Suite de Fruits de Mer – 4 – publiĂ© sous le n°1234C’est toi une fois encore, qui as donnĂ© le signal et qui nous a libĂ©rĂ©s. Toi qui, jusqu’alors, n’avait Ă©tĂ© qu’un spectateur passif, un voyeur libidineux, un pacha jouissant du spectacle que ses odalisques asservies lui avaient donnĂ© pour le « mettre en appĂ©tit ».—  »A boire !  » As-tu lancĂ© d’une voix forte et joyeuse. Je me suis redressĂ©e pour me dĂ©coller de ton torse et te montrer en souriant mes yeux pĂ©tillants d’excitation dans lesquels tu as plongĂ© ton lourd regard vert, mi-sĂ©rieux, mi-amusĂ©, un peu mystĂ©rieux, un peu sĂ©vère, plein de tendresse, plein de promesses… Elle s’est retournĂ©e de l’autre cĂ´tĂ© et, Ă genoux sur le canapĂ©, s’est penchĂ©e vers la table basse pour remplir trois verres de vin glacĂ©. Elle nous tournait le dos encore bridĂ© de l’attache rouge de son soutien-gorge. Elle pointait vers nous sa croupe gĂ©nĂ©reuse toujours serrĂ©e dans la dentelle de son slip et nous exposait en toute impudeur son entrejambe oĂą la fine bande de tissu trempĂ© de ses sĂ©crĂ©tions dissimulait Ă peine sa fente laissant dĂ©border de chaque cĂ´tĂ© une partie des grosses lèvres enflĂ©es de sa vulve. Nous avons matĂ©, nous avons apprĂ©ciĂ©, nous avons admirĂ© et nous avons compris que par cette offrande elle acceptait de participer elle-aussi Ă la folie dans laquelle nous Ă©tions dĂ©jĂ entrĂ©s, toi et moi. Ta queue contre mon ventre a palpitĂ©, j’ai mouillĂ© encore un peu plus…Tandis qu’elle continuait Ă officier dans cette position coquine, tu as dĂ©boutonnĂ© mon chemisier et en as Ă©cartĂ© les pans, j’en ai fait de mĂŞme avec ta chemise qu’avec quelques contorsions j’ai rĂ©ussi Ă extraire de ton pantalon, puis nous nous sommes collĂ©s Ă nouveau, frottant et Ă©crasant mes seins sur ta poitrine, ce dont j’avais si envie depuis des heures, nous lĂ©chouillant la bouche de petits baisers rapides et de coups de langues gourmands et caressant de nos mains libres le plat du dos, les rondeurs du cul et les grandes lèvres moelleuses de notre jolie servante.Au bout d’un moment, quand elle a eu, je suppose, assez profitĂ© des caresses de nos mains et de nos yeux, elle s’est redressĂ©e, nous a donnĂ© nos verres pleins du vin dorĂ©, de sa main libre et d’un geste naturel et gracieux a dĂ©grafĂ© son soutien-gorge, libĂ©rant de sa prison de soie sa lourde poitrine, l’a jetĂ© Ă travers la pièce et est revenue se blottir contre nous, me faisant face, sa tĂŞte sur ton Ă©paule, son sein droit contre ton bras. Nous avons trinquĂ© en silence et commencĂ© Ă boire Ă petites gorgĂ©es. De ta main libre tu t’occupais de mon sein gauche et de son tĂ©ton (que tu adores martyriser !), de la sienne elle me caressait le droit, diffĂ©remment, d’un toucher plus fĂ©minin, et de la mienne je goĂ»tais tout ce que je pouvais atteindre de sa peau nue : ses seins, son ventre, ses cuisses, ses Ă©paules, son cou, alternant les caresses, douces ou appuyĂ©es, et les griffures lĂ©gères de mes ongles…Et toi ? … Toi, je te caressais en secret, sous la corolle protectrice de ma jupe. D’une lente ondulation de mon ventre, je massais Ă travers ton pantalon ta queue enfermĂ©e que je sentais si dure et si grosse et qui me rĂ©pondait en palpitant de plus en plus fort.Tu as posĂ© ton verre vide et discrètement, sans cesser la caresse de mon sein, tu as glissĂ© ton autre main sous ma jupe, entre nos ventres, entre tes cuisses et, en remontant, dans la fente de mon con trempĂ© que tu as immĂ©diatement fouillĂ© de tes doigts impatients, Ă©talant ma mouille sur tout mon entrejambe et en enduisant copieusement l’anneau et la bouche de mon anus… Je n’ai pas pu me retenir… J’ai joui très vite, très fort, j’ai littĂ©ralement Ă©jaculĂ© sur tes doigts, dans ta main… J’ai joui en silence pour quelle ne remarque rien, ou du moins j’ai essayĂ©, en cachant mon visage dans ton cou et en le mordant Ă pleine dent pour Ă©touffer mon cri… Peine perdue, rien ne lui a Ă©chappĂ©, ni mon brusque changement de position, ni mon gĂ©missement sourd, ni le tremblement incontrĂ´lable de tout mon corps, ni surtout la morsure de mes ongles que j’avais plantĂ©s dans le gras de sa hanche… Se serrant un peu plus contre toi, elle n’a rien dit, mais je voyais bien ses cuisses Ă©craser, comme les mâchoires d’un Ă©tau, le poing serrĂ© qu’elle avait plaquĂ© et qu’elle frottait contre son sexe, j’entendais siffler sa respiration, je voyais ses ongles s’enfoncer dans ton bras, je voyais son regard chavirer… Elle non plus, elle n’en pouvait plus… Je suis presque sĂ»re qu’elle a joui, elle aussi, mais en silence, Elle…Sans doute pour donner le change, elle s’est levĂ©e Ă©teindre les dernières bougies qui achevaient de se consumer et ranimer le feu dans la cheminĂ©e en y jetant deux nouvelles bĂ»ches qui se sont aussitĂ´t enflammĂ©es en un crĂ©pitement joyeux. EclairĂ©e par ces seules flammes, l’atmosphère de la pièce avait Ă nouveau changĂ©. Les ombres Ă©taient devenues plus grandes et plus sombres et leur danse plus lente, la lumière Ă©tait basse, lourde, chaude, Ă©trange, quelque chose de dĂ©licieusement « satanique ». Puis elle est allĂ©e fouiller dans la pile des disques laser pour choisir une autre musique.Pendant qu’elle s’affairait ainsi autour de la platine en nous tournant le dos, nous en avons profitĂ©. Tu m’as repoussĂ©e d’un geste ferme vers le bord de tes genoux, tu as dĂ©grafĂ© ta ceinture, ouvert ton pantalon que tu as fait glisser Ă mi-cuisses en te cambrant pour le laisser passer sous tes fesses ; dans le mouvement ta bite a jailli, Ă©norme, comme un diable de sa boite ; tu m’as prise par les hanches et, dans le mĂŞme mouvement, tu m’as soulevĂ©e, ramenĂ©e vers toi et plantĂ©e sur ton sexe qui s’est engouffrĂ© sans vergogne et, je dois l’avouer, sans aucune difficultĂ©, dans le mien, jusqu’au trĂ©fonds de mon ventre brĂ»lant, comblant en un instant ce vide qui me devenait insupportable. D’abord surprise de ce viol audacieux, j’ai presque immĂ©diatement joui Ă nouveau, dans une longue vibration ponctuĂ©e d’un tout petit cri Ă©touffĂ©, tandis que toi, ne bougeant plus, tu t’appliquais Ă lisser le rond de ma jupe autours de nous pour dissimuler notre forfaiture et la nuditĂ© de tes fesses.J’ai reposĂ© ma tĂŞte au creux de ton Ă©paule, plaquĂ© ma poitrine nue contre la tienne, fermĂ© les yeux et, ainsi empalĂ©e et abandonnĂ©e, j’ai attendu que tu entreprennes la fouille de mon ventre.Tout doucement, presque imperceptiblement, tes hanches se sont mises Ă onduler, Ă rouler et Ă tanguer, de bas en haut, de gauche Ă droite, d’avant en arrière, imprimant un mouvement inverse et amplifiĂ© Ă ta queue dont la hampe de chair dure lime, lubrifie, distend, ouvre et Ă©carte l’entrĂ©e du puits de mon con tandis que ton gland et sa petite bouche tournent lentement dans mon miel, caressant et embrassant chaque coin et recoin des muqueuses de ma caverne d’amour en une lente valse lancinante.Je ne bougeais plus, je ne sais mĂŞme pas si je respirais encore. Mes yeux que je fermais très fort Ă©taient dans mon ventre, j’étais dans mon ventre. Je regardais la danse de ton sexe, je suivais son exploration des moindres replis de mon intimitĂ©, j’admirais la beautĂ© des lieux, je voyais l’intĂ©rieur de ma grotte, tout y Ă©tait rouge, comme dans un lupanar, les parois et la voĂ»te humides, molles et ondoyantes brillaient de mille lucioles, ta bite se dressait au milieu d’un lac Ă l’eau laiteuse et fluorescente, et, tel un Ă©norme monstre marin venu d’un autre monde, tournoyait majestueusement en cognant et frottant sa tĂŞte visqueuse sur les parois moelleuses de l’antre qu’il avait investi. J’écoutais les barrissements du monstre et leur Ă©cho rĂ©sonnant Ă l’infini, le bruit du ressac de mon lac agitĂ© par tes assauts, le bruit sourd des cognements de ton gland aveugle, le crissement de ta chair forçant la mienne, le grondement de mon plaisir qui monte…Je l’avais presque oubliĂ©e… Quand j’ai senti ses mains se poser sur mon dos, je me suis figĂ©e, tĂ©tanisĂ©e… Mon corps disait non, ma tĂŞte disait oui, ou le contraire, je ne sais plus… Tu m’as brutalement serrĂ©e contre toi en plantant mĂ©chamment ton dard au fonds de mes muqueuses… J’ai compris l’avertissement… Nous Ă©tions au point de non-retour… Ou je refusais de continuer le jeu et tout s’arrĂŞterait lĂ , ou j’acceptais et il me faudrait alors en admettre toutes les règles, quelles qu’elles soient, jusqu’au bout, sans rĂ©serve, sans protester ni renâcler ni rechigner, sans rien refuser, ni de recevoir, ni de donner, ĂŞtre soumise et obĂ©issante, mais aussi active et entreprenante, ĂŞtre prĂŞte Ă vivre mes fantasmes, nos fantasmes, Ă subir dans ma chair et Ă vous faire subir toutes ces folies que nous n’avions tous les deux qu’imaginĂ©es, rĂŞvĂ©es et susurrĂ©es dans le creux de nos oreilles, au paroxysme de nos dĂ©lires Ă©rotiques…Dès ton dĂ©part ce matin je m’étais jurĂ©e de ne pas te dire « non » aujourd’hui, ce « non » que tu exècres, ce « non » qui, chaque fois que je le prononce, dĂ©montre que je ne suis pas encore complètement Ă toi, que je ne suis toujours pas ta « petite pute » que je prĂ©tends vouloir ĂŞtre, ce « non » qui remonte du fin fond des restes de mon Ă©ducation judĂ©o-chrĂ©tienne, ce « non » qui est le dernier obstacle Ă l’explosion de ton vice, Ă la libĂ©ration de ma nymphomanie rentrĂ©e, Ă l’ouverture d’une nouvelle porte derrière laquelle le vide et l’inconnu me donnent le vertige et m’appelle dĂ©sespĂ©rĂ©ment… J’ai dit « oui »… « oui » en te le murmurant dans le cou pour que tu m’entendes affirmer ma dĂ©cision, « oui » avec mon corps qui s’est soudain abandonnĂ©, pour que tu sentes son accord parfait avec mes mots. Je me suis relâchĂ©e, tu as desserrĂ© ton Ă©treinte, ta queue a cessĂ© sa fĂ©roce pression, ses mains ont commencĂ© Ă caresser mon dos Ă travers mon chemisier, nous avons repris la danse animale de nos ventres…Mes yeux clos n’étaient plus dans la caverne enivrĂ©e de ma chatte, ils Ă©taient dans ses mains, Ă fleur de ma peau frĂ©missante, Ă la place des siens, dans mon dos, derrière nous, ils la regardaient, me regardaient, te regardaient, nous regardaient… J’étais voyeuse non voyante, tous les autres sens en Ă©veil dans ma dĂ©licieuse obscuritĂ©, guettant et traduisant en images chaque frĂ´lement, chaque attouchement, chaque geste, chaque mouvement, chaque dĂ©placement, chaque bruit, chaque crissement, chaque gĂ©missement, chaque odeur, chaque moiteur, chaque chaleur, chaque souffle sur ma peau, essayant de prĂ©voir l’instant Ă venir, la sensation Ă venir, la caresse Ă venir, l’étape Ă venir… ce qui va m’advenir…AgenouillĂ©e entre tes jambes, vĂŞtue de sa seule petite culotte rouge, elle m’a longuement caressĂ© et massĂ© le dos et les flancs, du col de mon chemisier Ă la ceinture de ma jupe, lissant le tissu et dessinant mes courbes, puis elle a posĂ© son torse contre mon dos, m’a recouverte de sa chaleur moite, a Ă©crasĂ© ses seins sur mes omoplates, a posĂ© ses lèvres sur le duvet de ma nuque, a pressĂ© son ventre sur mes reins, m’a enlacĂ©e de ses bras qu’elle avait glissĂ©s entre nous deux et ainsi pelotonnĂ©e contre moi, elle m’a accompagnĂ©e dans ma danse avec ton sexe jusqu’à ce que je jouisse une nouvelle fois dans un miaulement sourd.Elle a abandonnĂ© son Ă©treinte et mon dos, le long duquel elle s’est laissĂ©e glisser en le caressant de ses seins et de la pointe dure de ses tĂ©tons, me laissant goĂ»ter les dernières vagues de ma jouissance et reprendre mon souffle et mes esprits.Maintenant que je n’étais plus anesthĂ©siĂ©e par la montĂ©e de mon plaisir, le frottement de la ceinture de ton pantalon restĂ© Ă mi-cuisses et la griffure de la fermeture Ă©clair de ta braguette me faisaient mal. Je me suis tortillĂ©e pour essayer de m’en dĂ©gager et tu as essayĂ© en vain de m’aider par de discrètes contorsions. Elle est venue Ă notre secours. J’ai senti ses mains et ses bras se glisser sous ma jupe, ses doigts ont agrippĂ© ta ceinture, tu m’as soulevĂ©e lĂ©gèrement, tu t’es cambrĂ© pour faciliter sa tâche, elle a tirĂ© en arrière et nous avons Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s de la meurtrissure de ce vĂŞtement encombrant. J’ai entendu au bruit de l’étoffe et j’ai senti Ă tes mouvements qu’elle te l’enlevait entièrement. Tu Ă©tais nu maintenant avec elle agenouillĂ©e devant toi que tu serrais entre tes jambes et seule ma jupe, toujours en corolle autour de moi lui cachait encore nos intimitĂ©s imbriquĂ©es.Tu as repris lentement la fouille de mon ventre qui s’est aussitĂ´t mis au diapason, encore enflammĂ© de dĂ©sir et de plaisir, et, toujours dans l’obscuritĂ© de mes paupières, je suis repartie pour un nouveau tour de manège enchantĂ©, impatiente et inquiète de ce qui m’attendait. Tu t’es enfoncĂ© un peu plus dans le canapĂ©, me couchant contre toi presque Ă l’horizontale, tes mains passĂ©es sous ma jupe se sont emparĂ©es de mes fesses pour les pĂ©trir et m’enfoncer plus fort encore sur ta bite. Soudain tu les as lâchĂ©es et j’ai senti que tu remontais ma jupe pour lui exposer mon cul et tout le reste… J’ai sans doute eu un imperceptible mouvement de rĂ©volte… la paume de ta main droite a claquĂ© bruyamment sur ma fesse gauche… la sanction ne s’était pas fait attendre ! … Normal, j’avais dit « oui », l’heure n’était plus au choix, je me soumettais ou tu sanctionnais… c’est la règle, je la connais, tu me l’as souvent expliquĂ©e, je l’ai acceptĂ©e… Je savais que tu l’appliquerais sans faiblir et non sans plaisir… « Sadique ! » … Jusqu’oĂą tu iras, ça je ne le sais pas, mais je sais dĂ©jĂ Ă cet instant que tu iras très loin et, au fond de moi, c’est ce que je veux, ce que j’attends, mĂŞme si je suis incapable de me l’avouer.Ma jupe Ă©tait maintenant entièrement relevĂ©e, sur mes reins, tes jambes Ă©taient grandes Ă©cartĂ©es, tu avais tirĂ© mes genoux encore un peu plus sous moi pour mieux m’ouvrir et m’exposer, tu avais repris mes fesses Ă pleines mains, les poussant et les tirant au rythme du lent et long va-et-vient de ta queue dans mon ventre. Tu me tirais vers toi jusqu’à ce que ton gland en soit presque sorti, puis tu me repoussais pour me remplir Ă fond jusqu’à ce que je sente tes couilles s’écraser contre mes grandes lèvres. Un doigt de chaque main sur l’anneau de mon cul, tu l’ouvrais avec force quand tu te retirais et l’enfonçais profondĂ©ment quand tu revenais de telle sorte que, collĂ©e Ă la paroi de l’étui de mon vagin, ta queue le caresse et en soit caressĂ©e, doublant mon plaisir et le tien.Elle, Ă genoux entre tes jambes, assise sur ses talons, te caressait… Je le sentais, je le devinais… tu me l’as racontĂ© plus tard… Les yeux rivĂ©s sur ton sexe dĂ©fonçant le mien, elle t’a d’abord caressĂ© les jambes, puis le rond de tes genoux, puis l’intĂ©rieur de tes cuisses jusqu’aux aines, j’ai senti ses doigts me frĂ´ler les fesses, elle a cueilli tes couilles de sa main droite, les a fait rouler dans sa paume comme une paire de boules chinoises, les a remontĂ©es bien haut jusqu’à ce qu’elles viennent se frotter sur ta hampe et, Ă chaque empalement, sur les bords distendus de mon sexe.Du majeur de sa main gauche qu’elle lubrifiait de sa salive, elle te caressait le pĂ©rinĂ©e, cette plage de peau douce et sensible que tu aimes tant que je caresse, allant et venant de la bouche sombre de ton anus Ă la naissance de la veine de ton sexe, suivant le relief de la ride qui en trace le chemin. Je t’ai entendu gĂ©mir, je t’ai senti frissonner. Son doigt est venu cueillir sur nos sexes une larme de ma mouille et est allĂ© en lubrifier l’anneau de ton oeillet et le petit trou de ton cul qu’il a dĂ©tendu, apprivoisĂ©, taquinĂ© pour enfin s’y introduire doucement, profondĂ©ment, t’arrachant un grognement de surprise et de plaisir. J’ai, mais est-il besoin que je le dise Ă chaque fois, joui Ă nouveau.Ainsi enculĂ© ( dĂ©solĂ©e, mais je ne vois pas d’autre mot), tu as cessĂ© tout mouvement, ta queue plus dure que jamais fichĂ©e au fond de mon ventre, tes mains gardant fermement grandes ouvertes mes fesses sur lesquelles elle a commencĂ© Ă faire courir en caresses lĂ©gères les doigts de sa main libre. Elle en a dessinĂ© les globes, caressant au passage chacune de tes mains, puis le sillon qu’elle a parcouru de haut en bas et de bas en haut frĂ´lant Ă chaque fois l’anneau ourlĂ© de mon Ĺ“illet qui, depuis un moment dĂ©jĂ , du fait de ma position mais aussi de tes soins intensifs, Ă©tait grand ouvert, palpitait et mouillait comme un second sexe. Je la laissais faire, curieuse et attentive, concentrĂ©e tant sur ce plaisir nouveau pour moi que sur celui que tu semblais avoir de ce doigt violeur plantĂ© dans tes reins. J’ai su qu’elle le retirait au petit cri de douleur que tu as laissĂ© Ă©chapper… Tu vois que ça fait un peu mal ! …Ses mains ont remplacĂ© les tiennes sur mes fesses. Les tiennes ont agrippĂ© mes cuisses en se glissant dans le creux de mes genoux. Comme toi, elle maintenait fermement mes globes Ă©cartĂ©s et mon trou du cul distendu. J’ai d’abord senti la caresse soyeuse de ses cheveux, puis la chaleur humide de son haleine… J’ai eu peur, je me suis crispĂ©e, j’ai tentĂ© de serrer les fesses… Vlan ! … Ă€ son tour, et de bon cĹ“ur, tu peux me croire, elle m’a mĂ©chamment claquĂ© la fesse droite… Les deux fesses maintenant en feu, je n’ai pas insistĂ©. Elle avait compris et acceptĂ© la règle du jeu, avait compris que toute Ă l’heure je l’avais clairement acceptĂ©e et, comme toi, elle entendait me la faire respecter, de grĂ© ou de force… Garce… Elle ne perdait rien pour attendre… Je me suis soumise, je me suis abandonnĂ©e et j’ai attendu la suite…A nouveau ses deux mains plaquĂ©es sur mes fesses brĂ»lantes, Ă nouveau le chatouillement des boucles de ses cheveux, Ă nouveau le souffle de son haleine… puis sa bouche et ses lèvres charnues et enfin sa langue humide, tantĂ´t molle et paresseuse, tantĂ´t pointue et impĂ©rieuse, tantĂ´t douce, tantĂ´t râpeuse, tantĂ´t dure comme un sexe bandant. Elle a pris possession du territoire que tu lui avais offert, le parcourant de son souffle chaud, le couvrant de mille baisers de plus en plus appuyĂ©s, le mouillant de sa salive, le fouillant de sa langue assoiffĂ©e. Elle allait et venait de l’anneau distendu de mon sexe Ă la pointe de mon coccyx en s’attardant un peu plus longuement Ă chaque passage sur l’œil palpitant de mon anus, lĂ©chant et lissant tendrement son muscle rond, dardant dans l’ouverture la pointe de sa langue, forçant l’entrĂ©e de mon sphincter de plus en plus loin, de plus en plus profond…RassurĂ©e par ton sexe qui me remplit le ventre, par tes bras solides qui me serrent contre ta poitrine, par la chaleur et l’odeur de ton cou dans lequel j’ai enfoui mon visage et par le souffle de ta bouche collĂ©e Ă mon oreille, je me laissais faire, je commençais Ă prendre goĂ»t Ă cette caresse nouvelle, je me concentrais sur le cheminement de sa bouche et de sa langue, plus encore je me surprenais Ă devenir avide et impatiente, je m’ouvrais de plus en plus comme une rose sous le soleil de midi, je me cambrais Ă l’extrĂŞme, j’écartais et tendais vers elle mes fesses, je poussais pour l’aider Ă distendre et ouvrir l’entrĂ©e du puits de mes reins, pour y accueillir sa langue au plus profond de mes muqueuses intimes avec lesquelles je tentais de la sucer et de la pomper. J’ondulais et me frottais pour accĂ©lĂ©rer le rythme de sa caresse, j’étouffais des gĂ©missements de plaisir dans la moiteur de ta peau, je mouillais de tous mes orifices, je jouissais de partout…Sur un dernier coup de langue gourmand, elle a arrĂŞtĂ© de me dĂ©vorer et a retirĂ© son visage de la raie de mes fesses. Sa salive mĂ©langĂ©e Ă la liqueur que j’avais rĂ©pandue, soufflĂ©e par le mouvement de ses cheveux, me procurait soudain une agrĂ©able et apaisante sensation de fraĂ®cheur sur mon postĂ©rieur en feu. Hormis ton cĹ“ur et la veine de ta verge qui battaient Ă l’unisson, tu ne bougeais toujours pas et me gardais dans cette posture, enfermĂ©e dans l’étau de tes bras. Elle ne m’a pas laissĂ© le temps de reprendre mon souffle et mes esprits. Ses doigts ont pris très vite le relais de sa bouche et de sa langue. Du bout de l’index elle a cueilli Ă la base de ta hampe un peu de ma mouille qui avait jutĂ© hors de mon Ă©tui, l’a dĂ©posĂ©e dans le creux de mon petit trou dont elle a massĂ© doucement l’anneau ourlĂ©, la mĂ©langeant avec le suc et la salive dont il Ă©tait dĂ©jĂ trempĂ©, comme pour en parfaire la lubrification, puis, en une seule poussĂ©e lente elle m’a pĂ©nĂ©trĂ©e de son majeur jusqu’à la garde, au plus profond de mon fondement.Je n’ai pas eu mal, je n’ai mĂŞme pas Ă©tĂ© surprise, j’ai Ă peine frĂ©mi, je me suis laissĂ©e faire, je me suis soumise, j’ai aimĂ© cette intromission extrĂŞme, je m’y attendais, je l’attendais sans doute, je savais qu’elle viendrait, je la souhaitais, je crois mĂŞme que je l’ai aidĂ©e, que je me suis encore un peu plus ouverte, que de tous les muscles de mon sphincter j’ai aspirĂ© ce doigt sodomisateur, j’étais heureuse d’avoir ouvert cette nouvelle petite porte de l’inconscient de mes fantasmes inassouvis, j’étais enfin sĂ»re que ce soir nous irions ensemble jusqu’au bout de notre dĂ©lire…Son doigt s’activait maintenant dans mon cul, curieux et fouineur, il explorait les mystères invisibles de ce conduit obscur, il en caressait doucement les parois fragiles et gluantes, il tournoyait en moi tout en entrant et sortant d’à peine une demi phalange, me caressant et me baisant comme un petit sexe impertinent, m’arrachant encore et encore soupirs et gĂ©missements dont tu Ă©tais l’auditeur attentif. Soudain elle a semblĂ© dĂ©couvrir la prĂ©sence de ta verge lĂ en bas, juste de l’autre cĂ´tĂ© de la fine membrane qui sĂ©pare mon rectum de mon vagin, elle l’a sans doute senti battre, elle s’est mise Ă la masser au rythme de ses va-et-vient, me limant et te branlant Ă la fois tandis que de sa main libre elle avait cueilli tes couilles et les faisaient rouler sur la jonction de nos deux sexes… Je t’ai senti gonfler, ton souffle dans mon oreille est devenu lourd, ton bassin se soulevait Ă chaque passage de son doigt, je te sentais prĂŞt Ă Ă©clater. Je ne sais pas comment tu as pu te retenir… ou plutĂ´t, je le sais trop… je te connais…tu iras le plus loin possible…tu aimes le mĂ©lange Ă©trange de la jouissance qui monte et de la souffrance physique d’en retenir l’explosion, tu aimes retarder, jusqu’à ce que le plaisir et la douleur se confondent, le moment oĂą, tout self-contrĂ´le perdu, vaincu par tes sens, les traits dĂ©formĂ©s et les yeux rĂ©vulsĂ©s, dans une sĂ©rie de spasmes violents, avec un long cri rauque que tu Ă©touffes et dont toute ta poitrine rĂ©sonne, tu devras laisser ta bite congestionnĂ©e cracher ses longs jets de sperme blanc, chaud et onctueux, te laisser aller Ă cette formidable dĂ©livrance, jouir de tout ton corps et tes neurones, retomber Ă©puisĂ©, affaibli « comme un cheval mort », et attendre que tes forces reviennent, que le sang afflue Ă nouveau dans les cavernes de ta virilitĂ©, que le plaisir remonte, que tu puisses revenir me transpercer et me dĂ©foncer comme un cosaque en rut…Moi, je ne sais pas retenir mon plaisir, ou si peu…Je suis une femme, je peux jouir mille fois, tu peux me faire jouir mille fois et plus je jouis plus j’en ai envie et plus vite arrive la jouissance suivante, avant mĂŞme que les vagues de la prĂ©cĂ©dente n’aient eu le temps de s’apaiser…C’est la tempĂŞte, je deviens folle, j’adore… Alors j’ai Ă nouveau joui, dans un coĂŻt monumental inondant ses doigts, sa main et nos sexes mĂŞlĂ©s de ma mouille, de la liqueur de mon cul et d’un peu…d’urine, je crois…Dès que tu m’as senti jouir, tu as cessĂ© de bouger, sans doute pour ne pas craquer et reprendre ton contrĂ´le. Elle a lâchĂ© tes couilles et retirĂ© doucement son doigt de mon puits d’amour que ses lèvres fraĂ®ches et sa langue moelleuse sont venues aussitĂ´t apaiser en un long baiser profond et humide. J’ai pris ton visage entre mes mains et je t’ai embrassĂ©. Tu as reproduit Ă l’identique dans ma bouche ce « patin » qu’elle roulait Ă mon cul… J’avais l’impression d’avoir deux bouches… C’était dĂ©licieux… Les vagues du plaisir revenaient dĂ©jĂ tordre mes entrailles… Je m’ouvrais et jutais Ă nouveau de partout.Toute Ă ce double baiser langoureux et passionnĂ©, je ne l’ai pas sentie s’affairer derrière moi et prĂ©parer la nouvelle Ă©tape de sa perversitĂ©. Ses lèvres toujours collĂ©es Ă mon anneau, sa langue m’a quittĂ©e pour ĂŞtre aussitĂ´t remplacĂ©e par quelque chose de plus dur, de plus froid, de moins vivant qui s’introduisait en moi doucement mais inexorablement… Ce n’était pas son doigt, j’en connaissais maintenant la sensation… Ce n’était pas un god, le nĂ´tre est restĂ© cachĂ© dans la chambre… Qu’était-ce ?… Que me faisait-elle ?.. Je commençais Ă paniquer… Tu l’as senti, tes lèvres ont quittĂ© les miennes et tu es venu me murmurer Ă l’oreille : « une bougie… »Elle avait du puiser dans la rĂ©serve que j’avais prĂ©parĂ©e au pied de la table basse en prĂ©vision de cette longue soirĂ©e aux chandelles. Elle n’avait pas choisi la moins grosse… Elle avait du en barbouiller l’extrĂ©mitĂ© de sa salive pour l’introduire sans m’alerter. Elle m’en sodomisait de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la manĹ“uvrer Ă sa guise. La joue collĂ©e Ă ma fesse gauche, la bouche posĂ©e sur l’ourlet de mon anneau violĂ©, elle avait entrepris de longs et lents va-et-vient de son god improvisĂ©, jusqu’au fond de mes reins, le lubrifiant Ă chaque passage d’un filet de salive. La bougie, en cire d’abeille naturelle, en se rĂ©chauffant dans mes entrailles se ramollissait et devenait de plus en plus douce, plus tendre, plus soyeuse, plus vivante, plus vraie que nature, plus… humaine…Je me laissais faire, je la laissais faire, je laissais m’envahir par une Ă©trange chaleur, par un nouveau plaisir que provoquait en moi, dans ma tĂŞte et dans mon corps, ma totale soumission acceptĂ©e et cette double pĂ©nĂ©tration imposĂ©e. Je vous laissais baiser chacun de mes trous, chacun de mes sexes, Ă contretemps l’un de l’autre, dans un rythme lent, rĂ©gulier et lancinant. Je me suis Ă©vadĂ©e, les paupières closes collĂ©es dans le creux de ton Ă©paule, le nez fouillant dans ton odeur, je suis partie dans mon fantasme, dans un de mes fantasmes, celui que je n’ose jamais te raconter vraiment, que je n’ose t’avouer, non par pudeur, mais par peur que tu ne l’aimes pas, par peur de ta rĂ©action… C’est du moins l’excuse que je me trouve et qui m’arrange… Peut ĂŞtre est-ce en fait de la pudeur ou mĂŞme de la honte, mais qu’importe…Ce n’était pas elle qui Ă©tait derrière moi, elle n’était plus lĂ , nous n’étions plus chez nous… » Faiblement Ă©clairĂ©e par une simple ampoule nue qui se balance au plafond, je suis au centre d’une pièce, dont je ne distingue pas les murs absorbĂ©s par l’obscuritĂ©, sur un vaste matelas posĂ© Ă mĂŞme le sol. Tu m’y a emmenĂ©e de force, les yeux bandĂ©s d’un foulard que tu viens de m’enlever. Nue, je te chevauche, mon sexe empalĂ© sur le tien. Derrière moi un immense noir sans visage m’a enculĂ©e sans douceur de son Ă©norme engin, m’arrachant un hurlement de douleur, et me laboure les reins au mĂŞme rythme que ta queue dans mon ventre contre laquelle il se frotte. Je serre dans mes mains, de chaque cĂ´tĂ© de ta tĂŞte, deux bites sans corps que tu m’as contrainte Ă saisir et Ă branler. L’une est Ă©paisse, noueuse et rose comme celle d’un porc, l’autre est plus fine, longue et ambrĂ©e. Un autre sexe noir Ă©bène, noir jusqu’au bout du gland, a surgi de l’obscuritĂ© et, avec l’aide de ta main agrippĂ©e Ă mes cheveux, a violĂ© ma bouche jusqu’au fond de la gorge Ă m’en Ă©touffer et baise dedans tandis que sur ton ordre, je le lèche, le suce et le pompe. Une main s’est glissĂ©e entre nos ventres et m’astique savamment le clitoris. D’autres mains sont sur mes seins qu’elles malaxent et triturent. Des doits pincent mes tĂ©tons et tirent dessus comme pour les arracher de mes seins. Des ongles me griffent le dos. Des lanières fouettent mes fesses et mes hanches. Je suis prise et ballottĂ©e dans tous les sens. Je pousse des grognements de douleur et de plaisir Ă©touffĂ©s par le pieu de chair noire qui me bâillonne… Et tout explose : dans mes mains, dans mon con, dans mon cul et dans ma bouche toutes les verges jouissent en mĂŞme temps en moi et sur moi, me remplissant, m’inondant et m’aspergeant de torrents de sperme Ă©pais et poisseux. Je jouis de tous mes orifices de tous mes membres, de tous les pores de ma peau en un immense Ă©clair aveuglant qui me laisse un instant inanimĂ©e pour me retrouver seule, avec mon fantasme… « Mais non, c’est dans le creux de ton Ă©paule que je reviens Ă moi. Mais oui, j’ai joui, elle m’a fait jouir avec sa satanĂ©e bougie, elle m’a fait exploser de jouissance, elle m’a emmenĂ©e jusqu’à la dĂ©licieuse « petite mort »… Mais non, tu n’as pas encore joui, tu n’en as pas encore fini avec moi… Ton pieu chauffĂ© Ă blanc me remplit toujours le ventre caressĂ© par sa bougie qu’elle a maintenue en place mais qu’elle ne bouge plus. Tu me tues, vous me tuez… Mais j’en veux encore, encore plus, de plus en plus…