Christine abdique sous les coups de boutoir
Patrick continue son traitement jusqu’Ă ce que Christine lui demande grâce, sa chatte est en feu.
Elle n’a jamais connu un amant pareil
Proposée le 15/07/2015 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
LE HAREM DE PATRICK
17ème EPISODE
2ème partieChristine, ne peut plus se passer de mon Ă©norme biteElle a l’air surprise par mes paroles- Que veux-tu dire? Oh non, je ne peux plus ! Pas maintenant, une autre fois.- Haha, très drĂ´le, tu oublies que j’ai carte blanche.
Il m’attire contre lui. Le seul contact de nos peaux m’arrache un râle d’émoi. Il met mes bras autour de son cou, me soulève pour nouer mes jambes autour de ses hanches.
J’ai un petit cri de protestation quand il empaume ma croupe encore sensible de sa fustigation.. Patrick dans le même temps passe ses mains sous mes cuisses, plie les genoux pour plus aisément m’embrocher, se redresse et me cloue contre le mur.Il me possède ainsi un bon moment accroché à lui sans me laisser reprendre pied. Sans quitter l’étui chaud où il est fiché il pirouette sur place et s’assied sur le bord du lit.
Je suis maintenant agenouillée au-dessus de lui. Mon ventre entame un mouvement de houle, montant et descendant autour de l’épieu qui le remplit.
Je gĂ©mis et soupire, il m’attrape et me bascule sur le dos alors que je tente de l’arrĂŞter, Ă©carte mes cuisses et glisse son gland dans ma chatte et d’un coup sec enfonce la totalitĂ© de sa queue en moi sans aucun problème!
– ArrĂŞte, Patrick, je suis Ă©puisĂ©e ! J’en peux plus… s’il te plaĂ®t ! Tu m’as bien baisĂ©e mais je suis bonne Ă jeter! J’ai plus de force.
– Emilie m’a ordonnĂ©e de te baiser jusqu’Ă ce que, moi, je n’en puisse plus. Alors comme tu peux le voir ma bite rĂ©clame encore ta magnifique chatte qui vient de m’accueillir sans rechigner…elle!Et sans un mot de plus, il reprend ses coups de boutoir Ă©normes de sa queue pleine de vigueur dans ma grotte bien rouge pendant que je râle de plaisir. Mais bien vite, mes protestations se transforment en gĂ©missement de plaisir et j’accompagne mĂŞme ses mouvements.
Après une dizaine de minutes d’intenses martèlements dans ma chatte, il ralentit et me baise doucement en prenant soin de faire aller et venir son bĂ©lier sur toute sa longueur et de compresser mon clito quand il est Ă fond. Je gĂ©mis pendant toute la durĂ©e ou il s’enfonce et mes gĂ©missements sont modulĂ©e en fonction de sa pĂ©nĂ©tration. -OOOOOH…hooooooon…OOOOOOH…,Ouuuuiiiiiii…OOUUUUUIIIIIII….ooouuuuiiii…. Ohhh, ouiiiiiii, baiiiiiise-moiiii !
Je goute les yeux fermés mon plaisir qui monte lentement en puissance.
– Ooooohhhh, que c’est boooonnnn ! Mon dieu Patrick…
Sur ces mots il reprend un rythme plus rapide. A chaque pĂ©nĂ©tration complète, il appuie fort contre mon clitoris et j’observe sa verge qui me pĂ©nètre:
– Oooohhhh …Patrick… tu me baise si bien! Je la sens ta grosse bite! Elle me remplit complètement mon vagin…Whaaaa…c’est incroyable, je la sens partout! Aaaaaaaahhhhhhh, ouiiiiiiiiii…que c’est booooonnnnn ! AAAAAAAHHHHHHHHHHH….Je jouis de nouveau en hurlant des insanitĂ©s et d’un seul coup mes yeux se retournent dans leur orbite et ma tĂŞte tombe en arrière.
Je reviens doucement Ă moi après cet Ă©vanouissement, Ă bout de souffle, et le fixant droit dans les yeux. Il prend ça comme une reddition, je me soumets Ă sa volontĂ© et il peut faire de moi ce qu’il veut!
Rapidement il lève mes jambes, appuie mes cuisses sur mon torse et coince mes pieds derrière ma tête.
– Ooooohhhh…salllaaauuudd…doucement, tu vas me tuer comme çaaaaaaaaa!
Je gémis quand il ajuste sa position et reprend ses longues poussées dans ma chatte écartelée et bien accessible.
– Umph…… Ooooooh… Mon Dieu… Outch… Oui…Aiiiiiillllll…et d’autres grognements saluent chacune de ses poussĂ©es.
Il roule des hanches à chaque poussée de sa queue dans ma grotte luisante pour être sur de masser toute les parties internes de mon vagin.
Étonnamment, je trouve encore la force de pousser mes hanches encore plus haut pour rĂ©pondre Ă sa bite quand elle plonge au trĂ©fonds de mon vagin.Mais mon orgasme est de nouveau lĂ et ma chatte se contracte tellement qu’il est pratiquement impossible pour lui de bouger sa queue dans ma chatte en feu…
Je l’embrasse pendant mes premières convulsions avant de crier;
– OH MON DIEU, c’est tellement bon ! OH OUI, BAISE-MOI ; BAISE-MOI PLUS FORT! OH OUI COMME ÇA ! JE JOUIIIIIIISSSS, OH MON DIEU ça n’arrĂŞte pas! Ouuuiiiiiiiiiii ! Oh putain, oh non de Dieu, oui, oui, oui, oui, oh la vache! Ça continuuuue, Vas-y, baise-moi, oh Patrick…t’arrĂŞte surtout pas…, tout va bien, oh ne te retiens pas !Il voudrait bien bouger plus mais sa verge est prisonnière. Enfin mes muscles se relâchent et il peut retirer sa queue,
– Whaaaaoooooouuuuuu Je jouiiiiissssss encooooore! Putain de salaud, je vais mouriiiiirr!
Je respire difficilement, ma tête battant de tous coté et mes râles de plaisirs ressemblent plus à des cris de douleur.
– Oh mon Dieu, s’il te plaĂ®t arrĂŞte ! Je ne peux plus te supporter ! Oh s’il te plaĂ®t Patrick, s’il te plaĂ®t arrĂŞte, mon ventre va exploser!
Il ralentit ses poussĂ©es abaissant progressivement l’intensitĂ© de ma jouissance puis, avec sa bite enfoncĂ©e jusqu’au bout, il m’attrape par la taille et me tire vers le bas du lit, me faisant gĂ©mir Ă nouveau.
Il monte mon cul en l’air en maintenant fermement sa bite dans ma chatte. Une fois en place, il repositionne ses jambes pour soutenir mon dos et il peut plonger son pieu, Ă la verticale, dans le trou bĂ©ant de ma caverne.
Je râle comme une hystĂ©rique sous les coups de vit de mon Ă©talon le supplie.- Oh Patrick s’il te plaĂ®t, je n’en peux plus. Tu vas finir par m’Ă©clater ma chatte ! Je ne peux plus jouir non plus ! Oh s’il te plaĂ®t arrĂŞte, tu entres dans mon ventre, ArrĂŞte! Je t’en prie!
Il me donne quatre longs coups avec son fabuleux chibre dans ma chatte dégoulinante malgré ma position verticale et me rétorque:
– Il ne fallait pas me dĂ©fier. Si tu a encore la force de dire que tu ne peux plus continuer Ă prendre ma bite cela signifie que je n’ai pas encore fini de t’anĂ©antir de jouissance.
Et il recommence à pistonner ma chatte en sortant à chaque fois pour se réintroduire de nouveau dans mon trou béant.
Après une dizaine de minutes mes muscles vaginaux animés d’une vie propre, entrent de nouveau en action et enserrent étroitement son sexe à chaque pénétration. Ma respiration est de plus en plus laborieuse.
Il s’assoie par terre m’entrainant avec lui et en tombant je m’empale jusqu’aux couilles en criant
– Non de dieu, tu transperce mon corps!En moins de deux minutes ses couilles lâche leur rĂ©serve de jus et je crie de nouveau :
– Oh mon Dieu ! Baise-moi, baise-moi, baise-moi, Oh Dieu, je jouis encore! Oh merde…Vas-y! Prends-moi! Ouiiiiiiiiii…je jouuuiiiiissss! Non de dieu, je jouiiiiiissssss ! AAAAhhhh… la vache ! Je Joiiiiiisssssssss
Sa première giclĂ©e de lave blanche frappe ma matrice, c’est merveilleux ce qu’il me fait et je le supplie:
– Donne-moi tout ! Remplit moi de ton sperme brulant OOOOOhhhhhhh que c’est booooonnnnn…je la sens qui me remplit la chatte! Aaaaaaaahhhhhhh…Ouiiiii…donnes- en moi encore et continue de me baiser!
Je n’arrĂŞte plus de crier en soulevant mon cul pour me laisser retomber et bien sentir son gland frapper le fond de mon vagin et dĂ©verser son flot de semence.
– Oh mon Dieu tu baises bien mon salaud, tu n’arrĂŞtes donc jamais! Mais c’est moi maintenant qui te baise ! Tiens… et retombant: prends encore ça salaud! Baise-lĂ ma chatte et continue de me donner ton foutre! Salaud de baiseur!
La source de sperme qui sort de sa bite se tarit et pendant que je me soulève sa main droite se glisse dans mon entrejambe et pince et tire mon clitoris gonflé et dur comme du fer.
– DOUX JÉSUS ! Ça recommence! Je jouiiiisssssss… encooooore! Oh mon Dieu, AAAAAHHHHHHH!Il ralenti le rythme de mon bassin sur son pieu de chair en me bloquant contre lui, bien emmanchĂ©e sur son dard, et me laisse hurler une nouvelle fois ma jouissance sous l’effet de cet orgasme fulgurant.
Quelques minutes plus tard, mes spasmes diminuent et les contractions de ma chatte s’estompent et je gĂ©mis doucement;
– Oh mon Dieu, jamais… non jamais… je n’ai jouis comme cela. Jamais avant toi ! Oh mon Dieu, c’est si bon, ta bite est si bonne…
Et je m’effondre dans ses bras. Il me soulève sa queue toujours dans ma chatte et me bascule sur le lit oĂą je tombe sur le dos.
Mon vagin serrĂ© par l’orgasme laisse Ă©chapper sa bite et je reste immobile, les cuisses Ă©cartĂ©es, la chatte encore grande ouverte, qui laisse tous le jus que j’ai emmagasinĂ© s’Ă©chapper lentement pendant que je reprends ma respiration.
– Oooohhhh, non! Je suis tellement sensible que j’ai des spasmes rien qu’en frĂ´lant ma chatte! Je…OOOOOhhhhhhh, mon Dieu Patrick, trop sensible ! OoOoOoOh …Arreeeeete!
Il caresse ma jambe en me faisant remarquer:
– Tu es incroyable ! Je sais avec certitude d’oĂą Emilie tient sa beautĂ© ! Tu es aussi belle et aussi rayonnante qu’elle après l’amour.Je lui rĂ©torque complètement Ă©puisĂ©e.
– Ce n’est plus la peine de me flatter. Tu obtiendras tout de moi! Et je crois bien que tu es prĂŞt Ă tout!
Je trouve quand mĂŞme la force de l’embrasser amoureusement, ma langue cherchant la sienne pour bien lui faire sentir mon plaisir. Apres ce long et doux baiser je lui avoue:
– Je crois que ma fille a vraiment trouvĂ© l’Ă©talon que nous recherchons toutes dans la famille. Si elle ne t’Ă©pouse pas, moi je le ferai. Dans la seconde qui suis! Mari ou pas! Nous nous embrassons Ă nouveau et nous restons enlacĂ©s, plutĂ´t encastrer l’un dans l’autre jusqu’Ă ce que je sois soit capable de bouger et lui ordonne:
– Bon, aide-moi Ă me lever, je pense que je peux marcher maintenant. Crois-moi, je ne te demanderais plus de me baiser aussi fort et aussi longtemps que tu peux! Maintenant je sais que tu peux!
Il me tire hors du lit mais mes jambes ne me portent plus, il me rattrape rapidement et me soulève en me demandant de mettre mes jambes autour de sa taille ce que je fais sans arrière pensĂ©e mais sa bite relève dĂ©jĂ la tĂŞte et glisse tout droite dans ma chatte et il me laisse redescendre m’empalant entièrement sur son gourdin et commence Ă sortir de la chambre Ă coucher.
Je le supplie:
– Oh mon Dieu! Patrick! ArrĂŞte de mettre ta bite dans ma chatte! Ce n’est pas possible tu es increvable! Je ne peux plus supporter ton monstre!
– Pas question! Tes jambes ne te portent plus.
– Oh merde, ArrĂŞte, Patrick!
– Mais j’arrĂŞte! Je ne te baise pas. Je t’aide seulement Ă descendre l’escalier
Et marchant dans le couloir je tressaute sur son gourdin enfoncé complètement dans mon sexe.
Quand il commence Ă descendre les marches je hurle,
– Non, Patrick non ! Oh mon Dieu, ça y est… Ça recommence! Tu me baise! OOOOOhhhhhhh, elle me dĂ©fonce et je la sens bien. Ouuuuiiii… oh oui, baise-moi, BAISE-MOI!
Cela dit, je me suspends Ă son coup pour lever ma chatte hors de sa queue presque complètement avant de me laisser retomber avec force vers le bas pour me baiser toute seule pendant qu’il maintient mes fesses pour qu’elle ne s’Ă©chappe pas et coordonner sa bite de concert avec mes mouvements.Au moment oĂą nous avons atteint le bas de l’escalier, je hurle sous un Ă©nième orgasme qui Ă©clate dans mon corps en transe.
Mes hanches bougent comme branchĂ©es sur du 220V et martèlent son pal et je lui mords l’Ă©paule pour attĂ©nuer mes cris.
Apres quelque pas hors de l’escalier mon orgasme s’apaise et tout mon corps s’affaisse comme une poupĂ©e dĂ©sarticulĂ©e dans ses bras. Il s’assoit dans la cuisine sur une chaise sa bite fermement enfoncĂ©e dans ma grotte en feu.
Il soulève mes fesses et me laisse retomber sur sa barre de fer. Mes gémissement sont de plus en plus fort:
– Patrick s’il te plaĂ®t, s’il te plaĂ®t, j’en peux plus, je ne peux pas… Ohhhhhhhhhh !
Il me donne un autre coup de bite.
Il donne quelques coups de bassin enfonçant son pal au maximum.
Je n’arrĂŞte plus de gĂ©mir mais quand il pince un de mes tĂ©tons entre ses doigts je rĂ©agis en levant mon cul pour redescendre sur son pieu.Je continue Ă serrer mes cuisses pour soulever ma chatte sur sa queue d’une dizaine de centimètres avant de me laisser retomber pour me rĂ©-empaler Ă fond.
– Oh mon Dieu, Emilie, mon bĂ©bĂ©, sa queue est si bonne ! Je t’aime, j’adore ce que tu m’offre et ce qu’il me donne! Ohoooooooo…ouiiiiiiiiii, prend-moi…baise-moi, merci ma fille,… oh Dieu, je suis si sensible !
Et je sens venir nouvel orgasme, les mouvements de haut en bas qu’il m’impose d’abord lents s’accĂ©lèrent au fur et Ă mesure que mes gĂ©missements augmente de volume
– Oooohhhh OOOOOHHHHH… AAAAhhhhhh AAAAAHHHHHHH…Moins de trois minutes s’écoulent avant que je vienne frapper durement son pubis et hurle:
– OOOOOOIIIIIIIIIII, je jouiiiiiisssssssss! Aaaaaaaahhhhhhh, que c’est booooonnnnn!- Oh mon Dieu, oh mon Dieu, c’est tellement bon et si fort, je suis toujours en train de jouir ! OH JE N’ARRĂŠTE PLUS DE JOUIR SUR SA BITE! Je jouiiiiiisssssssss…. Et j’aime ça! C’est merveilleux! Qu’elle est bonne sa queue!
– HAAHUUUMMMMMAAAAAAAAOHHHHHhhhhh! Haaaaaaouuuuuu.Mon vagin se contracte automatiquement sur sa queue qui me remplit toujours.
Doucement il me dépose et essai de retirer son sexe.
– Oooohhhh la vache,. Tu es toute rouge! Et ta chatte est si contractĂ©e qu’elle retient encore ma bite!
En effet en tirant sa bite, un anneau de chair c’est formĂ© autour d’elle, la comprimant fortement Ă tel point qu’il est obligĂ© de forcer pour se dĂ©gager, sous mes cris, pendant que nos jus combinĂ©s inondent la table.
– Nooooooooonnnnnn ! Il me donne un dernier baiser d’adieu et me chuchote, « n’ importe oĂą et n’importe quand, Christine!
– Va-t’en Patrick!Je regarde Patrick et lui avoue:
– Mon Dieu, Patrick, Qu’as-tu fait de moi ? Tu es ici depuis moins d’un jour et tu ma dĂ©jĂ prise dans toutes les positions, je n’ai pas arrĂŞtĂ© de jouir comme une dingue et tu m’as mĂŞme enculĂ©!
Je descends de la table, lui donne un baiser puis saisis son sexe et lui donne quelques coups de langue avant d’arrondir mes lèvres et de faire entrer sa bite profondĂ©ment dans ma gorge.
Ă€ l’aide de mouvements extrĂŞmes de succion et de langue je rĂ©ussis Ă extraire quelques gouttes de sperme, puis me penche en arrière avec un regard satisfait sur son visage.
Je l’implore:
– Patrick, Merci de laisser cette chose loin de moi avant que j’oublie combien je suis extĂ©nuĂ©e et que je grimpe dessus de nouveau mais comment peux tu encore bander après plus de 2h00 de copulation avec moi sans parler de ce que tu a dĂ©jĂ donnĂ©e avec ma fille?Emilie m’a expliquĂ© le cas de Patrick par la suite.
– Patrick est un cas clinique et j’ai fais des recherches sur le Net. Hormis qu’il soit dotĂ© d’un sexe d’une taille largement au dessus de la moyenne et surtout d’une Ă©paisseur très rare, 1 chance sur 1000 ou plus de tomber sur un tel Ă©talon, il a deux particularitĂ©s spĂ©cifiques.
– Il est frappĂ© d’un priapisme lĂ©ger qui lui permet s’il le dĂ©sire de pouvoir rester en Ă©rection pratiquement aussi longtemps qu’il le veut.
Sa 2ème particularitĂ© s’appelle l’hyper spermatogĂ©nèse, une production dĂ©bridĂ©e de semence qui lui permet des Ă©jaculations très rapprochĂ©es et nombreuses avec un volume de sperme Ă©norme.
La probabilitĂ© de tomber sur un cas comme le sien est Ă©gale Ă celle de gagner le gros lot au loto!Oui, je commence Ă comprendre pourquoi tu appelles cet Etalon Mr PĂ©nis et l’effet qu’il produit sur nous, surtout prend en soin, je ne vais plus pouvoir m’en passer!© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Christine, la mère d’Emilie
Ma belle soeur Christine
Sous la tente
Néé sous le signe des gémeaux
Sous les toits de Paris