Vacances candauliste
Extrait de l’histoire envoyĂ© Ă ma copine en voyage Ă Rome ; « Ça me plaisait de plus en plus je dois bien l’avouer. L’idĂ©e devenait de plus excitante et « normal » dans ma tĂŞte. Je me prenais mĂŞme Ă me masturber en pensant Ă ses petits rĂ©cits Ă©rotiques. Jusqu’au jour oĂą … j’eu envie de passer Ă l’acte, d’aller plus loi …
Proposée le 11/05/2019 par Ptitbrun Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Je nous imagine en soirée, dans une boîte de nuit sympa à Naples, à danser ensemble. Il fait nuit mais surtout très chaud, la musique masque le bruit des vagues, nous sommes près de la plage ????
A ce moment le DJ passe une musique une peu plus « chaude », je commence à me rapprocher de plus en plus, je te colle à moi et nous dansons rapprochés, enlacés, s’embrassant passionnément, tu sens déjà mon sexe dur contre toi. Excitée tu me lances un regard aguicheur et te retourne pour frotter tes fesses contre mon bassin. La tension est palpable et je vois ton visage rougir d’excitation. C’est à ce moment que, tout en me lançant un regard plein de désir, de luxure et d’appétit, tu me demandes si mon fantasme me plaît toujours. Si je voudrais te voir avec un autre homme, te voir coucher avec un autre, et tout cela devant moi.
Mon sang ne fait qu’un tour, je ne sens plus mes jambes, une montée de sentiments me submergent ; de la jalousie car je ne t’aurais jamais cru capable de même en faire mention, de l’excitation car la situation m’avait toujours fait fantasmer, et de l’amour pour cette femme sublime qui depuis déjà plus de 3 ans fait chavirer mon cœur et pour qui la passion n’a cessé de grandir. Tous se bousculent dans ma tête et je n’arrive pas à répondre de suite, ton regard se fait plus insistant, tu es impatiente ça se voit. Je vois à tes yeux que tu as un peu trop bus, tu te lâches et laisse parler tes pulsions sexuelles. Tu t’approches de moi, m’embrasse, langue contre langue, au milieu de la piste de danse. Puis tu rapproches ta bouche de mon oreille pour y susurrer quelques mots ; « j’ai vu un beau garçon fort à mon goût, je dois t’avouer que je la matte depuis un moment et je ne sais pas comment l’expliquer mais j’aimerais réaliser ce qui est aussi devenu mon fantasme ». Tu te remets face à moi et me dit : « si tu vois ce que je veux dire » en me faisant un clin d’œil. « Je veux que tu me voies, je veux que tu me voies prise par ce mec, j’en ai très envie. Me voir prendre du plaisir avec un autre. Mais je veux surtout que tu me reconquières, que tu me montres que tu es le seul à pouvoir me posséder, le seul que je puisse aimer. » A ces mots je ne peux m’empêcher de sourire de désir. Je te fais signe que tu peux y aller, mais qu’avant de partir, tu m’embrasses. Notre baiser est langoureux et pendant ce temps je sens ta main passer sur mon pantalon pour sentir mon excitation. En t’écartant tu me souris l’air satisfaite et tu pars en marche arrière vers le grand brun que tu avais remarqué. Toujours avec ce sourire coquin.Alors que tu te retournes pour te diriger vers l’étranger en question, je me rends compte qu’il est effectivement très beau garçon, et je dois bien avouer que je ressens beaucoup de jalousie mais je suis aussi très excité pour toi. Il n’est pas très grand, tout de même plus que moi, il a des cheveux longs et en bataille sur le haut et court sur les côtés, exactement ce que tu m’avais montré comme photo pour aller chez le coiffeur. Je remarque aussi qu’il est musclé avec des épaules larges, en gros il est franchement bien bâti. Tout en gardant mon regard sur toi, et notamment sur tes fesses, je me dirige vers le bar pour prendre un verre. Tu es tellement sexy ce soir, assez simple mais super aguicheuse ; tu as un short en jeans qui épouse magnifiquement bien tes deux belles fesses, un top bien décolleté et bien dégagé sur tes épaules, lui aussi épouse superbement ton corps et surtout tes seins. Et tes cheveux, même relâchés, laisse voir un petit ras-de-cou noir qui montre bien que tu es très chaude ce soir. Je ne parle que de ce qui est visible mais je t’ai vu mettre dans la salle bain des sous-vêtements très sexy ce soir. Ton soutien-gorge rouge et le string qui va avec te vont à merveille !Ton déhanché est hypnotisant, je n’arrive plus à contrôler mon érection que je tente de cacher derrière le bar. Alors que tu t’approches de ce bel étranger, tu te retournes une dernière fois, le sourire toujours aussi coquin, tes yeux pétillants de désirs et te mordant les lèvres. Tu le veux, tu veux cet homme, et tu veux que je le voie, tu aimes me rendre jaloux, ça t’excite énormément et tu sais que cette excitation est réciproque.[Ton point de vue]
La première fois que Jules m’avait fait part de son fantasme ça m’a rendu triste. Je ne savais pas trop en quoi en penser, ça me paraissait tellement bizarre. Je n’ai pas posĂ© beaucoup de questions, j’ai essayĂ© de le tester un peu, voir ce que tout cela voulait vraiment dire et jusqu’oĂą il pouvait aller. Un garçon en socio me plaisait bien, il Ă©tait mignon physiquement mais pas trop mon genre au niveau de l’attitude, trop sĂ»r de lui. J’ai essayĂ© de faire des petites piques Ă Jules, lui demander un plan Ă trois, savoir si je pouvais me le taper, etc. Jules rĂ©agissait bizarrement, il semblait très jaloux mais aussi très excitĂ©. J’avais beau faire semblant, la graine qu’il avait plantĂ© dans ma tĂŞte commençait Ă germer. Je me suis prise au jeu, je me sentais excitĂ© Ă l’idĂ©e d’être avec un autre que Jules, et tout cela avec son consentement. Ça ne restait que des idĂ©es et elles continuaient tout de mĂŞme Ă me dĂ©stabiliser, je ne savais toujours pas quoi en penser. Par la suite je l’ai laissĂ© en parler un peu plus, me raconter ses histoires, ses fantasmes, aussi farfelus soient-ils. Ça me plaisait de plus en plus je dois bien l’avouer. L’idĂ©e devenait de plus excitante et « normal » dans ma tĂŞte. Je me prenais mĂŞme Ă me masturber en pensant Ă ses petits rĂ©cits Ă©rotiques. Jusqu’au jour oĂą … j’eu envie de passer Ă l’acte, d’aller plus loin. De tester notre amour. Je me sentais très confiante, je savais que s’il pensait Ă ces choses c’est qu’il Ă©tait sĂ»r de son amour mais aussi du mien, ça ne lui venait pas Ă l’esprit qu’il aurait pu me perdre. Je me rendais compte Ă quel point ce fantasme montrait la confiance et l’affection qu’il me porte. Et il est vrai que je me prenais au jeu Ă regarder de plus en plus d’autres hommes que lui, Ă fantasmer sur eux. Mon copain restait l’amour de ma vie, je voulais rester avec lui, j’avais encore Ă©normĂ©ment d’envie pour lui. Mais mes pulsions Ă©taient de plus en plus tournĂ©es vers cette nouvelle aventure.Ce soir, alors que nous Ă©tions en Italie, que nous pouvions rĂ©aliser ce fantasme sans avoir le risque de se faire voir, ni qu’il nous suive, je dĂ©cidais de faire le pas. L’alcool avait fait exploser ma libido, tout mon corps brĂ»lait de dĂ©sir. Et lĂ , je me sentais petite fille, l’excitation mĂ©langĂ©e Ă de la peur me faisait perdre la tĂŞte. Cet Ă©tranger avec qui je parlais, qui me faisait un effet monstre, que j’imaginais dĂ©jĂ en train de pĂ©nĂ©trer devant mon mec, allait me faire passer une nuit inoubliable. J’avais si chaud, il avait beau m’offrir verre sur verre l’excitation dans mon bas ventre ne tarissait pas, pire il grandissait. Alors que l’on discutait, me racontait son job, j’appris qu’il s’appelait Alessio, je tentais de tourner la tĂŞte vers Jules pour voir si tout allait bien pour lui. Je remarquais qu’il n’arrĂŞtait pas de nous fixer discrètement, tout en me faisant de grands sourires. Je pris la dĂ©cision d’aller danser, je pris Alessio par la main et nous nous dirigions vers la piste de danse. Comme je m’y attendais notre danse fut très chaude, ses grandes mains sur mes hanches, nos visages proches l’un de l’autre, mes bras se glissant rapidement autour de son coup. Il ne fallut pas tellement de temps avant qu’il ne tente une approche. Notre baiser fĂ»t explosif, nos langues s’entremĂŞlèrent pendant de très longues secondes. Que c’était bon … je tentais de voir si Jules nous avait vu, mais je n’arrivais pas me repĂ©rer sur la piste, trop concentrĂ©e Ă embrasser et enlacer ce bel Ă©talon. Le baiser fini, la danse repris de plus belle, je me retournais pour faire frotter mon bassin contre le sien, je sentais son gros sexe bien dur contre mes fesses, j’adorais ça. Je sentais la chaleur monter, je me surpris Ă placer l’une de ses mains, collĂ©es Ă mes hanches jusque-lĂ , Ă mon sein droit. Il m’embrassait dans le coup et dans la nuque tout en me faisant bouger le bassin avec sa main gauche et en malaxant mon sein droit, je n’en pouvais plus, je me sentais troublĂ©e par cet inconnu qui n’arrĂŞtait pas de toucher mon corps. Pendant ce temps je sentais le regard persistant de Jules, je lui souris pour lui faire comprendre que je ne l’oubliais pas. Lui aussi avait l’air très excitĂ©. C’est Ă ce moment qu’Alessio changea de place sa main gauche, pour la mettre entre mes cuisses. Ce geste, qui m’aurait pourtant fort Ă©nervĂ© auparavant, continuait de m’exciter encore plus, l’alcool devait fort aider, je me sentais un peu bourrĂ©e je l’avoue. Il me caressait les jambes et l’intĂ©rieure des cuisses pour remonter jusqu’à mon sexe et le caresser Ă travers mon jeans, il devenait de plus en plus tactile. J’avais l’impression que plus personne n’existait autour de moi Ă part mon amant du soir et Jules. Je le pris par la nuque avec ma main gauche pour le tirer Ă ma bouche, toujours en dansant, sa main droite sur mon sein, la gauche sur mon jeans et ma main droite dans mon dos, caressant son sexe. Cela m’a semblĂ© durer peu de temps, mais il passa au moins une heure avant que nous n’arrĂŞtions de danser. Lui et moi retournions au bar, extĂ©nuĂ©s mais aussi chaud comme la braise, je voyais bien que je lui plaisais autant qu’il me plaisait. Après un dernier verre et un nouveau baiser, je montais encore d’un cran. Très stressĂ©e mais dirigĂ©e par l’excitation qui me faisait perdre la tĂŞte, je lui demandais s’il voulait venir prendre un verre dans ma chambre d’hĂ´tel, histoire de discuter … l’idĂ©e Ă©tait Ă©videmment bien autre et j’en fis part Ă Jules, lui envoyant un petit message ; « je pense que tu m’as bien vu, j’espère que cela t’a plus petit coquin ???? j’aimerais passer aux choses sĂ©rieuses, tu nous suis ? ???? ».Je ne voulais pas qu’Alessio sache que mon copain Ă©tait au courant de notre petit jeu. Il m’avait reluquĂ© depuis que j’étais rentrĂ©e dans le bar, il savait que j’avais un copain et je voulais qu’il croie que je trompais mon mec avec lui, que je faisais la vilaine fille … je lui ai dit que mon mec Ă©tait aller rejoindre des amis pour la soirĂ©e et que nous serions donc tranquille dans ma chambre d’hĂ´tel (lui dis-je avec un petit sourire coquin et me mordant le coin de la lèvre infĂ©rieure). Je voyais bien qu’il n’en pouvait plus, lui aussi me voulait. Il voulait prendre sauvagement cette petite coquine qui « trompait » son copain avec le premier venu, je supposais dans son regard toute les vilaines choses qu’il voulait me faire … et je m’en dĂ©lectais copieusement, je me rĂ©jouissais.Après avoir fini nos verres nous nous sommes dirigĂ©s vers la sortie, je le tirais par la main Ă travers la foule. Sortant de lĂ j’aperçus Jules de loin, cachĂ©, je lui fis un bisou de loin suivit d’un « je t’aime, merci ». Je profitais de sa prĂ©sence pour me retourner et embrasser de nouveau Alessio, moi caressant son torse, lui attrapant mes fesses. Et nous repartĂ®mes vers le premier arrĂŞt de bus, toujours en le tirant par la main. Nous n’arrĂŞtions pas de nous toucher, de nous embrasser, de nous lĂ©cher, et j’en passe … tout cela en attendant le bus et pendant le trajet. Et toujours de loin, je vois Jules se dĂ©lecter de la scène, les yeux fixĂ©s sur moi, me dĂ©vorant du regard. Un regard fou, amoureux et jaloux Ă la fois, j’adorais le voir dans cet Ă©tat, ça me donnait encore plus envie.Je sentais qu’Alessio Ă©tait fort, ses muscles de torses et ses abdos n’étais pas super tracĂ© mais je le sentais bien, c’est le cas de le dire … ses mains m’attrapaient avec tellement de force ! Je me sentais comme prise au piège, mais qu’est-ce que j’aimais ça ! ArrivĂ©s Ă l’hĂ´tel nous nous mĂ®mes Ă aller de plus en plus lentement, je voulais pleinement profiter du moment. Je m’arrĂŞtais souvent pour l’embrasser, le toucher encore et encore … je sentais que je lâchais totalement prise. Cependant Jules me manquait, je ne le voyais plus depuis un moment, je commençais Ă m’inquiĂ©ter. Avait-il fait demi-tour ? S’était-in perdu ? Heureusement je fus soulagĂ©e de voir son message me disant qu’il Ă©tait dĂ©jĂ dans la chambre et qu’il m’attendrait dans la salle de bain, il voulait me voir avant le grand pas. En entrant dans la chambre je fus surprise par Alessio qui d’un coup me souleva par les fesses pour me coller Ă lui pour m’embrasser Ă nouveau et me coucher jusqu’au lit. Rapidement il commença Ă enlever sa chemise et ses chaussures mais je l’arrĂŞtais au moment oĂą il commençait Ă desserrer sa ceinture. Je dĂ» dire Ă Alessio que je devais me prĂ©parer pour lui, qu’il devait attendre bien sagement. Je mis donc de la musique et me dirigea vers la salle de bain. [mon point de vue]
Cela faisait déjà un moment que j’attendais dans la salle de bain de notre chambre. J’avais du mal à m’arrêter de regarder Clara de loin, épiant ses moindres faits depuis qu’elle s’était accrochée à cet homme. J’étais tout de même stressé au début, j’avais peur qu’elle me mette totalement de coter et qu’elle m’oublie, ce n’était clairement pas le cas ! Elle essayait toujours de voir où j’étais, de vérifier si j’étais toujours bien là et cela me rassurait. Lorsqu’elle embrassa cet étranger pour la première fois j’eu une vague de sentiments contraires dans la tête et mon cœur. Beaucoup de jalousie d’abord je dois bien l’admettre, mêlé avec de l’amour et de l’excitation. Je voyais qu’elle s’amusait, qu’elle était sur un petit nuage et j’adorais la voir dans cet état. L’Amour prit rapidement le pas sur le reste, je me dis que c’était vraiment une femme extraordinaire, que si nous étions capables d’avoir une expérience pareille nous pourrions tout vivre ! Je n’arrive même pas à décrire ce que je ressentais à ce moment, mais je sais que j’étais éperdument amoureux, pressé de reconquérir la femme de ma vie. Celle-là même qui pourtant, à ce moment-là , devant moi, se faisait largement peloter et embrasser par ce qui devait être un beau napolitain. Alors qu’un inconnu faisait bien plus que draguer ma copine, j’en tombais encore plus amoureux. La soirée passa, je ne perdais pas une miette de ce qui se passait, toujours les yeux rivés sur ma chérie. Pendant qu’ils dansaient, sur le trajet vers l’hôtel, et enfin dans l’hôtel même. Je ne pus cependant rester très longtemps, il fallait que je me presse pour aller me cacher dans notre chambre, laissant en passant un message à Clara pour lui donner les dernières instructions. J’étais donc là , dans la salle de bain, à attendre ma copine et son amant. J’étais très stressé, mais aussi terriblement excité, j’avais du mal à tenir en place. Je les entendis rentrer, rigolant, s’embrassant goulûment. Je l’entendis rire, j’eu l’impression qu’elle fu soulevés. J’entendais le lit grincer, les draps se froisser et ma copine s’amuser dans notre lit avec un autre. Je ne l’entendais pas bien, elle parlait doucement à son amant. Je compris cependant qu’elle voulait se préparer dans la salle de bain comme je lui avais dit de lui dire. En entrant elle se jeta à mon coup, nous nous embrassions comme des fous, pleins de fougues et d’amour, comme aux premiers jours. Mais toujours en essayant de rester silencieux. Elle me dit qu’elle m’aimait à la folie, me remerciant de lui permettre une telle expérience, que j’étais l’amour de sa vie, qu’elle en avait tellement envie ! Tout cela en m’embrassant. Je jubilais, notre amour était bien exceptionnel. Elle commença à se déshabiller, ne laissant que ses sous-vêtements sexy. Elle me fixait, enleva ma ceinture et abaissa mon pantalon pour faire sortir mon pénis en érection. Elle l’attrapa avec force et commença à me masturber. « Tu as été bien sage mon amour, tu mérites largement une petite récompense ! » me lança-t-elle avec un petit sourire malicieux. « Tu es bien dur mon amour, que se passe-t-il ? » dit-elle rigolant. Clara s’amusait avec moi. Elle continuait toujours à m’embrasser avant de me dire « regarde bien mon amour, tu ne verras pas ça tous les jours, je veux que tu me voies prendre mon pied avec un autre. Quand il en aura fini avec moi je veux que tu viennes me prendre à ton tour, ne me demande pas mon avis, prend moi fort pour me reconquérir ! ». A ces mots elle se tourna, me dit qu’elle m’aimait et laissa entre ouverte la porte. Je ne savais pas trop quoi faire, était-ce une invitation à venir les voir ? Pourtant le garçon n’avait pas l’air au courant. J’entendais de nouveau qu’ils s’embrassaient, il disait qu’elle était magnifique et il avait bien raison. J’ouvris légèrement la porte pour voir ce qu’il se passait. Discrètement je sortis ma tête pour voir que Clara était en train d’enlever son pantalon alors qu’il était couché sur le dos sur le lit. J’étais dans le dos de l’homme mais Clara pouvait me voir. Encore une fois elle me sourit et commença à se mettre couchée sur le dos face à moi tout en me fixant du regard. Lui se mettant à genoux face à ses jambes écartées. Il l’agrippa par les cuisses pour la tirer vers lui.[Ton point de vue]
J’étais toute rouge, j’avais très chaud. Je voyais la tĂŞte de Jules dĂ©passer lĂ©gèrement du mur de l’entrĂ©e pour me voir. Et moi j’étais sur le lit, couchĂ©e sur le dos avec les jambes Ă©cartĂ©es, mon amant s’avançant lentement entre elles. J’étais sur le point de laisser un autre homme que le mien poser sa langue entre mes cuisses …Le premier coup de langue me fit l’effet d’un choc. Sentir une nouvelle bouche faire toujours un effet particulier. Rapidement ses lèvres se posèrent pour me manger goulĂ»ment. Ses coups de langue se faisaient de plus en fermes et rapides, me plongeant rapidement dans l’extase. Je sentis alors deux doigts me caresser d’abord, puis se glisser en moi. Les coups de langue combinĂ©s aux aller-retours de ses deux gros doigts allaient rapidement me faire jouir ! Toujours en regardant mon Amoureux, je pris la tĂŞte d’Alessio pour la presser contre moi, mon regard plein de luxure fixait Jules. Cette sĂ©ance finie je fĂ»t tirĂ©e vers lui avec force. C’est lĂ qu’allait commencer les choses sĂ©rieuses. J’étais toute ouverte Ă lui, il passa son corps entre mes jambes pour se mettre au-dessus de moi et m’embrasser tout en collant son torse contre mes seins. Je sentis alors la chaleur de son gland presser contre moi, son membre viril s’engouffra alors d’un seul coup. J’exhalais. Il entama son va et vient. J’essayais de rĂ©sister aux vagues de plaisir qui m’envahissait. Elle le sentait, raide, s’agiter en elle sans retenue. Il donnait tout, tout de suite. Il me baisait de toutes ses forces. Je m’accrochais aux bords du lit tellement c’était bon. Je sentais mes fesses onduler sous l’effet de ses puissants coups de rein. Jules Ă©tait subjuguĂ©, je voyais son regard tout excitĂ© par la scène. Mes cris de plaisir avaient l’air d’avoir de l’effet Ă mes deux compagnons ; Alessio me prenait de plus en plus fort Ă chaque souffle de plaisir et Jules allait de plus en plus vite avec madame cinq doigts. Mes mains Ă©taient accrochĂ©es Ă lui, une derrière lui caressait de haut en bas son dos bien musclĂ© et l’autre ne pouvait s’empĂŞcher d’agripper ses belles, musclĂ©es elles aussi. Cela m’excitait d’être dĂ©sirĂ©e par deux hommes en mĂŞme temps, de les rendre fous de dĂ©sir pour moi. Alors que le rythme commençait Ă redescendre lĂ©gèrement je pus reprendre un peu les esprits et je pris alors la dĂ©cision de dire Ă Alessio que mon mec voulait venir nous voir. Je lui susurrais Ă l’oreille, passant des petits coups de langue sur le lobe, le mordillant un peu au passage, qu’il donne tout devant lui. Mon amant ne fut pas aussi surpris que je l’aurais cru. Ça avait mĂŞme l’air de lui plaire au coquin !J’appelais donc Jules pour qu’il puisse d’assoir en face de moi. Je me mis alors face Ă lui, Ă quatre pattes, les fesses relevĂ©es vers mon bel inconnu. Ses grandes mains de nouveau s’accrochaient Ă moi. Caressant d’abord mes Ă©paules, descendant le long de mon dos, attrapant mes hanches, caressant mes fesses, les embrassant au passage. Il continua ses baisers le long de mon corps, remontant dans l’autre sens cette fois. Il câlina mes seins en embrassant ma nuque, il atterrit enfin Ă ma bouche. Je sentais son sexe se frotter contre ma croupe pendant qu’il me dirigeait vers sa langue. Il se retira alors pour mieux se positionner. Je ressentais tout de mĂŞme un peu de gĂŞne Ă voir mon homme juste en face de moi, que devait-il penser ? Je fus rassurĂ©e encore une fois de voir que Jules Ă©tait loin d’être gĂŞnĂ©. Il se touchait lentement en me regardant. Nos regards croisĂ©s voulaient d’eux mĂŞme dire on s’aimait, mais au mĂŞme moment pourtant un « je t’aime » sorti Ă l’unisson. Un rire s’en suivit entre lui et moi. Il se leva pour venir m’embrasser Ă pleine bouche avant de retourner s’asseoir sur la chaise en face du lit.C’est lĂ que je ressentis de nouveau mon entrĂ©e s’ouvrir lentement Ă Alessio. Ses mains posĂ©es sur mes fesses les attrapèrent plus fermement pour accĂ©lĂ©rer ses coups de rein. Je sentais son corps claquer contre le mien. Je voyais Jules accĂ©lĂ©rer le mouvement. Je n’arrivais pas Ă me contrĂ´ler, mon visage rouge vif prenait la forme du plaisir charnel bien consommĂ©. J’essayais de demander Ă Jules de venir près de moi, il comprit rapidement et s’exĂ©cuta pour venir m’embrasser de nouveau, très longtemps. J’avais la tĂŞte secouĂ©e, les fesses pressĂ©es Ă chaque aller. Mon corps lâchait pris en je m’écroulais, j’étais couchĂ©e sur le ventre et toujours prise par Alessio. Jules se baissa pour m’embrasser encore. Je sentis alors pendant de longues secondes mon orgasme arriver, je jouis avec une intensitĂ© dingue. Tout mon corps Ă©tait endolori par l’extase. Je sentis que mon amant aussi s’était retirĂ© et lançait des petits râles de plaisir en me mouillant les fesses. Il se coucha de nouveau sur moi pour m’embrasser une dernière fois. Je le remerciais et il se rhabilla pour partir rapidement. Je ne le verrais plus jamais.Jules vint se coucher près de moi pour caresser mon corps endoloris. Il me massa de longues minutes pour dĂ©tendre mon corps. Je me sentais tellement bien, heureuse d’être seule avec l’amour de ma vie. Il m’embrassait partout sur le corps et me disant combien il m’aimait et que j’étais lĂ plus belle femme du monde. J’étais dans un Ă©tat second, profitant un maximum de cette situation. Je me sentais amoureuse mais aussi dĂ©sirĂ©e. J’avais l’impression d’être lĂ femme la plus heureuse du monde tant je me sentais bien. Je me retournais pour enlacer mon homme. Nos câlins durèrent longtemps avant que je ne me pose sur lui. Je me reposais sur son torse. Mais la nuit n’était pas finie. Je lui dis de me reconquĂ©rir maintenant, je ne voulais pas attendre. Il me plaqua alors sur le dos du lit, en m’attrapant par les poignets. Il m’embrassa tout en se dĂ©shabillant. Il me reprit les poignets fermement avant de me faire l’amour comme un fou. Embrassant chaque partie de mon corps qu’il pouvait pendant qu’il me prenait. Les mots d’amour fusaient Ă coup de « je t’aime », etc.
S’en était trop, je fus surprise par mon regain de force. Je fis en sorte de me mettre au-dessus de lui pour continuer nos ébats. Les mains posées sur le torse je continuais ce qu’il avait commencé, cette fois c’était moi qui le chevauchais. Ses mains attrapèrent mes fesses, changeant de place pour faire un tour par mes hanches et mes seins. Je le vis et sentis se crisper, il avait l’air au bord de la jouissance. Je sentis alors un flot de se déverser en moi et les mains de Jules s’accrocher de plus en plus fort à moi. Ses râles me firent l’effet d’une bombe et je sentis moi aussi un orgasme encore plus fulgurant que le premier.
Fatiguée je m’écroulais dans ses bras. Tous les deux liés, lui toujours en moi, couchée sur son ventre je n’en pouvais plus de bonheur. L’amour pouvait donc bien se manifester de manière bien différente. Jules et moi avions trouvé une manière particulière. J’aimais ça. Tout doucement je m’endormis contre lui, lovée dans ses bras, fatiguée et bienheureuse d’un bonheur assez particulier qui ne saurait s’expliquer.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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