Coralie 02 Phase d’envol
Coralie continue l’initiation avec son mentor, qui est aussi son patron. Lequel prend du plaisir aux sĂ©ances, mais espère que les relations avec sa collaboratrice ne seront pas altĂ©rĂ©es.
Proposée le 27/09/2016 par Larges Epaules Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Roman
Je me réveille seul le lendemain, au milieu de ces draps qui sentent l’amour. Le soleil est déjà haut, il doit être onze heures. Je suppose que Coralie a dû regagner sa chambre ou alors profite du soleil omniprésent en ce jour de mai.J’appréhende un peu notre prochain contact en espérant que les évènements de la nuit n’auront pas altéré notre relation.
Je la trouve en bas, à la réception, en grande conversation avec la réceptionniste.
– Bonjour AndrĂ©, j’espère que vous avez bien dormi !
– Bonjour Coralie, j’ai bien dormi, mais sans doute pas assez longtemps. Vous savez on conseille aux vieux d’avoir des heures de sommeil rĂ©gulières…
– Je suis dĂ©solĂ© d’apprendre cela, mais vous avez un long week-end pour rĂ©cupĂ©rer…
Ce premier contact a été le meilleur possible, rien ne trahissait nos escapades dans son regard ou son comportement.
– J’ai essayĂ© de confirmer le vol de cet après-midi, mais il semblerait qu’il y ait de l’overbooking suite Ă la grève. La compagnie a proposĂ© un vol dĂ©finitif pour demain contre une compensation pour ceux qui acceptent de rester une nuit de plus. On peut aussi faire 500 km en voiture jusqu’à Madrid pour prendre un vol Ă 20 heures.
– VoilĂ qui est très gĂŞnant, il me semblait que tu avais une place pour le match de ce soir.
– En effet, je risque de devoir le regarder en diffĂ©rĂ©, et j’avais promis Ă Matthieu de l’accompagner.
– Les 500 bornes en voiture me tentent peu et j’ai fort envie d’accepter la proposition, et de profiter de l’Espagne un jour de plus. Pourquoi ne pas bronzer cet après-midi ? Ce soir on pourrait s’enfermer chacun dans sa chambre avec un bon bouquin, en râlant sur les syndicalistes du coin.
– On distingue bien en vous les caractĂ©ristiques du vrai leader, avec une vision Ă long terme et un esprit de dĂ©cision rarement pris en dĂ©faut. A propos j’ai reçu ce matin un SMS. Nos quatre collègues d’hier n’ont pas eu leur vol Ă Madrid, et ils ont eu le plus grand mal Ă trouver un hĂ´tel. Ils sont maintenant Ă l’aĂ©roport, et il n’est pas certain qu’ils aient un vol ce jour non plus, c’est le grand bazar, car il semblerait que la grève des contrĂ´leurs aĂ©riens puisse s’étendre Ă toute l’Espagne.
C’est donc très joyeux que nous prenons le petit déjeuner. Coralie se renseigne sur les beaux endroits de la côte ou aller à la plage, de préférence isolés.La boutique de la veille est fermée jusqu’à trois heures, ce qui oblige à continuer sans maillot de bain. Nous improviserons. Une chance que la réceptionniste nous ait passé du produit solaire.
La route est courte jusqu’à la plage, et nous devisons sur la vie et ses surprises. Coralie a mis une jupe assez courte, un débardeur moulant. Elle se comporte normalement, mais n’hésite pas à prendre des poses un peu plus détendues, de celles que l’on a avec ses copains ou copines, mais rarement avec son patron. Il est vrai que nous sommes un peu en vacances.
Nous arrivons à la plage qui est en fait une succession de petites criques, et en repérons une vide. Nous bronzerons donc elle en culotte et soutif, moi en caleçon. Le beige et blanc d’hier a été remplacé par le même modèle en rouge et bleu.
– Ce n’est pas les couleurs du club de foot ? ose-je lui demander.
– Tu as raison, je n’ai pas choisi toute seule, et si cela peut aider….Nous Ă©clatons d’un rire complice.
Nous allons ensuite nous baigner. L’eau est délicieusement rafraîchissante et nous nageons ensemble derrière un groupe de rochers, dans une petite caverne. Il n’est pas facile de s’accrocher pour reprendre son souffle. J’y parviens et Coralie vient se coller à moi en s’accrochant à mes épaules.
– J’apprĂ©cie que nous puissions maintenir notre relation sans nuage, après la leçon de cette nuit, lui dis-je. Bien entendu si tu continues Ă coller tes seins sur mes omoplates, cela va me donner envie de continuer le cycle de cours.
– Pas de problème, je pense avoir pas mal appris dĂ©jĂ , et nous aurons du temps ce soir, sans doute…
– Avant de m’engager dans le cours suivant, j’aimerais que nous prenions le temps tout Ă l’heure de faire un point sur nos relations. Il est très important d’éviter certains glissements qui pourraient devenir fatals.
– Je comprends bien, et je pensais d’ailleurs provoquer cette discussion.Elle se dĂ©croche et continue longuement Ă nager vers le large pendant que je rejoins la plage. Une demie heure se passe avant que Coralie ne revienne… Son corps est superbe, le froid a durci ses tĂ©tons devenus bien visibles, et sa culotte laisse apparaĂ®tre clairement sa fente. Je repense Ă ses seins contre moi tout Ă l’heure et me dis que cela restera un grand souvenir.
– AndrĂ©, il n’y personne aux alentours, je voudrais faire sĂ©cher mes sous-vĂŞtements sur le rocher, cela ne te gĂŞne pas ?
– Je prĂ©fèrerais que tu les gardes pendant notre conversation, car te voir nue pourrait me dĂ©concentrer, pense un peu au faible vieillard que je suis !
– OK. J’ai pas mal rĂ©flĂ©chi Ă la situation en nageant, toi aussi je suppose ?
– Effectivement, il est important que nous Ă©claircissions les choses, et j’aimerais te dire que je regrette amèrement de m’être laissĂ© aller hier soir. C’est ma faute, je n’aurais pas dĂ» te laisser boire autant, je savais pourtant que tu ne supporterais pas le vin.
– Tu sais, cela fait quelque temps que je voulais en arriver lĂ , et l’alcool m’a donnĂ© le courage de dĂ©passer ma timiditĂ©. J’ai passĂ© un moment merveilleux avec toi cette nuit et je te remercie du plaisir que tu m’as donnĂ©. Jusqu’à prĂ©sent ma vie sexuelle Ă©tait quelconque, et tu as su rĂ©vĂ©ler quelque chose en moi… Je comprends aussi que nous ne pourrons plus renouveler l’expĂ©rience, mais sache que je suis preneuse de quelques leçons supplĂ©mentaires…
– Chère Coralie, j’éprouve pour toi des sentiments particuliers. Une grande admiration pour ce que tu fais Ă mes cĂ´tĂ©s dans le boulot, je pense vraiment que tu es appelĂ©e Ă un grand avenir, et je serais malheureux si les Ă©vènements nous sĂ©paraient trop vite. Ensuite une grande affection, comme celle qu’un oncle peut avoir pour sa nièce prĂ©fĂ©rĂ©e. J’adore passer du temps avec toi, discuter, refaire le monde, et ton bonheur m’est important. Ce type de sentiment est rare en dehors des cercles familiaux. Il y a enfin l’autre dimension. Faire l’amour avec toi Ă©tait plus que bon, c’était divin, et ce n’est sans doute pas Ă©tranger aux sentiments que j’éprouve Ă ton Ă©gard, mais j’ai très peur que cela ne nous mène Ă une grande catastrophe.
Je vois Coralie très émue, et je la sens un peu perdue. Une petite pause permet à chacun de réfléchir un peu et Coralie se rhabille, alors que ses sous-vêtements ne sont pas encore secs.
– AndrĂ©, sache que j’éprouve pour toi aussi des sentiments particuliers. J’admire chez toi autant l’homme que le professionnel, et ton Ă©quilibre me fait envie. Je suis dĂ©solĂ© d’avoir craquĂ©, mais mon problème personnel ne pouvait pas se rĂ©soudre avec quelqu’un d’autre. Je ne veux vraiment pas jouer avec tes sentiments ni t’amener lĂ oĂą tu ne veux pas aller. J’apprĂ©cie aussi ta rectitude et tes scrupules, mais il ne faut que tu t’en fasses pour moi. Je ne suis pas en train de rĂŞver Ă l’impossible, car je sais que tu aimes ta femme et ta famille. Simplement la leçon m’a beaucoup plu et sans doute dĂ©bloquĂ© quelque chose…Elle retire maintenant ses sous-vĂŞtements en gardant sa jupe et son dĂ©bardeur qui garde les traces d’humiditĂ©. Ses seins pointent Ă nouveau. Elle me dit avoir trop chaud et aimerait sans doute prendre une douche Ă l’hĂ´tel.
Nous rejoignons la voiture, et elle me prend la main, naturellement, comme le ferait une petite fille qui n’aime pas marcher dans le sable.
– Oncle AndrĂ©, merci pour tout !
– Il n’y a pas de quoi, petite fille…
L’atmosphère est donc nettement plus détendue dans la voiture vers l’hôtel, et nous parlons de choses et d’autres, comme si rien ne s’était passé. Elle a à nouveau les pieds sur le tableau de bord, et je suis très tenté de lui caresser les cuisses en sachant qu’il serait facile de lui toucher le sexe. Je préfère laisser durer ce moment d’harmonie entre nous. Je sais maintenant que quoi qu’on fasse, nos relations resteront bonnes.Arrivés à l’hôtel, nous prenons des nouvelles de notre avion du lendemain. Il semble que nous ayons eu raison de ne pas rouler vers Madrid, car la situation y est bloquée. Bonne nouvelle, tous les vols du lendemain, dont le nôtre à dix heures vers Paris, sont confirmés. Nous l’annonçons par SMS à nos conjoints. Le portable de Coralie sonne immédiatement, c’est Matthieu, et Coralie s’écarte un peu pour lui parler. J’entends distinctement Matthieu demander si je suis là aussi, et elle répond que non, je suis parti vers Madrid…
Dans l’ascenseur, Coralie me reprend la main, l’embrasse et en se collant à moi.
– J’aime tes mains d’homme, et je pense qu’elles seraient parfaites pour me nettoyer le dos car j’ai mal au bras d’avoir trop nagĂ© et je n’y arriverai pas seule. Si tu ne veux pas, c’est pas grave, je demanderai Ă l’agent d’entretien de l’hĂ´tel.
– Si tu veux, je composerai le numĂ©ro de la rĂ©ception pour toi, tu m’as l’air tellement faible.
Coralie part dans un fou rire, et m’embrasse tendrement. La porte de l’ascenseur s’ouvre à notre étage, et nous voyons le fameux agent d’entretien, balai et aspirateur à la main. Il n’a toujours pas compris pourquoi nous étions hilares à sa vue.
Arrivés dans la chambre de Coralie, elle insiste pour me déshabiller elle-même, prend ma queue en bouche et me suce très gentiment. Elle noue ensuite un foulard sur mes yeux et me mène à la salle de bains. J’entends ses vêtements tomber au sol et elle m’emmène sous la douche tiède.
– Laisse-moi te laver et promets-moi de ne pas me toucher avant mon autorisation.
– OK mon capitaine !
Commence alors un ballet de mains extrêmement érotique, qui a coûté une fortune en eau et savon. Elle évite longtemps de me toucher le sexe, et ses caresses seules m’amènent pas loin de la jouissance.
– Si tu continues comme cela tu vas me faire jouir sans en avoir profitĂ© !
– Je pense que c’est bientĂ´t le moment…
Elle se colle alors à moi et m’enlève le foulard trempé. Elle m’embrasse passionnément, et amène ma main sur son ventre en la faisant glisser vers le bas. Je sens son pubis rasé et je descends encore vers son clitoris et ses lèvres qui sont toutes nues.
– Je voulais te montrer cela Ă la plage, j’ai tout rasĂ© ce matin, sur un coup de tĂŞte ! Une inspiration subite sans doute…
– Sans doute…
La douche fut un bonheur, elle s’est appuyée contre moi, les jambes écartées, et je l’ai caressée doucement, en allant chercher du savon sur ses seins et son ventre. Elle essayait de masser ma queue avec son dos et ses fesses, sans trop de succès, car je ne voulais pas jouir tout de suite. Elle finit par jouir fort par mes doigts…
– A toi maintenant.
Elle nous ramène dans la chambre, étend des draps sur le lit et commence à me sucer doucement.
– Je veux te faire jouir par ma bouche et goĂ»ter ton sperme.
Cette pipe a été somptueuse de sensualité, de douceur. Ses mains massaient mes couilles, et je lui caressais les cheveux mouillés. Elle s’allongea ensuite à côté de moi, m’a embrassé longuement en partageant le sperme, ce qui me procura une sensation supplémentaire. Nous nous sommes ensuite longuement caressés en profitant de l’instant présent, la fenêtre à moitié ouverte amenant un vent tiède dans la pièce. Si ce n’était le paradis, cela y ressemblait sans doute.
– AndrĂ©, cette jouissance dans la douche Ă©tait encore plus forte que celle d’hier.
– Sans doute as-tu trouvĂ© la clef maintenant…
– J’ai dĂ©jĂ envie de recommencer.
– Je pense qu’au plus on se masturbe, au plus facile et au meilleur c’est. Je suis encore « out » pour quelques heures, si tu voulais aussi jouir autrement.
– Nous attendrons ce soir….
Coralie se lève et se dirige vers le fauteuil en face du lit. J’ai l’occasion d’admirer sa ligne superbe, ses petits seins arrogants, en me disant que je n’en ai pas assez profité cette fois-ci.
Coralie relève les jambes, très impudique, et commence à s’astiquer le bouton en me regardant dans les yeux. C’est un spectacle étonnant mais émouvant et je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’y penserai la semaine prochaine, quand elle entrera dans le bureau. L’idée m’amuse et je me dis que décidément, cette petite est exceptionnelle.
J’observe le désir monter en elle, et je me dis qu’il aurait été dommage que Coralie ne connaisse jamais le plaisir aussi intense.
– AndrĂ©, je t’en prie, viens me caresser les seins !
Je me place derrière elle, et j’alterne les caresses sur ses tétons, son visage, sa tête….
– Parle-moi !
– Imagine-toi dans une chambre sombre, on t’a emmenĂ© de force avec les yeux bandĂ©s et les mains liĂ©es. Tu ne sais pas comment tu es arrivĂ©e lĂ . Des mains de femme t’ont dĂ©shabillĂ©e. Tu as très peur mais tu ressens une atmosphère Ă©rotique. La femme te couche sur un banc ou un lit… elle commence un massage très doux. Tu l’interroges car tu as peur, mais pas une parole n’est prononcĂ©e. La tempĂ©rature est idĂ©ale, l’huile de massage sent bon. Elle t’écarte un peu les jambes et met de l’huile sur ton sexe, et ton clitoris. Tu commences Ă ĂŞtre très excitĂ©e. Tu voudrais te caresser mais tes mains sont toujours liĂ©es derrière ton dos. Les doigts passent sur ton sexe, sur ton anus. Tu as l’impression qu’elles sont deux.
Je vois Coralie proche de la jouissance et j’arrête le récit.
– AndrĂ©, de grâce, continue l’histoire !
– On te force Ă te relever, et les deux femmes t’amènent sur un lit, et te mettent Ă genoux. Elles te forcent Ă mettre la tĂŞte dans un oreiller avec les jambes Ă©cartĂ©es. Un savant système de rubans t’empĂŞche de bouger. Les femmes quittent la pièce et tout est silencieux. Tu commences Ă avoir très peur, mĂŞme si tu as envie qu’on te prenne. La porte s’ouvre Ă nouveau… Les mĂŞmes mains se concentrent sur tes fesses, en les caressant et en les Ă©cartant aussi. Tu sens un liquide couler depuis ton dos vers ton anus, et ton sexe. Soudain, quatre mains t’écartent les fesses au maximum, et tu sens deux doigts en toi, dans le sexe et dans l’anus. Les doigts s’écartent et tu sens un sexe très gros s’enfoncer en toi. Tu cries plus de surprise que de douleur. Ton anus s’habitue vite car il est très lubrifiĂ©.
A ce moment, Coralie explose et crie. La voir ainsi m’a excité, mais je reste derrière le fauteuil et elle ne voit pas ma queue encore en phase de récupération.
– Mon dieu, quel pied ! Je n’ai jamais joui aussi fort ! Viens en moi maintenant.
Je n’ai pas encore retrouvé la forme, mais je prends ma petite Coralie dans les bras, et la porte sur le lit.
– Je prĂ©fère attendre ce soir avant de te faire l’amour, j’ai peur de mes performances immĂ©diates.
– Viens contre moi alors, très près, j’ai encore envie de sentir ta queue dans mon dos et tes mains sur mes seins.
Nous avons un moment très tendre, de complicité et de caresses.
– Je me sens bien avec toi, oncle André…
– C’est aussi ce que je ressens, je suis Ă la fois satisfait et fier de ta confiance, tu es une fille fabuleuse.
– J’ai joui comme une folle, et ton histoire a dĂ©cuplĂ© mes sensations.
– J’ai encore quelques histoires en stock, mais il n’est pas bon de surmener les Ă©lèves, comme tu sais.
– Je suis d’accord, MaĂ®tre.
– Tu sais que tu n’as pas encore dĂ©passĂ© l’âge des fessĂ©es. C’est ce qui va t’arriver si tu m’appelles encore maĂ®tre.
– Oh non, pas ça, maĂ®tre…J’étais bien, avec elle contre moi, mais le temps avançait et nous commencions Ă avoir faim. J’avais envie d’un verre de vin rouge. Nous avons mangĂ© très lĂ©gèrement dans un restaurant de tapas de la ville. Coralie rayonnait et son sourire me remplissait le cĹ“ur de joie. Elle savait y faire pour m’allumer. De petites caresses innocentes, son chemisier entrouvert sur une poitrine nue, la pression remontait.
– Puis-je boire dans ton verre ?
– Bien entendu, si tu te limites Ă une gorgĂ©e. Donne-moi tes impressions de bouche…
– Et bien, cela goĂ»te les fruits rouges d’abord, et ce goĂ»t s’estompe ensuite pour quelque chose de plus animal.
– C’est du Tempranillo, le cĂ©page roi de l’Espagne, et les fruits rouges sont le signe de la jeunesse, et le cuir, le sous-bois apparaissent avec la maturitĂ©. Tout est dans l’équilibre des deux. Vraiment dommage que tu ne supportes pas mieux, mais je crois que tu pourrais graduellement arriver Ă boire un peu plus, en y allant doucement. Par ailleurs on peut arriver Ă goĂ»ter sans boire trop, en crachant par exemple…
Je la vois sourire, et je devine ce Ă quoi elle pense, ce qui me fait rire.
– Mais oui Oncle AndrĂ©, mais parfois avaler est Ă©galement très agrĂ©able, et puis cracher n’est pas faire honneur au producteur.
– Oh tu sais, le producteur, il est content tant qu’il a refilĂ© son jus…
Son pied se promène sur mes jambes, et remonte sur mes cuisses. Mon sexe est heureusement un peu loin.
– MaĂ®tre, je ne voudrais pas trop tarder Ă reprendre notre sĂ©ance de cet après-midi. Il faudra se lever tĂ´t demain pour l’avion et j’aimerais avoir une tĂŞte prĂ©sentable.
– Tu as raison, chère Ă©lève, mais il n’est pas impossible que tes fesses soient un peu rouges, et pas du rouge venant du soleil.
– Je suis certaine que tu ne me laisseras pas repartir sans m’avoir mis un peu de crème.
Le retour à l’hôtel me laisse dans mes pensées, partagé que je suis entre le bonheur de l’instant et l’appréhension du retour. Coralie le comprend et devance mes craintes.
– AndrĂ©, je passe des moments merveilleux avec vous, mais je vous promets que nos relations seront comme au premier jour dès la semaine prochaine. C’est une parenthèse merveilleuse que je n’oublierai jamais, mais faites-moi confiance, vous n’aurez pas Ă en souffrir.
– Merci de me rassurer, Coralie. C’est aussi pour moi un moment merveilleux, que je ne regrette en rien, mais ce n’est pas la vie…. Si j’avais eu 20 ans de moins, j’aurais sans doute tout fait pour t’avoir dans mon lit, et dans ma vie pour toujours.
– Je pense que j’aurais dit oui, mĂŞme si je vous aurais fait languir un peu. Il n’aurait pas fallu que vous vous preniez pour un MaĂ®tre, aussi jeune…
Nous sommes maintenant arrivés à l’hôtel. La tension sexuelle monte un peu, et elle m’embrasse à nouveau dans l’ascenseur. J’en profite pour lui pincer les tétons à travers le chemisier, ce qui la fait tressaillir.
– Tu vas dans ta chambre pendant que je prends une douche. Je te rejoins dans un quart d’heure. Tu seras en culotte, et je t’interdis de te caresser en attendant. Entendu ?
– D’accord.
– D’accord qui ?
– D’accord, maĂ®tre.
Je suis très excité moi aussi. Une douche froide calme mes ardeurs. J’enfile un peignoir et rejoins Coralie. Elle m’ouvre, et je la vois en culotte. Ses petits seins pointent, ses yeux brillent.
– Fais-moi sentir tes doigts ! Je sens une odeur de sexe …
– Je n’ai pas pu m’empĂŞcher, je suis très excitĂ©e.
Je mets un doigt dans sa culotte et peux vérifier que son sexe est trempé. En allant plus loin, il me semble aussi que sa rosette est détendue.
– Je t’avais dit d’attendre, dis-je l’air sĂ©vère… Viens ici que je te corrige !
Je m’assois sur le lit et invite Coralie à se coucher sur moi. Je ramène alors sa culotte en un fil, au milieu de ses lèvres. La vue de son abricot m’excite pas mal. Je commence à lui frapper les fesses en cadence. Doucement d’abord, plus vite et plus fort ensuite. Les fesses de Coralie, son merveilleux petit cul prend une teinte rosée, puis plus rouge. Je change d’angle et parviens à la frapper un peu sur le sexe. Je vois à la culotte qu’elle mouille de plus en plus. Elle soupire d’abord, puis pousse de petits aïe, et enfin crie.
– Je te demande pardon !
– Qui ?
– Je te demande pardon MaĂ®tre !
– Je crois que tu commences Ă comprendre ce qu’il en coĂ»te de dĂ©sobĂ©ir Ă l’autoritĂ©. Lève-toi et enlève ta culotte pleine de mouille, sale fille !
Coralie obéit, mais je vois dans ses yeux qu’elle ne s’attendait pas à ce que je la fesse aussi fort. Elle reste debout à attendre les instructions. Elle a les mains croisées devant le sexe, et je la trouve à croquer.
– Tu vas maintenant te mettre sur les genoux, avec la tĂŞte dans l’oreiller, en attendant que je t’encule. Tu ne bougeras pas ou je t’attache les mains.
– AndrĂ©, j’ai un peu peur d’avoir mal, c’est la première fois.
– Ne t’inquiète pas, je ne cherche que ton plaisir.
Je vais alors chercher à la salle de bain une crème démaquillante neutre qui servira de lubrifiant. Je reviens dans la chambre et la trouve en position, son cul tout rouge relevé vers moi. Je commence alors un balai avec mes doigts entre son clitoris, son sexe et son anus. J’y mets un doigt d’abord, puis deux puis deux autres doigts dans le sexe. J’entends Coralie gémir, indiquer que c’est bon, qu’elle sent son cul s’ouvrir, mais qu’elle veut que je la prépare encore avant de la prendre.
– Je peux me caresser ? Mon clito est en feu !
– Attends que je sois en toi, tu sauras alors ce que c’est de jouir intĂ©gralement. Je vais venir en toi bientĂ´t.
Coralie s’ouvre alors les fesses au maximum avec les mains. J’ai envie de la prendre partout. J’appuie mon gland contre sa rosette ouverte. Je sens qu’elle tremble un peu.
– N’aie pas peur, cela va bien se passer, et je me retire au premier mot de ta part.
Ma queue entre doucement et son sphincter s’habitue peu à peu à ma présence. Coralie lâche ses fesses et commence à se caresser le clitoris. Son anus est petit, et serre parfaitement mon pénis, ce qui me procure de grandes sensations. Coralie me dit que cela vient pour elle et qu’elle n’a plus peur. Je commence alors à bouger de plus en plus pour accompagner sa respiration. Elle commence à crier de plus en plus fort et jouit en s’effondrant sur le lit. Ma queue sort d’elle. Elle se retourne et me demande de la prendre.
– Viens sur moi, tu seras mieux.
– Ta queue m’a un peu dĂ©truit le cul, mais c’était divin, comme chaque fois.
– Empale-toi sur moi, et fais toi l’amour Ă ton rythme, ne sois pas pressĂ©e. J’ai très envie d’éjaculer au fond de toi.
– Tu me rends folle…
Commence alors une sorte de danse orientale, faite de mouvements très lents, très profonds. Je la vois se tortiller en essayant d’augmenter mon plaisir tout en arrivant au sien. Elle a les cheveux collés de sueur, une main en train de se caresser le clitoris à nouveau et l’autre derrière elle. Elle me masse les couilles doucement puis son doigt entre dans son anus et masse ma hampe par l’intérieur.
– Je sens que cela va ĂŞtre fort Ă nouveau, je veux sentir ton sperme en moi…
– Coralie, tu fais l’amour comme une dĂ©esse, n’oublie pas ton plaisir…
La libération arrive, elle jouit en gémissant longuement, et j’éjacule en elle. Dès qu’elle se retire, elle vient sucer ma queue pour goûter le sperme mélangé à ses sucs. Elle s’allonge à côté de moi et se love contre mon corps.
– Je sais que c’est sans doute la dernière fois. Laisse-moi m’endormir dans tes bras, je crois que je vais faire de beaux rĂŞves. S’il te plait, reste ici.
– Moi aussi, ma petite, tu vas me faire rĂŞver Ă une autre vie. Mais il nous faudra demain redescendre dans la rĂ©alitĂ©.
– Ce week-end a dĂ©passĂ© toutes mes espĂ©rances. J’ai dĂ©couvert le plus merveilleux des guides, attentionnĂ©, sensuel, qui est en plus une personne que je respecte et que j’aime. Je crois que la clef du plaisir sexuel est de d’abord penser au plaisir de l’autre avant de penser au sien. Je ne suis pas certaine de pouvoir transmettre cela Ă Matthieu…
– Je crains fort de ne pas pouvoir le prendre en stage (rires). Cela tombe bien car je pense en plus qu’il ne te mĂ©rite pas. Si tu Ă©tais ma fille, je ferais tout pour t’ouvrir les yeux.
– Je ne suis pas ta fille, mais ta nièce prĂ©fĂ©rĂ©e. Ce n’est pas ce que tu m’as dit hier ?
– Oui, tu as raison. Ton bonheur m’est important…
– Tu penses que je devrais quitter Matthieu ?
– Je ne sais pas, ma Coralie chĂ©rie, mais je crois qu’il devra faire des efforts importants pour changer certains aspects de sa personnalitĂ©, sans quoi tu passeras certainement Ă cĂ´tĂ© d’une partie de ce qui est le plus important dans la vie : le bonheur !
– J’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir rencontrĂ©, oncle AndrĂ©, et je vais certainement rĂ©flĂ©chir Ă tout cela. Je comprends bien que nos relations ne pourront plus trop ĂŞtre aussi intenses et horizontales dans le futur, mais j’aimerais garder un lien spĂ©cial avec toi.
– En effet ce merveilleux week-end Ă©tait une parenthèse, mais sache que tu pourras toujours compter sur moi, ma chère nièce.
Nous nous sommes endormis rapidement, dans un climat de grande tendresse.
Nous devions nous lever tôt le lendemain, pour prendre ce fichu avion. J’ai retrouvé Coralie à la réception en tailleur strict.
– Bonjour AndrĂ©, comment avez- vous dormi ?
– Merveilleusement chère Coralie, vous ĂŞtes très en beautĂ© aujourd’hui, bien que je trouve que ces cheveux tirĂ©s vous donnent un air sĂ©vère, vous devriez les libĂ©rer. Cela me semble mieux correspondre Ă votre personnalitĂ© ! De jolie, vous en deviendriez superbe.
La pince disparut, et Coralie me regarda avec un sourire qui me fit fondre.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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