Commune de Boulignac – Centre de la France – Printemps 1999Jean-Pierre était fatigué. La vie de curé de campagne commençait à lui peser, des allers-retours entre cinq paroisses différentes, les messes où les gens se rendaient par habitude (ou surtout pour qu’on ne puisse pas dire qu’ils n’y allaient pas), qui ressemblaient plus à une corvée qu’à autre chose, les mariages, les baptêmes et toutes les beauferies qui vont avec, les enterrements et leur cortège d’hypocrisie. Mais le pire, c’était peut-être la confession, il y avait ceux qui venaient se confesser pour des queues de cerises et qui n’en finissaient pas de radoter des banalités, et puis il y avait ceux qui avaient quelque chose à dire, et ce n’était jamais très beau, les rancœurs de voisinage, les ragots, les cancans, les complots de campagne et les querelles de foire aux bestiaux, et puis bien sûr les éternelles coucheries. C’était de toute façon toujours la même chose, ils racontaient leurs salades, il leur donnait l’absolution, et un mois après, rebelote, même confession, même punition. Il en venait à s’interroger sur l’efficacité de cet étrange sacrement.Justement aujourd’hui c’était le jour des confessions. Quand faut y aller, faut y aller ! Jean-Pierre fut étonné d’y trouver cet homme qu’il n’avait jamais vu.— Bonjour, mon fils ! je ne vous ai jamais vu !— Robert H. Je ne suis pas d’ici !— On m’a parlé effectivement de deux messieurs de Paris qui travailleraient pour quelque temps à la ferme du Père Daniel !— Oui ! Nous resterons environ deux mois !— Est-il indiscret de vous demander les raisons de ce séjour, avant de commencer la confession ?— Nous sommes informaticiens, quand le père Daniel est décédé, ses fils ont voulu informatiser un petit peu la comptabilité de l’exploitation. Ils ont demandé un test « an 2000 » auprès de notre société. Effectivement, il faudra deux mois, pour rendre compatible tout cela avec l’an 2000 !— Deux mois à deux personnes pour ça ?— Oui, mon père !— Écoutez, je fais un peu de micro-informatique pendant mes rares heures de loisir. Vous n’allez pas me dire qu’il vous faut tout ce temps-là  !Robert décida de ne pas mentir, après tout il parlait à un confesseur.— Bien sûr que non ! À la limite, en une heure son machin aurait été à niveau, mais ma société lui a fait un devis de 40 jours de travail et les fils Daniel l’ont accepté et signé !— Mais c’est du vol !— Oui !— Et c’est de ça que vous venez vous confesser ?— Non mon père, car je ne me sens nullement coupable !— Vous êtes au moins complice !— Admettons !— Alors, cette confession ?— Il s’agit de péché de chair !— Dites-moi tout !— J’ai couché avec une femme, j’ai donc commis le péché d’adultère !— Avec une femme du village ?— Absolument !— Pouvez-vous me préciser avec quelle créature vous avez commis ce péché ?— Si vous me le permettez, je préférais taire ce détail.— Mon fils, vos propos sont couverts par le secret de la confession !— J’entends bien, mais je ne le souhaite pas, peut-être changerais-je d’avis tout à l’heure !— Avez-vous effectué des pratiques interdites par l’église ?— Oui ! Bien sûr !— Comment ça ? Bien sûr ?— Écoutez mon père, plutôt que de continuer dans les questions-réponses, je préférerais vous raconter mon histoire à ma façon, ainsi, nous serons sûrs de ne rien oublier.— Je vous écoute :— Nous étions là depuis deux jours et mon collègue devait faire un bref aller-retour à Clermont-Ferrand, n’ayant rien de prévu cet après-midi, je me suis décidé à aller faire un petit tour dans les environs. Au bout d’une heure, je rencontre une belle jeune femme, je l’aborde et lui demande s’il y a des choses intéressantes à voir dans le coin, elle me répond gentiment, m’indique quelques curiosités à visiter, me raconte plusieurs anecdotes. Elle est très gaie, très enjouée. Je la complimente sur sa façon de s’exprimer, on fait un peu plus connaissance. Je lui dis qu’elle a beaucoup de charme, elle me répond que moi aussi… Heu ! Je m’excuse de vous donner tous ces détails !— Je vous en prie, continuez !— Je lui propose assez innocemment de nous asseoir sous un arbre afin de continuer notre bavardage et de nous reposer un instant, elle accepte avec enthousiasme.— Vous ne voulez toujours pas me dire qui c’est ?— Pas encore ! Une fois sous l’arbre, nous nous asseyons. Je prends prétexte d’une improbable poussière sur sa joue pour la lui enlever et j’en profite pour lui caresser le visage. Elle se laisse faire, elle sourit, je m’approche d’elle et je l’embrasse chastement d’abord, puis constatant qu’elle n’est point farouche, je lui roule un patin, mes mains descendent sur son corsage. J’en dégrafe les boutons et j’ouvre le vêtement découvrant un soutien-gorge bien rempli !— Certains détails ne sont peut-être pas nécessaires !— Je crains que si ! Je lui pelote les seins d’abord à travers le soutien-gorge, puis je glisse mon doigt dans la dentelle, puis un autre doigt de façon à faire sortir le sein ! Elle a de larges aréoles, terminées par de grosses pointes turgescentes !— Mon fils !— Je les tripote un peu, puis je les suce, elle est aux anges !— Ne serait-ce point la fille du garde champêtre ?Robert fait semblant de ne pas entendre la question du curé et il continue son récit.— La fille, ne voulant pas rester passive, me met la main à la braguette. Bien sûr, mon engin est tout dur. Elle me débraguette avec une étonnante dextérité, en extrait ma pine qu’elle gobe dans sa bouche après l’avoir branlée quelques instants.— Les détails trop crus ne sont peut-être pas nécessaires !— Soudain, elle s’arrête et m’indique qu’il vaudrait mieux aller un peu plus loin… dans un coin ou personne ne pourrait nous voir. On se rhabille un petit peu et on y va. Effectivement, il y a en contrebas, un petit bosquet qui me paraît bien tranquille… « On va se mettre ici, me dit-elle ! ». L’endroit me paraît confortable, le sol est recouvert d’un tapis de mousse. Je me rassieds, je pensais qu’elle en ferait de même, mais elle m’indique qu’elle a une petite envie de pipi et me demande si je veux voir. Je lui réponds que, bien sûr, je veux voir !— Vous avez exprimé le désir de la voir uriner devant vous ?— Parfaitement, mon père !— Elle paraissait très excitée, elle a enlevé sa robe et sa petite culotte. Elle avait une toison pubienne très abondante, cela m’a un peu étonné.— Passons.— Et alors elle s’est baissée et a lâché son petit pipi, enfin, quand je dis « petit », elle avait en fait une très forte envie, ça n’arrêtait pas ! Je l’ai remerciée pour le spectacle. Elle m’a alors demandé si j’avais envie, moi aussi, car elle aimerait bien me regarder pisser, je lui ai dit « oui ». J’ai sorti ma bite.— Votre verge ! On dit une verge !— Si vous voulez ! Et elle s’est mise à me la tripoter pendant que je pissais. C’est diabolique ce truc !— Laissez le diable tranquille aujourd’hui s’il vous plaît !— Et puis un moment, elle a fait une chose très… comment dire… très osée, très spéciale, très vicieuse. Elle a carrément placé son visage devant mon jet et elle s’est aspergée, n’hésitant pas à en avaler quelques gouttes. Elle semblait apprécier !— Dites-moi ! S’agirait-il de la fille de l’instituteur ?Une nouvelle fois, Robert fit semblant de ne pas entendre la question et continua son récit.— Elle finit de se déshabiller. Sa peau était très blanche, seuls le visage et les avant-bras étaient halés par le soleil, elle ne devait pas souvent aller en vacances à la plage. Elle s’amusa à faire quelques petits pas de danse pour me faire admirer son corps, ses seins un peu lourds étaient magnifiques, mais elle avait surtout un joli petit cul, je le pris à pleines mains pour le malaxer un peu… « Hum ! j’aime qu’on me tripote les fesses », disait-elle.— Épargnez-moi les dialogues !— Elle me dit par taquinerie qu’elle n’était décidément pas sage et qu’elle méritait la fessée. Entrant dans son jeu, je lui demandais si elle en voulait une, et comme elle me répondit « oui », je lui donnais quelques petites claques sur le cul, sans brutalité bien sûr, mais son fessier devint malgré tout très vite rouge comme un coquelicot.— Mon Dieu !— Quand elle en eut assez, elle s’allongea alors sur le sol, et me demanda de venir la rejoindre. Nous nous sommes alors placés en 69, et pendant qu’elle me pratiquait une pipe experte, je lui broutais son minou encore dégoulinant d’urine. Je la fis jouir assez rapidement, mais en ce qui me concernait, je souhaitais la pénétrer. Le problème c’est que je n’avais pas de préservatif, et elle s’y opposa. J’allais lui proposer qu’elle me suce à fond quand elle m’offrit gentiment de finir dans son petit trou, à condition toutefois que ce soit elle qui dirige les opérations, comme elle disait. Je me couchais donc sur le tapis de mousse et elle s’empala sur ma bite, contrôlant elle-même l’introduction. J’éjaculais dans son cul quelques minutes plus tard. Voilà  !— C’est fini !— Ben oui ! Après, elle ramassa ses petites affaires, se rhabilla. Je fis de même ! Elle me dit que maintenant il fallait qu’elle y aille, elle me fit un petit bisou sur le bout du nez, et on est allé chacun de notre côté !— Et c’était qui ?— Non, mon père, je ne peux pas vous le dire !— Ah, mais bien sûr ! C’est la charcutière ! C’est cela, c’est la charcutière ?— Je ne vous le dirais pas !— Comprenez que dans ce cas je ne puis vous donner l’absolution, vous êtes en état de péché mortel.— Au revoir, mon père !— Mais ne partez pas ! Je…Mais déjà , Robert s’était levé et franchissait le seuil de l’église. Sur un banc, dans le petit square en face, son collègue l’attendait en lisant un magazine.— Alors ?— Alors ça y est, j’ai dégoté trois super bonnes adresses !