatement que Claude a entreprit de dégrafer mon pantalon. – Donne-moi ta bite, murmure Claude en fourrageant dans mon slip. Malgré ma récente éjaculation, je sens ma verge palpiter doucement dans un début d’érection. Claude me dénude le bas-ventre, me malaxant la bite en demi-érection sous le tissu de mon slip. – Mon Dieu, c’est bien ce que je pensais au ciné, tu es monté comme un âne! S’écrit Claude en tirant brusquement mon slip faisant jaillir mon sexe libéré du tissu .. – J’ai hâte de la sentir à l’intérieur de moi, continue-t-elle, en tirant sur le pantalon. Je jette un regard anxieux en direction de Pierre qui se rince l’œil une main posée sur sa braguette. Mon pantalon retiré, elle m’aide à ôter mon slip qui se retrouve bientôt à ses pieds. Le bas du corps dénudé, le sexe brandit, je n’ose plus bouger, d’autant plus que mes hôtes eux sont entièrement vêtus. Saisissant ma verge tendue dans sa main, elle entreprend de la branler doucement : – Détends-toi, me murmure-t-elle d’une voix douce. Je ne veux que te procurer du plaisir…et ne t’en fais pas pour mon mari ça se passera juste entre toi et moi. Il ne fait que regarder !… C’est ainsi qu’il prend son plaisir Me sentant quelque peu rassuré, je laisse faire la main qui coulisse le long de ma verge maintenant en pleine érection. Je vire au rouge quand elle me demande. – Tu veux que je te fasse une pipe ? Elle s’agenouille entre mes jambes écartées, approche son visage de ma queue qu’elle maintient entre ses doigts serrés et se met à aspirer mon gland dans sa bouche ouverte au maximum, quelle intense ivresse érotique, elle suce le bout de ma verge, frottant ses lèvres uniquement sur la couronne du gland. Ce massage terriblement voluptueux devient très vite insupportable, mon bas-ventre se contracte sous des accès de plaisir. De temps à autre, elle frappe de sa langue l’extrémité de mon gland accentuant l’exacerbation de mon bourgeon de chair Incapable de me contrôler je mets mes deux mains dans sa chevelure l’obligeant à enfourner pratiquement la totalité de ma bite dans sa bouche en extension maximum, en lui bloquant le visage contre mon pubis et je ne bouge plus, le temps que l’excitation retombe.
Contrainte de garder la totalité de ma longue queue dans sa bouche, le gland lui obstruant le palais, Claude salive abondamment sans pouvoir vraiment déglutir. Je sens ma verge comme enveloppée par un cocon étroit, chaud et moelleux. Grisé par cette nouvelle sensation, je relâche ma pression sur sa nuque, elle en profite pour se rejeter vivement en arrière, crachant mon gros chibre qui lui obstruait la gorge. – Ouah !… Quel morceau, s’exclame-t-elle, les commissures des lèvres luisantes de salive… Tu as bien failli m’étouffer…Je n’ai jamais mis dans ma bouche un tel mandrin. Tu sais que tu es rudement bien monté pour ton âge, continue-t-elle, et tu es tellement gros que j’ai eu de la peine à te prendre en bouche, tu devras te méfier de ne pas te montrer trop exigeant avec les filles lorsque tu leur demanderas de te faire une pipe, ne bouge pas, il faut que je mesure ce monstre!
Elle va prendre un mètre de couturière et revient s’agenouiller face à ma queue, – Voyons voir pour la longueur, 22cm, mon Dieu Pierre, elle fait 9 cm de plus que la tienne!…. s’exclame t’elle.
– Un sacré beau morceau! puis elle enroule le mètre à la base de la hampe, Wouuaahhhh! c’est pas possible, elle fait 18 cm de tour, elle est énorme!!!! mes doigts ne font pas le tour de ton formidable engin!
A ces mots, je la fixe étonné, je ne savais pas que j’étais ce qu’on appelle « un homme très bien membré ». La voix de Claude me tire soudainement de mes réflexions : – Tu veux lécher ma chatte ?… Ça te dit ? Je rougis encore plus que tout à l’heure, elle me demande de réaliser un de mes rêves ! Elle me propose cette caresse qui me fait tant fantasmer. Ma réponse est immédiate : – Oh oui que je veux! – Tu as déjà léché une chatte, m’interroge-t-elle ? Gêné, je lui avoue. – Euh, non. – C’est vrai ?… Je serai la première ? s’exclame Claude ravie… Tu veux que je t’apprenne ? – Euh, oui. – D’accord, mais d’abord, aide-moi à dégrafer ma robe… Je serai plus à l’aise pour ce que l’on va faire… Elle se relève, se retourne et me dit d’ouvrir sa robe. Terriblement ému, la bite toujours orgueilleusement dressée, je tire sur la petite languette, ouvrant sa robe, découvrant sa peau nue barrée par la lanière dorsale du soutien-gorge, puis arrivant au niveau de sa croupe rebondie ça coince, Claude repousse les épaulettes le long de ses bras. La robe glisse lentement avant de se retrouver en tas à ses pieds. Je contemple émerveillé l’affolante cambrure de rein et l’incroyable arrondie de la croupe de Claude. Ses fesses, séparées par une longue et profonde raie attirent irrésistiblement mon regard. – Il te plait mon cul? Claude se mets à onduler des hanches d’une façon obscène, agitant ses fesses de droite à gauche qui se balancent à quelques centimètres de mes yeux attisant mon désir d’explorer l’ouverture qui s’y cache, Soudain elle s’installe sur le canapé, cuisses largement écartées. – Viens, mon chéri ! murmure-t-elle d’une voix alanguie… Viens me brouter le minou ! La suite au prochain épisode….. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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