Apér’ Ohhhh !!!
Troisième volet de mon récit mi-réalité, mi-fantasme.
Juste à deviner où s’arrête l’une et où commence l’autre.
L’atmosphère va sérieusement s’échauffer. Les plis de ma paroi aussi, pour mon plus grand plaisir…
Peut-être le vôtre aussi ?
Proposée le 7/11/2018 par Ptinouvo Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: 2CPLLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
« Ne traînes pas trop pour rentrer ce soir, Carole passe pour l’apéro avec son mari »
Depuis le temps que je n’ai pas vu Carole, c’est une bonne surprise. Petite sœur de cœur d’Agathe, elles ont quasiment grandit ensemble. Elle s’est mariée cet été.
Agathe avait assisté à leur mariage alors que moi, j’animai une sortie pédagogique avec des ados, programmée depuis longtemps, je n’ai pas pu la reporter.
Ma dulcinée m’avait montré ses photos de la noce, ils forment un joli couple, même tranche d’âges que nous. Le mari à l’air d’être une personne simple, sans superflu. Tant mieux, pas besoin de faire sophistiquer. Un apéro bien de chez nous, décontracte. Vivement ce soir.
Je suis à l’heure prévue à la maison, Agathe a mis les bouchées doubles, des toasts, des cracks-cracks, la petite table du salon est remplie.
Il est vrai que l’on adore les apéros où nous prenons notre temps, le repas qui suit souvent est comme on dit « à la bonne franquette ».
Je n’ai pas tout de suite relevé qu’Agathe s’était habillée joliment, petite jupe en coton bleue électrique et un joli chemisier blanc, assez déboutonné pour voir la naissance de ses seins, la faisant ressembler à une hôtesse de l’air. Des collants ou bas, blancs avec pleins de dessins en broderies.
Elle est très belle ma moitié.
Je file à la douche, ensuite, habits comme d’hab, jeans, tee short et pieds nus, habitude que je tiens depuis l’enfance, j’aime sentir le contact du sol.
Revenant dans le salon, au regard d’Agathe, je savais que ce n’était pas bon. Penderie, chaussettes et baskets et sweat léger blanc.
J’ai tout bon, ça lui plait, ouf!
On papote tranquillement, ils ne devraient pas tarder, une trentaine de kilomètres nous séparent.
Enfin ils sont là, brève présentation devant l’entrée de Damien, l’époux de Carole.
Celle-ci est toujours aussi agréable à regarder, un peu plus fine qu’Agathe, plus grande de quelques centimètres d’habitude, là, elle la dépasse largement, talons hauts obligent tandis qu’Agathe s’est chaussée avec des chaussures en toile bleue.
Carole, qui à son accoutumée porte des jeans, ce soir, c’est en robe légère, toute fleurie, qu’elle vient au bras de Dam’s, il aime que les gens l’appelle ainsi.
Sa tenue est plus rigoureuse, costume beige, chemise blanche entre-ouverte à col Mao, chaussure de ville.
Ils se tiennent par la main, je trouve cela mignon. Les présentations faites, on passe dans le salon.
Agathe fait assoir le couple sur le canapé, devant la table basse, face à la télé qui n’est presque jamais allumée. Juste pour des dvds, de temps à autre.
Nous prenons place dans les deux fauteuils placés face à face à chaque bout de la table.
L’ambiance est bon enfant, qui veut quoi comme boisson? Pas mal de choix, vin rosé, Martini, Bourbon, Bière, Rhum.
Pour moi, comme d’habitude, ti‘punch. En fin de compte tout le monde prend comme moi. J’adore ce breuvage, la préparation qui précède et les souvenirs de mon service militaire dans la marine avec un ami de Nouvelle-Calédonie.
Donc me voilà en train de couper des rondelles de citron vert, en mettre une au fond de chaque verre. C’est Agathe qui saisit le presse-agrume à main.
Je lui tends les verres, elle se rapproche de la table pour écraser les rondelles. C’est rigolo comme le manche de cet objet me fait penser à un sextoy, fait en alu, bout allongé et bien arrondi, émincé vers le milieu, une quinzaine de centimètres pour un diamètre de deux centimètres environ.
La prise en main d’Agathe est forte, elle broie littéralement les citrons. Il ne m’en fallait pas plus pour commencer à bander…
Je suis tellement hypnotisé par ce manche que j’en ai perdu le fil des discutions. Derrière le manche, j’entrevois les bas auto-fixant d’Agathe.
Ce que je découvre ensuite me subjugue, en lieu et place où normalement devrait se trouver une culotte ou un string, rien, nada, même pas un poil, une vulve rose, toute épilée et brillante. Je regarde Agathe qui soutient mon regard avec des yeux pleins de malice.
Et dire qu’elle n’a pas voulu que je sois pieds nus, quel toupet. A ce moment-là, je crois être devenu tout rouge et immobile comme si j’avais bogué.
Les conversations me ramènent sur terre. Etant gêné par cette situation en présence d’autrui, j’ai du mal à me concentrer.
J’apprends que Dam’s est un ancien divorcé, qu’il travaille dans une boîte de programmeur informatique, qu’il a connu Carole pendant une soirée et qu’il a été marin comme moi. Un bon point pour lui.
Agathe verse le Rhum dans chaque verre, le sucre de canne et dépose un touilleur dans chaque verre.
« Santé! » Ca réchauffe, ça fait du bien. L’apéro va bon train, moi, je guette qu’au moins personne ne remarque qu’Agathe s’exhibe face à moi et qu’apparemment, elle mouille.
Après plusieurs verres, les conversations virent à un peu plus chaud.
Agathe s’est rapprochée de Carole, assise à ses côtés sur le canapé, elles se racontent je ne sais quoi, elles rient.
Un autre verre pour tous, je me lève pour aller chercher du sirop de canne dans le frigo, Dam’s se lève pour en griller une sur le balcon. Etant un ancien fumeur, je lui dis qu’il peut fumer à l’intérieur, mais il sort quand même.
Je reviens avec la boisson, regard machinal vers les filles, Carole a le smartphone d’Agathe en main. Elles parlent doucement avec de grands sourires. Carole a les deux jambes un peu ouvertes, je suis prêt à détourner le regard lorsque je m’aperçois que la main d’Agathe a disparu sous la robe fleurie de Carole.
Faisant semblant de rien, je m’accroupis pour resservir une tournée. Carole a aussi oublié sa culotte. Son sexe lisse est luisant tout comme les doigts de ma douce et tendre.
Elles sont tellement concentrées sur ce qu’elles regardent qu’elles en ont oublié ma présence.
Pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude d’observer çà, je peux vous dire, mesdames, que c’est un spectacle au combien bandant pour nous, les hommes.
Je me relève, sans en avoir trop envie, afin de trinquer avec Dam’s sur le balcon. En sortant, je perçois le son du téléphone. C’est la voix d’Agathe « Plus vers le bord, la tête dans le vide!! ».
Je suis dehors, je donne le verre à Damien et je réalise que les deux femmes visionnent ma dernière expérience passée.
C’est vrai qu’il n’y a pas de secret entre ces deux sœurs, mais Agathe aurait pu choisir un autre moment qu’aujourd’hui, je ne vais plus savoir ou me mettre. Sans jeu de mots, merci.
C’est sans compter sur Dam’s qui, je viens de m’en rendre compte, n’observe pas le paysage mais bien les mouvements que fait le bras d’Agathe entre les cuisses de Carole.
« Quel beau spectacle, tout de même, elles font bien la paire! » me lance t’il. Je suis sans voix, j’essaie de formuler une excuse comme quoi Agathe a trop bu et je me rends compte que je viens de vider mon verre d’un seul trait.
« On entre! » me balance Dam’s comme s’il me lançait un défi. Je le suis, silencieux, les yeux rivés sur cette scène hors du commun.
Dam’s se met à genoux, accoudé à la table et admire les deux complices dans leur jeu lesbien.
Je veux me resservir un verre, plus de Rhum, direction cuisine. A mon retour, Damien est sur le canapé, à côté de son épouse et matte ma vidéo avec elle.
Je me fais tout petit tellement j’ai honte, l’impression d’avoir commis une grosse bêtise, je prends un citron, me coupe une rondelle, cherche le presse-agrume, introuvable.
Agathe me chuchote « Il est là! » en attirant mon regard vers sa main. Carole à les cuisses carrément écartées, les pieds et les fesses au bord du canapé et la robe soulevée un maximum.
Et là, je découvre mon objet, du moins la moitié, dépassant de l’anus de Carole.
Agathe le fait aller et venir, je regarde les plis de son trou du cul sortir et rentrer au gré des mouvements d’Agathe. C’est captivant, irréaliste comme vision. J’ai une de ces gaules, waouh!
Ne pouvant détacher mon regard, j’entends pourtant Carole s’adresser à Dam’s « Là, tu te rappelles ? » et Dam’s de répondre « Oui, c’est quand je lui ai limé la gorge! » Paf, en pleine tronche le Gaby, c’était eux deux, bordel!
Je ne sais plus quelle apparence avoir. Depuis le début de la soirée, ils se sont tous les trois joués de moi.
Pas en mal, je le conçois, je suis un peu en pétard quand même. Je suis toujours embourbé dans mon remue-méninges et pourtant, sans m’en rendre compte tout de suite, je suis en train de fixer attentivement le sexe de Dam’s, qu’il avait dû libérer je ne sais quand, et qu’il masturbe sans quitter des yeux la vidéo du téléphone.
Je me serre du Rhum, et je le bois d’un trait, j’en ai oublié le sucre de canne, chaud les étiquettes.
Mon regard revient vers le bourrage de fion de Carole, je me remémore mon agréable godage dans la chambre et je m’imagine à sa place. Pourtant, malgré l’envie, je reste penaud devant mes trois lascars.
Agathe, me voyant aussi incertain, me demande de retirer mon jeans et boxer et viens me chercher. On pousse tous les deux la petite table et me voilà à genoux entre Dam’s et Carole.
« Tu as deux choix, choisi un des deux sexes mais sache que je m’occupe de celui qui reste! » me balance Agathe.
Hein? La voir lécher une femme, c’est une chose, agréable j’en conviens, par contre, elle avec un autre homme, je ne crois pas que je suis encore prêt.
S’approcher d’une bite et la regarder de près avant de l’emboucher, c’est bien différent que de ne pas la voir, les yeux masqués par un bandeau.
Et puis, au diable mes préjugés, je l’ai déjà fait une fois. A côté, sur le canapé, Carole s’est allongée, Agathe est sur elle en position de soixante-neuf, mon presse agrume est tout prêt, toujours figé dans l’anus de Carole. Agathe le saisie, enlève le préservatif qui le coiffe, me tend le semblant de gode « pour ton usage personnel », comme elle dit.
Ni une ni deux, je crache sur mes doigts afin de me lubrifier le petit trou.
Je prends l’engin, le dirige derrière moi et me l’enfonce dans le cul, il est chaud, il glisse loin. Je me lime grave, en parallèle, je pompe Dam’s du mieux que je peux. Agathe me dévisage, elle rit de bon cœur « C’était pour le citron que je te l’ai passé! » Lol.
Et bing, encore un raté. N’empêche, j’aime ce plaisir que je me donne. Je stoppe gentiment ma fellation et entreprend une branlette sur Damien. Je tourne un peu la tête pour contempler Agathe lustrer du bout de la langue le sexe ruisselant de Carole.
Celle-ci presse d’une main la tête d’Agathe pour qu’elle s’aventure plus profondément. Je peux admirer sa langue qui s’enfonce très loin dans sa vulve. Grace à la pression exercée par la main de Carole, cette langue se transforme alors en petit pénis. Agathe entame la même démarche devant sa rosette et je ne peux que constater qu’elle réussit à enculer Carole avec sa langue.
Impressionné autant que moi, Dam’s se lève, retire son pantalon et slip et se place à genoux sur le canapé, fesses tendues vers moi. Je regarde cette ouverture, pas de poils à cet endroit, ni ailleurs. Purée ce qu’il est attirant ce trou de balle. Sans que l’on me demande, ça change, je lui lubrifie les bords plissés et les couilles.
Il bande dur le gaillard. D’une main, il pousse sa verge vers son entre-fesses ce qui me permet de le sucer. Pour l’avoir fait avec Agathe, je sais que c’est très agréable. Je le pompe à fond, le bout de mon nez arrive à toucher son anus. Les filles sont maintenant de chaque côté, captivées par la vision offerte.
Une main s’empare du presse-agrume, que je manipule toujours, pour prendre le relais. De ma main libre, je m’empresse de titiller le fion de Dam’s. Je suis tellement dans le feu de l’action que je n’ai pas senti que mon trou n’était plus astiqué, que les filles s’étaient absentées.
Sans trop forcer, je rentre mon pouce dans le conduit anal jusqu’à la garde. Dam’s se déhanche, il me défonce la mâchoire pendant que je l’encule du pouce. Et vlan, il me décharge dans la bouche de longs jets de foutre. Les filles reviennent alors que j’essaie de tout avaler. Elles ont l’air d’apprécier le spectacle.
On me retire le semblant de gode du cul et je suis invité à prendre place aux côtés de Dam’s sur le canapé et dans la même posture. Ce sont donc deux culs tendus que les filles observent. Lubrification au gel exécutée par les miss. C’est agréable, comme d’habitude.
« Aller les garçons, préparez le terrain avec vos doigts! », ok, je passe le bras derrière le dos, me dirigeant vers ma raie, Damien en fait autant pour lui. « Non non! On s’occupe de son partenaire, c’est plus beau à mater! ». Dam’s est déjà en train d’explorer mon trou alors que j’essaie d’imaginer le point de vue des filles.
J’y vais franco, le majeur tendu un max, je le lui rentre d’un coup. Ca coulisse tout seul, autant lui que moi. J’ajoute un deuxième doigt, ça s’enfonce et sans forcer. Dam’s me fixe mais je n’ose pas soutenir son regard. Quand il me met un deuxième doigt, j’écarquillai les yeux, ça aussi, il l’observe. Je respire plus fort et plus vite, la bouche entre-ouverte.
« On arrive, dégagez le passage », juste le temps d’enlever nos doigts et une impressionnante poussée sur mon orifice. C’est super gros, énorme même. Enculé violemment par ma gonzesse. Pas le temps de reprendre mes esprits qu’elle m’astique magistralement le rectum. A ce rythme, je vais décharger rapidement.
Pour Dam’s, ça se passe plus calmement, en douceur. Agathe en veut, j’essaie d’écarter les parois de mon anus avec deux doigts en ciseaux autour du gode, je le sens glisser entre mes phalanges pour me pistonner l’intérieur, c’est trop tentant, je l’accompagne du majeur. Je suis rempli, le plaisir grimpe de plusieurs niveaux.
Agathe doit savourer la scène, elle me laboure les intestins.
« On change de position, vous vous mettez sur le dos », ok, mais retires toi d’abord.
Je pivote et je me retrouve face à Carole, et toc, encore une fois, je me suis planté. Agathe, qui enfonce déjà son engin dans le derrière de Dam’s est aux anges. Son gode est plus petit que celui que je prends dans mon trou, elle en perd pas une miette.
Elle branle Damien et me dévisageant, ça me fait drôle que ce n’est pas mon sexe qu’elle secoue si bien.
J’ai les bords de l’anus qui chauffent au bout d’un moment, j’implore une pause refroidissante. Fou rire général.
Carole se retire, lentement, Agathe fait de même, elle s’est juste agenouillée devant Dam’s et continue de le masturber.
Je me place derrière elle, la fait se placer à quatre pattes. Je suis debout, je fléchie un peu les genoux et présente mon gland au niveau de son cul.
« Si tu pousses, ça va me rapprocher de Damien » me lance Agathe en posant ses lèvres autour du gland de Dam’s pour me défier. Trop envie de la bourrer, je force lentement en regardant le sexe de Dam’s disparaitre dans sa bouche. Je suis maintenant au fond de son cul, et elle, une queue butant dans sa gorge.
Observant ma confusion, Carole passe derrière moi, m’écarte les fesses et présente son gode à l’entrée de mon cul encore en feu. »Je ne bouge plus, si tu veux que je t’encule, c’est à toi de bouger. »
Me voilà en train de reculer vers elle, le sexe de Dam’s sort peu à peu de la bouche d’Agathe. Me voici maintenant en train d’effectuer des mouvements de bassin d’avant en arrière entrainant malgré moi le coulissement du pénis de Dam’s dans la cavité buccale de ma douce. Pour accentuer le plaisir de Dam’s, Agathe lui branle le cul pendant sa fellation « forcée ». Ça me fait encore bizarre d’assister à cette pipe mais la force avec laquelle je m’empale sur le gode me fait exploser. Je rempli le cul de ma chérie, je me tape un orgasme anal intense. J’ai arrêté mon va et vient. Et là, j’admire Agathe pomper seule Damien.
Je me place à côté d’elle, Carole retire son faux membre et s’assied sur le canapé, sa moule à portée de mes lèvres.
C’est trop tentant, je me laisse aspirer par l’envie de la brouter. C’est comme un ruisseau qui se déverse sur mes lèvres, ma langue essaie de tout éponger mais je bois la tasse, ma bouche se remplie. Non, ce n’est pas son urine, c’est un jet, un robinet ouvert à fond. L’odeur est très agréable et j’avale tout ce qu’elle jouit. Je suis complètement trempé, pour de vrai, son plaisir coule le long de mes joues, mon cou et sur mon sweat. Mince, je ne l’avais pas retiré !!!
Je regarde vers Dam’s, je souris, il a gardé sa chemise. Je surprends Carole qui s’allonge par terre, se faufile entre les cuisses d’Agathe. Son clito va trinquer, euh!, il déguste déjà d’après les gémissements de ma chérie. Et je la contemple alors qu’elle pistonne encore plus vite cette bite qui n’est pas la mienne.
Dam’s balance tout son jus dans la bouche d’Agathe qui ne recrache rien. Et moi je suis en admiration. Mon amour se tourne vers moi et me roule une pelle. Echange de salive, de sperme et de mouille. Il y a peu de temps, j’aurai carrément vomis mais là, je prends cela comme une récompense. Agathe jouis enfin sous les coups de langue de Carole et moi, je ne sais pas pourquoi, je me mets à lécher le méat de la queue de Dam’s. Quelques perles de sperme s’échappent encore de cette bite, j’aspire le gland pour ne rien perdre.
Puis, tous, nous nous calmons peu à peu. J’ai du mal à remettre en ordre dans ma tête le fil de cette soirée, qui a fait quoi, qui a pris quoi. J’ai le trou du cul un peu douloureux, des effluves de plusieurs parfums se dégagent de ma peau.
Je vois le presse-agrume sur le sol, je ne le regarderai plus jamais comme avant!© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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