Dans la série Fantasmes, Heureuse Proximité.
J’en ai connu des bonimenteurs qui disaient s’être ‘’tapé » telle, ou telle autre femme mais cette histoire remet en cause ce genre de rhétorique car celui qui m’en a fait part n’est pas, loin s’en faut, un coureur de jupons.
Proposée le 18/06/2020 par maximilien7 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Certains métiers vous donnent accès aux secrets les plus intimes des familles et ceux qui se cachent au fond de quelques tiroirs dans les chambres à coucher, sont quelques fois très suggestives. Outre les lingeries de ces dames vous y trouvez tous les accessoires nécessaires à une sexualité accomplie. Cette cliente-là était, une très belle femme, on a pu le vérifier sur des photos où elle posait nue c’était le genre de personne qu’on aurait aimé prendre par la main lorsqu’elle vous frôle en vous gratifiant d’une irrésistible fragrance. Tout chez cette femme vous invitait à l’amour, sa douceur, son humour, sa façon de vous conduire d’une chambre à l’autre frôlant à peine le sol de ses pieds nus, elle était, l’érotisme personnifié.Sommes-nous tous des pervers à toujours chercher à en voir un peu plus ? Mais comment rester de marbre face à autant finesse ? Quand elle se mettait à genoux pour examiner le contenu d’un tiroir en bas d’une commode, je profitais d’un tableau magnifique. Debout à côté d’elle je pouvais admirer sous sa blouse blanche la naissance de ses seins et par un petit effort de perspective je pouvais contempler le galbe de sa poitrine, on aurait dit une sculpture antique.
Plus généreusement encore, quelques boutons dégrafés au bas de sa blouse m’offraient une vue sublime sur de merveilleuses cuisses fuselées et partant du genou aussi loin qu’il était possible de voir, la finesse d’une peau dorée conduisait au rose pâle d’une petite culotte satinée. Pourquoi donc ne devrait-on pas apprécier les femmes et leurs beautés ?Après quelques jours de cette proximité et au vu des circonstances, la parole finie par se libérer. J’apprenais alors son récent mariage avec un mari obligé de s’exiler par l’exigence de son entreprise. Elle m’expliquait alors les larmes aux yeux sa solitude et je comprenais par les mots et les gestes ce qui manquait à sa vie, hormis l’amour, il y avait aussi l’appétit naturel de cette jeune femme et l’absence d’une relation physique.
Je l’avais en effet constaté en ouvrant le tiroir de sa table de nuit et me souvenais naturellement des accessoires dont la destination ne laissait aucun doute. Elle me fixa soudain d’un air penaud et je compris en voyant ses joues rougies que je devais désamorcer la situation. Pour cela il n’y avait que l’humour et il sert toujours dans ces cas-là.- Je suis désolée, j’espère que ça ne vous a pas mis mal à l’aise.
– Nous sommes tenus de rester discret, Madame, mais non, ça ne m’a pas mis mal à l’aise, bien au contraire vous imaginez bien !
– Vous pouvez m’appeler Marianne, eh non…, je n’imagine pas ! Dites-moi !
– Eh ! bien Marianne, vous êtes une très belle femme, vous pensez bien qu’elles ont été mes pensées quand j’ai emballé ces accessoires, d’ailleurs j’aurai peut-être dû vous en parler, mais c’est plutôt délicat, n’est-ce pas. ?
– C’est vrai, qu’aujourd’hui ça le serait un peu moins, j’apprécie votre franchise, pardonnez-moi de vous y avoir poussé. Et vous auriez en effet dû m’en parler, ils vont me manquer… ! (Elle rougie à vu d’œil et ce petit trait d’humour est charmant, imparable et d’une onctueuse sensualité).
-Merci de cette confidence, mais puisque nous en sommes aux intimités, sachez que je vous comprends très bien et je sais que l’absence de votre mari vous pèse. Mais je suis justement là pour vous aider à le retrouver et bientôt vous serez de nouveau dans ses bras. Vous n’êtes pas le première à souffrir de cela et sans doute ne serez vous pas la dernière. D’ailleurs je dois être fou, car je vous garderais bien pour moi !
– Merci Jacques vous feriez un bon partit, mais qui sait…! Dans une autre vie peut-être. (Intérieurement je fonds comme du beurre au soleil, et mes sens sont en éveils.)Ce jour-là je maudissais le destin, car dans moins d’un jour je devrais quitter cette maison pour une autre aventure ailleurs, mais pour l’instant nous devions encore trier et emballer des objets sans intérêt dans la chaleur torride du grenier. Marianne agissait en pestant contre la poussière qui virevoltait dans la timide lueur d’une lucarne et je la trouvais terriblement sensuelle. Dans son petit short et un tee-shirt à damné un saint elle était d’une beauté sublime, sur son front quelques perles de sueur la rendaient encore plus désirable. – Jacques ! Vous matez ?…, je le crois pas, vous matez !
– Euh ! Oui, je l’avoue je mate, mais que voulez-vous, vous êtes incroyablement belle Marianne, et, surtout restez là, ne bougez pas !
– Pourquoi ?
– Parce que… ! Eh ! bien je…, avec cette lumière qui vous traverse et vos cheveux qui tombent sur vos épaules je vous le dis, jamais je n’ai vu une chose aussi admirable, alors pardonnez-moi, mais vous êtes une tentation de tous les instants et j’ai bien du mal à contenir mes émotions.
– Oui, en effet je vois très bien de quelles émotions vous voulez parler ! Écoutez, vous en avez envie ?, moi aussi, le lieu est atypique et ça fait des mois que je n’ai pas eu de relations sexuelles ni avec un homme ni une femme d’ailleurs, et…je n’en peut plus….. !Marianne n’avait pas grand-chose à enlever elle s’est avancée en me parlant de ses désirs et sa soif d’amour devait être sans limites. Le souffle court je la regardais marcher avec cette grâce prédestinée à la belle femme, ne cachant rien de ses charmes, sans fausse pudeur non plus, elle avait décidé de se donner à l’inconnu que j’étais. Lorsque je la couchais avec douceur sur le vieux canapé elle ferma les yeux et je remontais sur ses cuisses avec délicatesse. Profitant de ce qu’elle avait à offrir je pris le temps de contempler le satiné de sa peau ou se reflétait la lumière blafarde de ce jour béni. Je caressais et cajolais alors, les parties que je sus sensibles, embrassant, suçant tétons et volutes, goûtant à la finesse du mont de Vénus puis laissant jouer mes doigts aux limites de son intimité pour revenir dorloter la toison bouclée afin de la faire espérer encore un peu plus le moment d’une première extase. L’attente est une souffrance et j’en jouais avec amour, n’écoutant que sa respiration, ses murmures et les relents d’une jubilation intense quand une première fois je la trompais en trouvant l’endroit précis ou parais toute volupté.
Quand elle jouit elle ne crie pas, elle resserre ses jambes cesse de respirer et m’offre l’extraordinaire vu de ce corps qui frémit sous mes mains, puis après un léger soupir elle déploie ses jambes et d’un doigt elle cherche à prolonger l’orgasme.Mais je ne permets pas cet attouchement et décidé de mener la belle aux plus outrancières perceptions je retiens sa main et la joins à l’autre tout aussi virulente. Elle proteste sans vigueur, j’insiste elle se rend et en récompense je la gratifie d’un nouveau bonheur sensuel, Marianne cette fois me laisse entendre ce chant qui assouvit mes propres frustrassions. La petite mort se goûte aux expressions d’un visage aussi angélique que le sien et mon cœur bat alors la chamade, je pose les questions qui justifient le droit pour que disparaissent les doutes.
Marianne consent, son regard est fiévreux, elle relève ses jambes et est prête à me recevoir. Doucement je pénètre dans cette femme qui s’ouvre et s’épanche d’une douce et onctueuse coulée puis elle jouit sollicitant encore plus d’ardeur. Nous jouions ainsi de nos corps inventant sans cesse le moyen d’atteindre des sommets de plaisirs que nous savions uniques. Pour la première fois je me soumets, Marianne empoigne mon sexe mordille ma poitrine, puis elle chevauche avec fougue l’aiguillon pour une nouvelle ascension émotionnelle. Le temps s’éteint aux confins du possible, sans cesse je m’enivre d’émotions mais elle, reine au royaume des sens, contrôle le moment précis ou perclus de regrets j’abandonne au hasard d’une seconde de faiblesse l’envie de l’orgasme salutaire. Alors, elle contracte l’écrin qui m’enserre et se soulève pour libérer un instant ma verge qui, engluée de ses douceurs liquoreuses se loge amoureusement entre les lèvres satinées de son sexe.Puis le bassin se mets en mouvement lentement d’avant en arrière et le petit bourgeon frotte habilement le gland tandis que nos complaintes s’unissent pour ne plus en faire qu’une seule, ma verge prise entre ses lèvres éjacule projetant un flot de sperme saccadé sur mon pubis. Marianne reprend imperturbable la masturbation par ses grandes lèvres et je subis le poste orgasme. Cet ouragan sensoriel achève de paralyser mes sens. Elle, le regard fébrile, crie à son tour et m’offrant un tableau érotique sans pareil elle se couche enfin sur moi puis nous restons là, nus et repus sans honte n’y a priori. Nous avons passé la soirée ensemble basculant ensemble d’une émotion à l’autre et au matin notre aventure s’est achevée. Il ne me reste d’elle qu’un simple médaillon et autant de bonheur que rien jamais ne pourra me retirer « .© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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