Disciple et Maître (Prof Marilyne) Partie 3
Marilyne profite de vacances, bien méritées, en Grèce. Devinez qui débarque à l’improviste ?
Proposée le 25/10/2020 par Mekron Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Deux semaines plus tard, Marilyne profitait de ses vacances en Grèce. Elle se trouvait sur une petite plage et profitait du soleil de fin de journée en lisant un bon livre. C’est alors qu’elle entendit une petite fille l’appeler :
« Mademoiselle Bernard ? Mademoiselle Bernard ! »
Elle leva la tête et vit une petite fille aux boucles blondes courir vers elle. Il ne lui fallut que quelques instants pour la reconnaître. C’était Émilie, la petite sœur de Marc ! Son cœur se serra d’angoisse et d’excitation. Elle la vit s’approcher et, quelques mètres derrière elle, Marc la suivait. Simplement vêtu d’un long caleçon de bain, elle put pleinement apprécier sa musculature ciselée telle une statue de la Grèce antique. Elle le vit sourire et son cœur s’emballa. Émilie attira son attention et elle en fut heureuse.
« C’est bien vous ! Je vous ai reconnue ! », dit-elle d’un ton enjoué.
« Oui ! Émilie ! C’est bien moi ! Mais que fais-tu ici ? », lui demanda-t-elle en jetant de rapides coups d’œil, qui résonnaient comme des appels à Marc, qui continuait à s’approcher. Inconsciemment, elle se couvrit la poitrine avec son livre.
« Oh ! Papa et maman nous ont offert des vacances ici. Marco ! J’avais raison ! C’est mademoiselle Bernard ! » cria-t-elle. Gênée, Marilyne se leva prestement et noua rapidement son paréo au-dessus de son bikini pour se couvrir.
« Oui tu avais raison Mimi ! Mais ne crie pas. » répondit-il d’une voix posée et amusée. Ne laissant pas le temps aux explications, Émilie enchaîna :
« Oh ! Vous voulez venir prendre une glace sur le port avec nous ? »
Son ton était si enjoué et exalté qu’elle sut qu’elle ne pourrait pas refuser. Émilie sauta de joie et lui prit la main et la guida vers le bout de la plage. Marilyne n’eut pas le temps de saisir ses quelques affaires, mais Marc s’en occupait déjà.
‘Qu’il est prévenant !’
Sur le chemin, Émilie lui raconta en détail le début de leurs vacances. Leurs parents étaient régulièrement en déplacement à travers le monde. C’était plus Marc qui élevait seul sa petite sœur. Comme ils ne pouvaient être avec eux, ils leur avaient offert des vacances en Grèce. Elle regarda Marc avec encore plus d’estime. Elle commençait à comprendre sa surprenante maturité. Et son sourire la faisait craquer à chaque fois ! Lorsqu’Émilie lui dit que c’était elle qui avait choisi la destination, Marilyne en fut soulagée. Elle avait cru un instant qu’il l’avait espionnée et suivie ici. Rassurée, elle se laissa totalement aller et apprécier l’instant et la belle surprise. Les glaces terminées, ils se promenèrent sur le port, Émilie accaparant totalement Marilyne. Puis tout à coup Émilie eut un flash et se retourna vers Marc.
« Oh dis Marco ? Mademoiselle Bernard peut venir avec nous au pique-nique demain ? Vous voulez venir avec nous ? Ce serait super ! Nous aurons une petite plage rien que pour nous ! Dis oui ! ». Marc haussa les épaules en la regardant, d’un air de dire qu’il n’y était pour rien. Marilyne les regarda tour à tour et répondit en riant :
« D’accord, je veux bien ! Merci pour l’invitation ! »
Émilie sauta de joie en leur tournant autour. Ils rirent de concert puis reprirent leur balade Émilie leur prenant la main. Ils échangèrent des regards complices et se sourirent à profusion.
Marilyne entendit le bruit d’un scooter s’immobiliser juste sous ses fenêtres. Un petit coup de klaxon lui fit passer la tête au dehors. Marc était là avec le panier de pique-nique attaché à l’arrière. Elle lui fit un petit signe de la main et disparut à l’intérieur. Elle se précipita pour prendre ses affaires et se regarda une dernière fois dans le miroir. Elle ajusta sa belle robe de plage, respira un grand coup pour calmer son cœur et le rejoignit en bas. Elle passa son sac sur l’épaule et pris le casque au bol qu’il lui tendait.
« Où est Émilie ? », demanda-telle.
« Oh, elle est désolée mais elle ne viendra pas. »
Marilyne le regarda d’un air suspicieux.
« Elle avait oublié qu’elle avait promis à une amie de passer la journée avec elle à la plage. Elle s’excuse de ne pas pouvoir être avec nous. Elle m’a fait promettre que nous dînerions ensemble par contre. » Il lui sourit et elle n’y résista pas. Elle lui sourit en retour, enfila le casque et, une fois bien attaché, elle s’installa derrière lui. Elle essaya de se mettre le plus en arrière possible pour ne pas trop le coller. Il démarra et au premier freinage, elle glissa tout contre lui. Ses seins virent se presser contre son dos musclé et ses cuisses s’écartèrent, alors que son pubis vint se plaquer contre son bassin. Sa position n’était pas correcte pour un professeur et son élève, mais elle adora la sensation et, balayant la pensée, elle passa ses bras autour de sa taille. Il avait une conduite souple et sécurisante. Elle était si proche qu’elle sentait son odeur. Elle le respira avec délectation sur tout le trajet. Le vent lui avait dénudé une grande partie de ses jambes. Lorsqu’il s’arrêta à un feu rouge, il posa négligemment sa main sur sa cuisse tout en lui parlant. Elle eut des frissons. Il commença à la caresser et elle sentit son excitation monter lentement. Lorsqu’il repartit, elle s’aperçut que les vibrations du scooter lui stimulaient légèrement le clitoris. La pointe de ses seins commença à durcir et leurs frottements, entre la fabrique de sa robe et son dos puissant, furent un délice. Elle en joua un peu et lui caressa le dos avec. Elle sourit en le voyant réagir. Alors, elle plaqua ses mains sur son torse et commença également à le caresser doucement au travers de son débardeur échancré. Elle glissa d’ailleurs une main en dessous et fit courir ses doigts sur ses abdominaux en bétons. Leurs corps étaient bouillants lorsqu’ils atteignirent leur destination, autant échauffés par le soleil que par leurs caresses. Elle descendit à regret et, défaisant son casque, le regarda mettre le scooter sur sa béquille centrale et détacher le panier. Ils posèrent les casques et il la guida par la main dans la forêt de conifères. Ils marchèrent un quart d’heure, passant le lit asséché d’une rivière. Ils arrivèrent au-dessus d’une crique quasiment fermée. Les derniers mètres pour atteindre la plage furent une descente assez ardue entre les rochers. Pour arriver sur la plage il fallait sauter plus d’un mètre cinquante de hauteur. Sans hésiter, Marc sauta avec le panier, le posa sur le sable et se retourna vers elle en lui tendant les bras.
« Viens à moi ! » dit-il, à moitié en plaisantant, à moitié ordonnant. Elle s’esclaffa puis reprit son sérieux et s’élança. Il la saisit par la taille et avec souplesse et délicatesse l’amena tout contre lui. Elle passa ses bras autour de son cou et se laissa glisser tout contre lui. Sa poitrine fut outrageusement pressée contre son torse et elle sentit sa raideur au travers de son short. Il lui plaça une main entre les fesses et la garda serrée quelques secondes jusqu’à ce que ses pieds touchent le sable. Il la déposa en douceur, lui prit la main et reprit le panier. Il l’amena jusqu’au centre de la minuscule plage. Elle regarda autour d’elle et vit qu’ils étaient complètement isolés. Il installa la nappe et commença à sortir la nourriture. Elle sortit de son sac une bouteille de vin et, se souvenant de son âge, lui demanda :
« Au fait, tu aimes le vin ? »
Il lui sourit et la lui prit des mains pour lire l’étiquette et la lui rendit.
« Oui j’aime bien. Je dois avoir un tire-bouchon quelque part. »
Ils finirent de s’installer et profitèrent du magnifique repas. Ils discutèrent et plaisantèrent longuement. Plus elle était avec lui, plus elle était sous le charme. Elle avait du mal à détacher son regard de son corps. Son débardeur échancré lui dévoilait des muscles saillants et une peau de satin. Le soleil commençait à taper alors il enleva son débardeur et commença à se couvrir de crème solaire. Elle fut hypnotisée en voyant ses mains courir sur son sublime buste. Elle s’aperçut qu’elle avait la bouche ouverte. Elle la ferma et fouilla dans son sac pour sortir sa crème. Elle défit sa robe et commença à se badigeonner. Il s’approcha et lui tendit sa crème, elle la prit sans comprendre immédiatement. Il lui tourna le dos.
‘Oh mon dieu ! Oui !’
Elle commença, avec plaisir et délectation, à lui passer la crème sur son dos massif. Le simple fait de faire courir ses doigts sur sa peau l’excita énormément. Lorsqu’elle eut fini, il se retourna et il lui fit de même. Elle frissonna au contact de sa main sur son dos et elle apprécia chaque caresse. Une fois terminé, il lui prit la main et partit en courant vers la mer. Marilyne partit dans un grand éclat de rire. Il la regarda par-dessus son épaule et elle rit de plus belle. Après quelques foulées dans l’eau ils plongèrent tête la première. L’eau était encore chaude pour la saison, mais également rafraîchissante. Ils nagèrent côte à côte pendant quelques minutes. Ils barbotèrent un peu puis ressortirent se sécher au soleil. Ils disposèrent leurs serviettes l’une à côté de l’autre et elle s’allongea sur le ventre et il s’installa sur le dos. Elle se redressa sur ses coudes et jeta un œil aux alentours et dit :
« C’est magnifique ici ! »
« Huhum. » répondit-il. Il se redressa sur un coude et se tourna vers elle.
« Comment as-tu décou… HAAA ! »
Il l’avait coupé en lui assénant subitement une grande claque sur les fesses à moitié dénudées par son maillot. Il glissait maintenant ses doigts vers son sexe. Elle le regarda surprise tout d’abord puis elle ferma les yeux. Elle écarta un peu les jambes et se cambra pour lui donner accès à son intimité qui s’humidifia rapidement. Il joua avec ses lèvres, son clitoris et l’entrée de son vagin avec expertise. Elle gémit, soupira, hoqueta sous ses caresses exquises. Elle bougeait le bassin pour amplifier ses attouchements divins. En effectuant des pressions sur son clitoris et en les relâchant subitement, il lui déclenchait de véritables ondes de chocs dans tout le corps. Son excitation montait en flèche et elle commença à le supplier de la prendre. Elle voulut lui prendre le sexe en main, mais il refusa. Il lui introduisit son pouce et lui massa la partie antérieure du vagin pendant que ses autres doigts lui stimulaient le clitoris en regard. C’en fut trop, elle rehaussa son bassin et se mit sur ses genoux. À quatre pattes, les jambes tremblantes, elle gémissait et l’implorait de la prendre maintenant. Il n’en fit rien et il continua de la sorte jusqu’à ce qu’elle explose. Elle cria sa jouissance et tout son corps se mit à trembler. Elle s’affala sur sa serviette et essaya de reprendre son souffle et ses esprits. Il arrivait à lui déclencher des orgasmes d’une intensité qu’elle avait rarement eue. C’est alors qu’elle le sentit s’installer à califourchon sur le haut de ses cuisses. Elle regarda par-dessus son épaule et le vit sortir son sexe. Il commença à la fesser doucement avec.
« Oh mon dieu ! Attends Marc ! Attends un peu ! Non, pas maintenant ! C’est trop tôôôôoooh ! »
Elle agrippa sa serviette alors qu’il lui plongeait son sexe, raide comme du bois, dans son vagin en feu. Il lui écarta les fesses et commença par de lents va-et-vient.
« Oh mon dieu ! Oui ! Haaaaa ! ».
Elle sentit son excitation repartir en flèche et son orgasme ne fut pas long à se reformer telle une lame de fond à l’horizon. Alors, Marc prit appui sur sa taille et se déchaîna. Il la pilonna de toutes ses forces et mon dieu qu’il était puissant ! Ses fesses furent martelées sans ménagement et les ondes de choc se propageaient jusqu’au sommet de son crâne. Elle ne retint rien et cria de plaisir. Son esprit fut balayé par la lame de fond qui se brisa dans son cerveau. Le choc se propagea dans tout son corps qui se tendit comme la corde d’un arc. Ses muscles se tétanisèrent, son cœur battait à tout rompre, ses oreilles bourdonnaient et sa vue se brouilla légèrement. Il continuait à la prendre avec violence et elle était extatique, ne parvenant plus à émettre que des sons inintelligibles et rauques. L’entendre la besogner ajouta à son excitation. Elle adora le sentir fort et puissant en elle. Elle aimait le recevoir de la sorte. Quel délice ! Son orgasme se prolongea tant la puissance de ses coups de reins la maintenait à son apogée. Le bruit de la fessée qu’il lui donnait la rendait folle. Elle le prenait comme une punition méritée pour fauter avec un élève. Elle crut qu’il lisait dans son esprit, car, tout en continuant à lui martyriser le sexe et les fesses, il s’approcha de son oreille et lui dit, entre deux râles :
« Tu l’as méritée ! Hein ? Tu es une vilaine fille ! »
Entre deux hoquets de jouissance, elle lui répondit :
« Oh oui ! Oui ! Je l’ai méritée ! Oui ! J’ai été vilaine ! Haaa ! »
Il lui demanda de le répéter encore plusieurs fois et elle le fit avec plaisir et zèle. Alors qu’elle pensait que ça ne finirait pas, il se retira et éjacula sur ses fesses et son dos. Elle était en nage, le cœur battant à cent à l’heure et toute haletante. Il se masturba jusqu’au dernier jet, lui flatta la croupe puis s’allongea sur le dos reprenant son souffle. Elle le regarda et sourit du plaisir qu’il venait de lui procurer autant que de le voir dans cet état. Elle fut hypnotisée par les amples mouvements de sa puissante poitrine, qui se soulevait et s’abaissait au rythme effréné de sa respiration. Cette dernière se calma rapidement alors que la sienne était encore saccadée. Elle se retourna sur le dos et sentit l’humidité de son sperme sur elle. Cette sensation l’aurait dégoûtée par le passé mais aujourd’hui elle n’en eut cure. Elle voulait tant lui plaire ! Son esprit essaya de la raisonner, mais il fut balayé par le soudain et tendre baiser qu’il lui posa sur les lèvres. Elle sursauta légèrement mais l’instant d’après elle lui avait passé les bras autour du cou et lui ouvrit sa bouche pour que leurs langues se mêlent. Elle n’arrêta pas de gémir de plaisir. Tout son corps réclamait ses caresses et la frustration de ne rien recevoir augmenta son excitation. Alors, elle le caressa. Elle fit courir ses doigts sur tout son buste et son dos. Puis elle referma ses doigts sur sa verge en semi-érection. Il se remit sur le dos et elle lui baisa son buste tout en descendant vers son sexe. Lorsqu’elle le prit en bouche, il n’était plus aussi dur et elle aima aussi cette consistance. Elle le suça et le pompa avec avidité, émettant des gémissements de gourmandise. Il lui posa une main sur la tête et lui massa le crâne.
‘Mon dieu ! Que c’est bon !’
Alors, une sensation sublime se produisit. Elle sentit sa verge reprendre de la vigueur alors qu’elle l’avait en bouche. Elle la sentit enfler, durcir, devenir très chaude. Elle adora ça. Elle le suça pendant de longues minutes. Elle s’arrêta lorsque ses joues lui firent trop mal. Elle joua avec ses mâchoires pour détendre les muscles et les articulations et il en rit en la voyant faire et elle l’accompagna. Elle s’allongea tout contre lui, posant sa joue sur sa confortable épaule en soupirant de plaisir.
« Toujours déçue qu’Émilie ne soit pas avec nous ? », demanda-t-il. Elle gloussa et reprenant son sérieux à moitié lui répondit :
« Hum… Non ! »
Et ils gloussèrent de concert. Il faisait glisser la pulpe de ses doigts le long de sa colonne jusqu’à la naissance de ses fesses, lui déclenchant de voluptueux frissons dans tout le corps. Elle ne s’arrêtait plus de soupirer et de gémir. Elle lui caressait avec délectation son buste puissant.
« Mon dieu ! Que tu es musclé ! », lâcha-t-elle dans un souffle. Il gloussa et répondit :
« Merci. C’est un long travail de génie-génétique ! » Elle rit et il l’accompagna. Elle se déplaça pour se rapprocher de son cou et y posa un doux baiser. Elle en profita pour le renifler à pleins poumons. Elle adorait son odeur musquée. Ce faisant, la main de Marc eut accès à son entrejambe et elle se figea en sentant ses doigts effleurer cette région rendue extrêmement sensible par leurs activités antérieures.
« Ha ! Doucement ! C’est très sensible là ! », lui chuchota-t-elle à l’oreille. Alors son corps commença à vibrer pendant que ses doigts caressaient doucement sa vulve parfaitement lubrifié. Elle hoqueta et se tendit lorsqu’elle sentit la pulpe de son doigt appuyer contre son anus. Elle avait toujours considéré ça dégradant et n’avait jamais aimé l’idée. Elle voulut lui dire non mais sa volonté de lui plaire surpassa son dégoût. Elle sentit son petit trou se dilater légèrement alors qu’il y plongeait la première phalange de son majeur. Elle le regarda dans les yeux, à moitié effrayée, à moitié excitée. Il lui souriait et la fixait avec calme et envie. Ça la rassura et elle essaya de se détendre comme il le lui chuchotait. Elle se cambra et il put y plonger plus profondément. Elle n’avait pas mal, comme elle l’aurait cru. Il y allait en douceur et son doigt, bien lubrifié par sa cyprine, glissait sans effort. Il commença à faire de petits va-et-vient et elle adora cette petite pénétration, elle ferma les yeux pour mieux savourer les sensations nouvelles qui l’assaillaient.
« Humm… C’est bon ! Ouiiii ! Hoooo ! »
Il l’allongea sur lui et la remonta jusqu’à ce qu’il puisse prendre ses seins en bouche. Elle retira prestement son haut de maillot et les lui offrit avec une joie non dissimulée. Les exquises perceptions dans son très-fond, sondé par ses longs doigts, associées aux divines caresses buccales sur sa poitrine, firent remonter son excitation. Elle bougea son bassin pour amplifier la profondeur de ses pénétrations et chaque centimètre gagné amplifiait l’intensité de son plaisir. Il portait une attention égale à chaque sein. Il les baisait, léchait, mordillait, dévorait avec une telle habileté qu’elle en hoqueta de plaisir. Son orgasme était encore loin, mais les longues minutes sous cette torture paradisiaque lui permit de revenir tout proche. Alors, il la mit à quatre pattes à nouveau. Elle attendit avec impatience la suite. Une onde de peur passa sur elle lorsqu’elle le vit sortir un tube de vaseline et prestement en badigeonner son membre en érection totale.
‘Mon dieu, ça ne rentrera jamais !’
Elle était effrayée et totalement excitée. Elle retint sa respiration. Le doux contact de sa main sur sa croupe, la rassura. Il la flatta comment on fait sur une jument et lui chuchota que tout irait bien, qu’elle devait se détendre. Elle le désirait tant qu’elle balaya ses craintes et se tendit vers lui. Il se plaça derrière elle et elle eut un petit mouvement de retrait lorsqu’elle sentit son gland contre sa rosette. Il la retint et, en continuant de la rassurer d’une voix douce et suave, il pressa son entrée. Elle ouvrit grand les yeux et la bouche en sentant son anus se dilater encore et encore autour de son énorme gland. Le sentir entrer jusqu’à la collerette lui arracha une plainte, subtil mélange de plaisir et de surprise. Il temporisa là tandis qu’elle soufflait fort pour se détendre. Lorsqu’il la sentit prête, il continua et lentement il s’introduisit. Elle grimaça fugacement, car les douleurs qui lui tiraillaient l’anus furent rapidement remplacées par des sensations exquises de bien-être et de détente profonde. Ses yeux se révulsèrent de plaisir et elle l’encouragea. Il commença alors ses va-et-vient et en quelques minutes, il la pénétra de toute sa longueur et elle s’esclaffait de plaisir de plus en plus fort. Jamais elle n’aurait cru que son petit trou puisse se dilater de la sorte. Mon dieu c’était divin ! Elle l’entendait besogner et il s’écria :
« Oh ! Mademoiselle Bernard ! Votre cul est si serré ! Que c’est bon ! »
L’entendre l’appeler ainsi, alors qu’il la prenait virilement par derrière, lui faisait un effet fou. Elle sentait ses deux mains puissantes fermement agrippées sur ses fesses. Elle sortit de son corps et se vit, nue, à quatre pattes sur la plage déserte et Marc la sodomisant. Cette vision la porta à ébullition. Elle était sa chose et elle voulait assouvir tous ses désirs. Elle posa sa joue sur la serviette pour lui donner un meilleur angle et il gagna quelques millimètres, ce qui la fit crier de plaisir. Ses cris et ses râles étaient rauques et graves. Jamais elle n’avait émis des sons pareils. Elle serra sa serviette dans ses poings lorsqu’elle le sentit accélérer. Elle cria de surprise et d’excitation lorsqu’il la fessa une première fois. Ce ne fut pas une petite tape. Non, la gifle fut puissante. Elle sentit des fourmis là où il l’avait frappée et elle adora cette sensation. Elle en redemanda, le supplia même de continuer. Il le fit et à chaque fois elle criait, gémissait, gloussait, riait, roucoulait même. Elle en arriva jusqu’à le lui crier. Qu’elle en voulait encore, qu’elle était une vilaine fille, qu’il devait la punir.
« Oh Marc ! Défonce-moi ! Ravage-moi ! Pète-moi le cul ! Encule-moi comme une chienne ! Déchaîne-toi dans mon petit cul serré ! HOOO ! OUIIII ! Ne t’arrête pas ! Vas-y à fond mon bel étalon ! Viens fort en moi ! »
Il la fessa jusqu’à ce que ses deux globes en soient cramoisis. Elle ne s’arrêtait plus de crier et elle fut bouleversée de sentir son orgasme revenir alors qu’il la prenait de la sorte. Elle lui dit qu’elle allait jouir alors il lui saisit fermement les hanches et se déchaîna de plus belle. Elle en eut le souffle coupé, puis, après quelques pénétrations sauvages, elle hurla et frappa le sol de ses poings tellement son orgasme était fort et différent à la fois. Son anus en feu se contracta douloureusement sur sa verge brûlante et vibrante !
‘Mais quel pied putain ! C’est pas croyable ! Il est génial ce mec !’
Lorsqu’il sentit que son orgasme diminuait, il ralentit la cadence puis se retira lentement. Elle accompagna sa sortie d’un long gémissement extatique entrecoupé de hoquets nerveux. Elle s’effondra sur sa serviette. Elle était complètement épuisée. Elle ne parvenait plus à bouger. Elle l’entendit souffler à son tour et prendre quelques minutes pour calmer son cœur et sa respiration. Il sortit un paréo de son sac et la couvrit du soleil brûlant. Son attention la toucha énormément, mais elle n’eut pas la force de le remercier. Elle avait les larmes aux yeux de contentement et d’appréciation. Il savait être si doux et attentionné et si sauvage et viril en même temps.
‘Mais il vient d’où ce type ?’
Elle le regarda du coin de l’œil alors qu’elle se battait pour retrouver son souffle.
‘Qu’il était beau mon dieu. Il n’y avait rien à jeter.’
Elle ferma les yeux et sentit sa respiration et les battements de son cœur s’apaiser enfin…Elle eut un sursaut en se réveillant et elle le vit qui la regardait, appuyé sur un coude. Elle lui sourit et se redressa lentement. Son entrejambe pulsait fort. Elle avait l’impression qu’un camion lui était passé dessus. Elle passa sa main et tressaillit de douleur. Elle le regarda et roula des yeux en se mordant la lèvre inférieure. Il gloussa et se pencha pour l’embrasser, elle se tendit vers lui avec envie, lui passa la main derrière la tête et reçut son tendre baiser avec un gémissement de délectation. Ses lèvres étaient douces et sa langue experte. Elle s’enivra de leur baiser et la tête commença à lui tourner. Il se releva et la prit dans ses bras. Elle n’était pas toute légère, mais elle avait l’impression qu’elle ne pesait pas plus qu’une plume dans ses bras puissants. Elle passa ses bras autour de son cou et posa sa joue sur son épaule. Il l’amena vers la mer et y pénétra lentement. Il la baigna dans ses bras tendrement et l’embrassa avec passion lui caressa les seins délicatement. Tant de douceur c’en fut trop et elle l’implora de la prendre immédiatement. Elle se plaça face à lui et passa ses jambes autour de sa taille. Il plaça ses mains sur ses fesses qu’il écarta pour la pénétrer lentement. Alors qu’elle aurait voulu de la fougue et de la violence, tout ce qu’il lui donnait était délicatesse et volupté. Elle essaya de s’activer sur lui, mais il lui résista.
‘Quel pied ! Putain ! Ce type est un dieu !’
Elle bascula la tête en arrière et hurla à s’en arracher les cordes vocales tellement son orgasme fut profond, intense et long. Le salaud en avait profité pour lui glisser un doigt dans le cul, lui gober un téton et étirer son sein au maximum. Elle le regarda avec des grands yeux réprobateurs et implorants d’extase. Son corps convulsa dans ses bras et il fut assez fort pour la garder en place.
‘Putain, mais il va s’arrêter quand cet orgasme !’
Elle haletait, son cœur prêt à exploser dans sa poitrine. Sa vue se brouilla un instant, ses oreilles bourdonnantes. Il l’immergea complètement et lui prit les lèvres sous l’eau. Lorsqu’ils ressortirent, leur baiser était devenu fusionnel.Ils se dévoraient littéralement la bouche et le visage. Lorsqu’il la posa sur sa serviette, il lui remonta les genoux à la poitrine, lui ouvrant la vulve et l’anus. Elle garda la position alors qu’habilement il l’aspergeait de lubrifiant. Il en mit une belle dose sur son phallus à nouveau prêt à sévir. Il prit appui à l’intérieur de ses genoux, lui comprimant les seins et la pénétra d’un coup sec. Ni une ni deux, il la défourailla comme un dément en rut. Il était capable de changer d’attitude sans crier gare et elle en était complètement dingue !
Elle renversa sa tête, ses yeux révulsés et l’encouragea :
« OH ! OUIIII ! Comme ça ! C’est bon ! OH OUI! Que tu es puissant ! Que tu es fort mon homme ! Prends-moi fort ! OUI ! OUI ! OUI ! HAN ! HAN ! HOOOO ! »
Elle le sentit proche d’exploser.
« Oh Marc ! Oui ! Inonde-moi ! Je veux te sentir exploser en moi ! Je te veux ! Je suis à toi ! Oh ! MERDE ! OUI ! Putain que c’est bon ! OOOOH ! »
Elle fut transie et sursauta à chaque explosion de sperme qu’il lui éjecta dans sa matrice ! Elle n’eut pas d’orgasme mais l’intensité de son acte et la compression de ses seins, l’empêchant de respirer profondément, lui firent un effet du tonnerre. Et le voir, sur elle, transpirant, le visage crispé dans sa jouissance, la rendait complètement folle de bonheur, pour elle et surtout pour lui. Elle lui caressa la joue et le regarda avec des yeux emplis de volupté. Il lui sourit et lui baisa la paume de sa main. Elle adorait qu’il la laisse dans cette position, qu’elle aurait trouvé inconfortable. Elle était sienne et elle voulait lui plaire. Si cette position de soumission lui faisait de l’effet, alors à elle aussi. Elle le sentit débander un peu en elle mais il resta. Il lui libéra ses genoux et vint s’allonger de tout son long sur elle. Elle enroula ses cuisses autour de sa taille et l’accueillit dans ses bras et tout contre elle.
‘Oh putain ! Oui ! Que c’est bon !’
Elle le sentit tout vibrant sur elle et elle le caressa tendrement. Il contracta sa verge en semi-érection, encore en elle, et elle en gloussa. Elle lui répondit en contractant sa chatte, en fusion par ses pénétrations viriles, et ils jouèrent comme ça pendant quelques minutes. Il se redressa et la regarda droit dans les yeux. Elle ouvrit grand la bouche et les yeux, ressentant l’exquise sensation de son membre reprendre de la vigueur et la remplir à nouveau petit à petit. Elle contracta fort son vagin autour de son pieu, redevenu ardant et vibrant, et il lui répondit de la même. Elle n’avait jamais fait ça et elle fut rapidement épuisée par l’effort. Il s’était rallongé complètement sur elle, son visage dans son cou et elle sentit et entendit ses efforts. Ils eurent rapidement le souffle court et haletant, leurs corps complètement transpirants. Le plus petit mouvement se transformait en une caresse moite et sensuelle. Elle ne pensa pas pouvoir monter jusqu’à l’orgasme tellement elle le sentait lointain et sourd, mais elle apprécia chaque seconde et n’y pensa plus. Elle crut abandonner plusieurs fois mais l’obstination et l’endurance de Marc la galvanisèrent. Elle n’arrivait plus à respirer ; les poumons comprimés par son poids, elle commença à suffoquer. Attentif, Marc se redressa sur les mains et elle put reprendre de grandes respirations. Elle vit Marc lui dévorer les seins du regard. Le petit vent qui passa sur son torse humide la fit frissonner. Il se rallongea pour la couvrir et ils continuèrent avec zèle leur amour immobile. Ça faisait une bonne demi-heure qu’ils s’activaient lorsqu’elle fut terrassée par l’orgasme le plus fou qu’elle n’ait jamais ressenti. Il se redressa et il hurla du plus profond de ses tripes sa jouissance. Il explosa au plus profond d’elle, le corps complètement tendu comme un arc, les muscles tétanisés. Elle se sentit balayer par un raz de marée. Elle lui avait planté les ongles dans ses fesses qu’elle pressait le plus fort possible. La tête complètement arquée en arrière, le dos cambré au maximum, ses muscles tendus à tout rompre.
‘Oh putain ! Oh Putain ! OH PUTAIN ! OH PUTAINNNN !!!’La descente fut tellement lente et douce, qu’ils s’endormirent dans le contentement le plus total.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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