Il me tarde de finir les consultations. Toujours les mĂŞmes maladies, les mĂŞmes soupirs. Enfin le dernier patient : il va payer pour les autres. A peine assis, il commence Ă me raconter ses douleurs auxquelles je ne crois pas un moment. Dans la salle d’examen, couchĂ©, nu comme je l’ai demandĂ© il montre tout son sexe. Le stĂ©thoscope pendouille sur ma poitrine. Comme par hasard, je le fait passer sur la queue. Il rĂ©agit normalement. Je vais me le payer. En plus il ne me dĂ©plaĂ®t pas du tout. Je sais d’avance que mon sexe s’accordera Ă merveille avec le sien.Ne bougez pas, je vais faire un test. Tu parles d’un test avec sa queue. Je fais doucement descendre le prĂ©puce, le regarde avec attention ; il bande encore plus. Pas mal, il va me faire du bien s’il sait se retenir. Il se retiendra mieux après ce que je vais lui faire.Je me penche sur lui, caresse Ă peine la bite, continue vers les couilles. Je vais jusqu’Ă passer ma main entre ses cuisses. Je trouve son petit tour. Parfait. Je ne fais rien de particulier je caresse lĂ©gèrement le cul. Ce malade doit y trouver son compte. Il n’est pas gay, j’en suis certaine. J’ai très envie de lui, je vais le faire jouir avant moi pour mieux en profiter après. Je dĂ©laisse la masturbation, trop classique, j’opte pour la fellation. Je lui nettoie juste le bout, malgrĂ© les mouvements involontaires de sa queue : il est mignon avec ce dĂ©sir refoulĂ©.Je lèche le corps de la queue. Je ne vais pas jusqu’en haut. Il sent bon l’homme. Son odeur vient de son cul et ses couilles. ExcĂ©dent mĂ©lange de sexe, de sueur, de sperme sĂ©chĂ©.Je m’occupe enfin de mon sexe : je mouille comme si je sortais d’un bain. Il est temps que je baise.Je suis dure en le faisant lever, revenir au bureau, se coucher sur la moquette. Il bande toujours. Au fond de lui il se demande ce qui se passe.
Caresse toi la bite, charogne.
J’insiste, il ne bouge pas;
Branles toi devant moi.Il est bouché ou quoi. Je lui passe la pointe de la chaussure sur les couilles. Enfin il réagit. Sa main droite se saisi du bout de la queue. Il commence à se masturber. Je veux le voir cracher son jus. Je veux voir son sperme.
Touches toi les couilles aussi. Et le cul.Un autre coup gentil sur les couilles, il comprend enfin ce que j’exige. Enfin la main commence la branlette. Je veux qu’il se fasse jouir, couchĂ© devant moi. Je l’adore quand il fait aller et venir sa main. Je le vois se tendre : il soulève le pubis, tend sa bite comme une offrande. Et lĂ , enfin son premier jet puissant de semence. Si je le pouvais je me pencherais pour l’avaler.Je finis son orgasme. Il n’en est pas quitte. Je le laisse se lever : il est toujours nu, la bite qui pendouille entre ses cuisses. Il est impuissant pour le moment. Je suis tout près de lui, je relève ma jupe : je ne porte pas de culotte. Ma chatte est visible : elle est toute mouillĂ©e. Mon seul majeur me donne du plaisir. Ce n’est pas du doigt que je veux tirer mon plaisir : je veux sa queue. Je prends tout son attirail dans la main. Je fais avec lui comme avec un chat ; je le flatte, le caresse, l’effleure. MalgrĂ© son Ă©tonnement il commence Ă rĂ©agit positivement : il bande Ă nouveau. Mon dieu qu’un homme est dur Ă persuader. Je suis une femme, je lui tripote la queue, j’en ai besoin et il ne comprend pas. Je pince ses tĂ©tons : enfin il comprend la suite. Je veux une baise royale, totale. Qu’il agisse en homme, qu’il m’embrasse que sa langue soit dans ma bouche. J’ai un sexe que je veux qu’il comble. Enfin il agit, il m’entoure. Je suis presque trop serrĂ©e dans ses bras. Il pense Ă me dĂ©piauter doucement. Son corps est contre moi, je sens sa queue contre mon ventre : elle est redevenue dure. C’est agrĂ©able de sentir un tel engin. Je me frotte contre lui. Les seins les premiers sentent ses muscles durs. Et ses abdominaux contre mon ventre …..C’est pas du beurre. Il passe ses deux mains contre mes fesses Pourquoi il les Ă©carte ? Il passe un doigt dans la raie. Mon Dieu il me fait du bien, j’en veux encore. Il me fait tomber sur la moquette, Ă mon tour d’ĂŞtre une proie. Vue de dessous sa bite est impressionnante. J’Ă©carte les cuisses, je lève les jambes : il voit toute ma fente. Il vient sur moi, il va me baiser. Je sens son poids sur moi. Sa bite est toute proche. Elle est juste Ă l’entrĂ©e du vagin. Mais qu’il la mette, je n’en peux plus. Il ripe vers le bas. Non c’est pas vrai, il va vers le petit trou.Je n’aime pas cette façon de faire. Il insiste, mĂŞme si je dis non. Non, trop tard il entre doucement très doucement. J’ai Ă peine mal, il insiste. Il m’encule totalement. Je la sens au fond de mes boyaux. Finalement c’est assez bon, Je commence sentir son bienfait. Il sort sur le pĂ©rinĂ©e. Il m’excite encore plus. Il me la met lĂ oĂą il faut. Mes muscles vaginaux se resserrent autour de son manche. Il met aussi un doigt, non deux dans le cul. C’est bon les deux ensembles. J’avais envie qu’il me baise, il le fait. J’ai oubliĂ© de lui faire payer la consultation.