Revenons au mois d’après la bagarre, ce fut Annie qui fut la première Ă revenir chez l’effleureur, j’Ă©tais prĂŞt, j’Ă©tais arrivĂ© avant, afin de ne pas les croiser accidentellement, quand la lumière s’allume, je me dis ca y est, c’Ă©tait l’effleureur qui prĂ©parait le matĂ©riel, la planche allant sur le billard, je vois des barres mais horizontalement suspendu, mais pas la barre verticale, il remonte, j’attends plus de 20 minutes, puis je vois Annie arriver, elle se dĂ©shabille, l’effleureur surement blasĂ© s’occupe du matĂ©riel, moi je mate, elle reste nueAllez putain, met ton cul la dessus, elle s’y met, lui bande les yeux, il lui attache les chevilles sur la barre cotĂ© escalier, les mains sur l’autre barre, elle a les mains et pieds en l’air, tout le dos touche le billard, et les fesses sur le bord, il attache ses genoux, Ă©cartĂ©s au maxi et fixĂ© sur chaque pied du billard, après, je ne comprend pas ce qu’il installe, je l’ai su après, deux blocs en bois de chaque cĂ´tĂ© d’elle, avec deux tubes de cuivre passant au-dessus de ses seins, il lui met des pinces aux seins ensuite accrochĂ© Ă la barre ou ses mains son liĂ©es, il pose un appareil Ă©lectrique a cote d’un bloc en bois, le branche sur une rallongeUne fois immobilisĂ©e, il sort un martinet et lui fouette les cuisses, le ventre, le dessous et dessus des seins, le sexe, les coups ne sont pas fort au dĂ©but, il lui fouette ensuite le sexe de plus en plus fort, elle cri de douleur, je vois son visage de cotĂ©, car je n’ai pas de camera cotĂ© escalier, Annie gĂ©mit de douleur, pousse des hou, ho, aille, hou, mais il tape de plus en plus, a mesure, elle geint de moins en moins, elle tourne sa tĂŞte a droite, a gauche ensuite, elle tente de deviner quand arrivent les coups de martinet, je me dis, comment peut on frapper ce sexe qu’on aurait plutĂ´t envie de couvrir de baiser, de douceuril lui retire le bandeau, attendant et regardant les coups qu’on lui met, elle commence a gĂ©mir mais de plaisir cette fois, elle attend le martinet lui cingler le sexe puis les plus vite et les encore s’enchaine de plus en plus, elle se soulève le dos pour aller au devant de la cuisante caresse, ses seins sont sur les tubes, voyant cela, l’effleureur va bricoler l’appareil, en faite c’est un appareil de clĂ´ture Ă©lectrique pour les animaux, de nos jours, il existe la mĂŞme chose pour le BDSM, mais plus spĂ©cialisĂ©Celui de l’effleureur a Ă©tĂ© modifiĂ© pour donner une dĂ©charge moins forte, plus acceptable et proportionnĂ© Ă la personne, l’origine de la panne, un mauvais contact apparemment, ceci rĂ©parĂ©, les coups re pleuve sur le sexe d’Annie, l’excitation Ă©tant retombĂ©, il a dĂ» recommencer, cela est revenu plus viteElle recommence Ă gĂ©mir de plaisir jusqu’au moment ou n’y tenant plus, elle se soulève le dos pour s’avancer a la caresse, et touche le cuivre, elle crie de douleur et se remet sur le dos, les coups continuent et elle alterne entre supporter la torture de l’excitation inassouvie ou la dĂ©charge Ă©lectrique, après plusieurs coups de jus, elle hurle pour ĂŞtre baisĂ©eIl lui dit des « ta gueule salope », des « tais toi sale pute », des « ferme la morue », puis ensuite, il l’a fait languir avec des « tu veux que je te bite sac Ă foutre », « tu veux ĂŞtre baisĂ© morue », « demande le mieux que ca pouffiasse », et lĂ , l’Annie que je connais, celle que l’on peut sortir dans n’importe quel endroit snob ou rien que le mot zut est presque de la vulgaritĂ©, cette Annie aux airs de bourgeoise BCBG, je l’entend dire, « oui baise la pute que je suis, je t’appartiens, fais-moi tout ce que tu veux, mais bite moi, dĂ©fonce-moi la chatte ou le cul, mais pĂ©nètre-moi »Demande mieux dit il, en continuant de la fouetter, elle redemande de la mĂŞme manière avec des mots cru la rabaissant, s’humiliant, oui, je suis un sac Ă foutre, une pute de chantier, une suceuse de queue, il lui dit, tient, je vais t’enculer salope, elle dit oui, oui encule moi, oui oui, il lui enfonce un gode dans le cul, elle jouis aussitĂ´t en gĂ©missant très violemment, comme Marie, un orgasme super violent Ă se casser les cordes vocalesAu moment de jouir, il lui en met un autre dans la chatte, sans le bouger, c’est elle qui fait le mouvement salvateur des va et viens sur le gode, prenant souvent des coups de jus d’avoir trop bougĂ©e, pendant qu’Annie s’humiliait en demandant d’ĂŞtre enculĂ©e, j’ai Ă©jaculĂ©, je comprenais le plaisir de l’effleureurAprès qu’Annie ait repris son souffle, il lui met un masque et des oreillettes du walkman, je devine sa femme qui descend aussitĂ´t, elle est cette fois en porte jarretelle, bas noir sans soutif, bien sĂ»r, par rapport a Marie ou Annie, il n’y a pas photo, mais cela la met en valeur, elle suce, fouille, doigte, puis prend le gode ensuite et rend Annie complètement folle de plaisir avec, elle lui donne deux orgasmes qui lui font prendre d’autres dĂ©chargesEnsuite, elle se met en position pour sucer Annie et se faire prendre en levrette debout, le mĂŞme mode opĂ©ratoire qu’avec Marie, elle jouit, lui non, elle remonte ensuite, il la dĂ©tache, Annie se met le cul sur le bord du billard, et il l’a baise comme ça, empalĂ©e sur sa bite, il s’Ă©loigne du billard, Annie a les jambes derrière son dos, il donne des secousses, Annie a un autre orgasme, moins violent, mais elle jouis quand mĂŞme, il l’embrasse comme je le faisais, c’est vrai qu’elle ne donne pas ses lèvres comme elle m’avait ditAprès cela, en appuis sur le billard, il la sodomise, elle n’a pas pu jouir assez rapidement, l’effleureur est venu avant elle, elle a dit « no non pas maintenant en continuant a donner du dos pour profiter des dernières secondes de raideur, restant ainsi moins de 30 secondes, elle s’est essuyĂ©e ensuite, elle avait du monde a dĂ®ner et est partie aussitĂ´tJ’ai encore attendu comme l’effleureur rangeait, sa femme est venu l’aider, elle s’Ă©tait rhabillĂ©e, je suis parti Ă ce moment lĂ , avec Marie, j’avais retrouvĂ© un peu d’assurance, et le goĂ»t du sexe, mais quand je l’entendais jouir, ce n’Ă©tait pas comme je l’avais entendu au billardLe samedi, ça faisait plus d’un mois que l’on a pas Ă©tĂ© ensemble vraiment et ce samedi lĂ , ou je devais faire un billard comme toujours, ça faisait une bonne semaine que je me resservais de ma main, j’ai Ă©tĂ© longtemps au tĂ©lĂ©phone, un bisou a Marie et suis parti en retard, je me dĂ©pĂŞche et oublie mes clefs, je m’en aperçois a la voiture, je reviens a la maison ou Marie en principe devait faire le mĂ©nage et repassage, a ses diresJe la revois qu’elle part en courant, quel con de ne pas avoir mes clefs de voiture, je pense comme Ă chaque fois, a un autre amant, mais arrivĂ© a sa voiture, elle prend un sac dans le coffre et part a pied, intriguĂ©, je la suis, elle rentre dans une salle, j’attends un peu, je rentre, je regarde ce qui s’y pratique, danse, fitness sont les grosses affiches visibles, je me dis, pourquoi elle fait de la danse en cachette, elle me l’aurait dit, je n’aurais pas refusĂ©, mes yeux se portent sur une affiche pub plus petite, cours de danse Ă©rotique, je repense Ă Annie autour de la barre sur le billardIl ne me dĂ©plaĂ®t pas qu’elle suive ces cours, mais je sais qu’elle le fait pour l’effleureur et non pour moi, comme il a dĂ» le faire faire Ă Annie en son temps (elle me le confirme), la jalousie prend le dessus, les questions me submergent, je ne peux mĂŞme pas en parler a Annie, ça serait dĂ©noncer Marie avec l’effleureur, je me dis que le jeu de soumission ne se cantonne pas qu’au billard, je me documente et apprend quelques dĂ©tails, comme par exemple avoir un Plug en certaines occasions, je me demande si Marie et Annie en avait un en elle quand nous sortions, (Annie ne veut pas me le dire)Ma frĂ©quence sodo avec elle, Ă©tait de 2 ou 3 par semaine environ, alors, est ce le fait de savoir cela qui me conditionne, je me disais que je ne force plus trop pour la sodomiser, ce n’est pas le peu de sĂ©ance billard, ni moi qui lui dilatons l’anus, je rentre Ă la maison et fouille partout, je fais l’inventaire de nos jouets, je ne vois rien d’anormal, je connais ceux-lĂ Je regarde surtout les Plug, il y en a 4 dont 3 semblables, mais de tailles diffĂ©rente et un autre, qui doit faire 6 cm de diamètre au plus gros, on avait achetĂ© ça pour le fun et non pour utilisation, Marie mettait le 2deuxieme en taille lors de nos sorties Ă l’extĂ©rieur, il arrivait aussi qu’elle mette le 3, mais uniquement a la maison pendant nos rapports quand elle Ă©tait excitĂ©Comme je savais l’heure que cela se terminait, prenant ses clefs de voiture, je la suivais au retour, elle remit comme je le pensais son sac dans son coffre, bien camouflĂ©, j’attends qu’elle rentre dans l’immeuble et je retourne Ă sa voiture pour fouiller, je vois en effet des affaires de danse, et pas des très sexy, short, sg de danse qui tient bien les seins, en fouillant plus tard dans ses comptes, je n’ai jamais vu de dĂ©pense la dessus, Annie m’apprend maintenant que l’effleureur payait ce qu’il demandait, afin justement, pour ne pas ĂŞtre dĂ©couvertJe rentre Ă la maison la demi-heure suivante, Ă©tonnĂ©e de me voir, elle sortait de la douche, je lui dis ne pas avoir Ă©tĂ© au billard, j’avais d’ailleurs prĂ©venu qu’on ne m’attende pas, prĂ©textant un client, j’Ă©tais tellement content que Marie ne me trompe pas comme je l’avais cru, je suis tout sourire, je ne lui demande pas pourquoi elle se douche a cette heure lĂ , c’est elle qui se justifie, disant en terme plus appropriĂ© avec d’autre mot, qu’elle a eu une indisposition, ça va mieux dis-je, soulagĂ©e dit-elleJe change de sujet, en parlant d’autre chose, je vais au bureau ensuite, puisque j’ai justifiĂ© de mon cotĂ© un client, elle s’habille puis va au salon, allume la tĂ©lĂ© et s’installe (se repose de la danse) sans bruit, je file dans la chambre et je vois que les Plug sont lĂ , après une demi-heure, je vais au salon et lui dis, un billard ce soir te tente, elle rĂ©pond, toi, tu as envie qu’il m’excite pour en profiter après, je dis oui, elle me dit que cela ne lui dĂ©plait pas, si c’est ce que je souhaite, elle commence a dire, mais tu n’a pas peur que…Je dis stop, je ne veux rien savoir, tu fais ce que tu veux, imagine qu’au billard, c’est comme un rĂŞve, une fois rĂ©veillĂ©, il ne c’est rien passĂ©, j’ai peur que tu me le reproche après, j’ai dit, non, puisque je suis celui qui te le demande en l’embrassant, je lui dis encore « en plus, après le billard, je te trouve encore plus chaude et excitante », je tĂ©lĂ©phone a l’effleureur pour un cours de billard a Marie, qui dit ok, au moment de partir, après manger, quand marie a dĂ©jĂ enfiler ses chaussures Ă talon, je lui dis que j’ai oubliĂ© de mettre une ceinture, je me dĂ©chausse et vais dans la chambre, et je dĂ©couvre qu’il manque le Plug taille 3Cette fois-ci, plus aucun doute, elle lui est soumise, cela n’est pas pour me dĂ©plaire, l’effleureur avait dit, la soumission dans un couple, ça ne fonctionne pas, je n’Ă©tais mĂŞme pas jaloux de ça, Marie tout comme Annie Ă©taient toujours Ă©lĂ©gantes en toute circonstance, sauf Marie après mon cocufiage, quand elle allait au travail, mais par la suite, j’avais levĂ©e cette interdiction vestimentaire, Annie avait son mari qui aimait que sa femme soit regardĂ©e, mĂŞme tripotĂ©eIntĂ©rieurement, j’Ă©tais comme lui, j’avais une très belle femme, j’aimais qu’elle attire les hommes, j’aimais qu’elle soit tripotĂ©e en douce, mais uniquement en ma prĂ©sence, j’avais peur qu’elle ne succombe encore a un beau parleur, ou ne se maitrise plus face Ă une excitation, comme je l’avais entendu se confesser a l’effleureur, moi, j’avais la version douce, mais je ne lui en voulais pas pour ça, elle avait voulu mĂ©nager ma peine, c’est tout a son honneur, je ne la vois pas me dire, « je suis une grosse salope, dĂ©s qu’un type me force un peu, je suis excitĂ©e et je me laisse faire », Annie est comme cela aussiLe soir chez l’effleureur, dans ma poche, j’avais prĂ©parĂ© un sac plastique avec une burette en disant a sa femme lorsque ils Ă©taient descendus au billard, « je te laisse, moi, j’en profite pour faire mon vĂ©lo, en semaine, je n’ai pas le temps », en disant cela, j’avais remarquĂ© sans faire attention ses mots, « je ……, tu ne……, tu va rĂ©parer ton vĂ©lo alors », je dis oui le graisser, en disant cela, je lui dis qu’elle a ce temps de dispo, elle savait que je savais qu’elle allait mater a l’Ă©cran, on etait complice tout les deux, elle connaissait le but de mes repas d’affaires ainsi que ce qui s’y passait des foisElle m’aimait bien, je n’Ă©tais pas emmerdant avec quand elle servait, d’ailleurs, je n’avais pas Ă me plaindre, elle Ă©tait parfaite, elle connaissait la maison, elle ne venait qu’a un signe de ma main qu’elle seule voyait et comprenait, je ne la prenais pas pour une bonniche et la payais grassement, je reviendrais plus tard sur ses paroles, Ă ce moment-lĂ , je n’avais pas portĂ© attention, je pensais qu’elle Ă©tait gĂŞnĂ©e que je sache ce qu’elle allait faireQuand j’allume mon ordi, il y a le rituel comme Ă chaque fois quand je suis lĂ , ils ont la queue de billard Ă la main, tire 4 coups et il commence Ă se frotter, lĂ , la première chose qu’il fait, c’est de la pencher sur le billard, et de contrĂ´ler si elle a bien le Plug, elle lui tend fièrement le cul pour qu’il le voie, et il lui dit, c’est bien, il lui retire, disant, je contrĂ´le si tu le portes souvent, elle dit oui et pour s’en assurer, il dit en la sodomisant, ça m’a l’air d’ĂŞtre vrai et la danse ça va, il la lime très doucement, elle rĂ©pond en donnant des coups de bassin, « oui, mais le prof est comme toi, il a les mains baladeuses sous couvert de me montrer comment me positionner »C’est rien dit il, laisse toi faire en ayant l’air de ne pas vouloir, mais attention, n’accepte aucun rendez-vous chez lui après les cours, sinon il fait quoi, Marie rĂ©pond, ben quand je suis Ă quatre pattes, mais dos tournĂ© vers le sol, la barre entre les cuisses, ou l’on doit simuler un frottement dessus, lui, il m’attrape les genoux et les tire, ce qui fait que la barre me masturbe, le coquin dit ilElle dit, il m’attrape les hanches pour me les faire rouler plus, m’attrape les cuisses pour monter ma jambe plus haute, il me dit en me pelotant la cuisse, vous sentez votre muscle, c’est lui qu’il faut faire travailler, l’effleureur tout en limant, demande s’il fait cela a toute, elle rĂ©pond oui, mais 10 secondes a certaine, 2 minutes a d’autres et plus de 10 minutes a moi, l’effleureur dit, tu ressens quoi, elle rĂ©pond, a ton avis et surtout quand il me frotte Ă la barre, elle demande, « tu ne crois pas que ça serait mieux que je le dise a Henri »Il dit non, quand le moment sera venu, tu lui feras la surprise, elle rĂ©pond, la dernière fois oĂą j’ai voulu lui faire une surprise, cela ne c’est pas passĂ© comme je voulais, je n’ai pas envie de me refaire avoir et lui refaire du mal, avec toi, c’est uniquement parce qu’il le veut bien, mais je n’ai pas envie de me retrouver dans le lit de ce type, en plus, c’est ce qu’il cherche, je ne suis pas dupe, il m’a proposĂ© des cours particuliers en me disant que je suis plus douĂ©e que d’autresL’effleureur demande si c’est chez lui les cours, elle dit non dans la mĂŞme salle qui est libre le jeudi de 17 Ă 18 heures, a sa demande, elle indique la configuration de l’endroit, la salle est fermĂ©e par une seule porte avec un carreau Ă hauteur de la tĂŞte, il faut passer par le couloir pour les vestiaires hommes ou femmes, cette salle n’a pas d’arrière-salle, l’autre salle sert au fitness, mais il n’y a que ceux qui viennent seuls s’entraĂ®ner ou s’Ă©chaufferEn fait marie n’a pas visitĂ© autant que moi, il y a 3 salles, mais cela n’a pas d’importance, il y a un couloir qui part de l’entrĂ©e jusqu’aux vestiaires, Ă gauche les hommes, a droite les femmes, avant les vestiaires hommes il y a une salle, en face il y a la salle ou est marie et avant a cote de cette salle, il y a une autre salle et en face cotĂ© homme, les bureaux et un dĂ©barras pour les accessoiresL’effleureur lui dit, alors accepte les cours particulier, si c’est en salle, s’il est trop entreprenant, tu l’Ă©jecte, si tu veux, je peux venir Ă cette heure-lĂ , je jetterais un œil, au pire si on me demande ce que je fais lĂ , je dirais que je t’attend, il se frotte, je ne bouge pas, s’il te viole, j’interviens gentiment, le jeudi suivant, j’ai quittĂ© plus tĂ´t pour les suivre, mais je me suis cassĂ© le nez, il n’a pas eu le temps de se prĂ©parer sans douteLe samedi, je retourne la voir danser, sachant ce qu’elle avait dit, je vois en effet le manège avec la barre, fermant son poing, je le vois aussi qui la soulève Ă l’entre-jambe pour aller sur la barre, il lui touche la cuisse, je pense qu’il a dĂ» prendre ces libertĂ©s petit Ă petit, afin de faire croire que c’est la routineJe vois aussi qu’il fait pareil a d’autre, mais pas a toutes, le jeudi suivant je les vois arriver Ă la salle l’effleureur et Marie, ils ressortent une heure après, la salle est prise ensuite, dans la rue, ils sont copains, ils ne se comportent pas en amant, la bise quand ils se quittent est chaste, cela me rĂ©conforte, comme il l’avait dit, le jeu commence au billard, pas avant ni après, elle ne met pas le Plug pour la danseIl a sa voiture, il lui propose de la raccompagner, mais elle dit non, pour si peu ça ne vaut pas le dĂ©tour, elle passe par sa voiture, pose le sac et rentre, moi, je marche a pied, je me promène pour tuer le temps, afin de rentrer rĂ©gulièrement aux mĂŞmes horaires, 2 jours après, le samedi, j’y retourne, mĂŞme scĂ©nario, ni plus ni moins, on me demande si je cherche quelqu’unJe dis non, que j’attends ma femme, comme j’ai trouvĂ© une place pour me garer, (faisant sous-entendre qu’il vaut mieux attendre que de partir et revenir sans certitude de se garer rapidement), deux autres jeudis et samedi passent de la mĂŞme façon, afin de ne pas faire tache, je m’Ă©tais achetĂ© un survĂŞtement, un dĂ©guisement de danseur, avec une serviette autour du cou, faisant celui qui allait a la doucheCela a Ă©tĂ© une très bonne idĂ©e, car le jeudi d’après, l’effleureur n’Ă©tait pas lĂ , je me rappelle qu’il avait dit qu’au dĂ©but, il serait la, surement qu’après suivant comment se passait les cours, il n’a pas jugĂ© utile de venir ou alors seulement vers la fin, après 20 mn d’attente, je me risque Ă rentrer, avec mon sac de sport, je me change et « dĂ©guisé » je vais mater par le carreau de la porte, ou le cours se fait, a priori rien qui attire l’attention, sauf que sachant ce qu’elle a dit, en regardant bien, il tripote belle et bienRien de comparable avec le samedi devant les autres, il se frotte le sexe, elle reste un peu puis bouge pour se dĂ©gager, au lieu de lui dire comme le samedi, de faire ressortir sa poitrine, lĂ , il lui fait ressortir lui-mĂŞme, je suis fier d’elle, elle se laisse faire un petit peu, puis elle se dĂ©gage en douceur, il alterne entre les mouvements, après un geste dĂ©placĂ© qu’elle a fui, il lui fait faire une figure libre et recommence ensuite une autre osĂ©ePar moment, il lui fait faire une rĂ©vision de ce qu’il lui a appris, elle danse librement devant lui, en trois semaines, par rapport a la première fois oĂą je l’ai regardĂ©, sans ĂŞtre parfait, on voit le changement, les mouvements sont beaux et bien appris, il manque juste de souplesse pour le moment, je l’entends parler, mais pas suffisamment pour ĂŞtre comprĂ©hensible, j’imagine qu’il lui dit ce qui ne va pas, il l’a fait se frotter Ă la barre avec une jambe en l’air qu’il tire du pied, sur les nombreuses fois ou il lui a fait faire cela, il n’y a qu’une fois qu’elle Ă©tait visage vers la porte, sa bouche ouverte en disait longCe prof Ă©tait vicelard, mais compĂ©tant, il ne forçait pas trop Marie, il se disait qu’a force, elle finirait par craquer probablement, quand ils sont sortis, elle a Ă©tĂ© au vestiaire se changer et lui a la douche en se disant Ă samedi, je m’Ă©tais cachĂ© dans une douche Ă cĂ´tĂ© et suis sorti quand il a fait couler l’eau, en marchant vite, je l’ai rattrapĂ©e, elle Ă©tait seule, je suis rentrĂ© comme tous les soirs, les samedis, je n’y allais plus beaucoup, mais le jeudi si, tout se passait pareillement, mais de la voir m’excitait toujours autant, la seule chose qui avait changĂ©, c’est le PlugAu dĂ©but, elle le mettait pour aller chez l’effleureur, et a la maison jusqu’au moment de se mettre devant la tĂ©lĂ©, un midi oĂą je suis rentrĂ©, comme toujours, je regarde si les Plug sont lĂ et il manquait celui-ci, le jeudi, je contrĂ´le en venant avant qu’elle ne quitte, elle quitte Ă 17 h, 17h20 a la maison, douche et a 17 h 40, elle repart, je contrĂ´le les Plug, et je vois qu’elle l’a remis a sa place, je fouille le linge sale et en plus, du string de la journĂ©e Ă peine humide, je vois sa tenue de danseJe ne fouille jamais le linge sale, Ă force d’habitude, elle devenait moins attentive et prenait moins de prĂ©cautions, nos rapports dans le couple Ă©taient normaux, amoureux, tendres, et elle Ă©tait loin d’ĂŞtre dĂ©laissĂ©e, on s’entendait très bien, elle mettait le Plug en tout temps maintenant, ne voulant pas changer mes habitudes, je ne la sodomisais pas plus, je ne trouvais pas de changement significatifLe mercredi d’après, la veille, je lui dis que demain, je rentrerais 1/2 heure plus tĂ´t, car je prends et ramène un client Ă la gare, que son train est a 18h05, avec 20 minutes pour revenir, Ă 18h30, je devrais ĂŞtre lĂ , je la prĂ©viens juste pour qu’elle se dise, que je ne risque pas un jour, d’ĂŞtre la quant elle rentre de la danse, ce jeudi danse, elle se fait tripoter comme Ă chaque fois, je la suis de loin, j’attend cinq minutes, puis je rentreElle ne m’a pas entendu, je me cache au salon, je l’entends sortir en se pressant et allez Ă la chambre s’habiller, en chaussette, je vais Ă la salle de bains, je vois le string qu’elle avait au sport, il est tout trempĂ©, plus que celui de la journĂ©e, je ne tarde pas, je retourne Ă la porte avec mon attachĂ©-case et quand j’entends la porte de la chambre s’ouvrir, je fais celui qui arriveElle me dit « , c’est toi », je rĂ©ponds « tu attendais quelqu’un d’autre », idiot, dit, elle en venant m’embrasser, je vais prendre ma douche et en ressortant, je la soulage de ce qu’elle a endurĂ©e a la danse, elle s’envole aussitĂ´t, afin qu’elle ne se demande pas ce que je vais penser de cet orgasme rapide, je prends les devants en disant, ça t’excite aussi de briser la routine, elle attrape ma perche au vol, disant que de se sentir dĂ©sirĂ©e ainsi, c’est excitantAu boulot, je n’Ă©tais pas soumis Ă des horaires, mais Ă un travail, mais depuis mon changement d’affectation, mon boulot n’Ă©tait plus prioritaire et je ne faisais que contrĂ´ler celui des autres ou donner un avis, je n’avais pas de compte a rendre, a part bien sur, les contrats signĂ©s, on a eu des repas avec mon directeur, cela se passait façon soft, Marie Ă©tait habille sexy, mais pas du tout allumeuseElle avait appris Ă rĂ©pondre aux questions, elle citait parfois des phrases apprissent lors des derniers repas, sa culture gĂ©nĂ©rale s’enrichissait, il y avait minoritĂ© de client lourdaud comme trop intello, la plupart Ă©taient Ă notre niveauEn moi-mĂŞme, je me posais des questions, est-ce que d’aller danser, sans me le dire, Ă©tait me tromper, je me disais non, elle est libre de faire de la danse, ou tout autre activitĂ©, et de m’en faire la surpriseEst-ce que le faire pour un autre que moi, ou sur sa demande, c’est me tromper, je me disais non, pas forcement, elle peut le faire sur un conseil pour pouvoir me plaire, de plus j’avais dit qu’avec lui, elle a quartier libre, lĂ , c’est en dehors du billard, mais c’est très soft aussi ?Est-ce que mettre un Plug Ă la demande d’un autre, c’est me tromper, la rĂ©ponse est non, puisqu’elle a quartier libre encore avec lui et a ma demande ?Je me reproche juste de ne pas lui avoir demandĂ© moi-mĂŞme, est-ce que se laisser tripotĂ©e par un autre s’est trompĂ©e, la rĂ©ponse est encore non, puisqu’elle sait que je le lui demande en mode hard au cinĂ© puis avec l’effleureur ainsi que des fois avec des clients en mode plus soft, (Ă ce moment-lĂ , il n’y avait pas encore eu le client qui y a eu droit)Un autre jeudi, Ă la danse, je matais, j’entends la porte d’entrĂ©e, je reconnais l’effleureur, le couloir Ă©tant plus sombre, et le temps qu’il ouvre la deuxième porte, j’avais le dos tournĂ© avec la serviette sur les Ă©paules et me dirigeant aux douches quand il est rentrĂ©, je me planque et surveilleIl Ă©tait venu voir comment ça allait, en matant par le carreau, c’Ă©tait la fin, je le vois qu’il ressort et une minute après, Marie et le prof arrivent, j’attends d’entendre la porte des douches des femmes pour sortir, elle sort, je les suis, tout se passe comme la dernière fois, je les suis de très loin, car l’effleureur a l’œil, ils se quittent Ă sa voiture, s’embrasse sur la joueJ’Ă©vite les repas d’affaires le jeudi soir, cette fois-lĂ , un client a voulu ĂŞtre invitĂ© le midi mĂŞme, et je lui demande, « vous ne prĂ©fĂ©rez pas le vendredi midi, comme cela, je demande Ă ma femme de nous accompagner », « votre femme dit il », je dis, « oui, ça nous permet de sortir ensemble et c’est plus dĂ©tendu », de façon bizarre, il dit, « on peut, peut ĂŞtre se voir chez vous alors », je dis, « oui, mais que le vendredi soir »L’air bizarre encore, il dit, « ha, pas aujourd’hui, que demain soir », je lui rĂ©pète,  » oui, pour avoir le temps de faire le dĂ®ner », ha bien sĂ»r le dĂ®ner dit-il, d’accord a demain soir chez vous, a quelle adresse, je lui donne et il me dit a demain 20 heures chez vous, je dis a demain et on se quitte, je me dis qu’il n’a pas l’air commode ce septuagĂ©naire, après la danse pour elle, et matage pour moi, je met Marie au courant du repas pour demain en disant, que c’est un client chiant autant qu’importantLe soir mĂŞme, vers 19h30, on frappe Ă la porte, je pense a un voisin ou copain, les gens extĂ©rieurs sonnent a l’interphone, Marie va ouvrir, elle lui demande a deux reprises ce qu’il veut, il dit, « bonsoir, votre mari est t’ il là  », elle dit tout fort, « chĂ©ri c’est pour toi », je me lève et vois le client, je dis, Ă©tonnĂ©, « mais c’est demain monsieur ….. « , il dit, « oui je sais », je le fais rentrer, je propose un apĂ©ro, il regarde autour de lui, il me dit, « c’est votre femme », je dis,  » oui, j’ai cette chance depuis plus de 12 ans », son air a changĂ©, il l’a complimente en disant, « madame vous ĂŞtes aussi belle que charmante »Je le sens gĂŞnĂ©, mal Ă l’aise, indĂ©cis sur ce qu’il doit dire ou faire, je propose un apĂ©ritif, ne sachant que dire, voulant repartir, j’insiste, il finit par dire oui et me demande s’il peut utiliser mon tĂ©lĂ©phone discrètement, je l’emmène au bureau, après lui avoir demandĂ© ce qu’il veut boire, en revenant, ce n’est plus le mĂŞme, il s’excuse d’avoir dĂ©barquĂ© comme cela, on discute boulot, il est Ă©tonnĂ© de mes rĂ©ponses pointues, me disant que je suis un bon commercial, je rectifie en disant que je suis ingĂ©nieur et qu’a la boite, ils pensent qu’afine pour mieux repondre de façon plus prĂ©cise au client, un professionnel technique est prĂ©fĂ©rable a un …., c’est lui qui sort le mot baratineurIl parle Ă Marie ensuite, la fĂ©licite sur la tenue de la maison, Marie est aux anges, 3/4 d’heure après on sonne Ă nouveau, mais en bas, il dit que c’est pour lui, Marie l’emmène Ă l’interphone oĂą il dit l’Ă©tage et la porte, quand on sonne Ă la porte, il dit Ă Marie, cette fois, c’est pour vous, un livreur avec un mĂ©ga bouquet, il se lève, donne un bon pourboire au livreur d’avoir respectĂ© les temps, et dit Ă Marie en lui baisant la main, Madame avec toutes mes excuses d’avoir dĂ©barquĂ© chez vous comme un malpropreIl est l’arroseur arrosĂ© dit-il, il dit me devoir des explications, bien souvent certaines StĂ©, on recourt Ă des Escorte pour endormir le client, on signe et on couche, lĂ , j’ai cru pareil, qu’on m’avait pris pour un imbĂ©cile, et je m’en excuse, votre appartement sent le couple lĂ©gitime, les photos, votre aisance dans les lieux et vous madame qui n’avez rien a envier a ces filles citĂ©esMon client charme littĂ©ralement ma femme devant moi, compliments Ă tout-va, baise main a rĂ©pĂ©tition et il nous dit, je me dois de vous inviter ce soir, par correction dĂ©jĂ , le client Ă©tant roi, on accepte, Marie n’avait encore rien fait qui ne se garde pas au frigo, je dis d’accord, elle va s’habiller, mettant une robe assez sexy, mais correcte comme a chaque fois, elle s’excuse du temps passĂ© Ă nous faire attendre et il rĂ©pond, l’attente est largement rĂ©compensĂ©e, j’y vais Ă mon tourA mon retour, il Ă©tait en train de lui tenir le bras avec la main, disant qu’on va prendre un taxi, ça Ă©vitera d’avoir Ă chercher une place, j’appelle du bureau, dans le taxi, il me dit, montez devant, laissez moi profiter de votre charmante Ă©pouse, il lui a tenue la main tout le trajet en lui demandant ce qu’elle faisait, moi, j’Ă©tais lĂ sans utilitéÀ table en s’excusant auprès de Marie de devoir parler boulot, il pose des questions, soumet ses exigences et après 20 bonnes minutes, il dit, voilĂ , c’est entendu, faites votre proposition de contrat dĂ©s demain, mĂŞme si je regrette de n’avoir pas Ă revenir dĂ®ner chez vous, comme on me donne les clients indĂ©cisJe me dis qu’il faut battre le fer quand il est chaud, et lui, il a plusieurs projets, comme nous n’avons jamais plusieurs contrats en une seule fois, je lui dis que s’il veut, demain, je peux prĂ©parer un contrat pour un projet, s’il y a des corrections Ă faire, j’ai une imprimante pour refaire les modifs Ă©ventuellesCe type est un nouveau client qu’on m’a dit qu’il pouvait devenir important, s’il met dĂ©jĂ un pied chez nous, peut ĂŞtre y mettra t’il l’autre aussi, pendant le repas, si j’avais Ă©tĂ© aux toilettes aux entrĂ©es et serais revenu qu’au dessert, il ne s’en serait pas aperçu, Marie adore ĂŞtre courtisĂ©e, me connaissant, elle se laisse aller, surtout la avec un septuagĂ©naireQuand il a Ă©tĂ© au WC a son tour, elle me dit que dans le taxi, il lui a mis sa main sur le genou, mais de façon paternel, comme on ferait a un enfant, il tenait sa main aussi tout cela en discutant avec elle, Marie me demande ce qu’elle fait au retour en taxi, sa robe est fendue a droite et en venant, il Ă©tait a sa gauche, je lui dis,  » monte a gauche », elle comprend le messageQuand il revient, il lui touche une Ă©paule en demandant si la cuisine lui plaĂ®t, on bavarde, quand il veut resservir Marie, elle dit qu’elle abuse, faisant celle qui a dĂ©jĂ trop bu, on est en taxi dit il, Marie rĂ©pond, oui, c’est vrai et tend son verre, elle en reboit deux autres jusqu’Ă la fin du repas, Marie parle plus, de façon moins rĂ©servĂ©e, elle fait celle qui a quelques vapeurs et qui se lâche, s’autorisant des mots plus osĂ©es, moins strict, retirant un troisiĂ©me bouton a son dĂ©colletĂ©, je l’excuse auprès du client, en disant que d’habitude, elle ne boit qu’un seul verreLaissez-la s’amuser, je prĂ©fère voir quelqu’un sourire que triste, je dis,  » le client est roi », et je tends mon verre aussi, le repas fini, il règle et fait appeler un taxi, il demande si ça ne nous dĂ©range pas de faire un dĂ©tour par la tour Eiffel (ça rallonge), je dis qu’on aurait dĂ» prendre notre voiture, car Ă cette heure …, il dit, ne vous en faites pas, on monte dans le taxi, avant qu’il ne fasse quoi que se soit, Marie monte de l’autre cotĂ©, cote chauffeur et lui derrière moi, il raconte ses pĂ©riples sur le parcours, puis on finis par arriver a la maisonIl dit Ă marie, qu’il a passĂ© une très bonne soirĂ©e et lui dit, on se fait la bise, il l’embrasse en lui tenant la taille d’une main puis un bras de l’autre, une fois a la maison, Marie me dit qu’il n’a pas trainĂ©, sa main sur sa cuisse pendant que Marie se faisait de l’air, devinant qu’il avait le bout des doigts sur la fente (de sa robe), il a fait glisser le tissu en profitant des secousses de la voiture, Marie Ă©tait au fond du siège, faisant celle fatiguĂ©e, sa main est remontĂ©e lentement Ă mi-cuisse, puis elle l’a arrĂŞtĂ© avec sa main, il continuait a parler des lieux historiques, se dĂ©gageant les cheveux du visage avec la main qui retenait celle du clientIl profite pour remonter plus, elle l’arrĂŞte Ă nouveau puis recommence quelques minutes plus tard, sa main a lui posĂ© sur la sienne, entre la main du client et le string il n’y a pas beaucoup de place, elle serre les cuisses, arrivĂ©e au dĂ©but de notre rue, elle les desserres en faisant celle qui a chaud et il lui touche son string, elle les resserre aussitĂ´t sur sa main, comme on est arrivĂ©e, elle fait celle qui se ressaisie, il règle le taxi et on se quitte, on a fait l’amour ensuite, elle Ă©tait très excitĂ©e, je l’ai fĂ©licitĂ© pour la soirĂ©e, Marie est devenue experte dans la manière de laisser croire qu’on peut la forcer un peu pour la tripoterLe lendemain matin, je pars de bonne heure et ne mange pas le midi, a 17 heures, tout Ă©tait ficelĂ©, mon chef m’a dit, si on a ce projet-lĂ , on aura les autres par la suite, on va voir le directeur, pour quelques consignes sur ce qu’on peut nĂ©gocier ou pas, j’en profite pour dire que le client a un peu les mains baladeuses, plaisantant au dĂ©but en disant qu’au moins, il a bon goĂ»t, il me demande comment cela, je dis juste qu’il tient sa main quand il lui parle, qu’il lui a mis la main sur l’Ă©paule a table pour lui demander si le repas allait, racontant comment il est arrivĂ© Ă l’improviste, etc. etc.,Il dit, si ce n’est que cela, encore ça peut aller, qu’en pense votre femme dit il, je rĂ©pond qu’elle ne crie pas au viol non plus, mais qu’elle ne voudrait pas qu’il y ai d’ambiguĂŻtĂ©, il me demande si cela me gĂŞne, je rĂ©pond que tant qu’il ne me tient pas la mienne de main, il dit, bon s’il faut qu’il tienne la main de votre femme pour signer de l’autre, pour ce dĂ©sagrĂ©ment, votre Ă©pouse aura une prime doublĂ©e, vous savez l’importance de ces contrats a venir, je rĂ©pond oui, mais je tenais a vous signaler ces dĂ©tailsLe lendemain, en arrivant a la maison, la femme de l’effleureur Ă©tait aux fourneaux avec Marie, l’apĂ©ro, la table, tout Ă©tait prĂŞt, les deux femmes aiment cuisiner, Marie a fait de gros progrès dans ce domaine, les crĂ©dits sont gĂ©nĂ©reux pour les repas d’affaires, les produits sont de qualitĂ©s, elles m’interdisent la cuisine, je vais Ă la douche puis je laisse la place Ă Marie qui y va a son tour, avec la femme de l’effleureur, on discute librement sans dĂ©tour de la soirĂ©e, elle sait le dĂ©roulement et l’enjeu, elle dit, le pauvre veinard, il va se rĂ©galer les yeux, et un peu les mains pour se la mettre sous le bras ensuiteEn la regardant, je la revois en sous-vĂŞtement au billard, elle continue en disant comme son mari, qu’il va se la mettre sous le bras, je rĂ©ponds que cela m’Ă©tonnerait, je sais faire la diffĂ©rence entre Marie baisĂ©e et Marie tripotĂ©e, je lui demande de ne pas le dire mĂŞme a l’effleureur, ça pourrait le gĂŞner ou casser le cotĂ© excitant, elle me dit penser pareil et me promet de ne pas le direĂ€ 19h45, il arrive avec un mĂ©ga bouquet et trois bouteilles de champagne, j’ouvre, je prĂ©sente la cuisinière qui prend les fleurs, il lui dit de mettre le champagne aux frais, je dis que pour servir, cela permet a ma femme de rester assise, il dit, c’est parfait, qu’on a entièrement raison, je lui dis aussi qu’on attend toujours la mĂŞme, il rĂ©pond que plus elles sont belles et plus elles se font dĂ©sirer, je le fais asseoir sur le canapĂ©, Marie arrive en minijupe plissĂ©e et corsage dĂ©colletĂ© non pas vertical mais horizontal, laissant voir le dessus de sa poitrine et ses Ă©paulesIl se lève pour l’embrasser et la complimenter, la cuisinière amène le bouquet, je vais chercher le contrat au bureau, laissant comme prĂ©vu Marie avec lui et s’excuser de son attitude d’hier soir, disant qu’elle n’est pas habituĂ©e a boire de l’alcool, qu’elle a eu un coup de chaud, l’air de dehors lui a fait du bien, mais dans le taxi, elle ne se rappelle plus de rien après la tour Eiffel, j’espère que je n’ai pas dit de bĂŞtise dit elle, il lui dit, » non, j’avoue que c’est moi qui n’ai fait que parler »Marie fait « je m’excuse, je ne me rappelle plus », lui tenant la main, il dit, « ce n’est pas grave, j’ai passĂ© en votre compagnie une agrĂ©able soirĂ©e », je reviens avec le contrat, il dit, « on regardera cela tout Ă l’heure », il prend un whisky, moi un vin cuit, Marie dit « je prĂ©fère une coupe, ça ne me rend pas malade », il rĂ©pond,  » vous avez raison, j’en ai amenĂ© du bon, demandez a votre cuisinière de l’apporter », je dis,  » j’y vais », tout est prĂ©s, la cuisinière a dĂ©jĂ transvidĂ© le champomi (sans alcool) dans une de ses bouteillesMarie boit 3 coupes Ă l’apĂ©ro, pour le repas, je propose un Gevrey chambertin au client qu’il prĂ©fère au champagne, Marie vide la bouteille a table et bois une autre coupe de vrai champagne, pendant le repas, il n’a fait que lui tenir la main a chaque fois qu’il entamait une anecdote, une fois du pied, mais peut ĂŞtre par inadvertance, après le dessert, on passe au salon, la cuisinière nous amène les cafĂ© et thĂ© puis demande si on a plus besoin d’elle, il la complimente pour le service, et dit, oui, on va vous laissez rejoindre votre famille, je lui dis, oui, c’est bon, vous pouvez rentrer chez vousMarie est droite dans le canapĂ©, jouant encore a celle embrumĂ©e, je prends le contrat et prĂ©texte d’une faute de frappe que je peux corriger, j’ouvre mon bureau et le ferme en restant dans le couloir, je ne vois que le derrière du canapĂ©, le haut de la tĂŞte de Marie dĂ©passe, lui, il est plus grand et est assis sur le bord, 1/4 tournĂ© vers elle, je le devine Ă son coude qu’il touche ses seins, Marie fait celle qui le repousse un peu en somnolant, il insiste un peu plus, elle ne rĂ©agit pasJe reviens après avoir ouverte et fermĂ© la porte de mon bureau, je lui lis le contrat et a la moitiĂ©, je prĂ©texte encore une erreur, je secoue un peu Marie en disant « Marie » l’air de dire qu’on a du monde, il me dit « laisser, ce n’est pas grave », je refais pareil, dĂ©s le bruit de porte, il recommence, a la fin, je dis, « voilĂ , il ne vous reste plus qu’a signer, après je vais aller faire des photocopies et ça sera bon »Une fois au lit, elle m’a racontĂ© ce que je ne voyais pas, la première fois, il lui a bien mis la main aux seins, sur le dessus, puis l’autre sur la cuisse oĂą il a remontĂ© sa jupe, elle lui a repoussĂ© sa main qui Ă©tait sur sa cuisse en disant non, mais il a rentrĂ© l’autre dans le corsage, elle a mis sa main par-dessus la sienne, mais sans la lui enlever, ça n’empĂŞchait pas qu’il continue Ă lui pincer un tĂ©ton, l’air endormie, elle rĂ©sistait a peine, sa main a commencĂ© a remonter sa jupe et je suis arrivĂ© a ce moment là À mon deuxième tour au bureau, il a complètement remontĂ© sa jupe, dĂ©voilant ses cuisses et porte jarretelle, il a remis sa main dans son corsage, elle a juste remis sa main sur la sienne, son autre main sur sa cuisse, elle a aussi posĂ©e sa main sur la sienne en faisant un « non » presque inaudible, il a remontĂ© encore sa main et lui a touchĂ© le string, elle a eu un petit gĂ©missement en serrant les cuissesĂ€ mon retour, en entendant la porte, il a retirĂ© ses mains, remis sa jupe en place, je suis arrivĂ©, j’ai poursuivi la lecture, il a dit que ça paraissait correct, que de toute façon, s’il y avait un souci annexe, qu’on en rediscuterait, il a regardĂ© le prix indiquĂ© et le descriptif, puis a signĂ© après avoir paraphĂ© en disant, ce contrat est un essai, sa qualitĂ© dĂ©pendra de notre future collaboration, je lui ai dit que c’est ce que je souhaitaisJe retourne au bureau pour photocopier, en passant, je secoue Marie en disant, tiens-toi bien quand mĂŞme, je m’excuse auprès du client, l’air vapĂ©e, elle me dit, « Henri » en m’attrapant le bras, je dis oui en la repoussant et je vais Ă mon bureau après avoir fait le bruit, il lui relève la jupe directe, met sa main dans le corsage, Marie ne dit rien, il met sa main entre les cuisses, elle tressaille en serrant les cuisses et dit, « Henri, non », en tournant la tĂŞte a l’opposĂ© de lui et mettant sa main dĂ©passant du canapĂ© (signe que je ne dois pas venir encore)Elle redit « Henri, non » en Ă©cartant les cuisses cette fois, il la frotte a travers le string, elle apprĂ©cie en marmonnant mon nom, elle a plaisir en baissant la main, je claque la porte, il la remet bien, puis j’arrive avec un double prĂ©parĂ© dĂ©jĂ a l’avance, je n’ai pas vu de bosse Ă son pantalon, le visage un peu rouge, c’est toutJe dis, en la regardant, elle apprĂ©cie votre champagne, tant mieux dit il, mais je ne vais pas vous embĂŞtez plus, j’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© le cadre familial bien plus conviviale qu’au restaurant, brandissant le contrat dans la main, je dis que pour moi, ce fut un plaisir, je vais tout faire pour avoir les autres contrats en boostant mon Ă©quipe pour que vous ne voyiez que par nousIl dit attention, si c’est le cas, j’abuserai pour revenir ici, je dis, abusez, cela m’arrange, je me tourne vers Marie et lui dis que ça l’arrange elle aussi, je n’ai pas la honte qu’on la voit comme ça, il dit, que c’est une bonne vivante, qu’elle a raison et qu’il est content de sa soirĂ©e, il me demande de lui faire ses compliments pour la soirĂ©e qu’il a passĂ© et le repas oĂą il s’est rĂ©galĂ© du dĂ©but jusqu’Ă la finAprès son dĂ©part, Marie m’a sautĂ© dessus, il m’a mis le feu, a toi d’Ă©teindre dit-elle, le pompier que j’Ă©tais, flambait aussi, j’ai fait jouir Marie avec ma langue puis l’ai baisĂ©e et sodomisĂ©, il me semblait bien que c’Ă©tait moins serrĂ©, mais peut ĂŞtre aussi dĂ» au fait que je savais qu’elle avait le Plug constamment en elle maintenantElle l’avait au marchĂ©, mĂŞme toute la journĂ©e et aussi le dimanche et au boulot aussi puisque je ne le voyais plus, sauf le soir oĂą elle attrapait un gode, je le voyais dans le tiroir, le lendemain de cette soirĂ©e vers 11 h, mon chef m’appelle, je le taquine en disant qu’il va rĂ©flĂ©chir, tant pis dit-il, je dis, mais non, lundi, on a du boulot, le directeur l’avait appelĂ© pour çaMon travail avait changĂ©, je ne faisais plus de recherche ni d’Ă©tude, on ne peut pas travailler par bribe, c’est un travail prenant, je conseillais, je donnais un avis, je renseignais, je faisais passer des modifs au client et c’Ă©tait tout, j’Ă©tais libre de mes journĂ©es, j’avais eu les fĂ©licitations pour ce nouveau clientIls avaient mis dessus un ingĂ©nieur très compĂ©tant, je surveillais l’avancĂ©e des travaux frĂ©quemment, je n’Ă©tais le supĂ©rieur de personne, mais c’Ă©tait a moi qu’on demandait quand le chef Ă©tait absent, j’allais Ă des repas d’affaires avec lui parfois, sans Marie, elle avait eu sa prime en plus, une prime très raisonnableLes semaines suivantes, pas d’Annie au billard, mais elle a dĂ®nĂ© Ă la maison, j’ai eu droit Ă ses seins, ses jambes et fesses, mais a travers le tissu maintenant ainsi que de lui faire des bisous, cachĂ©e de Marie bien sĂ»r, je suis allĂ© deux fois au billard pour Marie, la femme de l’effleureur me semblait de plus en plus Ă©trange, moi, je la regardais diffĂ©remment depuis que je l’avais vue en lingerie, mais elle, on aurait dit qu’elle me draguaitMĂŞme si le mot draguĂ© n’est pas appropriĂ©, je disais qu’il fallait que j’entretienne mon vĂ©lo, les jeudis, j’allais toujours mater Ă la danse, rien ne changeait, il ne cherchait pas a aller plus loin, Marie se dĂ©gageait a chaque fois qu’elle voyait qu’il dĂ©passait la ligne jaune, l’effleureur est revenu la contrĂ´ler Ă ces cours, j’ai fait pareil que la première fois, me cacher aux douchesLes vacances avaient passĂ©s vite, nous ne sommes partis que tous les deux, a part deux petits extra-cinĂ©mas sur les cinq fois oĂą l’on y a Ă©tĂ©, il n’y a rien eu d’autre d’extraconjugale, mais nous ne cherchions pas spĂ©cialement non plus, nous nous retrouvions plutĂ´t, Marie Ă©tait amoureuse, ça me faisait chaud au cœur, avant Lucien, c’est moi qui Ă©tais le plus amoureux des deux, maintenant, c’est elle, la nuit, elle me serre dans ses bras et m’embrasse le dos ou la nuque, moi, je l’aime aussi, mais pas autant qu’avant LucienJ’ai beau me faire violence, mais rien n’y fait, mĂŞme si je sais qu’elle a compris le mal qu’elle m’a fait, mĂŞme si je reconnais les torts partagĂ©s, mĂŞme si je me dis, que physiquement, je suis chanceux de l’avoir, je l’aime, je ne lui ferais pas de mal, je ne lui rabâcherais pas du Lucien sans arrĂŞt, je vais encore ramener cela aux mathĂ©matiques, mais si sur 20, avant Lucien, je donnais 20/20 Ă Marie et a Annie, Marie a 17/20 maintenant, je donnerais 16/20 Ă Lucette et Helene et 3/20 aux filles de passage enfin pour certainesJe suis tendre avec Marie, je ne lui fais plus de mal comme au dĂ©but, je la respecte, je ne la fais plus souffrir, je pense Ă son plaisir, la chose qui a changĂ©, c’est qu’elle n’a plus de cadeaux a noĂ«l, ni a son anniversaire, noĂ«l est la pĂ©riode du dĂ©but de mon cocufiage et son anniversaire la pĂ©riode oĂą je l’ai su, les seuls cadeaux, si on peut dire que ça en est, c’est de la lingerie sexy, mais cela est autant pour moi, ensuite, c’est un nouveau fer Ă repasser ou sèche cheveux, modèle haut de gamme a prix usine, jamais de fleurs ni de bijouxElle comprend pourquoi, par contre, je lui dis plus souvent qu’elle est belle, sexy, bandante, je suis plus câlin avec, la routine de notre couple, telle une gangrène nous avait Ă©loignĂ©s sans qu’on s’en rende compte, j’en discute souvent avec elle, lui disant que si elle sentait une envie d’aller voir ailleurs, qu’elle me le dise, elle me parle de l’effleureur, je la rassure en lui redisant qu’avec lui, elle a quartier libre, qu’avec lui, elle fasse comme dans ses rĂŞves, ce qu’elle a envie, elle veut me dire, oui, mais s’il……. , je lui dit, ne dit rien, c’est ton jardin secret, tu dois ne le garder que pour toi, jamais je ne te ferais de reproche pour ce qui se passera avec luiEn septembre, on part en WE, Marie n’a plus de cours particulier de danse, ne le sachant pas, je me rends lĂ -bas, en fait, une autre avait prit sa place, j’y vais un samedi et je me rends compte qu’il est moins attentif Ă elle et plus Ă celle de jeudi, le prof n’a plus la salle de libre lui avait-il dit, j’ai perdu trois jeudis Ă y aller, avant de m’apercevoir que Marie n’a plus de cours particulier, je l’avais emmenĂ© au billard un soir, moi dans le local, sa femme aussi, elle m’a proposĂ© d’un sourire narquois de venir mater me disant qu’après tout, c’est ma femmej’avais encore dit que mon vĂ©lo Ă©tait en manque de d’entretien, ils me croyaient parce que quand je les savais au marchĂ© le samedi ou alors l’effleureur en rentrant, je faisais celui qui ramène le vĂ©lo ou qui partais, au billard, mĂŞme rituel encore, contrĂ´le de Plug, caresses, baise et ou sodo, octobre rien du tout, mĂŞme pas de repas d’affaires soft, pas de WE, pas de billard, mĂŞme soft, il faut dire que coucou Ă©tait malade, mĂŞme pas d’Annie non plus, j’avais envie de renouveler la jouissance prĂ©s d’elle, je ne voulais pas la gonfler et elle, ne voulais pas montrer ĂŞtre demandeuseNovembre a Ă©tĂ© mieux, repas d’affaires soft avec Marie, Annie a la maison seule et nous chez elle avec son mari, on a fait des sorties sans bagarre, j’Ă©tais toujours derrière avec les femmes, un vendredi, je tĂ©lĂ©phone pour un billard pour Marie, et après le repas, j’ai eu envie d’elle, elle me dit de dĂ©commander, mais je n’aime pas cela, je me retiens donc, Marie descend au billard, je la voyais contente, elle allait s’offrir, avec moi, elle prend, avec lui, elle se donne, je dis Ă sa femme, « je vais au vĂ©lo », mais elle me dit, tu ne veux vraiment pas venir voir ta femmeElle insiste tellement que je finis par accepter pour lui faire plaisir, me disant que de toute façon, je verrais comme d’habitude, on regarde Ă deux, je bande bien sur, elle le voit et dit ça te fait de l’effet, je dis,  » nous les mecs, on ne peut rien cacher », elle dit, « nous s’est pareil, on mouille », je dis, « ça se voit moins », elle dit, « notre envie est pareille », elle m’avait laissĂ© la chaise et Ă©tait derrière moi a me tenir le cou, je bandais et je ne pouvais pas me branler, elle me dit, « tu dois souffrir la dedans »Je dis, « un peu », et lĂ , elle me dit, « bon, je me lance, je te dis quelque chose, mais tu dois me jurer de ne jamais le rĂ©pĂ©ter a qui que se soit », je lui dis qu’elle a ma parole, et contre toute attente, elle me dit qu’elle a envie de me branler, je fais celui outrĂ© un peu disant si je m’attendais à ça, elle dit, je ne te demande pas de me faire l’amour, entre moi et Marie, il y a un ocĂ©an, mais juste te faire cela, ça fait des annĂ©es qu’elle n’a pas touchĂ© un autre sexe, ne sachant pas quoi dire pour ne pas vexerJe cherche mes mots, mais elle me touche la bosse, bien sĂ»r bandĂ© comme j’Ă©tais, j’ai un mouvement de satisfaction, du Ă la caresse, alors me dit, elle en me frottant, disant, tu regardes ta femme et moi, je m’occupe de ça, excitĂ©, je ne dis rien, elle dĂ©fait ma ceinture et mes boutons, je l’aide a sortir du boxer, elle me branle lentement, ça me soulage, elle dit, tu regrettes, je dis non, continue, j’ai un œil Ă l’Ă©cran et un autre sur elle, elle n’est pas bandante, mais elle sait y faire, elle me demande, si j’aime, si ça me plaĂ®t, si ça m’excite, je dis des « oui »Comme je suis censĂ© voir pour la première fois ce qui se passe au billard, je fais celui qui dĂ©couvre et dis, il va la sodomiser, elle regarde et puis me suce, je me laisse faire, de plus, elle s’y prend très bien, je vois Marie se faire dĂ©foncer et quand je les vois jouir ensemble, je dis, « ça y est, ils jouissent, et moi aussi, attention », je veux me retirer, mais elle ne lâche pas, moi par contre je lâche tout dans sa bouche et comme elle avale, je me vide bien, une fois bien nettoyĂ©, elle ferme l’ordi, je vais sur le canapĂ©, elle va Ă la salle de bains se nettoyer la bouche et revientElle me demande si ça m’a plu et si on pourra recommencer, je lui dis, j’espère et que si elle met de la lingerie, qu’on pourra si elle veut, faire comme Ă la tĂ©lĂ© (l’ordi), elle n’a pas rĂ©pondu, ils sont remontĂ©s puis après 10 minutes de discute, nous sommes rentrĂ©s, j’ai pu baiser Marie plus longuement pour son plus grand bonheurLa semaine suivante, nous avons eu deux repas d’affaires, un soft, et le gros client qui avait envoyĂ© son cahier des charges a mon intention, j’ai travaillĂ© dessus avec un collègue, mais c’est lui qui a fait le plus gros du boulot, je me dis en moi-mĂŞme que le poisson a mordu, il avait donnĂ© son accord sur le contrat et je lui annonce pour vendredi midi, mais il dit prĂ©fĂ©rer le soir dans la semaine et de façon conviviale chez nousDeux jours avant, on a un colis qu’on va chercher a un dĂ©pĂ´t, chez un commerçant, deux cartons de champagne, sans mot, sans rien, mais Ă la marque, on se doute, le vendredi arrive, Marie a mise une jupe plissĂ©e a nouveau, mais avec un pull a peine dĂ©colletĂ©, elle me dit apprĂ©cier ce client et je devine qu’elle aurait envie de plus avec, je lui dis,  » un peu plus, ok »MĂŞme rituel a l’apĂ©ro, Marie boit trois coupes de champomi, la cuisinière avait consigne de passer avec l’apĂ©ritif, Marie dit, non, une coupe ça va, mais il lui dit, « mais non, amusez-vous, quand le produit est bon, il n’y a pas de risque et vous ne conduisez pas », par contre lui n’en a pas repris, a table Marie vide la bouteille en mangeant, puis un verre de champagne au dessert oĂą j’Ă©tais aux toilettes et ou elle a dit « non, j’arrĂŞte ce ne serait pas raisonnable » et lui, de dire, mais non profitez en, Marie a dit, « en vitesse alors », en faisant celle qui prend le verre sans que je la vois faireLa cuisinière amène les cafĂ© et thĂ©, puis demande si elle peut y aller, je dis oui, on discute en buvant, je lui lis le contrat, Marie se met dans le fond du canapĂ©, je lis tout et presque Ă la fin, une phrase est mal tournĂ©e, je lui demande de m’excuser pour la rĂ©imprimer, je fais le mĂŞme manège avec la porte, je n’ai rien vu Ă ce moment-lĂ , mais elle m’a racontĂ© dĂ©s son dĂ©part, il lui a mis sa main sur la cuisse, elle a fait nonnnn, mais sans le repousser, il a mis sa main sur ses seins a travers le pull, je reviens, et je finis de lire le contratJe dis voilĂ , si cela vous convient, si vous voulez signer, après j’irais chercher votre double dans ma voiture, je l’ai oubliĂ©, voilĂ si vous voulez le relire, il dit non, paraphe et signe, je dis, « Marie, je vais Ă la voiture, j’ai trouvĂ© une place Ă perpette, je ne prend pas mes clefs, tu m’ouvrira, et occupe toi de notre hĂ´te, si ce n’est pas trop te demander », Marie a un sursaut de rĂ©veil, elle dit, « vous voulez un autre café », il rĂ©pond, « non merci », moi, je sors en clanchant la porte, elle se met a faire celle qui a chaud et re somnole dans le canapĂ©Il met sa main sur son genou et remonte doucement, elle sort un lĂ©ger « arrĂŞtez  » les yeux Ă moitiĂ© ouvert, il lui dit, reposez-vous, suivant le dĂ©roulement des choses, Marie agit comme on a prĂ©vu, en disant arrĂŞtez, elle s’est mise plus allongĂ©e dans le canapĂ©, il malaxe ses seins a travers le pull puis comprenant qu’il peut passer en dessous, il passe sa main et les a directement sur sa peauElle gĂ©mit un « non » en lui tenant le bras puis le relâchant aussitĂ´t pour le lever sur le canapĂ©, offrant sa poitrine a la caresse, sa main sur sa cuisse ne reste pas inactive, il frĂ´le son string au dĂ©part puis plus appuyĂ© ensuite, Marie met sa main sur ses cheveux, signe qu’elle est foutue, il lui caresse la chatte, elle dit non en laissant ses cuisses Ă©cartĂ©esIl se met Ă genou, rapproche ses cuisses et lui retire le string, il le sent et le met dans sa poche, Marie sait que je suis restĂ©, si je ne sonne pas, c’est qu’elle peut, si elle le veut aussi, laissĂ© faire, elle se dĂ©bat des jambes, sans violence, il la force un peu pour qu’elle Ă©carte plus, elle a un gĂ©missement assez fort dĂ©s qu’il pose ses lèvres sur son sexe, elle fait celle qui se rĂ©veille, et dit, « non, mais vous, vous n’ĂŞtes pas, vous ĂŞtes, non arrĂŞtez non, non, non » en disant cela, elle lui tient la tĂŞte pour qu’il continuePuis en me regardant le pouce en l’air et en lui disant « vous ĂŞtes, non, il ne faut pas non, non, oui, encore, continuez, oui, c’est bon », excitĂ©e, elle jouit aussitĂ´t, j’attendais qu’il commence a vouloir la baiser, mais non, il continuait de la sucer en lui donnant un autre orgasme, après cela, il lui met les doigts puis remontant son pull tout en la doigtantIl lui embrasse les seins, elle lui serre la tĂŞte sur sa poitrine et lui lance des « oui encore plus vite comme ça, encore oui », elle s’envole dans son troisième orgasme, moi, je bande, j’ai chaud, car j’ai mis un manteau, une fois son orgasme terminĂ©, reprenant ses esprits, elle dit « mais qu’est-ce qu’on a fait », elle joue la femme qui ne sait pas ce qu’il lui a prisIl lui dit, « ne vous inquiĂ©tez pas, personne n’en saura rien, ça sera notre secret », elle continue Ă faire celle qui sort d’une torpeur, moi, je sors et sonne a la porte, Marie lui dit d’aller ouvrir, puis elle va a la salle de bains, je dis que je ne retrouvais plus ma voiture, j’ai Ă©tĂ© une rue trop loin, je montre le double, il paraphe et signe, Marie est revenue s’asseoir, je dis que je vais chercher la feuille que j’avais corrigĂ©eIl lui dit qu’il a passĂ© une agrĂ©able soirĂ©e, elle fait chut, en faisant qu’elle honte, il la rassure, en disant, non, vous Ă©tiez merveilleuse, et personne n’en saura rien, nous sommes appelĂ©s Ă nous revoir dit-il, en faisant le baise main, je reviens, il finit de parapher et signe, ensuite, il prend congĂ© en nous faisant des compliments et embrassant Marie, nous sommes content, j’ai le contrat signĂ©, Marie a eu son plaisir, nous sommes excitĂ©s et comme la fois d’avant, nous nous sommes jetĂ©s l’un sur l’autreIl n’y a toujours pas eu de billard avec Annie, une fois, je me suis fait avoir, la femme de l’effleureur avait dit ĂŞtre absent un jeudi, j’y ai Ă©tĂ© pour rien, ils Ă©taient vraiment absent, ce dernier mois de l’annĂ©e, on n’a eu pas mal de repas d’affaires avec Marie, rien d’excitant, ils mataient ses jambes et dĂ©colletĂ©, rien de plus, j’ai eu le client qui Ă©tait venu a la maison, il n’a rien sous-entendu, je craignais du fait qu’il ne savait pas que j’avais mis le haut-parleur pour que mon collègue Ă©coute ses indicationsIl devait s’en douter, car il a donnĂ© du dialogue professionnel, petit Ă petit, il m’a remerciĂ© pour mon accueil, comme on rentrait hors technique, j’ai coupĂ© le HP en le lui disant, il m’a demandĂ© s’il pouvait me renvoyer une caisse de champagne pour nous remercier ma femme et moi de notre accueil, je lui rappelle qu’il l’a dĂ©jĂ envoyĂ© et que ma femme a dĂ©jĂ fait une ponction dedans s’il s’en souvient, elle est adorable dit-il, c’est une poupĂ©e, en moi-mĂŞme, je me dis » oui poupĂ©e gonflable »Je sens qu’il s’ennuie, il a envie de parler, c’est un client, mais il n’est pas emmerdant comme je l’avais jugĂ© au dĂ©but, je l’Ă©coute, on parle de tout et de rien, il demande si on a des enfants, je dis non, il est dans le mĂŞme cas, que des neveux dit il, qui attendent l’hĂ©ritage, ils ne viennent que quand ils ont des soucis d’argent, je dis, ainsi va la vie, se disant qu’il abuse, il me souhaite une bonne journĂ©e, je lui dis que je suis sur son premier contratEn allant au vĂ©lo, sa femme me dit qu’ils ne sont pas la vendredi, je prĂ©vois donc en me disant que j’espère que ce n’est pas des vraies courses, espĂ©rant Annie, je me force, j’arrive en retard Ă cause d’un accident, j’allume et je vois Annie danser, mais a un moment donnĂ© en regardant mieux, c’Ă©tait Marie qui Ă©tait lĂ et dansait, elle avait fait des progrèsElle allumait l’effleureur, elle dansait pour lui, comme a chaque fois, attachĂ© les yeux bandĂ©, un walkman, je savais la suite, sa femme arrivait, elle Ă©tait en lingerie sexy, après quelques caresses, elle faisait jouir Marie qui gueulait de plaisirDu moins l’amenait aux portes du plaisir, mais sans les ouvrir, c’est une bonne suceuse, Marie doit avoir une excitation intense, une fois bien abreuvĂ©e a sa source, elle dĂ©cide de laisser partir Marie qui hurle de bonheur, elle lui donne deux orgasmes, dans la foulĂ©e, elle caresse son corps puis l’effleureur vient ensuite la baiser pendant qu’elle la suce, je les devine jouir Ă leur grimace et la contraction de leur corps, elle continue avec Marie, prend un gode et lui vibre le clito, plusieurs fois Marie s’envole, mais elle ne lui donne pas la dĂ©livrance, l’effleureur prend le relai pendant qu’elle remonteMarie gueule pour qu’on la baise, il la dĂ©tache complètement et elle va se mettre en position, penchĂ©e sur le billard jambes Ă©cartĂ©es, attendant la pĂ©nĂ©tration, mais il pend un martinet, disant, tu as joui sans que je l’autorise, pardon Mr, il lui donne 10 coups de martinet sur le dos, elle demandait plus fort, mais il ne l’a pas faitIl sort un Plug, le mĂŞme en apparence que le gros que l’on a, il met de la crème puis l’enfonce, Marie se mord le bras, il lui donne un autre gode souple pour mordre dedans, elle hurle quand il rentre et se bloque sur la partie Ă©troite, le maintenant en place, il lui dit maintenant, tu vas me sucer, ton mari te baisera ce soir, il s’allonge sur le billard et la fouette et la traite pendant qu’elle le suce, je suis Ă©tonnĂ©, elle recrache son sperme dans un papier Ă©pongeIl lui dit de se rhabiller, mais de garder le plug pour rentrer, il complimente sa danse, Marie dit qu’en principe les cours particulier vont reprendre en janvier, tu avais raison, il a essayĂ© avec une autre et ça n’a pas marchĂ© non plus, il m’a dit qu’il a pu redemander la salle, il dit, tu es contente, tu a fait comment, elle dit, je n’ai pas fait grand-chose, je lui ai juste laissĂ©e entendre un petit gĂ©missementQuand il m’a mis le sexe sur la barre, il a continuĂ© plus fort Ă me frotter, j’ai laissĂ© faire et a la fin, il m’a demandĂ© si ça m’intĂ©ressait de reprendre les cours le jeudi, j’ai fait oui en souriant, ce saligaud va encore m’inonder, mais ça va, il n’est pas trop insistant, j’ai facile Ă me dĂ©gagerMarie est sortie, j’ai attendu et suis sorti quand il rangeait le billard avec sa femme, je lui ai laissĂ© du temps avant de rentrer comme tous les soirs, taquins, je dis, un billard ce soir, elle dit oui, mais je sens bien qu’elle n’a pas envie, je dis non, pas ce soir, je n’ai pas envie d’un cinĂ© non plus, alors on passe la soirĂ©e ensemble, couchĂ©s de bonne heureNoĂ«l Ă©tant une fĂŞte de famille, je mentais aux amis en disant que nous Ă©tions dĂ©jĂ invitĂ©s, ou qu’on avait du monde, l’effleureur n’avait pas d’enfant, mais des neveux et nièces et ils Ă©taient invitĂ©s, ceux qui n’avaient pas d’enfant, l’Ă©taient dans leur famille, nos parents respectifs allaient chez des neveux aussi, nous Ă©tions seuls, Marie avait par moment le cafard de ne pas ĂŞtre mère, j’eut une idĂ©e, je savais qui elle apprĂ©ciait, je lui dis, « si on invitait le client », Marie me souriait, on se comprenaient, nous Ă©tions complice, elle fit humm, je dis, j’appellerais lundiMarie ne m’en avait pas parlĂ©, mais je me doutais qu’elle apprĂ©ciait ce client, lui, il en Ă©tait amoureux et elle, il y avait un très bon feeling entre eux, il Ă©tait comme elle aime, entreprenant et galant, cultivĂ©, attentionnĂ© envers elle, il avait de l’humour, moi-mĂŞme, je m’entendais bien avec, en disant cela Ă Marie, elle m’avoua avoir envie de lui, sentir ses mains comme la dernière fois, je lui dis, tu vois, tu me demandes et je vais faire le nĂ©cessaireLe WE passe et le lundi au bureau, je profite d’ĂŞtre seul pour l’appeler, je lui demande ce qu’il fait a NoĂ«l, il plaisante en disant qu’il le passe avec Drucker devant la boite a connerie, je lui demande si cela l’intĂ©ressait de se joindre a nous, il dit non, je ne peux pas accepter, en plaisantant, je lui demande si la cuisine est mauvaise, si nous sommes de mauvaise compagnie, ma femme est laide, je vous promets de ne rien vous faire signerAprès les arguments contre, je lui dis, je ne peux pas vous forcer, il me fait promettre que ça ne nous dĂ©rangera pas, je lui dis, voulez-vous que je dise Ă ma femme de vous appeler pour qu’elle vous passe un savon, pour une fois qu’elle apprĂ©cie un client, je voulais lui en faire la surprise, je lui dis que comme en chine, plus il y a de fous et moins il y a de rizIl pose une condition, avec mon accord, offrir une bague Ă Marie, j’ai un pincement et dis, non pas de bague surtout, un collier alors, je refuse encore pour le prix que cela coĂ»te, il me dit que non, ne craignez rien, je ne vais pas lui offrir une rivière de diamants, mĂŞme si elle vaut bien plus, afin qu’il ne se dise pas que c’est Marie qui l’a demandĂ©, je lui dis qu’elle ne sait rien, il dit ha non, je ne veux pas m’imposerJe lui rĂ©pète qu’en principe, quand ma femme n’aime pas quelqu’un, elle me le dit, et le sachant, je m’arrange pour qu’elle n’ait plus affaire Ă lui, je lui dis qu’il n’est pas dans mes principes d’inviter des clients, la plupart ne pensent qu’a profiter gratuitement des repas d’affaires, alors que vous nous avez invitĂ© au resto et offert du champagneIl rĂ©pond que la fraĂ®cheur et compagnie de ma femme a largement remboursĂ© cela, je rĂ©ponds a vous de voir, c’Ă©tait sans arrière-pensĂ©e commerciale, finalement, il accepte, amenant le champagne, je dis ok, mais rien d’autre, et pas de cadeaux, un bouquet au moins dit il, je rĂ©ponds, bon, ça encore, ça peut aller, alors venez pour 20 heuresIl me tĂ©lĂ©phone la veille, en me demandant si je peux lui trouver une chambre, pas trop loin, je me dis qu’en effet, trouver cela a la dernière minute, on a 2 chambres inutilisĂ©es, je lui dirais que j’ai trouvĂ© un hĂ´tel a deux pas d’ici, je le rappelle en fin de journĂ©e pour lui annoncer, avec Marie, on prend notre journĂ©e, on fait les courses le matin, et elle prĂ©pare en fin d’après-midiLe soir arrive, elle a tout prĂ©parĂ©, tout est prĂŞt, habillĂ©e tout de noir, elle a mis une jupe comme un short avec une veste en voile noir qui descend jusqu’ Ă mi-jambes, un dĂ©colletĂ© large visible par transparence du voile de la veste, en somme, c’est un dĂ©shabillĂ© pour sortir, on sonne Ă la porte, j’indique descendre en ouvrant la porte extĂ©rieure, je demande ou se trouve sa voiture pour dĂ©chargerIl y a 2 cartons de champagne, sa valise, ainsi qu’un bouquet consĂ©quent et un petit sac plastic, je lui dis de prendre sa valise, car on pourrait lui voler, on monte en mettant tout dans l’ascenseur, le bouquet prend de la place, arrivĂ©e a l’Ă©tage, je descends les cartons, sa valise, il tient le bouquet, je rentre dans la cuisine en disant, c’est un livreur, du champagne de ton admirateurElle lance, pour le rassurer qu’elle ne lui en veut pas d’avoir abusĂ© lors de sa dernière visite,  » il est vraiment gentil cet homme-là  », je rangeais les cartons, il se montre dans la cuisine avec le bouquet en disant,  » devant pareille beautĂ©, on ne peut qu’ĂŞtre gentil »Marie s’excuse en disant qu’elle ne voulait pas dire cela, ou plutĂ´t si, mais, elle s’embrouille dans son explication (volontairement), bon, vous m’avez compris, elle dit en s’adressant a moi, « tu aurais dĂ» me le dire, j’aurais mis autre chose », il dit « et j’aurais loupĂ© cela, ha non alors », le client avait compris que je n’Ă©tais pas jaloux, une fois assis, il parlait tout en prenant Marie par le genou ou la mainLes huĂ®tres Ă©taient dĂ©jĂ ouvertes, mais je fais celui qui va les ouvrir, la laissant seule avec, elle lui dit, qu’elle a de vagues souvenir de sa dernière visite, il rĂ©pond, « oui, j’ai Ă©tĂ© comblĂ©e et vous aussi », elle lui dit, « comment, que c’est il passé », il dit,  » j’ai passĂ© ma main comme ça », elle retient sa main et regardant vers la cuisine, elle dit, de façon gĂŞnĂ©e, « c’est tout », il dit non, « je l’ai remontĂ© comme ça », elle le retient encore en regardant vers la cuisineLa voyant faire, je me dis qu’on a bien changĂ©s tous les deux depuis deux ans, je suis devenu commercial, bon commercial mĂŞme, car je ramène des contrats, mĂŞme sans l’aide de Marie, grâce Ă ma parfaite connaissance du mĂ©tier et des besoins du client, au boulot, je fais partie du cercle des dĂ©cideurs, on me consulte, on me respecte, les collègues fĂ©minins me sourient de façon sensuelle pour la plupart, si je cherchais une maĂ®tresse a la boite, j’aurais le choix, mais les putes ne m’intĂ©resse pasQuant Ă Marie, elle a pris de l’assurance, elle est plus cultivĂ©e, elle manie ses atouts en connaissance de cause, elle sait qu’elle plaĂ®t et s’en sert, lĂ , je la vois Ă l’œuvre, succomber en laissant croire qu’elle est victime du vilain, qui a abusĂ© d’elle dans un moment de faiblesse, et lui laisse penser que s’il insiste, elle succombera Ă nouveau de façon honteuse pour son silence, pour ne pas que son mari le sacheIl continue de lui parler en disant, « ensuite, j’ai remontĂ© encore ma main », elle dit, « et je vous ai giflé », il dit non, Marie a une expression de gène, elle demande quoi alors, il lui dit, « si je vous promets de ne plus remonter ma main après que je la remette lĂ ou j’ai Ă©tĂ© sur votre cuisse », elle dit non, il insiste deux fois en disant qu’elle ne le saura jamais, mais il insiste Ă nouveau en remontant sa main doucement sans faire contactMarie dit, je vous prĂ©viens, si vous allez trop loin…., il arrĂŞte et pose sa main sur sa peau au dessus des DIM UP , elle tressaille, et serre plus ses cuisses en empĂŞchant sa main de remonter plus, elle dit a voix très basse,  » et c’est tout », il dit « pour moi oui », comment ça dit-elle, en regardant a chaque fois vers la cuisineLui aussi, il regarde ou plutĂ´t il Ă©coute, je fais des bruits d’huĂ®tre sur un plat inox, il lui dit, « ensuite vous vous ĂŞtes libĂ©rĂ©e », elle fait « non je……, ont », il lui coupe la parole en disant, « vous ressentez quoi en cet instant prĂ©cis », elle refait, je……. Puis se lève pour me rejoindre Ă la cuisine, je lui dis que j’ai fini, elle me sourit en douceMarie, cette fois-ci n’a prit qu’une coupe de champagne, disant qu’elle veut rester lucide pour noĂ«l, on passe a table et aux entrĂ©es, il dit, « attendez avant de commencer, je vais abuser de mon privilège de l’âge, mettez vos serviettes devant les yeux, ne trichez pas », on s’exĂ©cute, je me dis qu’il a dĂ» passer outre ma demande, il va dans le couloir, j’entends du bruit de sac plastic, retirez les serviettes dit-il en s’asseyantDevant moi, un carton que je devine ĂŞtre des bouteilles au nombre de trois, pommard, château margot et une autre du mĂŞme genre, Marie ne voit que le mien pour son encombrement et dĂ©couvre le sien ensuite, j’ai peur de savoir ce que c’est, elle le dĂ©balle, je suis soulagĂ©, ce n’est pas une bague, mais un superbe collier, je n’y connais rien, mais le nom du joaillier suffit, elle est très Ă©mue, heureuse, contente, surprise, je ne veux pas gâcher sa joie en disant qu’on avait dit que le champagne suffisaitJe laisse Marie savourer cet instant, il se lève en me disant, « vous me permettez », il prend le collier et le met Ă Marie, je suis content de la voir comme cela et gĂŞnĂ©, il se rassoit, je lui fais avec le doigt le signe que c’est pas ce qu’on avait dit, il dit, « mon cadeau ne vous plaĂ®t pas », je dis, « on n’avait dit pas de cadeaux, que le champagne et le bouquet suffisait, il n’est pas encore minuit pour les cadeaux, ensuite, on a rien prĂ©vu pour vous, on se sent mal », il rĂ©pond, « mon cadeau, ça fait une heure que j’en profite et je peux vous dire que par rapport aux babioles que je vous ai offert, le votre a bien plus de valeur »Je lui dis, « vous savez un repas mĂŞme de noĂ«l, ça ne dĂ©passe pas le champagne que vous avez amené », il rĂ©pond qu’a son âge, il a dĂ©passĂ© le stade mathĂ©matique, disant, « au lieu d’ĂŞtre devant la tĂ©lĂ© Ă me morfondre, ou dans un restaurant, ou seul un autre vieillard comme moi, viendra m’adresser la parole, je passe noĂ«l comme en famille, avec un couple sympathique, dont la femme magnifique a en ce moment pour mon plus grand bonheur, les yeux qui par l’Ă©motion dont je suis le responsable, brillent encore plus que mon modeste cadeauEn effet Henri, il se rattrape en excusez moi, Mr Henri, je lui dis qu’il peut nous appeler par nos prĂ©noms, il poursuit, excusez-moi d’ĂŞtre venu les mains vides, et vous Mme Marie, non excusez moi Marie, je vous promets de faire part de mon mĂ©contentement Ă ce bijoutier qui m’avait dit que ce collier allait vous mettre en valeur, je vois bien que c’est vous qui le faites briller, il n’est que l’Ă©crin et vous ĂŞtes le bijou inestimableJe lui dis sans rĂ©flĂ©chir, « mettez-vous Ă ma place », il rĂ©pond qu’il donnerait bien tout ce qu’il possède pour y ĂŞtre a ma place et pas que pour ma jeunesse, Marie se maquille très peu et s’essuyant les yeux avec sa serviette, elle voit son mascara qui a dĂ©bordĂ©, disant qu’elle doit ĂŞtre affreuse, elle va dans la salle de bains se refaire les yeux, il dit, « il y a 99 % des femmes de la planète qui aimerait ĂŞtre aussi affreuse »Je lui redis qu’il n’aurait pas du, il me rĂ©pond que cela lui a fait plus plaisir qu’a nous et qu’il comprend notre gène, mais qu’a son âge, faire plaisir Ă©tait son seul plaisir, Marie tardant Ă venir, je lui dis que je vais voir ou elle en est, elle s’admirait avec le collier, elle me demande ce qu’elle doit faire, je lui dis que lui rendre serait le vexer et qu’il l’a fait de bon cœur, qu’on l’a Ă©mue aussi en l’invitant, elle allait venir, mais je lui dis, attend, je vais lui dire que tu hĂ©sites Ă le garderElle m’embrasse, je lui retire le collier, comprenant ce que je veux dire, je lui dis en revenant m’asseoir, « elle hĂ©site Ă le garder disant que c’est trop », il dit non,  » il ne faut pas », je lui dis, « vous savez argumenter, aller la convaincre, moi, elle ne m’Ă©coutera pas », je dis encore,  » allez-y, je prĂ©fère rester lĂ sinon elle va savoir que c’est moi qui vous l’ai demandé », vous croyez dit-il, je dis, « oui, elle vous Ă©coutera vous »Il y va, elle m’a racontĂ© ce qui suit une fois seuls, il toque Ă la porte entrouverte et rentre sans attendre, elle est devant la glace, se tourne dĂ©s qu’il rentre, il repousse la porte, la salle de bains n’Ă©tant pas très grande, elle dit qu’elle est dĂ©solĂ©e et lui tend le collier, il dit, « non regardez comme il vous va », elle se tourne vers la glace, il arrive derrière et lui remet le collier en disant,  » regardez comme il semble fait pour vous »Il dĂ©nude sa nuque, et un peu ses Ă©paules, faisant remonter sa veste voilĂ©e dentelle, avec le collier, il frĂ´le ses pointes de seins, Marie regarde le collier et lui, il la regarde, elle a eu un lĂ©ger sursaut, en remontant ses mains, il frĂ´le ses Ă©paules puis sa nuque pour le crocher, ensuite, il lui met ses mains sur les Ă©paules en repoussant encore sa veste, elle a un nouveau sursaut qu’il dĂ©couvre aussi, elle dit non arrĂŞter, mais sans bougerIl embrasse sa nuque sur le cĂ´tĂ©, elle dit, non arrĂŞtez, il ne faut pas, disant cela, elle bascule sa tĂŞte sur le cĂ´tĂ©, tout en lui embrassant la nuque, ses mains passent par-dessus ses bras et descendent doucement sur ses seins, non arrĂŞtez murmure-t-elle sans l’arrĂŞter, il lui dit « vous en mourrez d’envie », elle dit non en se dĂ©battant Ă peine, quand il prend ses seins Ă pleines mains, elle presse les siennes sur ses mains pour lui enlever, mais sans forcer, en disant toujours non, arrĂŞtez, il ne faut pasMarie fait celle dĂ©stabilisĂ©e, sa main tient la sienne, mais il a compris qu’elle ne me dira jamais rien, il caresse un sein, son autre main caresse ses fesses a travers le fin tissus, elle lui attrape la main en disant non, arrĂŞtez, mais elle ondule lĂ©gèrement du fessier, Ă©cartant lĂ©gèrement ses jambes, il passe par-dessous la longue veste et quand il atteint le string qu’il dĂ©couvre trempĂ©e, elle a un petit gĂ©missement, se reprenant, elle dit qu’il faut revenir a tableJ’Ă©tais Ă la cuisine, elle me rejoint, je retourne a table et je lui demande, vous avez rĂ©ussi, il dit oui, je pense, elle revient, il me dit, j’ai rĂ©ussi Ă faire entendre a Marie que le prix de ce prĂ©sent n’a aucune importance, n’ayant pas d’hĂ©ritier, les 3/4 du prix de ce collier irait a l’Ă©tat, en moi-mĂŞme, je me dis qu’il est très fort, il justifie ainsi le temps passĂ© en donnant une raison a Marie d’accepter sans remordsIl est vrai que comme argument, il est valable, sans cadeau, je lui avais permis quelques privilèges avec Marie, le cadeau est un plus et non un paiement, elle est très rĂ©ceptive aux cadeaux dĂ©sintĂ©ressĂ©s, avec le prix de ce collier, il aurait pu avoir une professionnelle de luxe tout aussi belle qu’elle, en ayant tout d’elle, mais lui, il voulait une belle femme a qui donner du plaisir, tous les plaisirsLa soirĂ©e se passe très bien, quand la conversation dĂ©rape sur le boulot, c’est en dehors de ce qui nous concerne, Marie l’apprĂ©cie aussi, en dehors du petit jeu, le collier, il n’Ă©tait pas obligĂ©, les autres contrats Ă venir suffisaient pour avoir un moyen de pression sur moi, sur nous, il m’avoua plus tard, qu’il a eu le coup de foudre pour Marie, je m’en doutais un peu, il disait qu’il ferait tout pour la rendre heureuse et que son bonheur passait par moiQu’il ne fallait pas voir en lui un concurrent, mais une aide a son bonheur, que j’Ă©tais un veinard et que je devais m’en douter, quand il me disait cela, je me disais qu’en effet, il aidait plus qu’il ne fallait pour la rendre heureuse, et veinard, je le savais dĂ©jĂ , mon seul nuage s’appelait Lucien, il Ă©tait passĂ©, mais existait, au dessert, Marie s’excuse du gâteau qui n’Ă©tait pas très prĂ©sentable, mais elle l’avait fait pour une amie, lui, rĂ©pondant, qu’il Ă©tait dĂ©licieux et que le goĂ»t est plus important que son esthĂ©tiqueLe repas fini, on passe au salon, je dis Ă Marie qu’elle a dĂ©jĂ fait la cuisine, que je pouvais faire le cafĂ©, assis sur le canapĂ©, il a voulu lui caressĂ© ses seins, elle l’a Ă peine empĂŞchĂ©, il lui dit qu’il meurt d’envie de lui embrasser le cou, mais que ça ne serait pas raisonnable, il pose sa main a mi-cuisse, elle serre les genoux en regardant vers la cuisine, ne pouvant pas mettre deux heures pour du cafĂ©, j’arrive a ce moment lĂ , j’Ă©tais encore dans la cuisine quand j’ai dit , voilĂ , ça vient, afin de prĂ©venir, on a discutĂ© sur le canapĂ© comme a tableIl avait la main sur le genou de Marie ou le bras, ou des fois, lui tenant la main, mais il Ă©tait comme cela mĂŞme avec moi, me tenant le bras ou le poignet, mais pas la main ni les genoux, après plus d’une heure sur le canapĂ©, je me lève et dis, ce n’est pas parce qu’on est des croulants qu’il faut se laisser crouler, je lui demande de m’aider Ă dĂ©placer le canapĂ©, les fauteuils et la table basse, tout est mis vers la porte-fenĂŞtre, la table ou l’on avait mangĂ© est poussĂ© aussi contre le murJe sors une boule a facette, qui date de je ne sais quand, je me souviens d’elle parce que j’avais fouillĂ© la maison Ă l’Ă©poque adultère de Marie, a la recherche d’indices, de preuves, de tout ce qui me ferait voir clair, je positionne cette boule sur le buffet, avec la corniche, elle n’envoie ses petits points d’Ă©clairages qu’au plafond, je sors mes CD, et les passes sur ma chaĂ®ne HIFI, j’allume la boule, puis j’Ă©teins la lumièreIl y a un bouton de rĂ©glage luminositĂ© sur le socle de la boule a facette, je la règle juste pour se diriger dans la pièce, disant,  » il y a moins de monde qu’en boite, mais on s’y croirait presque », comme prĂ©vu, on ne devine que nos tĂŞtes, il dit,  » moins bruyant aussi », on danse tous les trois, puis arrive les slows, je prends le premier en disant,  » je fais valoir mon privilège d’Ă©poux », il me dit que j’ai entièrement raisonJe danse avec elle, elle sourit quand elle lui tourne le dos, et je fais pareil quand c’est moi, je la tripote quand on est cachĂ©, lui est sur le canapĂ©, Ă©clairĂ© par la rue, on voit l’ombre de sa tĂŞte y dĂ©passer, le slow terminĂ©, elle me donne sa veste voile, un autre slow dĂ©bute, je lui dis, ça vous dĂ©range si je vous la laisse quelques slows, je vais chercher une bouteille avec des verres, rĂ©pondant qu’ĂŞtre dĂ©rangĂ© de cette façon, qu’il ne faut pas le mĂ©nager, vous me gâtez lĂ Je vais en cuisine, j’allume, ils sont cachĂ©s, par le mur mitoyen cuisine/salle, je sors un plateau, un seau a glace, trois verres, pendant ce temps, dĂ©s que je suis hors de vue, il embrasse la main de Marie, puis elle met les siennes sur ses Ă©paulesIl se penche et embrasse son Ă©paule dĂ©nudĂ©e, elle incline lĂ©gèrement la tĂŞte pour lui faciliter l’accès en lui murmurant, « non, arrĂŞté », il continue et elle lui murmure,  » pas de suçon surtout », n’ayez crainte qu’il rĂ©pond, il veut remonter dans son cou, mais elle dit, non, tout ce qui est au-dessus du collier est rĂ©servĂ© pour mon mariIroniquement, il dit, et ce qui se trouve dessous, elle ne rĂ©pond pas, il caresse son sein, elle se tortille un peu pour se dĂ©gager, et murmure un « non », il continue quand mĂŞme, elle gĂ©mit, puis elle le laisse faire, elle dit « un peu de discrĂ©tion quand mĂŞme », il lui dit que quand la cuisine sera Ă©teinte, qu’on ne verra que le dessus de leur tĂŞte et pas ses mains, Marie ne dit rien, elle apprĂ©cie sa caresseMĂŞme en trainant, il y a un moment ou il faut y aller, j’ai attendu la fin du deuxième slow, je leur dis, une coupe de champagne, on boit Ă la lumière de la cuisine, il mate Marie en jupe très courte, sans sa veste, il me dit, « il est bon votre champagne », je dis oui, « je connais quelqu’un qui me le ramène »On Ă©coute le slow puis quand il est fini, je remet le morceau et je dis, « c’est mon tour », je danse puis en passant a cotĂ©, j’Ă©teint la lumière de la cuisine en disant, « ambiance boite de nuit », je fais un slow ou je la caresse aussi, elle me fait les gestes qu’il lui a faitĂ€ la fin du slow, je lui laisse Marie, il ne peut plus se baisser pour l’embrasser, mais il tente de la tripoter, elle se dĂ©gage juste pour faire celle qui ne veut pas, sachant qu’on voit l’ombre des crânes, il tripote et malaxe ses seins, elle fait non, mais elle l’agrippe plus fort sur les bras, a travers le tissuIl caresse son sexe avec sa main, Marie se dĂ©bat a peine disant « nonnnnn », mais elle frĂ©mit en l’attirant Ă elle, elle sursaute, au deuxième slow, il me dit, je prend aussi le tour suivant, j’ai entendu mais je dis « comment », en mettant ma main en parabole le long de mon oreilleIl me le redemande en parlant plus fort et je dis oui oui allez y, ceci afin de montrer qu’ils peuvent communiquer sans que j’entende, il reprend son tripotage, elle lui dit, je vous laisse toucher mes seins si vous ne tentez rien d’autre, il dit oui, a une condition, vous venez danser sans soutien-gorge aux prochains slows avec moi, elle rĂ©pond « mais ça ne va pas », pour me faire plaisir lui dit-il, le slow fini, je propose une petite coupe, on ne prend Ă peine que des demi-coupes a chaque foisAprès avoir bu, je danse un autre slow avec Marie, mais en Ă©teignant la boule, disant, c’est plus intime comme ça, je la tripote, l’embrasse, je la fais mouiller, au slow suivant elle dit vouloir allez au WC, elle allume la lumière du couloir, je discute avec lui, quand elle va revenir, je lui dis tout bas, si vous voulez y aller, moi la danse ce n’est pas mon truc, mais elle, elle aime ça, alors si ça ne vous dĂ©range pas, il rĂ©pond, c’est gĂŞnant, pas du tout dis-je, la voilĂ allez y, elle Ă©teint le couloirIl demande s’il rebranche la boule, je rĂ©ponds, si vous voulez oui, mais moi, ça commençait Ă me faire mal aux yeux, et puis lĂ pas besoin de regarder les autres danseurs, il n’y en a pasJe remets le slow au dĂ©but, il contrĂ´le si elle a son soutif, le passage WC lui a laissĂ© penser qu’elle l’avait enlevĂ©, dans le noir, ils ne dansent plus, tournĂ©s vers moi pour voir si je ne lève pas pour allumerIl est derrière elle, l’enserrant et mettant ses deux mains dans son corsage, elle se laisse faire, il tient ses deux seins nus, Marie gĂ©mit, elle lui presse ses mains pour appuyer plus, il tourne ses mains autour d’elle, lui baisse son vĂŞtement au bras, ses seins sont sortisPour se remettre, elle n’aura qu’a lever les bras, il se place devant elle, il caresse un sein, puis suce l’autre, elle lui tient la tĂŞte pour qu’il continue, il embrasse l’un, puis l’autre, elle sent sa main entre ses jambes en dessous des genoux, elle les serre, il donne deux secousses pour lui faire comprendre qu’elle doit Ă©carter, elle lui murmure non Ă plusieurs reprises, insistant encore, excitĂ©e, elle desserre son Ă©treinte, sa main monte Ă nouveau, Marie Ă ce moment lĂ a perdu le contrĂ´leQuand elle sent la main sur son sexe, elle lui serre sa tĂŞte sur ses seins, il la caresse, elle fait des « oui encore », le slow se termine, il me dit dans le silence que ça lui rappelle sa jeunesse, je dis « ha, vous voyez » le slow suivant commenceElle le laisse la masturber, elle est complètement a sa merci, j’avais baissĂ© un peu le son crescendo, sans entendre ce qu’ils se disaient, j’entendais Marie gĂ©mir, elle le serrait Ă l’Ă©touffer, je l’ai entendu jouir deux fois, elle m’a dit ensuite que ce qui l’excitait, c’Ă©tait le contexte, la situationOn s’est remis a boire, on a fini la bouteille, discutĂ© un peu, mais dans la lumière, il dit qu’il va nous laisser tranquille et y aller, de lui indiquer ou se trouve l’hĂ´tel, je dis Ă Marie de le conduire, dĂ©couvrant une des chambres, il dit qu’il ne peut pas accepter, je dis, tu vois Marie, ton repas ne devait pas ĂŞtre bon, il ne veut pas rester, d’attaquer Marie, il se met aussitĂ´t sur sa dĂ©fense, la complimentant sur toutElle lui apporte des chaussons, et lui dit, c’est soit vous dormez lĂ , soit je vous rends le collier, il se sentait gĂŞnĂ©, mais accepta en disant, « j’accepte, mais vous me le paierez », Marie rĂ©pond, j’en tremble dĂ©jĂ , elle lui montre a la cuisine, les tasses, le cafĂ©, ce qu’il faut pour demain matin s’il se rĂ©veille avant nous, on a tous Ă©tĂ© prendre une douche, une fois au lit, Marie Ă©tait brĂ»lante de dĂ©sir, super excitĂ©e, une vraie bombe, me racontant toutAvec la peur que je me sente mal, elle m’avoua honteusement avoir joui fortement, bien plus que dans les cinĂ©mas, ne pas avoir pu se retenir, je lui dis que le but est qu’elle ait un maximum de plaisir, elle me dit qu’il ne lui a pas fait sentir son sexe, je me dis qu’il n’a pas osĂ©, je l’ai fait jouir deux fois aussi, cela n’a pas Ă©tĂ© difficile, puis on s’est endormi, au rĂ©veil, on a câlinĂ©, Marie Ă©tait très amoureuse, elle m’embrassait partout, me serrait dans ses brasOn l’entend se lever, puis aller a la cuisine, je dis a Marie d’aller le retrouver en nuisette voile, elle s’habille et revient aussitĂ´t disant qu’il est parti, je lui dis d’aller dans sa chambre, mais sa valise est lĂ , il a Ă©tĂ© prendre l’air surementOnt se douchent, s’habillent, il avait pris mes clefs de maison, il revient avec croissants et pains au chocolat, Marie avait remis ses vĂŞtements de la veille, sans la veste, il la regarde et me dit, ce n’est pas une Ă©pouse que vous avez, mais une merveille, je lui dis que je le sais et Marie vient me câlinerIl a voulu nous inviter le midi, mais j’ai dit qu’avec le repas d’hier soir, manger lĂ©ger a midi ne sera pas du luxe, on a marchĂ© dans le quartier, puis le midi, il dit, vous restez sur le canapĂ©, c’est moi qui prĂ©pare le repas, il restait trois douzaines d’huĂ®tres, qu’il avait ouvertesMarie prĂ©parait une tarte aux pommes, de la cuisine, en me parlant, il regardait si j’Ă©tais installĂ© sur le canapĂ©, je lisais, il retournait vers Marie pour l’embrasser, sans lui caresser le corps Ă cause des huĂ®tresIl ne voulait pas la mettre dans l’embarras en l’excitant, il lui a fait du pied a table, elle s’est laissĂ© faire, il est devenu moins collant a elle, très prĂ©venant, mais avec moins de gestes comme mettre sa main sur son genou pour parler, il se sentait en faute et ne voulait pas que je le sache, mais des qu’ils Ă©taient tranquille, ses mains s’emparaient d’ellesMarie me disait qu’elle l’apprĂ©ciait, quant il la regardait, on aurait dit un affamĂ© devant un steak, on lui a proposĂ© le WE ensemble, il a acceptĂ© dĂ©s qu’elle lui a dit « pour me faire plaisir », la situation n’a pas pu ĂŞtre aussi chaude, juste quelques caresses par ci par lĂ Il est parti le dimanche après midi, nous remerciant en disant que c’est les meilleures fĂŞtes qu’il a passĂ© depuis bien longtemps, il avait les yeux brillants, comme je le raccompagnais Ă sa voiture, je suis descendu le premier avec sa valise Il a repoussĂ© la porte et a embrassĂ© Marie sur les seins, elle l’a remerciĂ© pour son cadeau en lui disant, « j’espère que vous reviendrez » il lui a rĂ©pondu que si ça ne tenait qu’Ă lui, il serait lĂ tous les jours, il m’a rappelĂ© le lundi pour me remercier encore de notre hospitalitĂ©, j’ai rĂ©pondu que Marie le remercie aussiĂ€ suivre.