Alana 1
C’était l’été de mes quinze ans. Cet été là , en plus de sa femme, notre oncle nous a présenté Alana. Alana était la fille de son épouse, une jolie blonde rigolote et très polie. Il était ravie de me la présenter car nous avions toutes les deux le même âge et il était sûr que nous nous entendrions.
Proposée le 16/04/2021 par Lolita Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FFLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
C’était l’été de mes quinze ans. Mon oncle venait tout juste de se remarier et voulait fièrement nous montrer sa femme. Nous allions passer l’été au cottage de grand-père, il avait une maison immense où toute la famille pouvait tenir.
Cet été là , en plus de sa femme, notre oncle nous a présenté Alana. Alana était la fille de son épouse, une jolie blonde rigolote et très polie. Il était ravie de me la présenter car nous avions toutes les deux le même âge et il était sûr que nous nous entendrions. Mon oncle avait raison, Alana et moi n’avons pas mis une semaine avant de devenir inséparables. On passait nos journées ensemble et avions même finit par dormir dans la même chambre pour profiter de chaque moment à discuter. Alana était jolie, elle avait de plus petits seins que moi mais avait aussi de plus longues jambes. Je me surprenait à la regarder se déshabiller chaque fois que nous revenions de la plage, prétextant admirer ses marques de bronzage.
– Viens te laver avec moi, demande-t-elle comme à chaque fois.
Nous sommes toujours pleine de sable et Alana ne se priverait pas de trouver une excuse pour que nous passions plus de temps ensemble. J’ai négocié à plusieurs reprise, en lui disant que je pouvais rester à côté d’elle en la regardant se laver, ça lui a suffit un moment mais aujourd’hui elle insiste à nouveau.
– Allez viens! Répète-t-elle encore.
Je n’ai pas vraiment de raison de refuser, après tout, nous nous voyons nues en permanence.
Je me défait alors de mes vêtements que je laisse tomber sur le sol. Alana se glisse immédiatement sous la douche et fais couler l’eau sur elle.
Je la rejoins alors et reste à quelques centimètres d’elle.
– Ca va pas être pratique avec un seul pommeau de douche, dit-elle en me voyant frissonner.
Elle s’assoit alors et allume le robinet, tout en bouchant le troue de la baignoire.
– Un bain c’est tout aussi bien, réplique-t-elle. Je m’assoit face à elle et regarde l’eau monter doucement autour de nous. Je reste les jambes serrées, les mains autours de mes seins alors qu’Alana se tient en tailleurs, son intimité parfaitement dévoilée. Je la regarde, peut-être légèrement trop longtemps. Elle est parfaite, épilée, belle.
L’eau monte encore, jusqu’à arriver à nos seins, c’est à ce moment qu’Alana décide de couper l’eau.
– Un bon bain après la plage, déclare-t-elle, qu’est-ce qu’il y a de mieux ?
Je rétorque qu’il n’y a rien de plus relaxant, et que j’ai bien fais de l’écouter.
Elle me répond que nous sommes trop loin et me demande de m’approcher. Nous avançons l’une vers l’autre, Alana me forte à écarter un peu les jambes pour que nous nous trouvions plus proche. Mon pied n’est qu’à quelques centimètres de son entre jambe, je n’ose plus bouger d’un centimètre et je réalise aussitôt que celui d’Alana et très proche de la mienne aussi. Mais elle ne semble rien remarquer, elle parle, de tout et de rien et en profite pour mettre de la mousse plein la baignoire.
Nous jouons avec les bulles un moment avant qu’Alana, pour une raison qui m’échappe décide de me déposer de la mousse sur le bout des seins et que je me mette à frisonner.
– Fais moi pareil, dit-elle en bombant sa poitrine.
J’attrappe un peu de mousse et la dépose délicatement sur chacun de ses tétons durcis.
– Oh, souffle-t-elle, désolée ça me fait toujours de l’effet.
Je rougis à sa remarque, Alana est bien moins gênée que moi.
– L’eau commence à refroidir, m’exclamais-je. Alana remarque que j’ai raison et me donne le pommeau de douche avant de l’allumer d’un coup sec.
Un gémissement m’échappe, le jet du pommeau était parfaitement aligné sur mon entre-jambe et m’a surpris.
– Oh désolée, dit Alana en éclatant de rire.
Je repousse le jet que ma nouvelle amie prend en main.
– Ca t’as fais du bien ?
Je hoche timidement la tête, il faut que j’arrête de faire l’effaroucher, Alana semble tout assumer, elle.
L’intéressée plonge le pommeau sous l’eau, et je devine rapidement ce qu’elle est entrain de faire. Ses yeux s’écarquille.
– Oh mince, dit-elle, c’est vrai que ça fait du bien.
Je ne sais pas quoi dire, alors je me tais. Alana plonge à nouveau le pommeau sous l’eau, cette fois-ci elle le laisse plus longtemps. Elle se pince les lèvres et ferme les yeux.
– Waw, souffle-t-elle en le retirant, tu veux essayer à nouveau ?
Je m’apprête à refuser, mais à quoi bon ? Ca à l’air de faire du bien et Alana vient de le faire devant moi. Je lui prend le pommeau des mains et le passe sous l’eau à mon tour, le jet puissant me chatouillant, je serre les dents. Je le retire bien plus vite que je ne le voudrais.
– C’est vrai que ça fait tout drôle.
Alana me sourit.
– On joue à un jeux ? Demande-t-elle, Celle qui arrive à tenir le plus longtemps avec.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle se lève pour attraper son portable pour mettre le chronomètre, elle me le tend ensuite pour que je verifie.
– Je commence, dit-elle.
Elle écarte grand les jambes, séparant la mousse en même temps. Mon pied à quelques centimètres d’elle, le jet en plein sur son intimité. Au début, elle me regarde en souriant, amusée de la situation. Mais très vite je vois ses yeux se perdrent dans le vague, elle me regarde mais ne me voit plus, sa bouche s’ouvre mais aucun son n’en sort, Je la vois bouger le pommeau sous l’eau et finalement fermer les yeux. Des petits gémissements sortent de sa bouche, je la regarde dans pouvoir faire quoi que ce soit, mon ventre se tordant dans tous les sens.
– Oh mon dieu, souffle-t-elle en pressant ses paupières.
Et puis tout d’un coup elle recule le jet et éclate de rire, essouflée.
– C’était incroyable ! S’exclame-t-elle les joues rouges, j’ai tenue combien de temps.
Je regarde le téléphone et lui répond immédiatement.
– Tu vas voir c’est trop bizarre, au début ça fait du bien et après ça commence à faire chaud en bas du ventre, c’est presque douloureux tellement c’est bon et d’un coup y’a un truc qui éclate en toi et là le jet n’est plus du tout agréable.
Je fronce les sourcils.
– Ca a pas l’air cool ton truc, répondis-je anxieuse.
– Si, le moment où ça éclate vaut le coup! Fais moi confiance.
J’écoute Alana et écarte à nouveau mes jambes, je passe doucement le jet sur moi et la regarde, hésitante. Elle a raison, ça fait du bien. Je laisse le jet me relaxer sans la lâcher des yeux, puis je sens cette châleur en bas du ventre dont elle m’a parlé. Un sourire s’étire sur son visage, très certainement parce qu’elle réalise que mes yeux se perdent comme les siens l’ont fait juste avant. Mais moi je n’ai pas envie de les fermer, au contraire, je veux la regarder chaque secondes.Mon coeur bat à tout rompre, et Alana s’est encore approché. Je regarde ses tétons durs flottants à la surface de l’eau, sa bouche pulpeuse, ses yeux profonds. Je presse mes lèvres l’une contre l’autre pour me retenir de prononcer son prénom quand je sens cette grosse explosions en moi. Alana n’attends pas et me prend le jet des mains immédiatement « pour éviter que ça me fasse mal ».
Je suis essouflée et un peu decontenancée.
– T’as tenue moins de temps que moi, glisse-t-elle victorieuse.
Je n’ose pas lui répondre que nous pourrons recommencer demain, et chaque jours suivant, mais j’en ai très envie.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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