Une marraine formidable

Une marraine formidable
Comment se faire dépuceler à 17 ans par sa marraine de baptême. Initié une semaine chez mon oncle et ma tante, celle ci a profité que mon oncle travaille pour s’occuper de mon éducation sexuelle. Dès le premier jour, elle se montre à poil devant moi et m’emmène dans sa chambre pour m’initier au sexe en m’offrant le sien. Une semaine de cul à gogo

Proposée le 10/04/2021 par Varannes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie

Je n’avais pas encore 18 ans, ça remonte puisque j’ai la soixantaine passée; cet été-là, fin Aout mon oncle et ma tante (donc ma marraine) qui habitaient dans la région parisienne ont proposé de me prendre une semaine chez eux avant la rentrée pour me faire visiter Paris. Le projet ne m’emballait pas du tout d’autant qu’ils n’ont jamais pu avoir d’enfant et me retrouver avec eux deux et en plus mon oncle travaillant vraiment pas le pied… mais à cette époque quand les parents décidaient, les enfants se taisaient.
Dernière semaine d’aout fut donc fixée. Nous habitions à proximité de Bordeaux et ce dimanche, le point de rencontre était un petit restaurant à coté d’Orléans. Repas se passe et en début d’après-midi ma valise change de coffre de voiture et nous voilà partit. Dimanche soir morose et le lundi matin mon oncle partit au travail à 8h53. C’est toujours très précis avec lui. Il travaillait à l’époque aux PTT et avait même une maison de fonction ainsi qu’une vingtaine de ses collègues. Il partait à pied et tout était réglé et précis : matin départ 8h53 le midi arrivé à la maison à 12h07 idem l’après-midi. Je trainais au lit et l’entendit partir. Après le petit déjeuner, je lisais une BD quand ma marraine m’appela depuis la salle de bains. Elle avait oublié les serviettes de toilette sur son lit et me demandait de lui apporter. Je récupérais le bien tout en matant sur son lit sa petite robe d’été accompagné d’un joli petit slip en coton blanc. Je frappais à la porte de la SdB et elle me dit :’et bien rentre je ne vais pas aller les chercher! » quelle vision cette petite femme derrière le rideau de douche légèrement en contrejour. Je matais tout! Elle ferma l’eau tira le rideau et récupéra une serviette sans d’apparence se soucier de moi. Je commençais à avoir la trique des bons jours. Elle était maintenant complétement à poil devant moi, petits seins et chatte bien poilue. Elle me lança un :  » allez déshabille toi et prend ta douche! ». M’exécutant je rentrais dans la douche tout en essayant de masquer mon érection. Elle s’en amusa, passant régulièrement la tête dans la douche pour mater.
A poil tous les 2 elle finit par m’emmener dans leur chambre. Elle s’allongea sur le lit et me tira sur elle. Bonheur de sentir ce corps nu, peloter ses petits seins et lui rouler une pelle en continue. Elle passa sa main entre nos deux corps pour récupérer ma bite qui n’en pouvait plus d’être tendue comme ça. C’était ma première baise, mon dépucelage. Sa main me saisit pour la pénétrer mais la tension était trop forte et je lui lâchais tout dans la main en retenant l’orgasme qui m’envahissait. Elle me dit :  » ce n’est pas grave on va recommencer tout à l’heure ». C’est en fin de matinée que j’ai eu droit à mon repêchage. Même endroit, même position mais cette fois je la pénétrais et arrivait à me retenir suffisamment pour qu’elle commence à jouir. L’après-midi on recommença 2 fois mais dans ma chambre cette fois ci. Je pouvais à souhait la mater sous tous les angles. C’était super excitant surtout qu’elle avait des jolis petits tétons très agréable à sucer. Elle me laissa fourrer mes doigts dans sa chatte gluante de mouille et de sperme. Par contre dès que j’approchais le doigt de son anus, elle se contractait ne laissant aucune chance à mon passage. On ne peut pas tout avoir.
Le soir on se coucha tard à cause de la chaleur, moi le premier, mon oncle et ma tante une bonne demie heure plus tard. Ma tante vint dans ma chambre s’assurait que je dormais. En fait je faisais semblant. Quinze minutes plus j’entendis des gémissements. J’allais discrètement à la porte de leur chambre pour écouter. Tata était en train de se faire sauter et là elle couinait beaucoup plus qu’avec moi. Je me masturbais en l’écoutant. Plus tard dans la nuit, j’ai remis ça, n’en pouvant plus.
Ce mardi matin, je restais couché jusqu’au départ de mon oncle. Je m’en doutais un peu mais quelques instants après ma tante entra dans ma chambre. Assise à côté de moi j’avais ses cuisses à portée de main et je me gênais pas de la caresser. Après les bisous sa bouche descendit sur ma poitrine puis baissant ma culotte elle se mit à lécher ma bite en complète érection. Sucé et branlé je finis par lui offrir ma petite purée dans la bouche. Elle était en extase, d’autant que pendant ce temps-là je l’avais aussi branlée avec 2 doigts dans la chatte. Match nul…
A partir de ce moment elle me laissa prendre les initiatives. Maintenant à l’aise, j’en ai profité à fonds. Je pouvais la baiser quand je voulais, ou je voulais et dans la position que je voulais. Mon éducation sexuelle était en plein perfectionnement
Le matin je l’ai prise dans la cuisine pendant qu’elle faisait la vaisselle. Les mains occupées, j’en ai pleinement profité, l’a prenant en levrette après lui avoir enlevé sa petite culotte. Le top fut l’après-midi. Elle étendait son linge dans le garage je lui fis comprendre de garder ses mains en l’air accroché au fil. Dans cette position c’est comme si elle était attachée en croix. Elle fut vite à poil, ne portant qu’une petite robe d’été et un slip.
Je la caressais partout privilégiant ses seins et sa chatte toute mouillée. Je l’ai prise comme ça, les mains fixées au fil à linge. Elle a vraiment adoré; elle n’avait jamais fait ça avec mon oncle.
La suite de la semaine au prochain épisode. Je vous raconterais la rencontre avec Mme Lopez© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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