Comment j’ai fais connaissance avec la petite amie de mon fils
Amelie est la petite amie de mon fils. Je ne la connaissais pas jusqu’Ă ce qu’elle vienne passer quelques jours Ă la maison Ă cause de ce satanĂ© COViD.
Je ne prĂŞtais pas du tout attention Ă cette « gamine » jusqu’au jour oĂą….
Proposée le 30/10/2020 par sorggulp Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
« Amelie va venir chez nous pendant quelques temps. Sa mère a été testée positive au COVID et elle ne veut pas prendre de risques » me dit Nathalie tandis que nous dinions .
Sur le coup, je ne réagissais même pas à cette information. Par ailleurs, je ne connaissais que très peu la copine de mon fils. J’avais dû la croiser deux ou trois fois alors qu’ils se fréquentaient depuis bientôt un an.
Ma vie de couple fonctionnait bien si ce n’est qu’au fil des années, une sorte de routine s’était installée lentement mais inexorablement. La faute en grande partie au travail comme chez d’innombrables couples.
« Ah ! Quand vient-elle ? » finis-je par répondre sans montrer le moindre intérêt à la discussion tandis que je regardais le journal télévisé.
« Demain soir »
La discussion sur ce sujet en resta lĂ .
Lorsque j’ouvrais la porte d’entrée le lendemain, j’étais encore plongé dans mes pensées professionnelles lorsque je découvrais la présence de la fameuse Amélie assise à la table de séjour.
Brune, chevelure épaisse, visage de jeune femme, Amélie semblait très épanouie.
Je remarquais de suite le décolleté mettant en valeur sa peau d’une blancheur troublante.
C’était la première fois que je pouvais discuter avec elle et je ne m’en privais pas. Cela me permettait de l’observer discrètement.
Je remarquais immédiatement son regard franc pendant qu’elle me parlait de ses études. Lorsqu’elle s’adressait à mon fils, je laisser mon regard se balader sur elle. Souhaitant la mettre dans les meilleures dispositions, je lui annonçais que je considérais qu’elle faisait partie de la famille et qu’elle était chez elle. Le tutoiement était également de rigueur dans la maison.
Le repas étant terminé, nos deux tourtereaux prenaient la direction de leur chambre. Discrètement, je jetais un œil lorsqu’ils me tournèrent le dos. Je pouvais alors apprécier les formes particulièrement agréables de la jeune femme.
Il en avait de la chance le fiston ! Pensais-je en laissant mon regard glisser sur ses jambes pour ensuite remonter sur ses fesses parfaitement moulées par un jeans noir.
Les jours suivants, je la croisais en pointillés dans le séjour ; Elle travaillait en visio quasiment tous les après-midis, un casque vissé sur la tête et l’œil rivé sur son écran d’ordinateur portable.
Je ne laissais toutefois jamais passer l’occasion de l’observer dès qu’elle était plongée dans ses cours. Sa lourde chevelure brune me troublait particulièrement ; D’ailleurs, je la félicitais pour celle-ci. elle me remercia avec un grand sourire tout en secouant son épaisse tignasse et en passant une main dedans.
Se redressant sur sa chaise, elle s’étira mettant ainsi en valeur sa poitrine. Je ne pouvais m’empêcher de poser mon regard sur celle-ci. Amelie sembla ne pas du tout s’en offusquer. Au contraire, elle s’étira encore plus longtemps accentuant encore plus la compression du T-shirt sur sa poitrine.
Je devinais aisément une poitrine généreuse. Plus surprenant encore, je distinguais parfaitement la pointe des tétons dressés sous le tissus.
Le lendemain, de retour d’une grosse journée de travail, je décidais de me reposer un peu dans la chambre. L’appartement était parfaitement silencieux. C’était l’occasion pour prendre un peu de repos avant le dîner. Je commençais à m’assoupir lorsque de légers bruits de mouvements se firent entendre dans la chambre voisine. Je n’y prêtais pas vraiment attention dans un premier temps.
Mais je sortis brutalement de ma léthargie lorsque des gémissements féminins parvinrent à mes oreilles. Je réalisais alors que le jeune couple s’envoyait en l’air pensant être seuls dans l’appartement. Mon fils passait à la vitesse supérieure lorsque le son caractéristique du claquement des deux corps se mêla aux gémissements continus d’Amélie. Je pouvais entendre les râles de plaisir de mon fils à chaque poussée.
J’imaginais mon fils prenant en levrette Amélie juste derrière la cloison de la chambre .
La scène m’excitait terriblement et je ne tardais pas à libérer ma queue de sa prison de tissu pour me caresser en écoutant le jeune couple baiser comme des sauvages. Je jouissais en même temps que les jeunes tourtereaux. Décidemment, cette jeune femme semblait avoir de la personnalité !
Le lendemain matin, sortant d’une grasse matinée bien méritée, je me dirigeais vers la salle de bains. J’étais encore dans un demi-sommeil lorsque je poussais la porte de celle-ci sans regarder devant moi. Amélie poussa un cri de surprise lorsqu’elle me vit apparaitre dans l’encadrement de la salle de bains . Je bredouillais des excuses inaudibles tout en refermant précipitamment la porte. Malgré la rapidité de l’action, j’avais eu tout le loisir de voir ce qu’elle faisait lors de mon irruption.
Assise les cuisses écartées sur le rebord de la douche, elle tenait un rasoir d’une main tandis que l’autre était plaquée sur le bas-ventre. Mon regard s’était instinctivement posé sa fente entièrement lisse seulement surmontée d’un petit buisson brun. Sa poitrine comprimée entre ses bras paraissait encore plus généreuse que je ne l’avais imaginé quelques jours avant.
Je me réfugiais dans la chambre tout en bredouillant à Amélie au travers de la porte qu’elle me fasse signe lorsqu’elle libèrerait la place.
Mon cœur battait la chamade. Mon imagination était en ébullition. Comment allait-elle se comporter avec moi maintenant ? Allait-elle m’éviter ?
On verra bien.
Evidemment, lorsque je prenais place dans la salle de bains, je ne pouvais m’empêcher de me caresser sous la douche en imaginant la scène précédente. Je terminais ensuite ma toilette intime et sotais de la salle de bains vêtu d’une robe de chambre. Il était temps de prendre le petit déjeuner
Amélie était assise à la table du séjour lorsque je posais mon verre de jus d’orange sur celle-ci.
Elle portait également une robe de chambre en satin noire qui la rendait encore plus excitante…
Amélie tournait nerveusement sa cuillère dans la tasse de café.
« As-tu bien dormi ? » lui demandais-je afin de briser le silence.
« Oui surtout que la journée d’hier a été épuisante »
« Avec les galipettes que vous faites l’après-midi, je ne suis pas étonné ! » répondis-je sans mesurer la portée de mes paroles. Je regrettais de suite celles-ci.
Amélie me regarda alors avec un sourire espiègle.
« Je savais que tu étais dans la chambre à côté » me dit-elle alors en se dirigeant vers moi.
Sans me laisser le temps de réagir, elle se plaça derrière ma chaise et me caressa le torse d’une main tandis qu’elle m’embrassait dans le cou. J’étais tétanisé par la rapidité de . Sa main parcourait mon ventre puis se posa sur ma queue qui prenait déjà de belles proportions. Je sentais le souffle de sa respiration à mon oreille. Sa main parcourait lentement mon sexe sur tout sa longueur, enveloppant mes couilles d’une chaleur exquise.
« Tu m’excites beaucoup, j’ai envie de faire l’amour avec toi «
Sa bouche se colla alors à la mienne. N’hésitant plus une seconde, je glissais une main sous la robe de satin. Elle ne portait rien en dessous la coquine ! Parcourant ses fesses quelques instants, ma main se fraya un passage entre celles-ci pour ensuite parcourir les grosses lèvres toutes lisses. Amélie m’embrassait comme une affamée tout en respirant de plus en plus fort. Sa main s’activait également sur mon sexe fièrement dressé. Mes doigts parcouraient sa chatte trempée ne tardant pas à trouver son clito dressé de plaisir. Je le triturais arrachant des cris de plaisir à Amélie. Ma main était trempée de cyprine ; je glissais deux doigts dans son fourreau intime ce qui la rendit comme folle.
Ecartant les pans de ma robe de chambre, elle se plaça à genoux entre mes cuisses et enfila directement ma queue entre ses lèvres. Je sentais la chaleur de sa bouche se répandre tout au long de ma queue. Lui caressant les cheveux, je fermais les yeux en basculant la tête en arrière. j’hallucinais.
Elle savait s’y prendre la bougresse ! Ses deux mains s’activaient partout sur mon bas-ventre sans qu’elle stoppe pour autant de me sucer. Je n’allais pas tenir bien longtemps à ce rythme !
Amelie sembla lire dans mes pensées car elle se redressa subitement pour s’empaler sur ma queue.
Je n’avais même pas eu le temps de réaliser qu’elle s’était assise sur moi qu’elle s’activait comme une damnée sur mon sexe tout en secouant la tête dans tous les sens en poussant les mêmes cris que dans la chambre de mon fils.
Ses seins se balançaient au rythme des coups de boutoirs qu’elle s’infligeait.
N’y tenant plus, je la prenais pas la taille et la pénétrait encore plus sauvagement. Je réussissais à gober un sein du bout des lèvres. Je mordillais le téton ; Le résultat ne se fit pas attendre ! Amelie poussa des cris de plaisir.
Elle glissa une main entre ses cuisses et malaxa mes boules en guidant ma bite dans son fourreau dégoulinant.
Ce furent les caresses de trop. La tenant des deux mains par les hanches, j’accélérais encore la cadence tout en déchargeant longuement en elle. Je respirais comme un forcené quand Amélie poussa un cri sourd. Je ressentais les contractions de son vagin sur ma bite devenue hyper sensible. Sa langue fouillait ma bouche tandis qu’elle me tenait la tête des deux mains.
Elle semblait possédée.
Ses longs cheveux fouettaient mon visage à chaque poussée. Amelie s’empala une dernière fois sur ma queue. Remuant alors lentement le bassin, elle semblait vouloir sentir mon sexe au plus profond d’elle-même. Elle fit glisser une main entre ses cuisses puis caressa doucement mes bourses. J’embrassais tour à tour ses seins en les malaxant doucement au creux de mes mains.
Reprenant ses esprits, elle me regarda d’un air de femme épanouie :
« J’espère ne pas trop te choquer, beau papa ? »
« Mon fils a beaucoup de chance » lui répondis-je les yeux fermés.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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