La stagiaire 2
BĂ©a a affolĂ© mes sens en exhibant ses sous vĂȘtements Ă l’occasion d’un stage. Ayant remarquĂ© le petit jeu des formateurs, oui on regardĂ© les fesses des femmes, elle a clairement affichĂ© son appĂ©tit pour les hommes voyeurs.
Proposée le 5/02/2021 par verseau29 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
La journĂ©e Ă Ă©tĂ© longue et pleine d’Ă©motions. (lire la stagiaire). Pour autant cette journĂ©e comme toutes les autres jusque lĂ n’Ă©tait pas terminĂ©e pour autant. Repas terminĂ©, changement de tenue (obligatoire) j’enfile un nouveau string, le mien Ă©tant parti au bras de BĂ©a, un pantalon, SEC, et hop c’est reparti pour un tour. On oublie la masturbation, BĂ©a Ă Ă©tĂ© clair. je doit garder mon foutre pour plus tard. Plus tard que tard je me dit que la libĂ©ration sera pour demain.Les activitĂ©s du soir se terminent vers 22 h 00 rĂ©union pĂ©dagogique des formateurs entretiens individuel avec chaque stagiaire pour parler de La JournĂ©e ! BĂ©a passe comme toutes les autres, elle ne sourcille pas et me parle en plantant son regard dans les yeux qui me dĂ©stabilisent quelque peu.
Minuit passĂ©, je suis rincĂ©. Direction la chambre. Un boxer, un maillot et au moment de fermer ma porte Ă clĂ©… »et inutile de fermer ta chambre Ă clĂ© ce soir… » ses mots me reviennent d’un coup. Je me dis que comme moi quand elle aura fini sa journĂ©e, elle sera comme moi, fatiguĂ©.Je me couche non sans avoir quelque pensĂ©es qui me tiennent Ă©veillĂ© un temps avec mon sexe, qui contre toute attente au vu de la fatigue, semble prĂ©s Ă se lancer dans une bataille !
MalgrĂ© cela je m’effondre comme un bien heureux en me disant que de toute façon, vu l’heure c’est mort !
…je me retourne brusquement, je ne sais pas depuis combien de temps je dors mais quoi qu’il en soit il m’en faudra bien plus pour me remettre sur pied. Dans mon sommeil j’ai cru voir un flash. Je reste un instant la tĂȘte Ă demi levĂ©e de mon oreiller, Ă l’Ă©coute. Non rien, je peux me rendormir.
…ce petit sursaut m’a mis dans un demi-sommeil et je commence Ă rĂȘver. Je sens un souffle court et rapide prĂ©s de mon visage, accompagnĂ© d’un parfum qui me rappel…BĂ©a ??? Je ne bouge pas, de peur de me rĂ©veiller et de laisser ce rĂȘve s’Ă©vanouir. Je suis Ă moitiĂ© sur le dos. je sens alors une caresse partir du haut de mon Ă©paule, glisser le long de mon bras, sur le dessus de ma main et finir sur mon bassin. Chemin faisant, le visage s’est rapprochĂ© du mien et vient de dĂ©poser un baisĂ© sur mon cou. Je sens les doigts de cette caresse glisser sur mon boxer et venir effleurer mon sexe. Le tissus est si fin que je perçoit aisĂ©ment les ongles frotter dĂ©licatement la hampe de mon sexe qui commence Ă bander. Ils ont trouvĂ©s ce qu’ils cherchaient ils frottent maintenant la base de mon gland toujours Ă travers le boxer. Je me tourne alors sur le dos afin de faciliter la tĂąche de mon « agresseur » de la nuit. Je sens son visage abandonner le mien et rejoindre sa main en effaçant la couette devenue inutile tant la chaleur est montĂ©e dans la piĂšce. Je suis aux anges. FatiguĂ©s par ce stage me voilĂ dans la BĂ©atitude la plus complĂšte Ă rĂȘver de cette stagiaire qui a mis le feu en moi. Je bande comme un taureau et me sens trĂšs Ă l’Ă©troit. Le fantĂŽme de ma nuit lis dans mes pensĂ©es et le retire dĂ©licatement. Le gland s’est pris dans l’Ă©lastique large du boxer et le suit quelque temps dans sa chute vers le bas de mes jambes. La longueur et la souplesse venant Ă manquer il revient comme un ressort de rappel taper sur mon ventre. Et j’entends sa voix. (Pas de mon sexe !) Non de mon rĂȘve, de mon agresseur… »bien ! dit elle…je vois qu’on va pouvoir travailler, toujours en murmurant. Inconsciemment je me souviens de ce genre de rĂȘves adolescent, qui se finissaient dans une Ă©jaculation incontrĂŽlĂ©e qui maculait mes draps. Attention Fred ! rĂ©veil toi avant ! Si demain matin tu mets tes draps au sale on va se poser des questions ! Aller encore un peu…c’est si bon. Une main vient caresser mon torse le relevant suffisamment haut. Mon dieu que j’ai chaud ! Je sens cette inconnue au parfum de BĂ©a venir se mettre Ă cheval sur mes genoux. Oui je sais ce que vous pensez vous autre lecteurs ! Il nous prend pour des cons ! il sait parfaitement qui c’est ! Eh bien non, repensez Ă vos rĂȘves Ă©rotiques, combien de fois vous ĂȘtes vous rĂ©veillĂ©s sur une scĂšne de sexe des plus hard et si vous avez Ă©tĂ© capable de dĂ©crire la personne avec qui vous Ă©tiez en train de vous envoyer en l’air ! Bref…quoi qu’il en soit je dois savourer cet instant je suis fatiguĂ© et tendu. Je dois absolument mettre fin Ă ce rĂȘve Ă©jaculer une bonne fois pour toute et me rendormir. Demain sera une longue journĂ©e. Bien dĂ©cidĂ© Ă mettre fin Ă mon supplice, (c’est peut ĂȘtre un peu fort j’avoue), je m’apprĂȘte Ă me rĂ©veiller pour aller aux sanitaires quand je sens mon sexe enveloppĂ© dans un fourreau chaud et humide qui vient faire des aller retour sur mon membre bandĂ©. Ses mains caressent mon ventre ma poitrine et se perdent de temps Ă autre sur mes couilles toujours rasĂ©es au plus prĂ©s. La fellation est divine, mais si je veux pas changer les draps demain il me faut aller finir aux sanitaires. Pas le moment de croiser quelqu’un en sortant de ma chambre dans cet Ă©tat ! Aller courage ! Go !
J’ouvre les yeux…..
Béa ??© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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