Je ne prends pas le train très souvent à vrai dire, je suis du genre à prendre ma voiture pour traverser la rue.Simplement ce jour là ma voiture était en panne et je devais me rendre à l’autre bout de la France en déplacement professionnel.Lever de bonne heure, contraintes horaires, retards inévitables… rien pour vous mettre de bonne humeur. Et en plus j’allais chez un client perdu au fin fond de nulle part et il y avait deux changements à prévoir… une véritable expédition.J’étais au bar de la gare, dans l’attente de ma correspondance. Je matais depuis un moment une serveuse aux formes bien pleines comme je les aime. Pas farouche avec les clients mais avec moi ça n’accrochait pas. Mon penchant pour l’opulence était trop flagrant et elle n’avait surtout pas envie de passer à la casserole ni même de se faire draguer. Au bout d’un instant je n’ai pas insisté, j’ai tourné la tête et regardé passer les trains.C’est ainsi que je l’ai vue, l’autre grosse salope. Quand on dit grosse salope ce n’est en général pas pour rien, c’est vrai que les grosses sont en général plus salopes que la moyenne même s’il ne faut pas faire d’une tendance une généralité. Or dans son cas quelque chose me disait que je ne devais pas être trop loin de la vérité, cette petite blondasse poitrinaire aux mamelles énormes était féminine jusqu’au bout des ongles et maquillée comme la reine des cochonnes. En plus elle était en talons hauts ce qui ne cachait rien… Au lit en tout cas on ne devait pas s’ennuyer avec elle.Elle attendait le train, mon train !, patiemment, plongée dans la lecture d’une revue, tandis que je reluquais ses gros lolos et son large fessier.J’aime les grosses, toutes les grosses, même les moches. Mais je dois reconnaître que celle-ci ne l’était pas et qu’au contraire elle était sacrément bien ficelée, bandante à souhait. D’ailleurs j’en avais la trique.J’ai réglé l’addition, la serveuse a eu l’air comme étonnée que je ne m’intéresse plus à elle, finalement ce petit jeu de regards ne devait pas être pour lui déplaire. Mais tant pis pour elle, elle avait laissé passer sa chance !Je suis sorti sur le quai et me suis approché de ma nouvelle proie, abondamment parfumée, délicieusement pendante… dans un cas comme celui là il valait mieux ne pas commettre d’impairs pour garder toutes ses chances…— Pardon madame, vous attendez le train de Vichy ?Elle a levé les yeux tout sourire, une véritable merveille et j’ai plongé les miens dans son décolleté, deux véritables merveilles. Du coup ma trique a redoublé.— Oh oui monsieur, il ne devrait plus tarder, une véritable bourgeoise de par son élégance— Alors nous ferons le voyage ensemble. J’avais peur de l’avoir manqué, il n’y a pas un chat dans cette gare (Mais une belle grosse chatte oui !!!)Discussion qui suivit assez banale, le temps qu’il fait, les retards à la SNCF, je voulais ménager toutes mes chances et ne savait trop comment la prendre.Et puis le train est arrivé. Les wagons étaient vides. Je l’ai suivie et en vieilles connaissances nous nous sommes installés tous les deux dans un carré.Elle avait posé son magazine sur la tablette qui nous séparait, un magazine féminin sans grand intérêt pour moi. Je l’ai feuilleté cinq minutes après lui en avoir demandé l’autorisation… Mais j’ai été accroché par un titre énigmatique, le genre de sondage spécifiquement pour femme que l’on trouve dans ce type de revue : « Dans l’intimité, êtes-vous tigresse ? ». S’en suivait une série de questions approximative à destination des nanas qui devaient en définitive leur permettre d’évaluer quelque part si elles étaient chaudes au lit… comme si elles ne le savaient pas déjà…L’occasion était trop belle. Je me suis penché vers elle en lui remettant son journal, l’occasion pour moi de mater un peu plus son décolleté :— Et vous, vous êtes tigresse ?Immédiatement j’ai vu son visage s’empourprer. Quelque part j’avais touché au but et visiblement mon regard insistant la mettait mal à l’aise. J’ai profité de cet avantage pour me jeter à l’eau. Après tout dans une heure à peine elle allait disparaître de ma vue et c’était maintenant ou jamais… Après tout on ne vit qu’une fois :— Vous êtes exactement mon type de femme, je vous trouve très séduisante…J’ai crû un instant qu’elle allait éclater ou me renvoyer une gifle. Mais rien du tout, elle continuait de sourire, quelque part quand même sur la défensive mais visiblement heureuse de se faire ainsi draguer… Alors je l’ai pris pour un encouragement à continuer dans cette voie.— … Et vous avez des appâts à faire damner un saint. Ne me gênant plus pour plonger mon regard entre ses gros globes.— Ohh petit coquin m’a-t’elle répondu gentiment, vous êtes un charmeur.— Je ne voudrais pas vous choquer mais je dois dire que vous me faites bander, depuis tout à l’heure quand je vous ai vue sur le quai. Vous êtes une femme splendide et j’aimerais beaucoup que nous allions plus loin tous les deux…— Mais… mais… mais vous n’y pensez pas, je suis une femme mariée et je n’ai aucun besoin d’une aventure…— Lorsque que votre bouche dit non, votre cœur dit oui…Mon genou s’était rapproché du sien, je lui faisais désormais du pied sous la tablette tout en bavant d’envie pour ses gros nichons. Le contact était électrique. Elle ne le refusait pas, mais il faut dire à sa décharge qu’elle n’avait pas trop la place pour battre en retraite.C’est à ce moment que le contrôleur est arrivé, l’empêcheur de tourner en rond. « Vos billets s’il vous plait Messieurs Dames ». Mais pendant tout le temps où il a été là je n’ai cessé de faire du pied à ma compagne. J’ai tendu mon billet au contrôleur et pendant qu’elle cherchait le sien, j’ai même risqué une main sur son genou sous la tablette. Elle manifestait de l’impatience mais je ne savais pas si c’était à cause de ma main ou à cause du billet qu’elle n’arrivait pas à trouver.Finalement, elle avait bel et bien perdu son billet ! La honte, elle était rouge de honte, j’ai glissé mon genou entre ses jambes en la dévisageant, elle ne savait plus où se mettre. Elle a tenté d’expliquer au contrôleur qu’il avait dû tomber mais l’autre pas fin, bourru, l’a sermonné froidement, heureux de se farcir une bourgeoise et de la traiter avec dédain. Et il parlait suffisamment fort pour que tout le wagon soit au courant, ma compagne était sur le point de fondre en larmes. Ma main posée sur son genou a essayé de l’en dissuader. Finalement, elle a gardé sa contenance et ne s’est pas effondrée. Il lui a collé une prune. Je me suis tourné vers lui et lui ai dit d’abréger. Combat de coqs, j’ai été à deux doigts de me lever pour lui casser la gueule. Je trouvais qu’il abusait de sa position et ses manières me déplaisaient. Finalement son collègue est arrivé en renfort et a calmé le jeu. Ma compagne a payé l’amende et tout est rentré dans l’ordre…Elle était rouge brique, rouge de honte, elle ne savait plus où se mettre, je lui ai saisi la main, je l’ai serrée dans la mienne sans me gêner pour reluquer de nouveau sa poitrine. En plus les gens de l’autre côté de l’allée la regardaient comme une bête curieuse, avec l’air de la considérer comme la dernière des voleuses. Je me suis penché vers elle :— Venez, ne restons pas ici, il y a un wagon à compartiments juste à côté, nous y serons plus tranquilles pour discuter.Je me suis levé et l’ai entraînée, elle s’est laissée guider, déconfite par l’incident qui venait de se produire. La porte à peine refermée derrière nous, je me suis tournée vers elle et l’ai embrassée !!! Et pas simplement un petit baiser, non une pelle baveuse à pleine bouche. Nous étions debout, l’un contre l’autre, je l’avais enlacée et j’étais en train de lui rouler une pelle d’enfer à laquelle elle répondait avec la même application. Instant magique s’il en est. Mais il n’y avait plus une minute à perdre. Dans une demi-heure à peine le train allait arriver.J’ai glissé ma main sous ses vêtements et j’ai entrepris de malaxer… ses bourrelets, dieu qu’elle m’excitait cette grosse cochonne. Elle n’a émis aucune objection lorsque j’ai sorti ses tétasse de sous sa robe après les avoir libérés. La fièvre s’était emparée de nous et nous avions tous les deux plus qu’envie. Je lui ai soupesé avant de les téter… Puis je me suis agenouillé devant elle, toujours debout, j’ai troussé sa jupe pour m’apercevoir que cette grosse cochonne portait un string et qu’en plus elle était totalement épilée, lisse comme au premier jour. Tu parles d’une tigresse ! J’ai écarté le string et l’ai bouffée, elle était déjà toute trempée d’envie.Debout ainsi, en proie à ma bouche fiévreuse, ses jambes se sont mises à flageoler. Alors je l’ai fait allonger sur la banquette pour mieux la brouter… Au diable son cocu de mari, elle n’avait qu’une envie, celle de se faire troncher.Au bout d’un moment, je me suis mis en 69 sur elle et elle n’a fait aucune difficulté pour engloutir ma bite. Mieux, elle m’a pompé comme une chienne avec une vitalité inaccoutumée. J’étais aux anges… Mais je voulais la biter… Je n’avais pas de préservatif sous la main mais l’envie était trop et j’avais l’intime conviction qu’elle était saine et pas coutumière du fait… Enfin c’est certain, on ne sait jamais… Alors j’ai pris le risque de m’enfoncer en elle au plus profond et de la ramoner comme un malade en regardant ballotter ses énormes nibards. Et dieu qu’elle aimait ça et qu’elle en redemandait cette gourgandine, qu’elle m’incitait à la biter plus profond à défoncer sa large chatte baveuse…Le haut-parleur s’est mis à grésiller, nous rappelant que nous allions bientôt arriver en gare, j’ai redoublé mes coups de boutoirs entre ses grosses cuisses. Dans l’échancrure du rideau, j’ai vu un mec debout qui nous regardait, il devait descendre à la prochaine mais ne perdait rien du spectacle qui s’offrait à lui. J’ai redoublé d’intensité et ma compagne a hurlé sa jouissance comme une tigresse. Elle se tortillait dans tous les sens et n’arrêtait plus de jouir… Au dernier moment, j’ai ressorti ma queue pour copieusement lui arroser le ventre et les nichons de mon jus laiteux…Le train arrivait en gare. Lorsque je me suis relevé, notre voyeur a détourné le regard et a fait comme si de rien n’était. Le temps pour nous de nous rafistoler en vitesse, ma compagne avec encore du sperme un peu partout, sur la peau et les vêtements, essuyée à la va vite… Nous sommes descendus du train, avons traversé les voies sans rien dire…Ma correspondance était en face et, devant la gare un homme l’attendait… Elle s’était re-parfumée abondamment avant de sortir du train, sans doute pour masquer l’odeur de mon sperme qui la couvrait. Avec un peu de chance il ne s’apercevrait de rien…Un petit séjour aux toilettes pour me nettoyer un peu mieux, j’en ai profité pour faire provision de capotes.Sur mon quai une jeune femme attendait, une grosse brune aux cheveux longs, décidément c’était mon jour ! Avec un fessier large à souhait, un vrai garage à bittes… Machinalement je l’ai matée :— C’est bien le train pour Clermont qui passe ici ?Visiblement elle n’était pas farouche…