Joel et son scooter
JoĂ«l vient de recevoir un scooter tout neuf, malheureusement. Ne sait s’en servir. Il ne lui faut pas longtemps pour avoir un accident avec des effets secondaires.
Proposée le 30/09/2022 par soleil-levant Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Roman
Joëlle et son scooter
L’accident
Bonjour à tous, je m’appelle Jean-Louis, je viens d’une famille modeste, mais pas pauvre. Ma mère est veuve depuis plus de dix ans, je suis son unique enfant qu’elle adore, je suis son petit prince, je suis son tous.
J’ai dix-sept ans, j’arrive dans une école d’élite, car je suis très doué en math, j’aime les math. Je rentre dans cette école, le premier jour, malheureusement, un scooter me renverse. Je ne suis pas blessé, mais mon short est déchiré. Je suis en colère, d’abord, elle m’a fait peur, deuxièmement mon pantalon. Vous avez bien compris, la conductrice de ce scooter était une fille.— Connasse, tu ne peux pas faire attention, non ? Mon short est foutu maintenant.
–— Excuse-moi, c’est la première fois avec ce truc, il est tout neuf, je ne sais pas encore le mener comme il faut, je suis quand même vraiment désolée, es-tu blessé ? Comment on fait pour ton short ?Elle essayait de fermer le trou, avec ses doigts, sur le haut de ma cuisse.— Merde, je vais me faire engueuler par mon père. Tu es blessé ? Dis-moi ce que je peux faire ?Elle range son bolide, revient prendre mon short, elle me suit.— Je vais en classe, lui dis-je, on se retrouve à la pause. Dans quelle classe es-tu ?
— La cinq C.
— Moi aussi. Ce sera plus facile de se retrouver.Elle me suivait toujours, tenant toujours mon short entre ses doigts.– Je viens avec toi, si tu le veux, on fait une dĂ©claration d’accident ?
– Si tu fais une déclaration, ta prime d’assurance va monter et je suis sûre que ton père t’engueulera encore plus.
– Ça, c’est sûr.Elle s’assied à côté de moi.— Bon ! Ferme ta gueule maintenant, on règle ça à la pause, lui dis-je, mais sa main reste sur le trou de mon short, triturant avec ses doigts presque à la jointure de ma cuisse, cela me faisait tout drôle. Quel est ton nom ? Moi c’est Jean-Louis.
— Moi c’est Joëlle.
– Joli prénom, il me botte.
– Bon ! Mesdemoiselles, messieurs, lorsque vous aurez terminé, on pourra commencer.
Il est notre tuteur, il nous a donné quelques instructions, nos horaires, la marche de la maison, enfin notre calendrier et la liste du matériel que nous devons nous procurer. Beaucoup de questions sont posées et les réponses données, il est déjà onze heures, nous sommes libres. Joëlle est toujours désolée et accrochée à mon short.— Jean-Louis, donne-moi ton short maintenant, je te le fais réparer
— Tu es une grande maligne hein, comment je rentre chez-moi ? À poil ?
— Oh, excuse-moi, je n’ai pas réfléchi. Bon, je t’emmène chez toi, et tu me le donnes. Allez, monte. Tu te tiens bien à ma taille, car je ne le connais pas, ce machin, j’ai des problèmes avec les freins.
— Si tu ne me tus pas encore en route dans un accident, fais attention cette fois, je tiens à ma peau.
Cela va, je n’habite pas trop loin, mais sa manière de conduire est une catastrophe. Elle donne des coups d’accélérateur, des coups de frein qui me secouent le cul et me font sauter sur la selle, mes mains remontent de plus en plus sur son ventre, puis sur son estomac. Après un court moment, je sens la naissance de ses seins sous mes mains. Comme j’aime beaucoup ça, je lui attrape sa poitrine à pleines mains, ses seins bien chauds, bien fermes, et je fais glisser mes mains dessus.
— Jean-Louis, que fais-tu ? rouspète-t-elle
— Je me tiens, pardi. J’avoue que je me tiens même avec plaisir d’ailleurs, j’aime beaucoup, pas toi ? Tes seins sont très doux.Je lui massais, je lui caressais sa poitrine, j’adorais ça, c’était idyllique.— Ce n’est pas l’endroit pour cela, je te prie d’enlever tes mains.
— Tu n’aimes pas ? lui dis-je tristement. Que c’est dommage, c’est tellement bon, si tu savais ce que cela me fait ?
— Je n’ai pas dit que je n’aime pas. Je te dis simplement que ce n’est pas le lieu pour ça…À un feu rouge, elle se retourne, mais n’enlève pas mes mains, au contraire, elle appuie sa main sur la mienne, pour bien plaquer ma main sur sa poitrine. Son visage étant, alors, très près du mien, j’ai cru qu’elle voulait m’embrasser. Son visage a rosi, elle aime ça, mes mains sur ses seins. Puis, nous repartons. Je sens ses mamelons pointer sous mes doigts, dans la paume de ma main, je sentais comme sa poitrine s’était durcie, je la sentais trembler.
— Jean-Louis, reste tranquille, me supplie-t-elle.
Nous sommes arrivés devant chez moi, elle parque son bolide et me suit.
— C’est ici que tu habites ?
— Oui.
— Je n’habite pas loin d’ici, me dit-elle.Je rentre chez moi, elle me suit toujours.— Tes parents ne sont pas ici ? demande-t-elle.
— Non, ma mère travaille encore.
— Allez, enlève ton short, donne-le-moi, ce short.Je suis un peu gêné d’enlever mon short devant elle. Comme je n’ai pas osé lui dire de ne pas regarder, je le baisse, j’ai failli tomber, elle me retient, mais ne quitte plus mon slip des yeux. Si elle continue, je vais bander ! Je vais chercher un short. Pendant qu’elle le déplie, elle a l’idée de m’aider à le remonter, le tirant par la ceinture, mon cul contre son papillon, ses fesses contre mon bas-ventre, je sens ses mains frotter ma bite. Mon short dans son sac, elle me prend la main.
– Viens, je te montre notre maison.Me voilà de nouveau derrière elle, mes mains emprisonnent ses seins à nouveau. Elle attend qu’elles aient pris possession de ses seins, que je les ai bien en main, avant de repartir.— Tu es prêt ? Tiens-toi bien, je démarre.Elle a l’air d’apprécier ce pelotage, elle accepte mes mains sans plus rien dire. Arrivés devant chez elle, elle baisse ses bras pour que mes mains restent plus longtemps sur sa poitrine, elle appuie dessus, elle pousse son dos contre moi.
– Jean-Louis, si tu le veux, je viens te chercher chaque jour, pour moi ce n’est pas un détour, j’aimerais même bien.Je voulais descendre, je commence à retirer mes mains, qu’elles bloquent.— Attends, je te ramène, dit-elle.Mes mains restent donc où elles sont. Elle conduit très lentement pour me raccompagner, j’ai d’autant plus de temps à peloter ses beaux seins.— Jean-Louis, tu t’y connais en math ?
— Oui, j’aime beaucoup, même.
— Tu pourras m’aider ?
— Bien entendu.
— Quand ?
— Quand tu voudras, je vais en ce moment chaque jour au lac, je fais mes devoirs et je pique une tête dans le lac. Elle me laisse enfin retirer mes mains. Jean-Louis, on se revoit cet après-midi au lac, elle me dit encore tout bas. Tu sais, Jean-Louis, c’est la première fois qu’un garçon me caresse ma poitrine. J’aime beaucoup ça, encore plus venant de toi, tu me plais vachement.
Joëlle est une jeune fille d’une famille assez aisée, elle a perdu sa mère à cause d’une sale maladie, elle n’avait que quatorze ans. Elle a été élevée par son père qui l’adore plus que tout au monde, Joëlle est sa petite princesse, elle est son amour, son tous. Elle possède un petit scooter que son papa lui a acheté pour la Noël. Elle adore naturellement son père, elle est très douée en classe et se retrouve dans une école d’élite.
Me voici au lac, je me plonge dans mes devoirs, pas beaucoup, c’était notre premier jour. Joëlle, toute contente, qui vient d’arriver, s’approche, pose son sac à côté du mien, m’embrasse sur les joues.
– J’ai une bonne nouvelle, mon père a dit, il t’achète un nouveau short pour toi, on ne peut pas réparer le tien, il ne m’a pas engueulé.
– Merci.Elle se dévêt pour se retrouver dans un mini maillot de bain deux pièces, vraiment mignon. T— Tu ne te mets pas en maillot ? Il fait chaud au soleil.Elle tire sur mon short, mon t-shirt.— Bon, Jean-Louis, tu peux m’expliquer ?Elle s’allonge à côté de moi, son épaule contre la mienne, son derrière contre le mien, sa cuisse contre la mienne, je transpire, pas de chaleur, elle est nue contre moi, ou presque. Elle frotte sa cuisse contre la mienne, pose gentiment sa main sur mon cul, une catastrophe.La crème solaireJe n’ai pas eu besoin de beaucoup d’explications, elle a vite compris. J’ai même l’impression qu’elle n’est pas venue pour cela, elle me donne son tube de crème dans les mains.
– Passe-moi de la crème dans le dos, tu veux bien ?
Elle se retrouve à plat ventre sur ma serviette, elle dégrafe son soutien-gorge. Je ne suis pas très tranquille, je lui passe sa crème sur le dos, puis elle défait la cordelette de son slip. Elle rajoute.
– Sur mes fesses également.
Son cul me saute aux yeux, il est vraiment beau. Je commence à bander sérieusement, je lui caresse ses fesses, enfin, elle se retourne, je ne sais plus où regarder, elle est complètement nue.
– Continue, me dit-elle
C’est difficile, je suis figé devant cette beauté, je bande comme un cheval. Putain de merde, je transpire.
— Jean-Louis, me dit-elle encore, pas qu’autour de ma chatte, entre mes cuisses, J’adore, Jean-Louis, après, je m’occupe de toi.Là , je prends réellement peur, je bandais déjà , si elle y met encore ses mains, c’est la catastrophe déjà programmée.
Merde, c’est mon tour, c’est à moi d’y passer, je me mets à plat ventre, je transpire à flot, et elle ne m’a pas encore touché.
Elle n’a même pas remis son slip, elle me passe sa crème dans le dos, sur mes épaules, mes bras, je souffle, ma bite retombe un peu, elle écarte les jambes, s’assied sur ma colonne, enduit mes mollets, mes cuisses… D’un coup sec, elle baisse mon slip de bain, enduit mes fesses, l’entre-jambe, je sens sa main sur mes testicules, ma bite se relève à nouveau. Je sens ses poils sur mes fesses, ils viennent même taquiner mes testicules.
Elle se lève, me fait me retourner et s’assied sur mes cuisses. Elle regarde tout d’abord mon corps, s’arrête sur ma bite un bon moment. Puis, elle enduit de crème ma poitrine, mon ventre, mon nombril et mes poils qui me chatouillent, elle prend son temps.
Délicatement, elle prend ma bite dans ses mains, me l’enduit également en prenant son temps, je n’en peux plus, je me retiens en faisant des grimaces. La catastrophe est là , je ne peux plus me retenir, elle tient ma bite bien ferme dans sa main, elle ne bouge plus. Qu’attend-elle ? Elle la regarde, je ne peux plus rien faire, j’éjacule dans un grognement bestial. Elle dirige le jet de sperme sur le sable, elle est ravie. Elle regarde ce sperme absorbé par le sable qui disparaît, s’allonge sur ma poitrine et me murmure.
— Jean-Louis, c’est la première fois que je vois de près un homme éjaculer.
— Tu l’as fait exprès ?
— Oui, je voulais voir, en plus tu me plais beaucoup.
— Merde, je m’en aperçois.
Je ne peux pas dire qu’elle me laisse indifférent, loin de là , mais je ne peux pas dire non plus que je vais en ferais mon amie, je ne sais pas. Oui, elle est très belle, a de jolis seins, un joli ventre, un derrière adorable, je laisse glisser mes mains sur ses jolies fesses, elle a de la classe, (ses fesses également ! Douce, elle ne parle pas fort, ne cherche pas à s’imposer. Disons que je l’aime bien, mais pour l’instant, pas plus.
Chaque matin, elle est devant ma porte, lorsque j’apparais, elle sort son t-shirt de son short, pour que mes mains atteignent ses jolis seins. Chaque matin, elle attend que mes mains cramponnent sa poitrine avant de démarrer ou bien, elle porte un t-shirt extrêmement court. Mes mains glissent d’ailleurs sans problème. Nous nous retrouvons également chaque jour au lac. Chaque jour, elle me fait bander. Chaque jour, elle me fait jouir et éjaculer, avant que nous nous jetions dans l’eau, elle ne garde que son slip, même très souvent, elle le retire. Par contre, elle regarde tous ceux qui s’approchent de trop près de nous, même ceux que nous connaissons. Elle les regarde de travers, avec méfiance, fait tout pour les faire partir ou s’éloigner.
— Jean-Louis, je n’aime pas tes camarades de classe
— Ce sont les tiens pareillement, nous sommes donc dans la même classe.
— Jean-Louis, j’aime beaucoup te voir éjaculer, tu aimes ?
— Oui, bien sûr, j’aime beaucoup ce que tu me fais.
— Tu m’aimes un peu ?
— Un tout petit peu, Joëlle, je ne te connais que depuis une semaine, je peux dire que j’aime bien être avec toi.
— Jean-Louis, nous avons quinze jours de vacances, veux-tu venir avec nous ? Nous partons à la mer, nous avons une petite maison, papa me dit qu’il ne voit pas d’inconvénient à ce que tu viennes avec nous.
— Pour cela, je dois demander à ma mère. Oui. J’aimerais bien.
— Je vais aller avec toi pour lui demander, je suis persuadée que ta maman dira plus vite oui. Quand est-elle là  ?
— Elle arrive à dix-huit heures. Il est dix-sept heures. Viens, nous y allons tout de suite, nous l’attendrons. J’ai envie d’aller à la mer avec toi.
Nous rangeons nos affaires, et nous voilà en route avec son scooter, mes deux mains sur sa poitrine. Si, par mégarde, mes mains ne sont pas exactement sur ses seins, elle me les remonte, directement sur ses mamelons qui pointent. Elle aime ça et moi aussi. De temps en temps, une de mes mains glisse dans son short, sous sa culotte, vers son vagin. Quand nous sommes en route, j’ai vu une fois le scooter de Joëlle faire des zigzags.— Jean-Louis, fais donc attention, cela me fait tout drôle.Alors, je n’ai pas recommencé en route, de peur que l’on ne se casse la figure, mais, de temps en temps, au départ, j’appuie ma main sur son antre trempé, et nous partons. Nous sommes arrivés chez moi, naturellement beaucoup trop tôt, maman n’était pas encore arrivée, je la fais s’asseoir, sur le canapé, je veux lui offrir une boisson. Elle me prend les deux mains.— Jean-Louis ?
— Oui ?
— Embrasse-moi, j’ai envie que tu m’embrasses.
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Je n’en ai pas spécialement envie, mais je ne peux pas le lui refuser. Elle passe ses mains derrière ma nuque, attire ma tête contre elle, sa bouche contre la mienne, elle m’embrasse, sa langue entre dans ma bouche et s’enroule autour de la mienne. Elle me donne un baiser que je ne connaissais pas, me caressant ma poitrine, elle m’embrasse d’une manière tellement forte, mes lèvres, ma bouche, je rougis, merde, c’était vachement bon, j’ai aimé.— Merci, Jean-Louis, me dit-elle alors.Maman est arrivée sur ces entrefaites, elle s’étonne de notre présence.— Est-ce ta fiancée, mon garçon ? demande Maman, voyant notre bouche anormalement rouge. Je voudrais répondre non, mais Joëlle est plus rapide et répond à ma place.
— Oui, madame, je suis Joëlle, la fiancée de Jean-Louis et papa m’a autorisée à emmener Jean-Louis en vacances à la mer avec nous. Alors, je suis venue chercher votre autorisation.
— Joëlle, quel âge as-tu, ma fille ?
— Madame, j’aurai dix-sept ans au mois de mai.
— Deux mois plus vieux que Jean-Louis ?
— Oui, madame.
Le voyage Ă la mer
— Je suis d’accord, mais ne faites surtout pas les fous.
Je vois comme Joëlle est contente, j’ai même cru qu’elle allait trépigner de joie, mais elle a su se retenir.— Merci madame, nous allons tout de suite avertir mon père. Elle me prend par la main. Tu viens, Jean-Louis ?
— Ne rentre pas trop tard, Jean-Louis.
— Non, non.
Dans les escaliers, Joëlle me pousse le dos contre le mur.— Jean-Louis, embrasse-moi encore.Elle relève son t-shirt et pousse sa poitrine nue contre la mienne. Mes mains passent sur son dos, descendent pour pousser son short et sa culotte vers le bas. Sur ses fesses, son cul bien rond dans mes mains, son pubis, sa moumoute trempée contre ma bite. Elle m’embrasse, une furie, elle me fait bander à nouveau, j’en tremble de plaisir, je sens son ventre, sa poitrine vibrer. Elle caresse mes fesses également, un vrai plaisir.— Viens, mon Jean-Louis, ta maman a dit, pas trop tard.Prononcer le mot de maman m’a sauvé. J’aurais encore éjaculé dans les escaliers. Je lui remonte son attirail, je me surprends, je la serre dans mes bras.— Jean-Louis, j’aime, j’adore lorsque tu caresses mes fesses, ma poitrine, et toi ?
— Joëlle, tu es en train de me rendre fou, regarde, je tremble encore.
— Tu veux un baiser, je peux t’embrasser, si tu le veux ?Mais elle n’attend pas ma réponse. Elle me donne un baiser sur la bouche et me tire de nouveau par la main. Je m’aperçois tout d’un coup, qu’elle me tient continuellement par la main et, moi, je ne disais rien, j’acceptais même. Je serrais sa main, dans la mienne. Par moments, je la cherchais cette main, je lui tendais la miènne pour qu’elle la prenne.Nous voilà de nouveau sur son scooter, mes mains bien calées sur ses si doux nichons. Ou, peut-être, ses nichons bien calés dans mes mains ? Entre-temps, sa conduite s’était améliorée, elle conduit bien mieux maintenant, sans à -coup.Une belle maison qu’elle a, elle me fait entrer, une aide vint tout de suite me proposer de la boisson.— Bonsoir, monsieur Jean-Louis, vous êtes bien Jean-Louis, le fiancé de Joëlle ?
— Oui, répond Joëlle très vite, me devançant.
— Votre papa est dans son bureau, je vais le chercher.Il arrive, me tend la main.— Bonjour, Monsieur, votre nom, c’est Jean-Louis, je crois, c’est bien cela ?Joëlle se dépêche de répondre.– Oui papa, il est mon fiancé, il est très gentil.Je secoue la main de Joëlle énergiquement pour lui signifier mon mécontentement, nous ne sommes pas fiancés. Je m’aperçois que nous ne nous sommes pas lâchés pour autant, la tenir par la main est devenu, pour moi, un réconfort que j’apprécie justement. Devant son père, je la lui serre d’ailleurs plus fortement. Elle a pris ma main droite entre ses deux mains, se dandine, toute contente, devant son papa.— Papa, sa maman, est d’accord pour qu’il vienne avec nous.
— C’est très bien ma fille, nous irons le chercher vendredi après midi.
– Jean-Louis, il parait que tu es très fort en math, comme cela, tu pourras l’aider un peu, je pense.
– Oui, monsieur, pas de problème
– Bon, je vous laisse les enfants, à vendredi, Jean-Louis.Après son départ, je rouspète, naturellement.— Joëlle, qu’est-ce que c’est que ça ? Tu racontes partout que nous sommes fiancés ?
– Tu ne comprends rien, Jean-Louis, répond-elle, comme cela, c’est plus facile, pas de questions.Elle se blottit contre moi, ses deux mains appuyant sur mes fesses.— Jean-Louis, je crois que je t’aime, tu me plais de plus en plus.
— Tu ne me demandes pas si je le veux, être ton fiancé.Mais je lui caresse également les fesses, je la tire, la presse contre moi. Elle me regarde dans les yeux, elle me prend la main.– Viens, Jean-Louis, je te ramène.Pour le retour, elle fait un grand détour. Elle cherche les feux de signalisation où il faut s’arrêter. Elle conduit lentement, je la sens trembler dans mes bras. J’ai même croiser les bras pour mieux la serrer contre moi, ma main droite a pris son sein gauche, la gauche a pris son sein droit. Aux feux, elle rejette sa tête en arrière, sa joue contre la mienne, je me suis surpris à lui embrasser cette joue câline.— Si nous n’avions pas été sur le scooter, j’aurais aimé faire l’amour avec toi, tu aimerais ? Me demande-t-elle.
— Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait. Et, merde, enfin, tu ne vois pas ce que tu me fais ?
– Non, dit-elle, innocente.
— Merde, tu ne penses plus qu’à moi.
— Et toi, tu ne penses pas à moi ?
— Tu me prends par la main et tu la gardes, devant tout le monde.
– Je sais que tu aimes, tu ne retires pas ta main non plus. Tu caresses ma poitrine, mon mont d’amour, mes fesses, mes cuisses, enfin tout mon corps, et tu aimes mes caresses, tu m’aimes, comme je t’aime.
– C’est faux, je ne t’aime pas, du moins pas d’amour.
– Ne raconte pas de bêtises, embrasse-moi plus tôt, j’aime mieux, je t’adore, mon chou.Je me surprends à la prendre par la taille, je lui baisse son short, lui caresses ses fesses, elle pousse ses lèvres sur les miennes, entre sa langue dans ma bouche, enroule ma langue autour de la sienne, elle est presque nue dans l’allée.Mes mains la caressent. Elle tremble. Elle jouit : le souffle me manque.Jje bande comme un salaud. Mon short est descendu, ma bite est dans sa main, dans sa bouche, elle me branle. Je jouis, j’éjacule en la mordant dans le cou. Elle m’embrasse à nouveau, elle vibre, me serrant contre elle. Ses mains serrent mes fesses, une de mes mains sur son antre qui pisse sa cyprine, l’autre lui caresse ses seins. On n’en finit plus. Nous revenons doucement à la réalité, elle me remonte mon short, moi le sien.– Jean-Louis, demain, c’est jeudi, je viens t’aider à faire ta valise, je me réjouis, Jean-Louis, nous allons être deux semaines ensemble, tu es content ?
– Oui, je suis comblé.Je sens que je suis en train de perdre, qu’elle gagne, qu’elle me gagne
À l’école, dans la classe, maintenant, c’est connu, nous sommes un couple, on se tient par la main, on ne se quitte plus, nous arrivons ensemble sur son scooter tout neuf et nous repartons ensemble. En parquant son scooter, elle m’embrasse. En montant sur son scooter, c’est moi qui l’embrasse. Aujourd’hui, nous nous sommes rendus directement chez moi pour préparer ma valise. Mes mains englobent ses seins.
— Jean-Louis, uniquement des shorts, t-shirts et maillots de bain, bien que, quand nous partirons nous baigner, nous serons à poil.Sachant que Maman ne rentre qu’à dix-huit heures, elle se dénude en arrivant chez moi. Avant de commencer la valise, elle se frotte contre moi, en peu de temps, je me retrouve également à poil, nous, bien enroulés l’un dans l’autre. J’ai l’idée de lui passer ma langue sur son fourreau, je la faisais sauter de plaisir, elle crie même, elle me prend en bouche, me suce, aspirant, mordant dans ma bite, elle me fait éjaculer trois fois.À dix-sept heures trente, ma valise n’est même pas sortie de la remise. Nous nous sommes douchés en quatrième vitesse, avant que maman n’arrive. À dix-huit heures, au moment où maman met sa clef dans la serrure, le premier t-shirt tombe dans la valise.– Bonjour, Joëlle, bonjour, mon chéri, vous êtes déjà là  ?
– Oui, madame, nous voulions préparer sa valise.
Maman n’est pas dupe. Trouvant la salle de bain encore toute inondée, elle se doute bien que nous nous y étions douchés.– Joëlle, tu manges naturellement avec nous, ce soir.
– Il faut que j’avertisse mon père, madame.
– Fais-le, ma fille, fais-le, ma chérie.Maman est très contente d’avoir Joëlle à la maison. Elle a un garçon, mais elle aurait bien voulu également avoir une fille et Joëlle lui plaît. Je n’ai plus rien à dire, elle est devenue officiellement ma fiancée, Maintenant, je l’accepte, Joëlle me plaît de plus en plus. Maintenant, même après avoir été ensemble tout l’après-midi au lac, Joëlle se couche nue à plat ventre sur son lit, j’en fais autant de mon côté, dans ma chambre. Nous nous téléphonons pendant des heures, nous nous racontons des histoires pour la deuxième, troisième et même quatrième fois. Simplement le plaisir de nous entendre.Le père de Joëlle lui pose continuellement des tas de questions sur moi. Chaque jour, elle lui raconte ce que nous avons fait, oubliant naturellement de parler de nos caresses, si bien qu’il me connaît très bien.De son côté, maman me pose beaucoup de questions sur Joëlle, si bien qu’elle adore Joëlle sans vraiment la connaître. Maman appelle Joëlle ma fille ou ma chérie, d’ailleurs, son père me dit mon fils.J’aime beaucoup entendre maman dire : bonjour, ma chérie, ou bien bonjour, ma fille, avec un brin de tendre fierté. Après le souper, la valise enfin terminée, Joëlle annonce que son papa viendra me chercher demain, à dix-sept heures.Dix-sept heures frappantes, Joëlle sonne à la porte, accompagnée de son père. Maman sort pour dire bonjour, le vendredi, elle ne travaille que jusqu’à midi.— Bonjour, monsieur, je suis Yvonne, la maman de Jean-Louis.
— Et moi, je suis André, le papa de Joëlle. Je crois que nous devons faire plus ample connaissance. À notre retour, nous devrions nous rencontrer.
— Je suis tout à fait d’accord, répond maman.Après m’avoir embrassé, maman insiste pour embrasser Joëlle. Et nous voilà dans cette grosse 4 × 4, Joëlle et moi à l’arrière, papa conduit.Les mains de Joëlle se déplacent, fébrilement sur mes cuisses, elle réussit même à descendre mon short jusque sur mes genoux.– Nous avons environ trois heures de route, mais nous nous arrêterons pour casser la croûte, annonce Papa. Joëlle me murmure dans l’oreille, à peine audible.— Tu veux que je la prenne dans ma bouche ?
— Quoi ?
— Ta bite, une copine m’a dit que, pour le garçon, c’est vachement bon.
– Ici ? Dans la voiture ?Joëlle et ma bite en bouche dans la voiture ??? !!!– Papa ne verra rien, ne t’inquiète pas.Je ne suis pas très chaud, j’ai un peu peur du papa, Joëlle, semble-t-il, pas du tout, elle le connaît bien, d’ailleurs, c’est son père…. Je suis coincé contre la porte, Joëlle a déjà pris ma bite en main et en bouche.Le simple fait de l’avoir dans sa bouche, cette douce chaleur, cette humidité, m’irradient dans le dos et les jambes. La succion, le glissement de ses lèvres sur ma bite, ses doigts, sa main sur mes testicules. Sa langue léchant mon gland, cette jouissance qui monte dans mon ventre. Je veux crier de plaisir.Je me retiens. J’ai peur que papa s’en aperçoive, mais, très rapidement, j’éjacule. Je lui remplis sa bouche, elle avale le tout goulûment. Le reste dans ses mains, elle le lèche pour faire disparaître toute trace de mon sperme, puis elle se jette dans mes bras. Elle se serre dans ses bras, son visage enfoui dans le creux de mon épaule. Elle s’est endormie, mes deux mains sous son short, sur ses fesses. Papa a voulu s’arrêter, je lui dis qu’elle dort, alors lui, rassuré, il a continué.À l’arrivée, je l’ai réveillée, je lui ai nettoyé la bouche, je l’ai rhabillée. La maîtresse de maison me demande.— Êtes-vous le fiancé de Joëlle ?
— Oui, madame, je suis son fiancé.Joëlle, qui est maintenant complètement réveillée, me regarde tendrement, elle m’embrasse.— Papa, j’ai faim.Elle a gagné, elle m’a gagné, je l’aime vraiment.— On va au restaurant ou on se fait livrer ? demande-t-il
— On va au restaurant.La main dans la main, nous sommes allés au restaurant. À toutes les demandes des connaissances, il y en a beaucoup, oui, il est son fiancé. Oui, elle est ma fiancée. Elle mouille, je bande, elle se tient devant moi, son derrière contre ma bite, pour cacher mes problèmes. Elle me regarde sans cesse d’un regard langoureux.Papa a sa chambre à côté de son bureau qui donne sur la terrasse. Elle a sa chambre au premier, ma chambre à côté de la sienne.Cette maison est encore plus grande, encore plus luxueuse, à cinquante mètres de la plage de sable fin.Joëlle a tenu à dormir avec moi dans mon lit. Trop fatigué, nous nous sommes enroulés l’un dans l’autre, nous avons dormi jusqu’au lendemain matin.Avant même le petit déjeuner, Joëlle me tire, nue sur la plage, avec un peu de réticence, mais papa est arrivé, également nu, je n’ai plus peur de rien. À midi, elle est encore occupée à me badigeonner, papa annonce.— Mes enfants, je vous laisse pendant la semaine, je dois travailler, soyez sage, je reviens jeudi. Joëlle, tu as ton ancien scooter dans le garage, si vous voulez aller vous promener, mettrez vos casques et il nous embrasse tous les deux.— Jean-Louis, tu fais bien attention à Joëlle, hein ?
— Oui, monsieur, répondis-je.
— Appelle-moi donc Papa, ça fait con Monsieur, non ?
— Oui, papa.
DépucelageSamedi et dimanche, le personnel ayant congé, nous sommes absolument seuls dans la maison.– Jean-Louis, j’ai envie de faire l’amour avec toi.
– Tu es conne ou quoi, je ne l’ai jamais fait.
– Moi non plus, mais il faut bien commencer un jour, non ? On va bien se débrouiller.Je vois sa cyprine couler à flot, ma trique qui hisse le drapeau, elle se frotte contre moi, nos transpirations se mélangent, j’ai peur, plus qu’elle, j’en suis certain. Nous ne savons rien, juste que ma bite doit entrer dans son trou, que nous devons faire des va-et-vient, pas plus, nous ne savons même pas ce qui va se passer.— Jean-Louis, ta bite et bien plus grosse que mon trou, tu crois que… ?
— On essaye, si je te fais mal, on arrête tout de suite.Je prends donc ma bite d’une main, mon gland sur sa chatte. Je commence à pousser, doucement, écartant son vagin avec les doigts de mon autre main. Mon gland entre tout seul, je n’ai même pas besoin d’écarter son antre, je n’ais pas besoin de pousser fort— Mon Jean-Louis, continue, continue, me crie-t-elle, je vois des tas de papillons, je les sens voler dans mon ventre, c’est drôlement bon, mince, mon cœur, mon chou, mon amour, continue, je t’aime.Elle se tord sous moi, ses jambes en l’air, de nouveau pliées, écartées. Elle me caresse tous azimuts.
— Je sens ma bite dans ton vagin qui se remue, il me branle même, c’est meilleur qu’avec ta main.Elle ne respire plus, mais crie de plaisir, au fur et à mesure que je pousse ma queue.— Jean-Louis, ferme ta gueule, continue, je n’aurais jamais cru que ce soit aussi… aie !!! Merde, tu m’as fait mal.
— J’arrête… ?
— Non, non surtout pas, continue, merde, c’est encore meilleur. Jean-Louis, n’arrête pas.Je rentre, sors, sans m’en rendre vraiment compte, de plus en plus vite. Pour chaque coup, un cri de plaisir, elle a ma bouche sur la sienne, elle appuie sur mes fesses, maintenant, nous ne pouvons plus parler, elle me griffe, elle me mord, elle crie, elle gémit de plaisir. Elle tremble, mon ventre se crispe, la jouissance monte, je ferme les yeux, c’est bon, c’est beau, j’aime.Enfin, c’est l’explosion. Elle éjacule sa cyprine dans un cri de guerre, qui me fait éjaculer mon sperme avec un grognement d’ours. C’est l’accalmie, sa bouche toujours sur la mienne, ses mains qui appuient sur mes fesses pour empêcher que ma bite ne ressorte. Elle se serre contre moi, malgré la chaleur, malgré nos transpirations. Elle est secouée par des soubresauts assez violents.Je la serre dans mes bras, je lui caresse le dos, les fesses, les cuisses, sa respiration est très courte. Elle me couvre de baisers, elle en tremble, elle en pleure. Trempés de sueurs, mais heureux nous sommes aux septièmes cieux, oui, je peux dire que je l’aime, je ne peux pas me détacher d’elle.Elle m’interdit la sortie, elle a roulé sur mon ventre, elle embrasse ma poitrine, ses cheveux dans tous les sens. J’arrive par moment à tenir ses seins dans mes mains un instant, ou à en embrasser un. Elle est depuis déjà presque une heure sur mon ventre, elle ne veut toujours pas se séparer de moi. Ses bras autour de mon cou, sa joue contre la mienne. Elle se redresse.— Jean-Louis, j’ai faim.Elle se sépare de moi, elle se dresse, debout devant moi, on peut voir le mélange de cyprine, de sperme et de sang s’échapper de son fourreau.— Jean-Louis, me dit-elle gravement, je n’ai pas pris la pilule.
— Et si tu tombes enceinte ?
— On aura un bébé, mon chou, mais j’espère que non, pas encore.
— Il nous faut aller voir le docteur.Nous nous sommes rendus d’abord au restaurant, puis nous nous sommes rendus chez le docteur. Il fit un test, déclara qu’avec une certitude de quatre-vingt-dix pour cent, elle n’était pas enceinte, et lui ordonna la pilule.Lorsque nous sortons dans le village, elle ne porte que son petit bikini, qui n’arrive pas à cacher sa toison brune, sa poitrine nue, ici, c’est normal. Lorsque nous utilisons son scooter, elle a le meilleur soutien-gorges au monde, mes mains.— Joëlle, tu sais que tu m’as mordu deux fois ?
— Deux fois ?… Cela ne fait rien mon trésor, je suis vaccinée contre la rage.Le soir venu, sans en parler, ma bite est déjà à l’entrée de son antre. Pour notre plaisir, elle jouit, bien que mon gland n’y soit pas encore entré, qu’il n’ait pas encore commencé son ascension. Elle ne dit plus rien. Elle jouit d’avance. Elle pleure de bonheur. Elle crie de plaisir, elle se retourne, se dandine, se trémousse sous mon ventre. Elle m’embrasse, nous transpirons, c’est l’extase, la jouissance la plus complète. Cette deuxième fois nous apporte encore plus que la première. Puis, unis, bien serrés l’un contre l’autre, ma bite bien au chaud dans son fourreau, nous nous endormons. Nous faisons l’amour deux ou trois fois par jour, nous y avons pris goût.Lorsque papa est arrivé, nous dormions, découvert sur le lit, ma bite encore dans sa chatte. Il s’est ému en nous voyant, nous a recouverts, un baiser sur le front à chacun. Il aime sa fille, sa princesse. Il sait que maintenant sa princesse est devenue reine.Joëlle aime bien me prendre ma bite dans sa bouche, elle en profite sur la plage, lorsque nous savons papa absent ou endormi. Elle prend alors ma bite dans ses mains qu’elle fait grandir, grossir, puis elle prend mon gland entre ses lèvres, le suce comme une glace,e mord gentiment ma trique, mon gland, mes testicules. Avec ses lèvres, elle lèche lentement ma verge, l’engloutit dans sa bouche. Je jouis, elle aime me faire cela et jouit également, me fait éjaculer entre ses lèvres, la quantité de sperme que j’éjacule est tellement important que sa face, sa poitrine et même son ventre en sont couverts.
L’anniversaireQuinze jours durant lesquels nous avons tout expérimenté avec nos corps. Je ne regrette rien, malgré mes réticences du début, bien au contraire. Je ne vois plus que ma Joëlle, elle ne voit plus que son Jean-Louis.En rentrant, nous sommes plus bronzés que les noires, nous étions continuellement sur le sable, au soleil, faisant l’amour ou autres, la crème et nos nudités aidaient à noircir.Le jour de notre arrivée, Papa se débrouille pour parler avec maman et nous devons fêter son anniversaire, trois semaines plus tard, nous aurons un week-end à rallonges. Nous partirons à une heure de l’après-midi, tous à la mer. Papa veut absolument connaître la maman de son futur gendre, nous fêterons son anniversaire.En rentrant de l’école, nous faisons maintenant un arrêt à la maison, dans ma chambre. Nous y sommes tranquilles, nous y faisons nos devoirs ensemble, on s’aime quelques heures, avant de repartir pour le lac.C’est devenu une routine. Joëlle dîne le soir avec nous. Maman téléphone chaque soir à papa, pour l’avertir. Leurs conversations durent de plus en plus longtemps, ils se sentent obligés de se raconter ce qu’ils savent déjà de nous.Du vendredi au dimanche, je reste chez moi, souvent avec Joëlle. Elle y a sa chambre, enfin, notre chambre. Bien que, toute la semaine, Joëlle me raccompagne en scooter, nous nous promenons en scooter. Papa se croit parfois être dans l’obligation de venir me chercher, il boit le café avec maman, alors, Joëlle et moi, nous nous embrassons dans « notre » chambre, en attendant le bon vouloir de papa. Joëlle m’en parle d’ailleurs.— Jean-Louis, j’ai l’impression que mon papa et ta maman ??
— Moi aussi, je me demande si…
— On verra samedi, pour l’anniversaire de Papa.Joëlle me dépose, se gare et me rejoint pour monter avec moi chez « nous ». Nous n’avions pas vu la voiture de Papa, il tient, bien entendu, la bavette à maman, ils se tutoient, comme de veilles connaissances. Nous n’en sommes nullement surpris, nous embrassons papa et maman, bien entendu.– Papa, je n’ai pas vu ta voiture.
– Elle est la rue à côté.
– On pourrait partir d’ici pour retourner à la maison, j’ai garé mon scooter dans l’allée,
— On n’est jamais trop prudent, Le mieux serait de le monter ici, l’ascenseur est assez grand pour ça, dit Yvonne, ma maman chérie.
— Ben, oui, c’est mieux effectivement, dit papa. Bon, Yvonne, tu es prête ? Tu n’as besoin au plus, que d’un maillot de bain. Joëlle ? Jean-Louis, êtes-vous prêt, mes chéris ? Yvonne, ou sont tes affaires ?
— La, dans ma chambre. Papa entre dans la chambre sans même frapper et prend ses affaires.
— Allez, amène-toi, dit-il
— J’ai déjà mon bikini sur moi, répond Joëlle, et Jean-Louis est prêt, j’ai vérifié.
– Parfait, eh bien, en route.Joëlle enlève son short et t-shirt en montant dans la voiture. Elle se retrouve torse nu avec son mini maillot. Elle m’invite à enlever mon short. Joëlle appuyant son dos contre ma poitrine. J’ai ouvert discrètement le lacet de sa culotte, innocemment, une main sur sa chatte déjà trempée. Son autre sur ses seins déjà très durs, les mamelons en pointe, je regardais innocemment par la fenêtre. Les mains de Joëlle s’agrippant à ma bite.Toujours innocemment, je peux remarquer la main de papa s’est posée sur la cuisse de maman, ils se sourient. Je suis très content pour maman. Joëlle l’a remarqué, elle me murmure dans l’oreille.— J’aime bien, j’ai l’impression qu’ils se plaisent, ou peut-être, qu’ils s’aiment ?À notre arrivée, notre premier souci, se tremper les fesses en mer. Papa nous montre l’exemple. Il est le premier à poil, essaye de convaincre maman d’en faire autant. Joëlle et moi, nous le somme depuis longtemps, en descendant de voiture, Joëlle a rassemblé mon short, mon slip et le sien, comme de coutume, son dos appuyé à ma poitrine, ses fesses contre ma bite pour tout cacher, mes bras autour de sa poitrine, nous attendons le bon vouloir de maman qui, voyant qu’elle est la seule encore habillée, se décide enfin, aidé par papa, à se déloquer.Maman à poil, Papa la prend par la main et nous nous rendons à la plage. Papa et Maman, la main dans la main, se promenant, tout en discutant, pour nous, c’est la merde.— Jean-Louis, c’est la merde, me dit Joëlle, à plat ventre sur mon ventre.
– Pourquoi ? Elle m’embrasse.
— J’avais justement envie de faire l’amour avec toi.
— Moi aussi, alors, que fait-on ?
— J’ai une idée, Jean-Louis, on va dans ce coin, là -bas, et je te passe de la crème, tu vas voir. Papa et maman se sont assis, et papa enduit le dos de Maman où ses mains vont très bas, même sur le devant.Nous nous sommes éloignés, Joëlle, gardant un œil sur papa et maman, elle s’est assise sur ma bite, enduit ma poitrine de sa crème. À travers tous les mouvements de ses fesses sur ma bite, mon objet se raidit de plus en plus.Un moment d’inattention du couple parental. Joëlle se dresse un peu plus haut, s’empale sur ma bite avec un profond soupir. Nous surveillons. Pas de réaction, ils n’ont rien vu. Joëlle monte et descend sur ma bite au rythme de ses mains glissant sur ma poitrine. Un mouvement lent qui me fait jouir encore davantage.Personne ne se rend compte du subterfuge, que si quand même, moi, ma bite prisonnière de son vagin, elle qui monte et descend, les fesses serrées, les yeux fermés, elle pousse des petits cris de chauve-souris.Les parents se lèvent, ils vont se baigner, c’est la chance, Joëlle est devenue plus rapide, elle devient incohérente, son derrière se bouge dans tous les sens, elle jouit déjà fortement, je vois qu’elle ne peut plus suivre, je prends la relève.J’accélère encore le rythme, mes deux mains lui emprisonnant ses fesses. Elle râle maintenant continuellement, ce sont presque des cris elle me griffe, elle me pince, elle s’affale sur mon torse, elle me mord la poitrine, elle jouit, lançant son cri de guerre, entraînant mon déluge de sperme. Elle se roule sur moi, ses cuisses enroulées autour des miennes, une main sur mes fesses, l’autre derrière ma nuque.Papa, lui, a fait une partie à tout casser, plus de cinquante personnes sont venues. Ces questions qui m’énervent, toujours la même question, nous nous embrassions, on se tenait par la main, par la taille ou les épaules, monsieur, est-ce votre fiancée, mademoiselle, est-ce votre fiancé ? Nous répondions oui, mais nous avions l’impression qu’ils n’écoutaient pas la réponse, que l’on soit fiancé ou non, ils s’en foutaient royalement.Papa et maman sont restés ensemble, se tenant par la main ou le bras pour ne pas se perdre.— Monsieur, est-ce votre femme ?
— Non, c’est ma très bonne amie, la maman de Jean-Louis.Après le départ des invités, il se faisait très tard, plus personne n’a posé de question, Maman est entrée dans la chambre de papa, moi, dans la chambre de Joëlle comme si c’était une normalité. Heureusement que nous étions loin l’un de l’autre, Joëlle a crié dans sa chambre, plusieurs fois dans la nuit. Au matin, nous nous sommes rendu compte que Maman était bien restée toute la nuit avec Papa. Lorsque nous nous sommes levés, Maman était assise nue sur les genoux de papa, également nu, ils buvaient le café.– Mes enfants, annonce papa solennellement, nous avons quelque chose à vous dire de très important.
Nous nous assoyons encore à moitié endormis.— J’écoute, dis-je
— Moi aussi, dit Joëlle, nous sommes tout ouïe.
— Voilà , nous nous aimons, Yvonne et moi. Nous avons décidé de nous marier.Joëlle et moi sommes très heureux de cette nouvelle, mais Joëlle veut les taquiner.— Vous ne pouvez pas vous marier, ou bien nous…
— Et pourquoi ?
— Papa, Maman, si vous vous mariez, Jean-Louis devient mon frère, exact ?
— Exact, répond papa.
— Et moi, je deviens la sœur de Jean-Louis, exact ?
— Toujours exact.
— Je n’aurai donc pas le droit de me marier avec mon frère.Papa réfléchi un court instant.— Étant donné que ton père, n’a aucune parenté avec sa mère, biologiquement parlent, vous n’êtes pas frère et sœur de sang, encore moins qu’un cousin, si nous avons des enfants, ce serait autre chose.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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