Son anniversaire – Chapitre 1
Un week-end de fĂŞte qui dĂ©rape, presque involontairement. Un rĂ©cit moitiĂ© rĂ©el, moitiĂ© fantasmĂ©. Ou se trouve la limite ? A vous de deviner …
Proposée le 27/12/2019 par Hellion Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHHLieu: Sauna, club, sexe shopType: Fantasme
Pour son anniversaire, j ’ai offert un week-end « surprise » Ă ma femme dans une ville du Sud de notre beau pays. Je comptais bien profiter de ce sĂ©jour pour lui faire subir quelques outrages, et de ce point de vue ce fut une parfaite rĂ©ussite. Nous sommes donc arrivĂ©s Ă l’hĂ´tel vers 10h le matin, la chambre n’était pas prĂŞte bien Ă©videment. Nous avons tout de mĂŞme dĂ©posĂ© les bagages, puis nous sommes parties nous promener et visiter la ville. Comme nous dĂ©testons les circuits touristiques nous sommes partis Ă l’aventure. Après tout, la meilleur façon de dĂ©couvrir une ville c’est de s’y perdre non?? Ma femme Ă©tait dĂ©jĂ bien excitĂ©e. Il faut dire que je la chauffais depuis le matin, ne loupant aucune occasion de lui faire une allusion grivoise, et nous avions hâte de rĂ©cupĂ©rer notre chambre et de faire grincer le lit. Bref, toujours est-il qu’au bout d’un moment, nous nous sommes retrouvĂ©s en face d’un sex-shop. Elle m’a demandĂ© si j’avais tout prĂ©vu pour le W-E. Bien sĂ»r que j’avais tout prĂ©vu! Pardi?! Mais bon, comme j’étais d’humeur joueuse je lui ai proposĂ© d’entrer faire un tour, dès fois qu’elle trouve un « jouet » intĂ©ressant. Elle a rougit mais n’a pas dit non la coquine?! L’endroit Ă©tait propre, bien Ă©clairĂ©, ce qui m’a Ă©tonnĂ©, un homme dans la quarantaine Ă la caisse (le patron?) en train de discuter avec un Noir. Ma femme fouilla un peu les articles de « lingerie », puis passa devant le rayon des godes. De toutes les tailles et de toutes les couleurs. Elle s’arrĂŞta net devant un gode monstrueux — non, mais c’est pas possible ! ça n’existe pas dans la nature des trucs de cette taille?! Et puis ça ne peut pas rentrer?! Le Noir l’entendit et lui rĂ©pondit hilare en forçant l’accent « petit Noir » : — Mais si madame ça existe?! C’est connu que tous les Noirs en ont une grosse?! Tout le monde Ă©clata de rire, et on en resta lĂ . NĂ©anmoins je la sentais de plus en plus excitĂ©e, aussi mon attention fut attirĂ© par la panneau « Cabines » indiquant les tarifs et surtout la mention « Gratuit pour les couples ». Je vais voir le caissier et lui demande comment ça passe pour les cabines, il me confirme que c’est gratuit pour les couples et m’indiqua un petit escalier descendant en prĂ©cisant « La 2 c’est la cabine Ă trous ». La cabine Ă trous???? Ni une ni deux, je pris ma femme par la main et l’entrainait au sous-sol dans la cabine 2. Elle me traita de cinglĂ© mais n’opposa aucune rĂ©sistance. La cabine Ă©tait propre, faiblement Ă©clairĂ©e, avec une grande banquette en cuir rouge au fond. Sur le cĂ´tĂ© en guise de « trous » se trouvaient en fait des sortes de trappes coulissantes, qui Ă©taient dĂ©jĂ ouvertes. Ma femme jeta un Ĺ“il par la trappe mais ne vit personne, pendant ce temps j’actionnait la tĂ©lĂ©commande et tombait sur une scène de double-pĂ©nĂ©tration. J’installais ma femme sur mes genoux, face Ă l’écran et je passais mes main sous son pull Ă la recherche de ses merveilleux seins. Elle se tournât pour m’embrasser Ă pleine bouche apparemment plus intĂ©ressĂ©e par la banquette et ce qu’on allait y faire que par le film. Je continuais Ă la caresser et sortit complètement ses seins, pensant passer la vitesse supĂ©rieure. Mais un bruit provenant de l’autre cabine attira son attention. Comme bien entendu notre ami de couleur Ă©tait venu se rincer l’œil. Il avait dĂ©jĂ dĂ©grafĂ© son pantalon et sorti son engin. Ma femme s’exclama — la vache, il est Ă©norme?! Je sais que ça fait très clichĂ© « le Noir avec la grosse bite », mais il vrai que bien qu’étant loin du gode vu quelques minutes auparavant il Ă©tait extrĂŞmement bien montĂ©. Pas tellement au niveau de la longueur (quoique mĂŞme lĂ je m’avouait vaincu) mais surtout au niveau du diamètre. Elle Ă©tait comme hypnotisĂ©e. L’homme s’en aperçu et s’approcha de la trappe et y passa son membre : — ça vous tente?? Elle ne demanda pas mon avis et l’attrapa Ă pleine main, le branla un peu et posa sa bouche sur le gland. Elle ouvrit aussi grand que possible mais avait du mal Ă la faire rentrer, aussi continua de le branler en lui suçant le gland et en poussa des gĂ©missement de plaisir. Elle profita au maximum de ce membre inconnu le branlant, caressant les testicules, passant sa langue sur toute la longueur avant de revenir dĂ©guster le bout. Pendant ce temps je lui avait complètement enlevĂ© le haut et je lui caressais les seins en bandant comme un taureau. Je lui poussais parfois la tĂŞte sur ce membre pour qu’elle l’avale le plus possible, et lui murmurais au creux l’oreille : « Vas-y … Suce le .. Je sais que aime ça, gourmande ! RĂ©gales-toi … C’est ton anniversaire … fais toi plaisir … ». Je voyais bien qu’elle Ă©tait au paradis de la bite , elle suçais, lĂ©chais , embrassait cette queue d’Ă©bène avec passion, les yeux mis clos, un filet de salive coulant de sa bouche sur sa poitrine. Cela dura un bon moment puis le type se raidi et lui Ă©jacula au visage et cria un long « ah la saloooope ». Elle le lĂ©cha encore un peu puis le relâcha. C’était maintenant mon tour?! Je l’obligeais a s’agenouiller devant moi et lui mis mon organe dans la bouche, la lui baisant comme elle aime. Puis je glissais entre ses seins avant de retourner dans sa bouche. Je fini rapidement par jouir dans sa bouche mais cette fois ci, elle avala le tout. Elle s’essuya le visage et les seins avec un mouchoir, remit son pull, sans son soutien-gorge, en jetant un dernier coup d’Ĺ“il Ă la cabine adjacente et la surprise l’occupant avait changĂ©?! C ’était le caissier qui s’astiquait en nous regardant. « Vous partez dĂ©jĂ ?? » Elle m’interrogeât du regard … — C’est ton anniversaire ma chĂ©rie?! C’est toi qui vois ! Elle se tourna alors vers le caissier et retira le pull : — Approchez! Le type ne se vit pas prier et passa Ă son tour sa queue au travers de la trappe. Elle l’emboucha direct et lui fit une pipe magistrale, bien baveuse en tirant la langue. D’une main elle caressait les bourses de l’autre elle lui astiquait le manche, et l’aspirait Ă fond. Le type ne rĂ©sista pas 2 minutes Ă ce traitement, elle se dĂ©gageât au moment crucial et le fit jouir de quelques coups de poignet experts en direction de sa poitrine. Elle s’essuya, encore, remis son pull, encore… — C’est bon?? il n y a plus personne Ă soulager?? Effectivement il n’y avait plus personne, le caissier se rajustait et sorti de la cabine en mĂŞme temps que nous. Il nous raccompagna vers la caisse sans cesser de la mater. ArrivĂ©s en haut, le Noir tenait la caisse en l’absence de son ami, il lui demanda : — Alors? ?
— T’as raison une sacrĂ© suceuse la salope ?! Et quelle paire de mamelles ! Ils ne semblaient pas du tout gĂŞnĂ©s par notre prĂ©sence et continuaient leurs commentaires graveleux. Un gamin Ă©tait rentrĂ© dans le magasin entre temps et regardait les dvd d’un air gĂŞnĂ© surtout lorsqu’il vit ma femme. Mais lorsqu’il entendit les 2 compères comparer leurs expĂ©riences, il ne put s’empĂŞcher d’approcher pour mieux entendre et la regarder de plus près. Le Noir lui lança :— HĂ© gamin c’est dommage un quart d’heure plus tĂ´t tu avais droit Ă la pipe de l’annĂ©e?! Le pauvre ne savait plus oĂą se mettre. Ma femme lui fit un grand sourire et lui mit carrĂ©ment la main au paquet : — oui, c’est dommage … une autre fois peut-ĂŞtre … Puis elle m’entraina vers la sortie. Alors que nous passions la porte, le patron nous lança un joyeux « Revenez quand vous voulez! » Tu m’étonnes … Une fois dans rue elle dit  » Bon j’espère que la chambre est prĂŞte parce qu’après les amuse-gueule j’aimerais bien gouter le plat de rĂ©sistance?! ». Et heureusement, elle Ă©tait prĂŞte … © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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