Histoire de riche 2
Je revois Sandrine, j’ai très envie d’elle et lui rĂ©serve une surprise et peut-ĂŞtre qu’elle m’en rĂ©serve une aussi.
Proposée le 23/10/2017 par Steph83 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Deux semaines sont passĂ©es depuis cette soirĂ©e et je n’ai fait qu’y penser. Je n’ai pas Ă©tĂ© très productif au boulot et tout les soirs je me masturbais en pensant Ă Sandrine. Toute les nuits je rĂŞvais d’elle.
Mes pensées étant étouffé par cette femme je devais agir pour libérer mon esprit mais que faire.
À ce moment précis le téléphone sonne.
-coucou mon pierre ça va?
Je reconnais la voix de Madelyn.
-oui et toi? Que me vaut cet appel?
– oh rien de spĂ©cial. C’est juste Sandrine qui ne fait que me parler de toi et elle n’ose pas t’appeler donc je te contact pour te donner son numĂ©ro. Tu as de quoi notĂ©?
Dans mes souvenir Sandrine n’Ă©tait pas si timide… je cours Ă travers ma maison et me prĂ©cipite sur le bloc note pour Ă©crire soigneusement le numĂ©ro de cette ginesse de l’amour.
La conversation terminĂ© je m’empresse d’envoyer un SMS Ă Sandrine par peur de la dĂ©ranger dans son travail et j’avoue, je n’ose pas l’appeler.
« Vendredi soir chez moi »
Quelque minute après un simple « oui » est répondu.
Cette conversation si je peux l’appeler ainsi est très anxiogène.
Je rappel Madelyn pour lui expliquer la situation. Elle me donne rendez-vous en ville.Après avoir fait quelque boutiques Madelyn me demande:
– tu comptes prendre quoi comme accessoire?
Je lui réponds très naturellement:
– jai de très belles montres, et j’ai une ceinture vraiment classe et facile Ă ouvrir.
Madelyn se tape le front désespéré par ma réponse.
– je parle d’accessoire sexuel gros nigaud! Bon suis moi!
Elle me saisi la main et me tire d’un pas franc et dĂ©cidĂ©.
Apres 5min de marche effréné, nous entrons dans un magasin avec une devanture ne présentant rien de ce qui est vendu, étrange.
Une fois Ă l’intĂ©rieur je comprend que je suis dans un sex-shop.
Entrer dans un tel lieu avec Madelyn me faisait vraiment bizarre dans le ventre.
– Bon Pierre, fais un premier tour dans le magasin pour voir tout ce qu’il y a et un second oĂą tu prends sans rĂ©flĂ©chir les objets qui t’attire naturellement. Je te ferais un sac surprise.
Je choisis timidement un sextoy pour homme pour mes petits plaisirs en solitaire et rien d’autre. Madelyn me retrouve:
– tu as pris que ça?! Bon je m’en doutais c’est pour ça que je t’ai concoctĂ© un sac surprise. Tu achètes tout ce que j’ai pris et ne pose aucun question. Mais avant de passer en caisse j’ai repĂ©rĂ© deux, trois articles pour moi vient s’il te plaĂ®t.
Elle passe dans les rayons et rĂ©cupère 3 vĂŞtements sans s’arrĂŞter, signe d’un repĂ©rage prĂ©alable d’un Ĺ“il expert. Elle se dirige dans une cabine. Je m’assois pour patienter. Ni une ni deux elle relève le rideau et se prĂ©sente Ă moi dans une robe moulante et ajourĂ©e, du moins c’est le nom du vĂŞtement car Ă mes yeux elle n’est pas vraiment habillĂ©e. La robe est extrĂŞmement courtes et s’arrĂŞte exactement au plis formĂ© par la rencontre de ses fesses rondes et de ses fines cuisses. Le dos nu laisse entrevoir le dĂ©but de sa fine raie qui va sĂ©parer ses deux lobes fessier. L’avant de la robe possède quelque motif pour ajourĂ©e Ă©lĂ©gamment sont corps. On devine sa petite poitrine.
Elle regarde mon entrejambe et voit mon membre enflĂ© se frayer un chemin vers ma cuisse gauche et laisse apparaĂ®tre la longueur de mon chibre digne de ses animaux sauvage en rut que l’on voit dans ces documentaires.
Apres son observation elle me dit:
La robe Ă l’air de te plaire. Je la prend.
Elle dĂ©cide de ne pas prendre les deux autres robes, nous payons et rentrons chez moi.Madelyn se dirige vers la chambre avec son gros sac plein d’achat.
Elle en sort sa robe. Je rougis sur place Ă l’idĂ©e de la revoir dans cette robe.
Elle dit:
– alors ca c’est ma robe je l’enlève pour pas tout mĂ©langer.
Elle lit la déception sur mon visage:
– tu n’espĂ©rais quand mĂŞme pas que c’Ă©tait pour toi que j’ai achetĂ© cette robe mon Pierre.
Puis elle continue Ă dĂ©baller le sac l’air de rien.
Elle range soigneusement dans le tiroir un tube de lubrifiant, 3 plugs anaux de tailles diffĂ©rentes et un vibromasseur d’une taille inimaginable, il rentrait Ă peine dans le tiroir. Elle sort des cordes et me demande de l’aider Ă les installer.
On fixe les cordes soigneusement Ă mon lit baldaquin et rangeons les bracelets entre le sommier et le matelas pour qu’il soit planquer mais toujours Ă portĂ©e de mains. Toute l’installation est prĂŞte et j’avoue que l’idĂ©e m’excite mais je n’ai jamais rien fait de tel.
Madelyn s’en va et me chuchote Ă l’oreille sur le pas de ma porte:
J’espère que tu seras un bon mâle, prĂ©pare toi vite elle arrive bientĂ´t.
Elle me lèche la joue de la pointe de sa langue. Je sent un trait fin chaud et humide sur ma joue devenir frais une fois exposĂ© Ă l’air libre.
Elle tourne les talons et se dirige vers sa voiture et s’en va.Je consulte ma montre et vois qu’il me reste une heure avant son arrivĂ©e. Je me dĂ©pĂŞche pour prendre ma douche, me prĂ©parer Ă©lĂ©gamment. Je finis Ă peine de boutonnĂ© ma chemise que la sonnerie retentit. J’ouvre et accueille mon invitĂ©e. Elle m’embrasse et avance dans le salon, je reste derrière elle et je vois qu’elle continue son chemin sans s’arrĂŞter sur le canapĂ©. Je dois la suivre cela est intriguant. Et j’avoue que je n’ai pas lâchĂ© son cul du regard. Depuis l’ouverture de la porte un silence de plomb interrompu de manière rĂ©gulière par le son de ses talons aiguilles qui viennent frapper le carrelage signe de son assurance.
MalgrĂ© que le trajet ne faisait qu’une trentaine de mètres, cela semblais interminable. On arrive Ă l’entrĂ©e de ma chambre, elle fait roulĂ© ses yeux pour contempler la dĂ©coration de la pièces. Elle s’assoit sur le lit et tape Ă cĂ´tĂ© d’elle en signe d’invitation. Je m’assois Ă ses cĂ´tĂ©s. En un balancement de jambe elle me chevauche. Elle me regarde droit dans les yeux. Son regard est brĂ»lant et fixe, j’ai l’impression qu’elle aspire mon âme. Tout mes boutons sont dĂ©fait et elle me retire ma chemise. Elle me pousse en arrière et me dĂ©vĂŞtit. Elle en fait autant pour elle. Elle me saute dessus et m’embrasse. J’attend la fin du baisĂ© pour la retourner et l’attacher. Elle cesse de m’embrasser et fait courir sa poitrine gĂ©nĂ©reuse sur mon corps et mon visage, je me noie entre ses deux obus. elle Ă©carte grand les bras tel le christ sur sa croix pour m’Ă©touffer encore plus. Ses mains reviennent et effleurent les miennes et je sent quelque chose d’Ă©trange. Dans un coup foudroyant Sandrine se redresse et se retrouve Ă mes pieds je me rend compte qu’elle attache mes chevilles, au moment de me redresser je reste clouĂ© au lit, elle m’avait dĂ©jĂ liĂ© les mains sans mĂŞme que je m’en aperçoive.J’Ă©tais solidement attachĂ© Ă mon lit. Elle se balance Ă droite du lit ouvre le tiroir de la table de nuit et un sort un bandeau qu’elle me met sur les yeux. Je ne me souvient pas d’avoir vu se bandeau. Un flash m’Ă©claire l’esprit et je comprend que Madelyn m’a jouer un mauvais coup.
J’entend Sandrine fouiller dans les tiroirs de la table de nuit de gauche cette fois. J’entend un son mĂ©tallique. Des chaĂ®nes? Elle m’embrasse et me passe un collier qu’elle relie au lit. J’avais mal nul part mais j’Ă©tais paralysĂ© par tout ces liens. J’Ă©tais Ă sa merci, et de ce que j’ai pu voir… quand la bĂŞte est dĂ©chaĂ®nĂ©… je pense que mes peurs sont justifiĂ©s. Je sens sont poids dĂ©former le matelas et je devine qu’elle est entre mes jambes. Je sent ses mains glisser sur mes cuisses enduite d’huile. Elle se saisi de ma verge et fait rouler mon prĂ©puce de bas en haut. Elle me masturbe dĂ©licatement en me massant les bourses. Elle fait savamment rouler mes testicules entre ses doigts, mes bourses lissĂ© par le rasoir dĂ©cuple la sensation de cette divine manipulation. Ses mouvements se font encore plus amples et s’Ă©tendent de mon gland jusqu’Ă mon scrotum. Elle me fait decouvrir une sensation très agrĂ©able. Elle saisi la base de mon sexe pour bloquer la peau et masse de son autre main. Ses mouvements accĂ©lèrent et la saisie se fait plus ferme. Apres quelques minutes je sent que je suis au bord de l’Ă©ruption. Je veux pas finir je veux la baiser maintenant je dois la prĂ©venir!
-Sandrine ralenti je v….
Une gifle monumentale m’interrompt.
-ferme la! Tu parles seulement si je te le demande.
Je sent un feu s’Ă©tendre sur ma joue. J’ai mal.
Elle saisi mes couilles et les pressent.
– j’ai Ă©tĂ© clair?!
-oui…
-oui qui?
En serrant plus fort mes bijoux de famille
– oui Sandrine!
– non! Tu es mon objet! Tu ne m’Ă©gale pas je ne te permet pas de m’appeller par mon prĂ©nom! Montre moi un peu plus de respect! Je suis ta maĂ®tresse!
Compris?!
-oui maîtresse.
Elle relâche sa compression qui Ă©touffait mon entre jambe et m’embrassa la joue. Elle me susurre Ă l’oreille.
-je sais ĂŞtre juste et te rĂ©compenserai pour ton obĂ©issance. Mais je peux aussi te punir, je n’apprĂ©cie guère les vauriens!Cela m’excitais tellement! Mais j’avais peur d’explorer cette sexualitĂ© inconnu avec cette femme tout autant Ă©trangères.
Par impertinence je voulu voir mes sentences.
Je réfléchi à une bêtise à faire et Sandrine le sent. Elle libère mon regard et me fixe. Elle me défi, Je le sent.
Une gifle me foudroie!
– ne me tiens pas du regard!
Je réfléchi encore à une connerie à faire mais rien me viens en tête.
C’est alors que des mots sortent de ma bouche sans aucun contrĂ´le:
-salope.
(Merde! Qu’est ce que je viens de faire! )
Je vois tout les vaisseaux sanguin de ses yeux devenir rouge vif. Elle remet le bandeau sur mes yeux sèchement.
Elle saisi voilement ma verge et la serre d’une poigne de titan.
-répète!
– non, dĂ©solĂ© j’ai rien dit!
-En plus tu assumes pas?! Tu seras doublement puni! Ta punition, je sais ce que se sera. Je vais te faire jouir.
Je souris Ă l’idĂ©e de la punition, j’aime l’idĂ©e, si seulement toute mes punitions au lycĂ©e Ă©taient une branlette. Elle ajoute:
-Si tu n’ejacules pas tu te prendras une quantitĂ© de gifle et d’autres supplice que tu n’oserais imaginĂ©.
Son doigt caresse l’entrĂ©e du trou de mon penis, il glisse le long de mon frein, parcours tout le long de ma hampe, passe entre mes deux boules, chatouille mon scrotum et s’arrĂŞte Ă l’entrĂ©e de mon cul.
– tu connais la prostate mon pierre?
Je comprend ce qu’il va m’arriver, j’ai peur, mais ca m’excite, j’en ai envi!
Elle branle mon phallus toujours aussi tendu. Son autre mains Ă l’entrĂ©e de mon cul caresse mon Ĺ“illet. J’ai honte mais ça me plait. Je sent son doigt huileux s’immiscer Ă l’entrĂ©e de mon sphincter, je sent ses phalanges une Ă une forcer mon Ă©lastique anal. Le bout de son doigt chatouille un organe qui me fait frĂ©tiller.
-détend toi mon pierre, relâche toi.
Je m’exĂ©cute ce qui dĂ©cuple mes sensations.
Je sent une chaleur monumentale envahir mon corps. Je me sent fiévreux.
Mon corps tout entier se raidi, mes couilles se resserrent.
– va y! Viens mon pierre! Purge tout!
Mon sexe se contracte coups Ă coups. Je relâche une purĂ©e Ă©paisse sous pression, sous mes yeux bandĂ© j’imagine une Ă©ruption volcanique.
Je finis de jutter. Je sens son doigt se retirer de mes entrailles.
Mon masque se redresse et je vois Sandrine le visage couvert de ma semence. il y en a dans ses cheveux, du foutre coule sur sa poitrine, glissant entre ses seins. Je suit du regard un grosse goutte qui ouvre le chemin au reste de toute cette matière blanche. Elle cours sur son ventre plat, fait une escale au niveau du nombril pour reprendre de plus belle, glisser sur son pubis et arrivĂ© Ă ses lèvres intimes; goutte sur mes draps fin. Sandrine se dresse et s’en va.
-ne bouge pas et prépare toi pour la suite.
Quelque minutes passèrent.
-J’espère que tu es prĂŞt. Tu as aimĂ© te faire branler de l’interieur?
-oui.
Repondis-je honteusement.
-ca tombé bien.
Dit elle en me remettant le bandeau.
Elle trifouille encore se tiroir.
-je prend le gros plug.
-d’accord.
– ah non mais ce n’est pas pour toi. Laisse en pour moi aussi! je te rĂ©serve autre chose.
(Bon DĂ©jĂ j’Ă©chappe au plug. Ouf!)
Elle saisi ma bite et le sent quelque chose de froid caresser mon gland. C’est dure et gras mais très fin.
Je sent cette objet pĂ©nĂ©trer dans ma verge. C’est dĂ©sagrĂ©able.
Je pense que c’est une tige Ă urètre, encore un sextoy très courant.Une fois cette tige d’acier profondĂ©ment enfoncer elle fait le chemin inverse. Un dĂ©lice!
J’ai l’impression de jouir! Elle entame des vas et viens. Je m’habitue Ă la pĂ©nĂ©tration et me dĂ©lecte du mouvement retour. Apres cette branlette si spĂ©ciale l’objet sort de mon penis Ă contre cĹ“ur.
Je la sent se dĂ©placer sur le lit, elle s’approche de mon visage et je sent un chaud baisĂ© humide sur mes lèvres. Je lui bouffait la chatte. Ses mouvements de hanches tartine mon visage de son divin jus. Elle se branle sur mon visage. Elle se retourne et me suce. Un 69 dĂ©licieux par cette pipe avec une succion extrĂŞme. Elle aspirait si fort que mes couilles en remontait. Elle s’essaye ensuite Ă la gorge profonde. En suceuse experte elle rĂ©ussi Ă enfoncer mon gland tout au fond de sa gorge jusqu’Ă butĂ©. Apres s’ĂŞtre Ă©touffer avec mon gland, elle me monte dessus pour s’empaler sur mon sexe. Elle se pĂ©nètre intensĂ©ment. Les rĂ´les sont inversĂ©s: elle me baise. Je sent sont plug anal profondĂ©ment enfoncer pousser contre mon sexe, la paroi semble si fine…
Elle prend son pied et hurle de plaisir. Je sent des gouttes de sueur tomber sur mon corps, elle me chevauche Ă grand galop.
Elle se retire. Et me prĂ©sente son cul dilatĂ© par le plug. Elle se laisse tombĂ© pour se faire enfourchĂ© d’un seul coup. Je sens par la fine paroi quel s’insère quelque chose dans son con. La pression contre ma verge est grande.. putain c’est le vibromasseur gĂ©ant. Au moment oĂą je comprend ce qu’est ce corps Ă©tranger elle l’actionne. Les vibrations sont puissantes et elle n’est pas la seul Ă en profiter. Elle s’encule sur ma bite et se pistonne la chatte avec cet Ă©pais morceau de silicone vibrant. Elle hurle Ă la mort en raison de ses puissants orgasmes anaux et vaginaux. Ma bite se fait pĂ©trir voir malmener par toutes ces contractions. Je gicle et lui repeint son interieur.
Je vis une rare jouissance, une puissance tel qu’elle est limite dĂ©sagrĂ©able. Je n’ai pas l’habitude d’avoir de si puissant orgasme sĂ»rement.
Elle continue un peu après que je me soit fini elle ne veut pas finir brusquement et elle veut sĂ»rement sentir mon foutre visitĂ© la totalitĂ© de son cul.Je suis Ă©puisĂ©, je n’ai rien fait mais je n’en peut plus.
Elle retire les deux dards qui l’a pourfendais dans un long râle de soulagement. J’imagine tellement ces deux trous bĂ©ant massacrĂ©s par le plaisir.
Elle me dĂ©fait les liens de ma main gauche et s’en vas.
Je défais rapidement mon autre main et mes chevilles. Je descend au salon et vois Madelyn sur le canapé.
Que fait elle ici? Depuis quand est elle ici?
Sur la table basse, de petit carrĂ© de couleur posĂ© en dĂ©sordre. Je m’approche et voit qu’il s’agit en rĂ©alitĂ© de photo.
Madelyn les contemplais. C’Ă©tait les photos de mes Ă©bats qui datent de moins de 5min.
Madelyn se redresse m’embrasse la joue et me chuchote:
– bon garçon.
Son regard est brĂ»lant, j’y aperçoit quelque chose qui s’apparente Ă de la jalousie. Elle se redresse et se dirige vers la sortie.
juste avant de partir elle ajoute:
– ta salope, ou plutĂ´t ta maĂ®tresse,est en train de prendre une douche. un conseille accueil la avec une serviette et un peignoir; tu ne voudrais pas la mettre en colère.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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