J’en ai toujours rêvé (seconde partie)
Tandis que ma femme s’était absentée pour la semaine, sa meilleure aie, Hélène, m’avait fait une surprise. Elle m’avait concocté un plan à trois avec elle-même et son amante Erika. Nous venions d’entrer dans un luxueux appartement…
Proposée le 2/11/2015 par Plume de bite Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
La porte s’ouvrait sur un appartement tout blanc, très sobre mais tout à fait chic. Une décoration discrète très moderne, comme sa propriétaire. Hélène passa la dernière et referma la lourde porte en bois plein. Avant que je n’ai pu dire un mot, les deux femmes brandissaient déjà librement leur poitrine opulentes.
90B, m’annonça Erika.
J’ai la chatte épilée, mais un 95C, renchérit Hélène. Un ticket de métro, et trois orifices où tu seras le bienvenu…
tu vas perforer mon ticket de métro, me défoncer le cul, je suce, j’avale et je suis une femme fontaine si tu me baise bien ! Ajouta la bouillante Espagnole.
Fontaine ? Tu ne me l’as jamais fait ! Lui dit Hélène en déboutonnant son jeans sous lequel elle ne portait rien.
Enlève-moi mon string, me dit Erika en laissant tomber sa robe au sol. Sois original et raffiné, s’il te plaît…Original et raffiné. Voilà qui ne manquait pas de piment. Le string rouge laissait déjà apparaître une tache plus sombre du à la cyprine suintant de sa chatte poilue.Dis-donc, beau gosse, me lança Hélène, la bonne copine ne voudrait pas tenir tout de suite la chandelle et elle attend que tu lui bouffes enfin l’abricot. D’autant qu’il est mûr à point et très juteux !
Et si vous, mesdames, vous occupiez de votre invité…Hélène à ma gauche m’offrit un large sourire en s’agenouillant, tandis qu’Erika ne bougeait pas, mais la tâche sur son string grandissait et un liquide incolore coulait à l’intérieur de ses cuisses effilées. Je n’étais plus moi-même, je crois, à partir de ce moment-là. J’aurais pu lui demander comment il fallait dire «à genoux» en Espagnol, mais les seuls mots qui retentirent furent :Suce-moi toi aussi, jolie salope !Je n’avais jamais parlé à une femme comme-çà, sinon à sa demande, donc sans aucune intention de suprématie. Et voilà que convié par ces deux femmes avec qui je n’avais jamais encore rien fait, bien que connaissant l’une d’elles, j’en devenais, au moins pour un moment, le maître. Les quatre mains m’ont rapidement enlevé chemise, chaussures, chaussettes, pantalon, caleçon, avec autant d’habileté que d’empressement. Elles ne voulaient rien brusquer, même si, visiblement, la situation leur plaisait. Mon sexe libéré était déjà ferme, mais pas encore arrivé à son paroxysme. Il leur revenait de raffermir mon membre si elles voulaient pouvoir mieux en profiter. Elles n’auraient pas grande peine, vu que je n’avais aucune intention de me refuser à leurs intentions.Lorsque les deux bouches se sont posées ouvertes sur ma verge j’ai découvert une sensation encore inconnue. Cette double emprise m’électrisa. La main d »Erika qui soutenait mes testicules, tandis qu’Hélène promenait ses doigts entre mes fesses à la recherche d’un secret me fit encore ressentir de nouvelles impressions. Hélène léchait à présent mes boules, tandis que sa copine embouchait mon gland lentement promenant sa langue sur le bout inquisiteur, et happa finalement une grande partie de ma verge, mais elle eut un haut le cœur dans l’instant où je sentit un blocage dans sa gorge. Elle avait voulu faire une gorge profonde, mais je lui en proposais plus qu’elle ne pouvait avaler.tu vas me faire le cul, baronne, lui dit Hélène, pour ce péché d’orgueil !
Je te le fais si toi, tu réussis, vile roturière, lui répondit l’aristocrate.Hélène piquée au vif par cette réflexion de son amante, se mit devant moi, enserra ma verge dans ses mains et débuta le mouvement d’aspiration. Elle aussi joua un peu avec mon gland avant d’avancer sur mon pénis dur et dressé, retirant ses doigts l’un après l’autre, jusqu’au majeur de sa seconde main. Arrivée là, elle suffoqua, bavant plus que de raison et se laissa tomber en arrière après m’avoir relâché. Ses jambes s’allongèrent de part et d’autre de mes pieds. Avec une jolie chatte ouverte qui respirait visiblement beaucoup plus facilement que ses poumons, pourtant généreux.J’allais l’entreprendre, mais déjà Erika posait une main sur le pubis lisse et glissait vers la moule suintante. Elle-même portait toujours son string rouge et s’exposait devant moi en levrette, trempée à l’extrême. Ma laissant aller à mes instincts les plus primaires, ne m’imaginant même pas dans la peau d’un acteur porno quel qu’il fut, je passais deux doigts sous le tissu entre les fesses et l’écartais sur la gauche pour me dégager une entrée, elle aussi, largement ouverte et ô combien lubrifiée.Hélène obéissant au doigt d’Erika gémissait en cadence, tandis que j’hésitai encore pour savoir si j’allais mettre ma langue ou mon pénis dans ce sexe baillant son plaisir à la simple pensée d’être touché par Hélène ou moi-même. Je me baissais pour déposer un baiser sur chaque fesse avant de me délecter du jus de moule espagnol, mais ma vieille copine prit à son tour l’autorité et m’ordonna de défoncer Erika à grands coups de bite. J’aventurais quatre doigts qui semblaient déjà satisfaire Erika et allais l’amuser un peu lorsqu’une musique retentit. Erika sursauta et me supplia de la libérer. C’était son portable qui sonnait ! Au pire moment !Erika se leva d’un bon en direction de son sac à main. Dans le mouvement, le string rouge reprit sa place.Hola, Papa, dit-elle essoufflée.Le reste de la conversation se déroula également en Espagnol et il y était question de la gestion du groupe hôtelier. Erika était directrice générale, mais son père était le président en titre. La discussion bien que tout à fait cordiale, fut, on ne peut plus sérieuse.Tandis que ma « tension » était retombée et que je suivais la discussion financière depuis quelques instants, je me retournai et vit Hélène en train de s’astiquer l’abricot.La duchesse est occupée, mais toi, tu attends quoi pour venir me bouffer le clito ?
Dis-donc, salope, tu n’as pas besoin d’aide, je crois.
Non, mais j’ai envie d’un peu plus de stimulation. Viens me lécher. Et fais vite !
Et toi tu me suces en même temps ?
Non, tu mettras une faciale à Erika !
Elle va refroidir avec son téléphone.
On s’en fout ! Broute mon minou chéri !Comme elle avait largement ouvert les cuisses, je n’eus qu’à me baisser sur le fruit juteux pour le déguster. La conversation d’Erika avec son cher papa était tout à coup beaucoup plus lointaine. Je choisis d’enfoncer ma langue dans la fente gorgée de liquide, puis de remonter lentement en appuyant bien. J’avais posé les mains sur son ventre que je sentis tendue comme la peau d’un tambour. Ses mains frappaient sur la moquette sans bruit, mais son gémissement devait certainement passer dans le téléphone d’Erika.Rien, papa. Des jeunes qui jouent dans la rue, dit Erika. Comme j’avais légèrement tourné la tête, je la vis, assise sur le bureau, cuisses ouvertes, jouant avec un objet long en verre. Je pensais à un gode, mais il s’agissait d’un simple presse papier. Elle le sortit et me le montra en souriant. Mes couilles allaient éclater, si elle ne venait pas rapidement ! Hélène mouillait et gémissait tellement, que je crois bien n’avoir jamais bandé aussi fort. Je sentais le liquide monter vers mon gland, je n’allais plus tenir longtemps ! Justement, Erika venait de raccrocher et de reposer le presse-papier.
Oh, les amoureux, vous me laissez une place ? Nous lança Erika tout sourire.
Amoureux ? Dis-je surpris de cette réflexion.
Quand Hélène me parle de toi, elle a les yeux qui brillent. Et depuis que je la vois sans culotte, je sais qu’elle a aussi le con humide.Je me mis à genoux et je n’en revenais pas de ce que je venais d’entendre. La copine de ma femme était pour moi une salope assumée, prête à tomber dans les bras de tous les mecs passant à sa portée. Même dans nos conversations à deux, elle n’avait jamais fait mystère de ce qu’un homme la baisant, puisse la prendre par tous les orifices. Je savais aussi qu’elle adorait se faire lécher la friandise et qu’elle avalait tout lorsqu’elle même suçait. Elle m’avait avoué être tentée de faire des galipettes avec une femme, mais n’avoir jamais sauter le pas, si je peux dire.Dis-donc, Rika, tu ferais mieux de le sucer, parce que là, tu fais retomber la branche !
Ma chérie se met en colère ?
Ta chérie se fait grignoter le clito par un mec dont elle rêve depuis 5ans !
Je le sais ! Tu « le » remercie à lui quand c’est moi qui te « grignote » ! quand je te gode la chatte, tu « lui » demande (en me désignant) d’aller bien à fond et si je t’encule, tu « le » remercie d’y aller en douceur ! Alors, oui, je sais !
Ma chérie, j’ai vu tes yeux quand tu le suçais et tu n’as pas souvent vu de bite comme celle-là. Ta fontaine me l’a fait comprendre…Et disant cela, Hélène qui s’était assise pendant l’échange empoigna mon membre et commença à me masturber pour me raidir à nouveau. La manœuvre était efficace, et, compte-tenu de mon état d’excitation, c’est le visage d’Hélène qui se retrouva en un instant couvert de ma sauce blanche, mais pour qu’Erika ne soit pas en reste, c’est elle qui prit la seconde salve lorsque je me retournai.Hélène m’avait dit depuis longtemps qu’elle avait un faible pour les étreintes sauvages et les séquences hors norme. Elle était servie, avec mon sperme qui lui coulait sur le visage d’abord, puis les seins, à présent. Erika m’avait demandé d’être « raffiné », mais vu les filaments blancs qui coulaient de ses joues sur ses tétons dressés… Mais par contre, sa chatte, elle, était en train de se vider dans un grand flot. La fontaine !(à suivre)© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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