Il m’a déboussolé partie 1
2013, déjà…Je commençais ma première année comme prof dans un lycée technique et j’étais à peine plus âgé que certain de mes élèves… La moyenne oscillait de 16 ans pour les plus jeunes à 22 ans pour les élèves en Brevet…
Proposée le 19/06/2017 par Pakedublabla Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
2013 déjà…Je commençais ma première année comme prof dans un lycée technique et j’étais à peine plus âgé que certains élèves… La moyenne oscillait de 17 ans pour les plus jeunes à 24 ans pour les élèves en prépa de Brevet. Quant à moi, je venais de souffler mes 27 bougies!Bref, je me fondais dans la masse braillarde de ces jeunes adultes, me confondant presque avec eux, si ce n’était l’affreuse blouse bleue qu’on nous obligeait à porter, peu de choses nous différenciaient. Les filles m’avaient illico adoptées et gloussaient à mon passage mais à peine sorti de ma dernière rupture, j’avais plutôt tendance à les fuir ou à m’en méfier! Le chat échaudé que j’étais devenu craignait l’eau, même froide!Les classes hétéroclites se succédaient et en ce mois de septembre, je découvrais avec un sincère intérêt toutes ses tronches nouvelles!Et le premier et dur labeur de tout prof qui se respecte était de retenir au plus vite les prénoms de chacun de ces nouveaux visages. Curieusement, ce fût celui de Valentin que je retins le plus vite, sans doute un vieux reste du « plaquage » en règle de mon ex-chérie qui n’avait rien trouvé de plus charmant que de me jeter comme une merde le soir de la Saint Valentin… Quelle garce, ça m’avait vraiment marqué!Je n’avais aucune expérience de la gente masculine, mon attirance n’était pour eux qu’esthétique et j’avais appris a regarder les beaux visages, deviner les musculatures, les gestes, les mouvements. Des heures passées à redessiner un galbe ou une courbe, à étudier les corps et leurs déplacements dans l’espace avaient fait de moi un inconditionnel de la beauté plastique humaine.. (Qui va rarement de paire avec l’intelligence, je suis bien placé pour le savoir!) Et donc, le visage de ce jeune mec m’avait « bousculé ».Son cou d’abord, long et musclé, marqué d’une glotte saillante dénonçait chez lui un corps sec et puissant, de belles mains aux doigts d’une incroyable finesse et ce visage ! Bon sang qu’il était beau ce con! Ces cheveux blonds en bataille n’arrivaient pas à dissimuler les deux émeraudes claires de ses yeux, d’un vert exceptionnel qui ressortaient sur une peau parfaite et très halée! Des grands cils de fille, une bouche joliment dessinée aux lèvres épaisses et pleines de sensualité, un beau nez avec des ailes de narine d’une grâce exquise et un sourire totalement éclatant.. Bref, il avait tout pour plaire! Ou presque…!Après les première semaines de cours, je devais bien avouer que ses résultats n’étaient pas à la hauteur de sa beauté, loin s’en fallait! La prof principale s’en était alarmée bien avant moi et m’avait confiée la tâche délicate d’en découvrir l’origine. – Regardes, me disait-elle, non mais regardes un peu le travail qu’il me rend! En effet, ses dessins techniques étaient épouvantables, pas un trait tracé proprement, une écriture de goret, des ratures à n’en plus finir! On avait l’impression qu’il avait fait son travail assis sur un cheval lancé au grand galop! Je retins donc l’incapable un soir après le dernier cours pour le cuisiner un peu sur ses inquiétantes incompétences!Après lui avoir demandé quel plaisir il prenait à bâcler ainsi son travail en lui mettant sous son joli nez les copies qu’il avait rendu à la prof principale, le beau Valentin bredouilla quelques mots incompréhensibles avant de fondre en sanglots, un vrai gros chagrin avec des grosses larmes! Je m’attendais à tout, mais pas à ça! La porte de ma classe était toujours ouverte et la prof de géo qui passait dans le couloir s’arrêta dans l’encoignure puis s’appuya au chambranle en me regardant d’un œil rond et interrogateur. – Qu’est ce qui se passe me demanda t-elle? J’étais très gêné de la situation même si je n’avais rien à me reprocher. Je me retrouvais là, totalement décontenancé devant ce grand gamin d’un mètre quatre vingt dix tremblant comme une feuille de bambou devant un panda affamé. Les gros sanglots hoquetant finirent par s’estomper un peu, d’un geste de l’avant bras il essuya son visage et se redressa vaguement… Il s’excusa puis laissa échapper un sourire triste qui se transforma en moue boudeuse. Murielle (la prof de Géo) s’était accroupie à la hauteur de mon bureau et lui mit une main sur l’épaule pour le calmer et le rassurer.Nous allions enfin savoir qu’elle était la raison de ce chagrin. Valentin nous expliqua qu’il ne faisait pas exprès de saloper son boulot, il n’y voyait rien tout simplement! Il n’était pas aveugle mais son œil gauche fonctionnait mal il était incapable de distinguer les profondeurs de champs. Ses parents l’avaient fait suivre des séances d’orthoptie sans succès et ses camarades de classe, connaissant son handicap l’avaient baptisé « le caméléon » parce que le fameux œil gauche défaillant ne suivait pas toujours la manœuvre et se dérobait parfois à l’opposé de l’œil droit. La cruauté avait fait son oeuvre et fini par sapé le moral du beau blond aux yeux verts. Cette coquetterie ne dépareillait en rien un si beau visage. Dès lors, j’avais pris avec Murielle l’habitude de superviser ses devoirs et de l’aider autant que possible. Les mois passèrent ainsi et Valentin semblait non seulement aller mieux, mais ses résultats scolaires étaient en progression! Il était attentif et s’appliquait avec beaucoup d’efforts,il fini sont second trimestre avec une belle moyenne et une reconnaissance à mon égard qui semblait sans limite. Parfois, il traînait après le cours quelques minutes en salle avec moi, il me parlait de ce qu’il aimerait faire en sortant après son diplôme. Je le croisais souvent en ville et il me jetais toujours un grand sourire et un signe de la main auquel je répondais. Les vacances de Noël passèrent, puis celles de février sans que rien dans son comportement ou ses notes ne puisse à nouveau nous alerter. Murielle et moi finirent par conclure que c’était de l’histoire ancienne et que désormais il était reparti du bon pied!En classe il s’installait toujours aux tables les plus proches du tableau, je ne m’en plaignais pas! Je pouvais ainsi et à loisir admirer ce beau spécimen, mais rien ne me laissait imaginer, ni dans ses attitudes ou dans ses actes, ce qui allait se passer par la suite. Je le voyais toujours accompagné par le même trio, composé de deux garçons de la mécanique et d’une fille d’une autre classe. Le quatuor mangeait de concert à la cantine et partaient ensemble après les cours. Peu de temps avant les examens de fin d’année, dans le courant du mois d’avril le beau Valentin tenait la main de la jeune élève dans la courre et les deux garçons qui les avaient jusque là toujours accompagnés faisaient désormais « bande à part ».Je n’en n’avais rien déduis de spécial et le mois de mai arriva suivit des incontournables diplômes et des surveillances d’examens. De mon côté le travail m’absorbait, les kilomètres pour les stages, les parents d’élèves, les corrections… Valentin faisait partie du paysage mais sans en être l’attraction principale! Il passa son BMA haut la main et l’année se termina sur un voyage pour visiter Paris. Le bus n’était pas plein, il partait à 6h30 du lycée, nous avions deux bonnes heures de route et Valentin s’était installé seul à l’avant du bus, de l’autre côté de l’allée centrale et à la même hauteur que Valentin j’avais pris place aux côtés de Murielle, qui me « dragouillait » depuis deux semaines! Je n’osais pas lui dire que ces avances avaient peu de chance d’aboutir, je n’avais aucune envie de me recaser juste avant les vacances même si elle me plaisait beaucoup! Je voyais déjà la plage de Boucan Canot sur l’île de la Réunion où j’aurais vite fait d’oublier tout ça!… Je m’y voyais et elle me racontait qu’elle voudrait aller en Espagne… De temps à autre je balançais un regard en coin vers Valentin qui semblait s’avachir de plus en plus sur son siège. A l’arrivée du bus le Louvre nous attendait! Pendant la visite, Valentin me suivait on regardait ensemble les statues de Praxitel, les tableaux des grands Maîtres, j’en profitais pour étaler ma science. J’épiais son visage sans y déceler la moindre imperfection, sa peau, les petits grains de beauté de son cou, les muscles de sa mâchoire et ses fossettes quand il souriait, tout était un plaisir pour les yeux, au même titre que les merveilles qui nous étaient données de voir en ce lieu. Sur le chemin du retour il demanda à s’asseoir avec moi! Murielle s’installa avec une autre collègue et pendant les deux heures qui suivirent Valentin me fît par de ses déboires, je compris que la jeune fille qu’il tenait par la main pendant la récrée n’était pas sa « chérie » mais qu’il avait servit d’alibi pour éconduire l’un des deux autres tourtereaux qui lui tournait autour, j’appris qu’il passait ses vacances sur place et ne partirait sûrement pas cette année parce qu’il s’était engagé a aider ses parents dans les travaux de la maison.. etc. La fin du voyage marqua aussi la fin de l’année pour les élèves, je retournais ensuite au lycée sans eux pour finir le rangement. Les grandes vacances arrivaient enfin!J’avais pris mon billet d’avion pour août, je devais avant de partir mettre un peu d’ordre dans mes papiers et la maison. Quinze jours après le début des vacances ce samedi, je traînais en short à la maison, après une séance de musculation, j’allais me prendre une douche quand la sonnette m’a fait sortir de mes rêveries.J’entrouvris alors la porte et là devant moi, Valentin! Je fus bien surpris! Tellement que je fini par lui demander ce qu’il faisait là et comment il savait où j’habitais?! Là il m’expliqua que c’est une des élèves que j’ai comme voisine qui avait vendue la mèche et qu’il passait par là… Qu’il avait envie de me dire bonjour! – Eh bien ma foi, entres donc! Tu veux boire quelque chose?
– Oui, je veux bien une bière si vous avez ça?
– Oui j’ai ça, installes toi, mets toi à l’aise et par pitié arrêtes de me vouvoyer! Je ne suis plus ton prof!Il posa son sac dans l’entrée, accrocha son polo à capuche sur une paterne et se dirigea vers le salon. Il choisit un des deux fauteuils en face du canapé… J’allais vers la cuisine nous chercher une bière tout en me demandant si je ne rêvais pas. Mais qu’est ce qu’il fait ici?! Bon allez on s’en fiche, c’est les vacances on la joue cool!Je me vautre avec les deux bières dans le canapé, j’en pose une devant lui sur la table basse et je tends la mienne pour trinquer! A la tienne!Alors raconte moi, quoi de neuf depuis? En même temps qu’il me répond j’en profite pour le regarder encore, il a l’air fatigué mais toujours aussi séduisant, il boit à petite gorgées et chaque lampée de bière fait faire le yo-yo à sa glotte! Sa chemise en toile et à peine fermée, je vois la saignée de son torse totalement glabre, je remarque ses attaches au sternum « Il doit avoir des pectoraux magnifiques » pensais-je. je me relève pour aller chercher de quoi grignoter, je propose des cacahuètes ou du jambon de Parme! Il choisi le jambon je dois donc le couper. Pendant que je suis en train de sortir la planche à découper il se lève du fauteuil et me rejoint, il reste sur le seuil de la cuisine une épaule appuyée à l’entrée, sa nonchalance lui donne un charme fou. Tu veux une autre bière? sers toi dans le frigo!… Il va se servir pendant que je coupe le jambon je vois bien qu’il me regarde lui aussi, je suis toujours torse nu, je dois sentir le fennec! et je lui dit que je m’apprêtais à prendre une douche, que je suis désolé si ça sent un peu le « mâle ».. Il se marre, de son sourire superbe. Vous inquiétez pas, je peux couper le jambon pendant que vous allez prendre votre douche!
En voilà une bonne idée! Allez ok, tiens voilà le couteau, fais gaffe c’est pas ceux du lycée celui là, il coupe! Et arrête de me vouvoyer, bordel !je fonce à la salle de bain, je vire mon short, j’ouvre l’eau je m’apprête à entrer dans la douche quand il cogne à la porte de la salle de bain! Par réflexe je choppe mon short et je me cache derrière cette boule de tissu ridicule en disant: Entre! -« mais quel con » me dis-je en même temps, mais c’est trop tard, la porte s’ouvre et là c’est le choc! Il a du sang sur la chemise et il se tient l’index de la main gauche! -Je me suis coupé!! Il est en train de pisser le sang sur le carrelage de la salle de bain, je panique un peu, sans lâcher mon short j’ouvre l’eau du lavabo, il met sa main dessous! je me retourne pour ouvrir l’armoire à pharmacie, j’ai de la gaze, un désinfectant… Je lâche mon short! On va déjà commencer par ça! Me voilà à poils complètement, mais je m’en contrefous! Je prends sa main, il se laisse faire sans dire un mot, son regard quitte enfin ma bite! J’essaye de voir si la coupure est profonde, c’est une belle entaille sur la longueur de son index, suffisamment profonde pour saigner abondamment mais pas assez pour toucher un nerf. Il est blanc comme le lavabo! Tu vas pas tomber dans les pommes lui dis-je! Non non, ça va, ça va! je rince le sang avec un peu de gaze, je lui applique du désinfectant, pendant que je suis en train d’entourer son doigt avec le reste de la gaze, je tourne le regard vers l’armoire à pharmacie, -tiens ça sur ta plaie je vais chercher du sparadrap! je le lâche, je reviens avec le sparadrap et j’en déchire un bon morceau avec les dents.. Il regarde de nouveau vers mon entre-jambe et s’attarde, un peu.. Beaucoup!Je pose le sparadrap et je lui dit : Voilà bonhomme t’es réparé! je peux prendre ma douche maintenant? Oui désolé me répond t-il, désolé, je sors! – Euh.. Non attends, laisse moi ta chemise, je vais passer un coup de flotte dessus! Il s’exécute et retire sa chemise comme si c’était un tee-shirt, je vois Ses abdos faire onduler un petit filet de duvet sombre qui descend de son nombril vers son boxer, il a des pecs sublimes et des mamelons énormes, d’un beau brun clair… Putain il est vraiment gaulé comme une statue Grec! Il me tend enfin sa chemise et moi je reste là un peu comme un couillon planté devant lui avec un putain de début d’érection !!! Je ne maîtrise rien.D’un geste mécanique je tends la main vers sa chemise mais au lieu de la lâcher il continue de la tenir, et ma bite prend feu! Elle s’échauffe d’autant plus vite qu’il a ses deux émeraudes scotchées dessus! Puis d’un coup il s’avance!je recule, mais pas bien loin puisque la douche est juste derrière moi, il avance encore je me retrouve sous l’eau et lui aussi! ses yeux verts sont maintenant plantés dans les miens, il a l’air comme hypnotisé! l’eau ruisselle sur moi puis sur lui les frisettes s’écrasent et ses cheveux s’étalent sur son cou. L’eau est un peu trop chaude, mais ce n’est rien par rapport à la chaleur qui me brûle tout le bas ventre, il s’approche encore et sa bouche s’entrouvre et là c’est moi qui plonge sur ses lèvres! je dévore sa bouche! il me mord! il m’agrippe sous l’eau, je sens ses mains passer sur mon dos puis sur mes fesses, il m’attire à lui, revient fouiller mes cheveux avec ses doigts! le pansement que je viens de lui faire se fait la malle !! Il a toujours son jeans et ses chaussettes, il est trempé! Je sens son corps contre le mien et malgré l’eau chaude, je sens la chaleur de sa peau sur la mienne! La bosse dans son jeans est énorme! Mais il n’arrive pas à se dégager du tissus totalement imbibé de flotte! et moi j’ai un braquemard comme la statue de la liberté! D’une main il choppe le mitigeur et le ferme! Le flot s’arrête il m’attire à lui en dehors de la douche, nos bouches se quittent et il s’assoit sur l’angle de la baignoire en me tendant un de ses pieds! Aide moi s’il te plait! j’y arrive pas dit-il en rigolant! je prends le bais du jeans et je tire tandis qu’il s’agrippe d’une main au rebord de la baignoire et de l’autre à mon épaule, il soulève le bassin, son jeans glisse enfin d’un coup, je vous l’élastique de son boxer rouge vif qui s’enroule, je choppe la ceinture de son pantalon il vient à moi et passe ses bras autour de mon cou. Je finis par libérer enfin son bassin, sa bite jailli de sa prison! Bon sang! Mais c’est énorme! sa bite doit bien faire au moins 22 centimètres elle est large et son gland est d’une belle épaisseur, c’est la première fois que je vois une queue de mec en érection autrement que la mienne ou dans un film X ! Il se lève et se débarrasse enfin de se tas de fringues trempées! Le silence ce fait, je vois du sang couler de son doigt, il n’a plus de pansement. Il regarde sa main puis me regarde, il sourit encore. Il est d’une beauté à couper le souffle s’en est presque inhumain! Ses yeux sont perlés d’eau retenue par ses cils.Je ne peux pas me retenir, il faut que je le touche! Je pose ma main sur sa poitrine doucement il prend mon poignet, il m’accompagne dans mon exploration. J’ai touché des dizaines de filles à la peau de pêche, mais je ne m’attendais pas à une telle douceur chez un mec, ce satin tendu est d’une infinie sensualité! Il se rapproche et m’embrasse à nouveau, je sens sa queue énorme toucher la mienne puis s’aplatir contre mon ventre, il est plus grand que moi et plus large, ses épaules sont superbes. Nos bouches se fouillent… Et pendant ce temps une petite voix me dit « Et après? On fait comment »?? J’angoisse un peu. Il doit sentir que je n’ose pas prendre d’initiative alors, comme tout à l’heure, il prend les devants, le voilà qu’il m’embrasse dans le cou, mon corps est parcouru de frissons de plaisirs, il lèche l’eau qui coule de mes cheveux, il suce un peu mon téton et de sa main droite il empoigne ma queue avec douceur.Il s’agenouille et ne me quitte pas des yeux, je vois mon gland disparaître avec lenteur entre ses lèvres! La chaleur de sa bouche est une fournaise je sens mon sang pulser dans mon gland! Sans me quitter du regard il me suce, c’est irréel et pourtant le beau Valentin, est en train de me pomper la queue et je suis au bord de l’éjaculation! Il passe sa main sur mes couilles et tire doucement vers le bas tout en relevant la tête, ma queue glisse dans sa bouche jusqu’à sa moitié! il accentue les vas et viens! Je manque d’air! Je râle de plaisir, je gémis et je porte enfin mes mains sur sa tête! je le maintiens et j’avance doucement je sens que je vais jouir! dois-je le prévenir? Je n’ai pas le temps de lui poser la question qu’un soubresaut me parcourt l’échine, je lâche une première giclée de sperme puis une seconde, la troisième arrive en même temps qu’un cri que je n’arrive pas à retenir! Il ne me lâche pas la bite, je sens sa déglutition, il avale mon sperme jusqu’à la dernière goutte! J’ai quitté son regard j’ai basculé la tête en arrière, il caresse mon ventre et je sens sa bouche autour de mon gland, il ne bouge presque pas, seule sa langue caresse le frein par des petits coups latéraux. Je baisse enfin les yeux sur lui il sourit avec ma queue entre les dents! Cette vision est tout simplement magnifique! Il remonte vers mon visage, doucement il prend ma tête entre ses mains et m’embrasse, je sens le goût de mon sperme sur sa langue, quel bonheur! Lui n’a pas débandé, il est tendu dans un nerf de bœuf! Inconsciemment je suis persuadé que je n’arriverais pas à gober une queue et encore moins un chibre pareil! Pourtant j’en meurs d’envie, j’ai envie de le sucer de le goûter je veux moi aussi connaître le goût de son sirop! Pour l’instant nos bouches ne se séparent plus! Je mets fin à ce baiser torride et je lui tends une serviette. Son regard se trouble mais je le rassure tout de suite! -T’inquiètes pas j’en ai pas terminé avec toi! Il rigole encore et il ajoute! Y a intérêt ça fait un an que j’y pense! ça fait un an que je me branle en pensant à toi! … Ok ok, mais on va d’abord soigner ce doigt avant d’aller plus loin, si tu veux bien?.. D’accord, me dit-il mais juste un pansement parce que là j’ai vraiment trop envie! En effet sa superbe bite est toujours au garde à vous, à tel point que je commence à bander moi aussi de nouveau.Ce samedi va être mémorable, je le sens!© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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