Je m’appelle… Loïc
Blablabla, ici vous trouverez un résumé de l’histoire qui vous sera narrez. Ah, non. C’est pas un résumé mais du remplissage
Proposée le 6/08/2017 par Permacier Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Je ne sais pas comment commencer, alors je vais me présenter. Je m’appelle Loic, 19 ans, d’un physique plutôt banal excepté mes cheveux roux. Presque tout mon entourage, pense que je suis gay. En effet, je ne suis pas ce que l’on pourrait désigner comme un homme a femme, non pas que je ne le désire pas, mais c’est plus que j’aurais plus de facilité à rendre la vue a un aveugle qu’à parler à ces dames. Je n’ai pas eu beaucoup de relations auparavant. Mon premier vrai amour a joué avec mes sentiments, s’est barrée avec un de mes amis et doit certainement servir de Banque du Sperme régional à l’heure qu’il est. La deuxième c’était différent, il n’y avait pas beaucoup d’amour, de mots, c’était plutôt corporel. Voilà la fin de mon tableau de chasse. Deux 2000 et c’est tout, la solitude la plus extrême. Mais ce qui devrait vous intéresser est ce qui s’est passé cet été.
Le travail de mes parents leurs permet de s’offrir chaque année un séjour dans un camping du sud de la France. Mais bon, que ce soit les Ardennes, le Jura, l’Ardèche ou les Vosges, si on y trouve bien une chose, c’est des femmes. Et quelles femmes, elles auraient connus la guerre que ça m’étonnerais pas. Perso je suis pas gérontophile si c’est votre truc, passez votre chemin, il n’y aura pas de ça aujourd’hui. Autant dire que les probabilités de trouver une fille à la fois potable et majeure est assez faible. Quoi qu’il en soit, cette année, je ne pars pas en famille mais avec mes amis, rêve de gosse, une semaine à glander dans un camping avec piscine entre mec (en toute amitié), que demander de plus ? J’ai certes vendu ma moto pour m’offrir e séjour mais ça en valait la peine. Laissez-moi présenter l’équipe : Marty : petit punk teigneux, Bryan : Grand brun, athlétique, Greg : un geek de quasiment 2 mètres qui ne toucheras jamais à autre chose que son ordi et Geoffrey, l’artiste du groupe si j’ose dire.Jour 1 :
Après avoir passé 8 heures de routes à supporter Greg et Marty qui tentaient de chanter du Ska Punk l’un plus fort que l’autre, nous sommes enfin arrivés au camping. Le voyage était long, il faisait chaud, Bryan m’avait bavé dessus en dormant sur mon épaule, Marty et Greg avaient la voix enroué et Geoffrey avait les mains moites du volant qu’il avait tourné toute la journée.
L’accueil avait une l’idée de génie de mettre un brumisateur à l’entrée, ce qui nous a permis de nous rafraichir en attendant qu’une hôtesse arrive :
HOTESSE : « Bonjour messieurs, je peux vous aider ? »
GEOFFREY : « On avait réservé un emplacement pour cinq personnes »
HOTESSE : « Au nom de Nekotsu ? Je suis désolé mais votre emplacement a été prix par un groupe de néerlandais, cependant on a deux bungalow jumelés pour le même prix. »
GREG : « On prend ! (il chuchota) les mecs si on peut voir une source d’électricité et l’eau courante à portée de main gratuit, on ne laisse pas passer. Merci madame, et désolé pour le dérangement »Nous avons donc pris un plan et les clefs puis remontés dans la voiture pour faire la fin du trajet. Marty a crié sur des retraités qui n’avaient rien demandé. Quand nous sommes arrivés, il a fallu répartir les chambres :
MARTY : « Moi je me mets pas avec Loic, j’suis pas pédé »
GREG : « Je me mets pas avec Bryan il ronfle trop »
GEOFFREY : « Ok, Bryan tu te mets avec Loic dans un Bungalow. On prend l’autre avec Marty et Greg. Et Marty dors sur le canapé, c’est la seule place qui reste à moins que tu veuille dormir dans mon lit »
MARTY : « Plutôt crever. »
GEOFFREY : « Messieurs, vous posez et rangez vos affaires, et on se rejoint tous à la piscine. Loic, on ne mate pas sous les douches, Bryan, tu vas faire la grosse commission loin de la société, Greg, lâche ton Pc tu es épileptique, ET MARTY CET OISEAU ET MORT DEPUIS VRAISEMBLABLEMENT CINQ JOURS, TU NE VAS PAS LE REVEILLER A COUPS DE RANGERS !!! »
MARTY : « Oui bah jme fais chier moi. »Pendant que les deux se disputaient, Bryan me tapota l’épaule et pointa du doigt quelque chose sur un bungalow voisin. Juste en face du notre, sur la petite terrasse en bois, un fil à linge était étendu et y pendait des sous-vêtements et des maillots de bains exclusivement féminins très légers et de belle taille, à la couleur attirante. Cela faisait des mois que je n’avais pas parlé à une fille autrement que pour lui demander les cours que je séchais, et rien que l’idée que ses minces bouts de tissus puissent contenir l’objet de tous mes désirs m’affriolait. Alors que Bryan et moi avions le regard dans le vide et que notre imagination nous emportaient bien loin, Greg s’accouda sur nos épaules et chuchota :
GREG : « Si vous n’aviez pas le self control d’un collégien, vous verrez que l’important n’est pas en train de sécher sur la terrasse mais en train de se maquiller dans la salle de bain avec un store mal baissé… »
Et il avait raison, de par un store cassé, on pouvait voir une des occupantes penchée sur le lavabo, en train de se mettre du maquillage. Son corps était enroulé jusqu’à mi-cuisse dans une serviette de coton, nous laissant profiter de ses courbes. Elle était grande, blonde, avec une poitrine de belle taille mais au vu de ce qui était en train de sécher, elle n’était pas la mieux pourvue. La serviette trempée épousait la forme de ses fesses bombées. Nous étions plongés dans notre admiration quand nous entendîmes :
? : « HEY LA, JE VOUS DERANGE ? OUI VOUS DEUX (j’ai tourné la tête, Greg avait disparu, Marty et Geoffrey étaient dans le bungalow) ON MATE TRANQUILLE ? »
C’était une fille aux cheveux noirs et à forte poitrine, qui fulminait sur la terrasse du bungalow. Elle avait la taille fine et une chemise au-dessus de son T-shirt. J’aime bien cette tenue, mais je préfèrerais qu’elle ne soit pas en train de nous hurler au visage.
? : « JE PEUX AVOIR DES EXPLICATIONS ? »
BRYAN : « Alors déjà tu vas te calmer, on t’a rien fait. »
? : « Moi non mais vous étiez en train de mater Laura, alors vous allez dégager vite fait »
LAURA : « C’est pas grave Mélanie, j’avais juste laissé la fenêtre pour pas étouffer dans la fumée de la douche. Vous en faites pas les gars, c’est pas un drame, et vous avez pas vu le plus important 😉 »
MELANIE : « Tu vas pas te mettre à les chauffer non plus ? Ils étaient en train de se rincer l’œil et toi tu le prends bien ? »
BRYAN (me chuchotant): « On se barre discretos pendant qu’elles s’engueulent et on leur parle plus des vacances… »
MELANIE : « Tu fermes ta gueule le gros et tu restes là »
BRYAN : « Hey, je fais juste 85 kg je suis pas gros ! Alors ta gueule, au revoir madame Laura et on se casse !»
MELANIE : « Mais je vais te briser les genoux toi y’a pas moyen ! »
MARTY : « OUAIS, BASTON !!!!!!! »
Marty était sur le bord de la terrasse, torse nu, en short de bain Titeuf, prêt à aller dans la piscine, Il s’élança vers Mélanie, poing levé, qui l’intercepta.
MELANIE : « Enfin un qui a des couilles. Tu veux te battre le nabot ? »
MARTY (se reculant) : « JE FAIS 1m74, EST-CE QUE CA POSE UN PROBLEME A QUELQU’UN ? »
GREG : « Pas moi »
MARTY et MELANIE : « Toi ta gueule ! »
Ils passèrent quelques secondes à se juger du regard avant de pousser un soupir dédaigneux. Geoffrey sortit du bungalow, Short de bain enfilé et serviette sur l’épaule.
GEOFFREY : « Mais il se passe quoi ici merde ? »
MELANIE : « Du harcèlement sexuel »
BRYAN : « Greg nous avait donné un bon spot pour mater… »
GREG : « c’est faux »
LAURA : « Salut je suis le bon spot »
MARTY : « Jm’ennuie »
GEOFFREY : « Ok, pas tous à la fois…… Loic matais une meuf (J’allais répondre mais il me lança un regard qui m’en dissuada) et Marty voulais se battre….. (Il s’approcha de Mélanie) Je suis vraiment désolé pour le comportement de mes amis, pour nous faire pardonner, je vous invite toutes au barbecue que nous allons faire demain. Ça vous va ? »
? : « Accepte Mélanie, j’ai la flemme d’aller faire les courses et de cuisiner.
Une rousse aux cheveux courts était accoudée sur l’embrasure de la porte, en T-shirt et culotte, avec un air endormi sur le visage, des cernes sous les yeux. Je tournais mon regard vers Greg, je savais que ce genre de fille était son genre, et je n’avais pas manqué, il avait la bouche entre-ouverte dans le vide, il fixait cette fille qui s’en était retourné se coucher avec de l’envie bien rare dans ses yeux. Moi qui étais venu passer des vacances tranquilles. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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