La soubrette
Soucieuse de l’avenir de sa fille, Marie fait donner des cours à sa fille. Son prof ne va finalement pas l’aider que pour faire des maths. Elle aime le théâtre aussi. Mais la mère risque de ne pas être insensible non plus au charme de ce quadra…
Proposée le 19/02/2018 par Roleplayer Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Hervé, prof de maths au lycée donne parfois des cours particuliers pour arrondir ses fins de mois. Il fait toujours le choix d’élèves qu’il ne connait pas et qui ne sont pas de son bahut. Cette fois, il a rendez-vous dans un village de la périphérie Lilloise. C’est une rue de maisons mitoyennes anciennes. Il se gare et frappe à la porte. Une femme d’une quarantaine d’années comme lui vient ouvrir. Il se présente et entre. L’intérieur de l’habitation est agréable et assez moderne. « -Bonjour monsieur, merci de vous être déplacé, fait la femme. C’est pour ma fille qui est en L et qui ne réussit pas en maths. » Dans le salon se tient une jeune fille d’un mètre soixante environ, brune aux yeux clairs, menue et vêtue d’un long sweat-shirt. « -Bonjour monsieur, fit-elle d’une voix timide. -Bonjour mademoiselle. Alors moi c’est Hervé, on va pas faire de manières. -Donc voici Julie, et moi c’est Marie. » Les présentations faites, on s’entend sur les modalités et le premier cours a lieu. Hervé et Julie montent dans la chambre. C’est une pièce d’ado assez grande plutôt bien ordonnée et décorée sobrement. Il y a un petit bureau avec un pc portable dans un coin, un lit avec des peluches et une armoire. La première heure permet de faire connaissance. Visiblement il y aura du boulot pour la demoiselle. Hervé finit par prendre congé et donne rendez-vous la semaine suivante. « -Alors, il est comment ? Demande sa mère à Julie. -Ben pas mal il explique bien. -Oui, c’est vrai qu’il a l’air pas mal… dans tous les sens du terme, fait Marie en rigolant. -M’an, c’est nul. -Quoi ? Il est beau garçon non ? -Pffff… -Ha ha ha, forcément, toi passé trente ans on est vieux alors. Moi je l’aime bien. -Prend des cours avec moi alors… fit Julie moqueuse. La semaine suivante lorsqu’ Hervé arriva, c’est Marie qui vint ouvrir. Elle portait une jupe courte un chemisier une veste et des escarpins à talon. Surpris, Hervé la regarda. Elle était vraiment très séduisante, la silhouette bien dessinée. « -Bonjour! Fit-il. -Bonjour, Julie vous attend en haut, je vais faire quelques courses. -Ha, très bien. » Il rejoint Julie dans sa chambre et commencèrent à travailler. Ils se mirent à discuter un peu, et apprit que Marie travaillait en poste en usine, ce qui expliquait sa présence certains jours. Elle était divorcée, tout comme lui. Julie avait un frère plus vieux qui avait quitté le domicile depuis quelques temps. Ils avaient presque fini quand la porte du bas s’ouvrit. Marie était de retour. « -Juju, j’ai un paquet pour toi, ta tenue de soubrette est arrivée, héla-t-elle du bas de l’escalier. -Euuh, oui j’arrive M’an. » Elle descendit en compagnie d’Hervé, ce qui surpris la mère. « -Ho! Vous êtes encore là, je pensais que vous étiez déjà parti, fit-elle alors qu’elle avait commencé à déballer le paquet sur le sofa. -Nous venons de finir on a un peu débordé, je m’en allais, fit Hervé en jetant un œil à la tenue étalée sur le canapé. -C’est une tenue de soubrette pour Julie, cru bon d’ajouter la mère devant sa fille qui rougissait. -M’an… » Fit-elle alors qu’Hervé la regardait, étonné. -Ben quoi ? Fit la mère. En fait, Julie fait partie d’une troupe de théâtre et joue le rôle d’une soubrette. C’est pas facile de trouver une tenue qui ne fasse pas… trop vulgaire si je puis dire. » Hervé regarda Julie qui semblait gênée. -Ooh, mais c’est bien ça, c’est chouette le théâtre, fit Hervé à Julie. -Ha, vous aimez ? Julie vous invitera à la représentation! » Hervé essaya d’imaginer la demoiselle avec ce costume en s’en allant. Les cours se passaient bien. Hervé avait aimé la fois où elle était en jupe, montrant de jolies jambes, puis aussi celle où elle avait un top un peu décolleté. En se penchant à côté d’elle il avait pu voir le rebond de sa petite poitrine portée par un soutien-gorge à balconnet. C’est vrai qu’il y avait de quoi craquer un peu. La mère, quant à elle, l’accueillait toujours élégamment habillée, et Hervé n’y était pas insensible. Un jour il reçut un sms lui demandant de changer l’heure car Julie avait un imprévu. Il se présenta et c’est Marie qui lui ouvrit, vêtue d’une mini-jupe, de hauts talons et d’un top décolleté qui surprit un peu Hervé. « -Bonjour, entrez. » Hervé l’avait détaillée rapidement de la tête aux pieds et la quadra était plus que charmante. « -Bonjour Marie. Julie est en haut ? -C’est-à-dire qu’elle n’est pas là pour le moment… -Mais le sms pour le changement d’heure ? -C’est moi, je voulais juste passer du temps avec vous. » Fit-elle avec aplomb. Le regard qu’elle lui lançait ne laissait pas trop de doute sur ses intentions. Il se reprit: « -Marie, je ne sais pas si c’est bien, votre fille pourrait… -Mais elle n’est pas là… » Il n’eut pas le temps d’en dire plus qu’elle était déjà contre lui. Elle lui tira son col pour lui rouler un patin. Hervé lui saisit les hanches pour l’attirer contre lui. « -Venez. » Fit-elle en l’entraînant à l’étage par la main. Dans l’escalier il put admirer un joli cul se dandiner devant lui. Pressée, Marie lui retira son polo, découvrant un corps athlétique et soigné. Elle sourit en lui passant les mains sur le torse. « -Ca aurait été dommage de manquer cela, non ? Dit-elle. -Je dois le prendre comme un compliment ? » Alors qu’elle se collait à lui, il lui enveloppa la poitrine de ses mains en la regardant dans les yeux. Il ne dit rien, lui enleva son top pour découvrir ses généreux atours soutenus par un soutien-gorge de dentelle noire dont il fit rapidement glisser les bretelles. Il ne résista pas à lui embrasser le cou puis la poitrine qu’il caressait. Marie gémit quand il lui aspira fortement un téton. « -Haaaannnn, putain ça faisait longtemps…. » Fit-elle en lui ébouriffant les cheveux. Il glissa les mains sur les fesses de son amante, dézippa la jupe qu’il laissa tomber à terre. Marie n’avait pas de dessous. Il releva la tête et lui sourit, caressant une paire de fesses rebondies. Il l’embrassa en la poussant contre le mur, lui titillait un téton d’une main, l’autre avait glissée entre eux. Marie était déjà mouillée et respirait rapidement. Son corps se tortillait de plaisir. Elle commença à lui défaire son jean; Le sexe tendu jaillit quand elle baissa son caleçon. « -Ooh, la vache, c’est pas vrai… » fit-elle souriante, en lui saisissant le membre. Hervé se laissait faire amusé et durcit sous l’action des caresses de Marie. « -Quel engin ! Se mit elle à rire. C’est pas un truc pour les gamines ça ! » Il finit de retirer ses affaires, tant pis pour les préliminaires. Poussant Marie sur le lit, il lui écarta les cuisses et l’empala de presque toute sa longueur. Elle s’agrippa aux draps en gémissant alors qu’il la limait avec vigueur, lui tenant fermement le bassin pour y entrer totalement. Elle haletait, tournant la tête de droite à gauche. Hervé la mit à quatre pattes pour la prendre en levrette. Elle râla à nouveau quand il la pénétra, enveloppant de ses main la poitrine qui ballotait à chaque coup de rein. Il se lâcha quand il sentit sa partenaire se contracter en jouissant. Ils restèrent l’un contre l’autre. Marie se tourna finalement avec un grand sourire. « -Hé ben, ça faisait longtemps que je ne m’étais pas faite démonter comme ça! » Fit-elle. Hervé lui sourit en lui frottant les hanches. Lui aussi était en manque, depuis quelques temps, et Marie lui réservait encore une surprise. Après un baiser, elle glissa sur lui, et lui suça un téton; il sursauta. « -Toi aussi ça te fait des choses, hein ? » Lança-t-elle en rigolant. Ses baisers descendaient sur l’estomac d’Hervé, puis son pubis. Elle lui happa le gland et se mit à le sucer. Il releva la tête pour voir son sexe entrer et sortir de la bouche de Marie. Elle lui malaxait les boules et le sentit venir assez rapidement. Elle ne perdit pas une goutte de l’éjaculation, regardant Hervé avant de déglutir la semence en souriant. Ils se quittèrent comblés. C’était la troisième fois qu’ils se voyaient. Marie attendait sont homme vêtue d’un kimono de satin beige. Des bas couleur chair et des escarpins clairs complétaient la tenue. Hervé arriva avec une petite boîte de chocolat, c’était toujours plus discret qu’un bouquet de fleurs. « -Oooh Marie… j’adore ! » Elle ne dit rien et l’embrassa. « -Tu n’a rien sous ton kimono ? » Murmura Hervé en lui caressant le dos. Elle ne dit rien et l’attira dans le salon où elle s’assit sur l’accoudoir du canapé, lui resta debout alors qu’elle défaisait la ceinture de son jean. Rapidement elle put saisir ce sexe énorme qu’elle aimait bien, en le regardant. Pendant qu’elle le suçait, il lui caressa la poitrine sur l’étoffe de satin. « -Marie, j’aimerai bien me glisser entre tes seins, fit-il. -Ah oui ? » Elle arrêta de le sucer pour s’adosser au canapé. Hervé ouvrit le kimono découvrant la poitrine généreuse. Elle le regarda en resserrant ses seins autour du membre tendu. Hervé voyait son gland apparaitre et disparaître à chaque va et viens. Les mains sur le dossier du canapé il accélérait un peu. Marie le regardait s’activer. Il se contracta pour jouir, la semence chaude coula sur le torse de son amante. « -Hé ben, ça commence fort! » Fit-elle en riant. Il l’aida à se relever et l’entraîna dans à l’étage dans la salle de bain pour l’essuyer un peu. Le kimono fut retiré, Marie resta en bas et en talons. Il aimait regarder ses jolies formes, et ce fessier charnu. Ils s’allongèrent sur le lit. Elle jouit à son tour après un délicieux cunnilingus et sursauta quand elle sentit glisser un doigt sur sa rondelle. « -Hervé !? » Fit-elle surprise. Il leva la tête avec un petit sourire. « -Ca te dit ? » Elle prit le temps de la réflexion. « -Mmmm oui ! » Fit-elle en haussant les épaules, avec une moue coquine. Hervé fut aussi surpris qu’excité qu’elle accepte. Il ne lésina pas sur les préliminaires pour la préparer. Bien qu’un peu expérimentée, Marie crut bien défaillir quand Hervé l’embrocha. Elle avait crié tout ce qu’elle pouvait avant qu’il n’explose finalement entre ses fesses. Tous deux furent rassasiés de sexe pour cet après-midi et finirent par se quitter. C’était sans compter sur l’absence d’un prof qui permit à Julie de rentrer plus tôt. Arrivée au bout de la rue, elle s’arrêta. Hervé sortait de chez elle. Que faisait-il là? Il ne l’avait pas vue, elle attendit qu’il parte. « -M’an, t’es là ? Fit-elle en entrant. -Oui ma chérie, fit sa mère toute joyeuse en l’embrassant. Et toi comment ça se fait que tu sois là? -On avait un prof absent. » Elle regarda sa fille monter l’escalier, en pensant qu’elle avait juste eu le temps de s’habiller et qu’ils l’avaient échappé belle. En passant devant la porte entrouverte de la chambre de sa mère, elle vit le lit en désordre et la lingerie dessus. La raison de la présence d’Hervé ne laissait pas trop de doute, elle fut troublée, même jalouse mais n’en dit rien à sa mère. Pour le cours suivant, elle mit une jupe à volants, des collants noirs et un pull léger, ne cessant de croiser et décroiser les jambes devant Hervé qui appréciait le spectacle. Elle avait remarqué ses regards et s’en amusait. Pendant qu’elle faisait un exercice, Hervé pris un petit tas de feuilles sur le coin du bureau. « -Ha, c’est le script de ta pièce ? -Oui, fit-elle en levant les yeux. -C’est quoi comme genre de pièce ? -Du théâtre de boulevard, plutôt comique vous voyez. -Ah oui, j’aime bien ce genre. Alors, que fait la soubrette dans cette belle histoire ? Fit-il en jetant à nouveau un coup d’oeil à son élève qui exposait ses jambes devant lui. -C’est un secret, il faudra venir voir la pièce, dit-elle en rigolant. -Et elle est un peu sexy ? Lança-t-il. -(…) Ben vous verrez bien »… fit Julie un peu troublée par le regard d’Hervé. Il avait bien sentit son sexe grossir et se reprit. « -Bon, alors, cet exo, il est presque fini ? » Dit-il en s’approchant. Il avait le visage un peu au-dessus de l’épaule de Julie, quand celle-ci, volontairement ou non, colla sa joue contre la sienne. Elle exhalait un léger parfum fleuri. Le contact ne dura que quelques secondes, et tous deux eurent le cœur qui s’emballa. « -Bon, c’est très bien » fit Hervé en posant une main sur l’épaule de Julie. Elle le regarda puis sourit. Le cours prit fin. En rentrant chez lui Hervé était troublé par ce petit moment câlin. Il se faisait déjà la mère, mais la fille… non c’était impossible. Pensant aux jambes de son élève, il se palucha sous la douche pour évacuer un peu de pression. Julie eut du mal à s’endormir, elle jalousait sa mère et le petit moment passé tout à l’heure lui avait beaucoup plu. Elle avait un peu mouillé sa culotte lors de leur contact. En y pensant, elle se rendit compte qu’elle était en train de se caresser, un doigt glissant entre ses lèvres puis venait faire de petits cercles sur son clitoris. Son bassin montait et descendait doucement.
Elle se saisit du vibromasseur dans sa table de nuit, celui que sa mère qui lui avait offert pour ses dix-sept ans. Elle lui avait dit que c’était bien pour attendre un vrai homme! Si elle avait été surprise par le cadeau, elle en faisait un usage régulier. Le sextoy un peu courbé, d’une quinzaine de centimètres était la seule chose qui avait pénétré son intimité jusqu’alors.
Elle se lubrifia puis se mit à jouer avec, l’appuyant sur ses lèvres, son clitoris, avant de l’enfoncer lentement. Elle soupirait en fermant les yeux, les jambes grandes ouvertes sur son lit. Elle jouit une première fois, en pensant à Hervé, puis une seconde fois, secouée par des soubresauts de plaisir. Elle n’avait pas entendu sa mère remonter, qui l’avait regardée par la porte restée entrebâillée avant de redescendre. Elle s’endormit. En cette mi-décembre, Marie était de poste jusqu’en milieu de soirée. Le rendez-vous avec Julie était à dix-sept heures. Ils ne s’étaient pas revus depuis une semaine, mais Julie avait pensé à lui souvent. « -Coucou! » Fit-elle lorsqu’il entra. Ils se firent la bise. Julie portait un pull fin, et une jupe en tartan bleu et blanc, des collant noirs. Hervé lui sourit. « -J’aime bien ce que tu portes, c’est joli. -Ah ? Merci » Dit-elle fière. Ils commencèrent à travailler. Julie n’était pas trop à ce qu’elle faisait. « -Ben alors Julie, ça ne va pas aujourd’hui ? Demanda-t-il. -Pfff si, si… -On ne dirait pas, aller, dis-moi. -C’est pour le rôle dans la pièce, il y a des trucs que j’arrive pas à retenir, fit-elle en le regardant dans les yeux. -Ha ? Si tu veux je pourrai essayer de te donner la réplique. » Elle sourit, son idée prenait forme. « -Attendez deux minutes, j’arrive. » Fit-elle en se levant. Surpris, il patienta quelques minutes quand on frappa à la porte de la chambre. « -Oui ? » Fit-il. On toqua à nouveau, il se leva pour aller ouvrir. Julie l’attendait, vêtue d’une robe noire très courte à volants, les jambes gainées de bas résilles jusqu’à mi-cuisse et chaussée de bottines noires à talon carré. La robe comportait un petit tablier et des froufrous blancs en dentelle. Elle le regarda et tourna sur elle-même. Le dos entièrement nu indiquait l’absence de soutien-gorge, elle n’avait de toute façon mis aucun dessous. Un serre tête de dentelle blanche ornait sa chevelure. « -OOooh, Julie. Mon dieu… -Ca vous plait ? -Oui, mais… c’est avec cette tenue que tu dois jouer ? -Nan, en fait celle là on l’avait commandée sur le net, mais c’est trop… déshabillé pour le théâtre. Je jouerai avec celle que vous avez vu l’autre fois. -Aaah d’accord… fit Hervé qui avait du mal à décrocher ses yeux de la belle. -Celle-là, je l’ai mise pour vous. » Fit-elle en s’approchant de lui. Son cœur se mit à battre la chamade alors qu’elle se pendait à son cou. Elle sentit les mains d’Hervé se poser sur son dos. « -Julie, tu es certaine que… -Je dois être à fond dans le rôle non ? Et une vraie soubrette se doit d’avoir connu au moins un homme hein ? » fit-elle en penchant la tête sur le côté en souriant. Il l’enserra en lui caressant le dos. Sa langue s’insinua entre ses lèvres. Hervé commençait à bander. Il glissa une main sur la robe, sentant ses tétons s’ériger sous la fine étoffe. En tout cas elle savait bien rouler des galoches. Elle lui prit la main pour le conduire vers son lit. Il s’assit à côté d’elle et la regarda ouvrir sa table de chevet pour en sortir son sextoy rose et blanc. « -Vous voyez c’est mon homme! Fit-elle en riant. -Ha ha ha… éclata-t-il de rire. Tu l’utilises souvent ? -Oui… » Il était excité, et se dit qu’il n’avait jamais vu une fille se masturber en vrai. « -Tu… tu peux me montrer ? » Fit-il curieux. Elle lui sourit, s’installa sur le lit en écartant les jambes. Elle releva sa robe pour exposer sans trop de pudeur un joli sexe glabre. Elle se lubrifia un peu avant de commencer à se caresser avec son jouet sous les yeux ébahis d’Hervé. Incroyable, il regardait le sextoy passer sur sa vulve, puis s’enfoncer dans son intimité. Hervé était dur comme un pieux. « -Tu aimes me regarder ? Fit-elle en souriant. -Oui, murmura Hervé. Attend, je vais t’enlever tes bottines tu seras plus à l’aise. » Il défit les chaussures de sa compagne en lui caressant les jambes, les chevilles et les pieds. Julie se mit à rire. « -Tu chatouilles ! » Fit-elle en grimaçant. Il était subjugué par cette frêle demoiselle. « -Tu vas rester habillé ? » Demanda-t-elle. Il enleva son sweat, puis sont jean, restant en caleçon, une bosse bien apparente. Il se replaça à côté d’elle pour l’embrasser, se décala vers le bas pour atteindre son pubis. Il retira doucement le sextoy, elle rejeta la tête en arrière et ferma les yeux quand la bouche chaude d’Hervé couvrit son intimité. Elle se mit à onduler du bassin lorsqu’il passa sa langue entre ses lèvres en faisant quelques petites succions, il ne s’arrêta plus jusqu’à ce qu’elle se contracte pour jouir en miaulant. Il leva la tête pour la regarder, elle éclata de rire. « -Ben quoi ? » -J’adore les petits bruits que tu fais. » fit-il taquin. Elle répondit par une grimace. Il l’embrassa et l’aida à se mettre debout, entreprit de dégrafer la robe en la laissant glisser jusqu’à terre. Il recula d’un pas pour la regarder, elle était magnifique en bas résilles, son corps gracile, de petits seins fermes aux tétons érigés. « -Mon dieu, Julie… » Murmura-t-il en se collant à elle pour l’étreindre. Ils s’embrassèrent à nouveau, Julie se mit sur la pointe des pieds pour coller son bas ventre à celui d’Hervé. Visiblement elle lui faisait de l’effet. Elle inspira profondément en le regardant, fit glisser son caleçon libérant son sexe qui s’érigea contre elle. « -Ho! Pfiouu, fit-elle en ouvrant grand les yeux. Ha ouais, c’est un peu plus que mon toy quand même… dit-elle en ricanant nerveusement. Elle le prit en main, la sentant un peu hésitante, Hervé l’allongea sur le lit et se mit à quatre pattes au dessus d’elle. Elle lui saisit à nouveau la queue alors qu’il commençait à lui sucer les tétons. Julie se mit à gémir. Se sentant prête, elle tira le sexe vers le sien. « -Maintenant, j’ai envie… » Souffla-t-elle. Il se glissa entre ses jambes et appuya doucement son gland sur la vulve de sa douce, le regardant pénétrer alors que Julie se contractait. Il se faisait doux mais elle avait du mal à trouver son souffle, Hervé lui paraissait énorme. Laissant échapper un râle rauque quand il y mit tout son long elle l’enserra de ses jambes mais ne pouvait l’empêcher de la limer. Il lui saisit la nuque pour rapprocher son visage et l’embrasser en ne cessant ses va et viens. Elle était accrochée à ses bras, Hervé ne changea pas de position, la pilonnant. Julie cria lors des derniers coups de reins puissants de son amant qui l’inonda. La tension retomba un peu. Elle avait les yeux brillants, Hervé lui sourit et l’embrassa avant de se retirer. Elle vint sur lui lorsqu’il s’allongea, pensive et silencieuse, la tête sur son torse. Ils restèrent quelques minutes sans parler. Julie releva la tête et sourit. « -J’ai pas envie que tu partes, murmura-t-elle. -Mais… on va se revoir bientôt tu sais… » Une dernière embrassade, ils se rhabillèrent. Au moment de se quitter, elle éclata en sanglots. « -Excuse moi, j’ai l’air d’une conne… » Fit-elle, séchant rapidement ses larmes et laissant partir son compagnon. Elle s’en voulait un peu pour cette scène pitoyable. Hervé était accroc à cette fille, maintenant se posait le problème de la mère. Il ne pouvait courir les deux en même temps. Il ne reverrait pas Marie avant le cours suivant. Hervé occupa les pensées de Julie une bonne partie de la semaine, se remémorant cette première expérience. Il avait été doux mais elle avait été surprise de recevoir un tel engin. Elle avait serré les dents, mais se sentait comblée et s’impatientait de la prochaine fois. Ils avaient beaucoup correspondu les jours suivants et Julie qui lui avait demandé de venir beaucoup plus tôt au cours suivant. Elle lui sauta au cou dès son arrivée. Elle portait un jean et un pull fin. « -Coucou Hervé! -Hello miss, comment vas-tu ? » Ils papotèrent un peu avant de se mettre au travail. Une petite heure était passée. « -On s’arrête là pour aujourd’hui ? Fit-elle. -Si tu veux, on a bien avancé. » Elle le regarda en souriant. « -Tu m’attends deux minutes ? » Il acquiesça. Julie disparu quelques instants, un bruit de talons raisonna avant son arrivée. Elle apparut dans l’encadrement de la porte vêtue de sa robe de soubrette, jambes nues, chaussée de sandales noires à talon attachées à la cheville. Un large sourire se dessina sur le visage d’Hervé qui se leva pour lui prendre la main et la faire tourner. « -Hé ben, Mademoiselle! Fit-il les yeux gourmands. Où as-tu trouvé où ces jolies chaussures ? -Ben, sur internet on trouve des trucs sympas et pas cher tu sais. » Elle portait également ce parfum légèrement fleuri. « -Tiens, tu veux me donner la réplique ? Fit-elle en prenant une feuille sur le bureau. -Pour ta pièce ? -Oui, enfin, j’ai un peu revisité le texte ! » Sourit-elle. Elle l’entraîna au rez-de-chaussée et lui expliqua la scène. Il se prit au jeu; Toqua à la porte du salon et entra. Il sourit en voyant sa soubrette un plumeau à la main en train de faire le ménage. « -Ah ! Monsieur, c’est vous !? J’ai presque terminé. -Continuez Julie, je vous en prie. -Que regardez-vous donc Monsieur ? -Mais vous, Julie, vos jambes, votre petit cul… fit Hervé surpris, découvrant le texte au fur et à mesure. -Enfin Monsieur, si Madame était au courant… -Comment voulez-vous qu’elle le sache ? répliqua Hervé. -Alors… regardez si vous aimez mes fesses ! Fit Julie en remontant sa robe, découvrant son fessier. -Julie, vous êtes folle ? Recouvrez-vous ! -Venez le faire vous-même. » Hervé s’avança pour tirer la robe vers le bas, essayant de réprimer son sourire. Julie était sérieuse dans le rôle. Elle lui jeta un regard énamouré, un petit sourire en coin. « -Il parait que vous avez un gros machin, fit-elle en inclinant la tête. -Mademoiselle, reprenez vous, fit Hervé, sa feuille toujours à la main. -Vous savez, j’ai déjà entendu crier Madame quand vous la sautez. -Enfin Julie, vous êtes vulgaire et indiscrète ! -Déshabillez-vous et prenez-moi sur la table du salon ! » Fit-elle en se collant à lui, commençant à lui défaire sa ceinture de pantalon. Les derniers mots de la feuille étaient « A toi d’improviser… ». Hervé posa le script sur la table. Elle s’agenouilla, baissant le jean et le caleçon d’Hervé. Le sexe jaillit au niveau de sa figure. Elle s’en saisit pour le masturber un peu, plaça ses lèvres sur le gland un peu mouillé, puis se ravisa. Elle se remit debout rougissante. « -Excuse-moi, je… je suis pas prête pour ça… » Hervé la regarda en souriant, lui caressa les joues et l’embrassa. « -C’est pas grave… Mademoiselle » Il s’accroupit à son tour, leva la robe de Julie et lui offrit un cunnilingus qui lui déclencha un premier orgasme. Dur comme un pieu, il se releva pour la prendre. Cramponnée au bord de la table, Julie inspira fort en le sentant se glisser en elle, jetant la tête en arrière. Il la replaça l’allongeant sur la table en la tenant par les chevilles, augmentant la pénétration à chaque va et viens. Julie haletait. Il aimait voir sa verge s’enfoncer dans cette frêle jeunette. Il se retira pour la relever et lui mit une jambe sur la table. Julie se laissait faire. Il la pris en levrette. Elle gémissait fort, Hervé glissa sa main par le côté de la robe pour lui saisir la poitrine qu’il malaxait vigoureusement. « -Alors, Mademoiselle est satisfaite, hein ? Fit-il en continuant son pilonnage. -Oui, Hoooo ouiiii Monsieur » souffla-t-elle, tentant de reprendre son rôle. Mais Hervé s’activa de plus belle, cognant contre sa croupe, lui serrant la taille. Elle se mit à crier, partagée entre plaisir et douleur. Il se lâcha en se plaquant contre elle, la laissant quelques instants affalée sur la table. « -Dis, c’est comme ça la pièce… fit Hervé en la relevant. -Ha ha ha, non non. » rit elle en posant la tête contre son torse. Comme la fois passée, elle se sentait toute chose après qu’Hervé lui ait fait l’amour, elle ne voulait pas le laisser partir. « -On a encore du temps, tu voudrais pas qu’on aille sous la douche ensemble ? -Oui, si tu veux. » fit-il un peu souriant. Ils remontèrent et gagnèrent la salle de bains. Julie retira sa robe, Hervé se jeta à ses pieds. « -Attend, je t’enlève tes chaussures. » fit-il. Elle le regarda faire amusée, il lui caressait les chevilles et les mollets avant de défaire les boucles, lui libéra le pied qu’il prit dans sa main. Elle faisait bouger ses orteils en rigolant. « -Hi hi hi, tu chatouilles… -Toi tu me fais bander avec ces chaussures, fit-il avec un clin d’œil. -Ho, ouais? C’est vrai ? -Oui, je veux que tu les mettes à chaque fois qu’on se voit. -Uuuum… » Il finit d’enlever la seconde sandale et ils entrèrent sous la douche. L’eau chaude et les jets hydro-massants étaient agréables. Ils se couvrirent de gel moussant, échangeant des caresses. Julie prit la pomme de douche et se mit à asperger les testicules d’Hervé par le dessous. « -Hmmm Julie, c’est cool ça, t’as vu ça où ? -C’est mon frère qui me l’a dit, il parait que les mecs aiment bien. -Ah, ben il a de bonnes idées ton frère. » fit-il alors qu’une érection refaisait son apparition. Julie raccrocha la douche et se mit à genoux devant lui. Sous l’eau dégoulinante, elle inspira profondément, lui saisit le sexe, embrassa le gland et fit tourner sa langue autour. Hervé garda le silence et la laissa faire, s’appuyant sur les parois de la cabine. Il sentit son sexe happé par la bouche tiède de sa compagne. Elle allait doucement. Soudain elle sentit la verge se contracter et reçu l’éjaculation sur le visage. Elle se releva, la figure et la bouche ruisselantes de sperme et d’eau mêlés. Il ne put lui refuser ce baiser. Ils échangèrent un regard et sans un mot finirent de se doucher. Un soir Julie rejoint sa mère dans le salon. « -M’an, faut que je te dise un truc. -Ah? Quoi donc ma chérie. -Ben, voilà, je sors avec quelqu’un. -Ah? C’est bien, un copain de ta classe ? -(…) Non, quelqu’un de plus vieux. » Marie regarda sa fille, curieuse d’en savoir plus. « -Ah Bon ? -(…) Oui, c’est… c’est Hervé M’an, fit-elle en se cachant le visage. -Ha ha ha, je… j’aurais dû m’en douter en fait ! » S’esclaffa Marie. Elles se regardèrent un petit moment. « -M’an, toi aussi tu vas avec, hein ? -Comment-ça ? Fit Marie un peu désemparée. -Une fois je l’ai vu ressortir de la maison en revenant… -(…) Bon, je ne vais pas te mentir, oui on a eu des rapports ensemble. » Elles se regardèrent encore, Julie se mordilla la lèvre. « -Moi aussi M’an… » murmura-t-elle en baissant les yeux. Marie resta interdite, mais elle se doutait bien que sa fille n’allait plus se contenter d’un flirt et d’un sextoy, d’ailleurs c’est bien elle qui lui avait offert un vibro pour attendre le prince charmant. Elle regarda sa fille, essayant de ne pas trop l’imaginer en plein ébats. « -Hé ben, c’est très bien. (…) et ça se passe bien entre vous deux ? -Ouais, super. » Marie regardait sa fille qui paraissait un peu gênée. « -Et vous vous voyez quand il vient pour les cours ou aussi en dehors ? -Pendant les cours… mais on travaille quand même tu sais… Tu m’en veux ? -Pourquoi ? Si… si c’est ton choix… -Tu… tu m’en veux pas alors ? Fit Julie en venant s’asseoir près de sa mère. -Non, et puis c’est quand même mieux que de débuter avec un type torché sur un parking. -Merci M’an » fit Julie en se blottissant contre sa mère. Marie devait se faire à l’idée de peut-être devoir partager ou abandonner son aventure avec Hervé. Elle sourit, essayant de prendre un rôle de confidente. « -Dis Juju, tu… tu… n’as pas trop mal pendant les rapports ? Parce qu’il est vraiment bien monté… ». Julie la regarda bouche bée. « -M’aann!… Et ben si, quand même, il me fait crier à chaque fois surtout en levrette… fit-elle en ricanant. -Garde les détails pour toi ma chérie. Par contre, c’est un vrai coquin, et à mon avis t’es trop jeune pour… ermm… le petit trou… -Haann !! M’aann ! Fit Julie faussement outrée. -Ben quoi c’est vrai, non? -Pourquoi, tu l’as fait à quel âge toi ? -Trop tôt, et pas avec un type aussi cool. » Elle sourit à sa fille et n’en dit pas plus. Marie finit par se résoudre à laisser sa fille fréquenter Hervé. L’année scolaire touchait à sa fin, il assista à la représentation de sa jeune amie. Sa soubrette sur scène lui paraissait bien sage lorsqu’il pensait à leurs ébats de la veille encore. Les cours avaient servi un peu, elle décrocha son bac en évitant une catastrophe en maths. Cette réussite permit à Julie de partir deux semaines en vacances avec Hervé, c’était un marché avec sa mère… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donné l’exclusivité totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires érotiques choisies :
De soubrette à esclave
Après le mariage, je deviens sa soubrette mais pas tout de suite.2